Petrus Romanus, PROJET LUCIFER, et le plan exo-théologique étonnant du Vatican pour l’arrivée d’un sauveur extraterrestre.
« shapeshifting » en anglais, capables de se transformer en animal (« skinwalking ») et rencontres avec des genres de loups-garous démoniaques
Par Tom Horn & Cris Putnam
L’histoire d’êtres élémentaux, comme les incubes et les succubes ou les « démons-extraterrestres » – quel que soit le nom qu’on leur donne, est souvent étroitement associée à une variété de monstres qui changent d’apparence et aux « cryptids » (du grec « krypto » qui signifie « caché »), dont l’existence est difficile à prouver à cause de leur supposée capacité à entrer et sortir de la dimension terrestre ou du spectre de vision humaine – la portée de visibilité humaine.
Ces exemples pourraient inclure le Yéti de l’Himalaya, le fameux Bigfoot ou Sasquatch, principalement dans la région pacifique nord-ouest de l’Amérique du nord et du Canada, et le Monstre du Loch Ness en Écosse.
Canulars mis à part, littéralement des dizaines de milliers de gens, au cours de l’histoire et autour du monde (dont des individus respectables comme des pasteurs, des professionnels, des militaires, des agents de la force publique et même des anthropologues), ont vu et découvert des échantillons biologiques comme des poils et des preuves d’empreintes, et même filmé et enregistré les vocalisations d’une langue non identifiable des créatures, mais ont échoué jusqu’à maintenant à capturer un seul spécimen physique… seulement connu du public par son nom.
Les témoignages comprennent souvent des comptes-rendus de tailles fantastiques – depuis d’énormes dragons dans la mer à des bipèdes géants dont la hauteur varie de 2,50 m à 3,60 m, avec des empreintes de pas mesurant jusqu’à 60 cm. Et il y a aussi un phénomène, fréquemment relié à une apparence de « cryptids », typique d’une activité occulte – odeur écœurante ou soufrée, coups mystérieux frappés sur des murs et des fenêtres, lumières fantomatiques et spectrales dans les maisons ou en dehors, voix désincarnées, lévitation ou disparition de mobilier et d’autres objets ménagers, etc.
Le premier récit de l’apparition d’un Bigfoot aux US a probablement été publié il y a 125 ans, dans un pamphlet historique qui parlait d’habitants de la frontière ayant rencontré un « homme sauvage » dans les Montagnes Siskiyou au nord de la Californie.
« La chose était d’une taille gigantesque – environ 2,15 m de haut – avec une tête de bulldog, de petites oreilles et de longs poils ; elle portait aussi une longue barbe et avait une absence de poils sur certaines parties du corps comme on le voit chez les hommes ».
Une autre confrontation peu connue avec un grand bipède poilu a été en fait rapportée par le président Théodore Roosevelt, un ardent adepte de la vie au grand air. Noah Hutchings écrit en parlant de cet événement : « L’histoire est parue dans The Wilderness Hunter », publié en 1893.
Le récit qu’en donne Roosevelt se rapporte à une sorte de bête sauvage qui avait tué un homme et avait dévoré la moitié de son corps dans un massif montagneux entre les fleuves Salmon et Windom. L’année suivante, deux chasseurs campaient dans la même région quand ils prirent conscience d’être observés par une étrange créature marchant sur deux jambes. Le jour suivant, les chasseurs se séparèrent. L’un des chasseurs arriva au camp et retrouva son compagnon mort le cou brisé et avec de graves blessures dans la zone de la gorge.
Dans l’article, M. Roosevelt disait croire que la mort du chasseur avait été provoquée par « quelque chose soit à moitié humain ou à moitié diabolique, une sorte d’énorme lutin ».
On trouve même des comptes-rendus de créatures de type simiesque sur lesquels on avait tiré et tué, et des créatures semblables étaient venues récupérer les corps. Une histoire de ce genre parle d’un Bigfoot qui avait été descendu et de grands êtres poilus lui ressemblant seraient sortis des bois pour récupérer ensuite le corps. Les mêmes créatures seraient retournées attaquer la cabane de ces mineurs qui avaient tué la bête. Un récit de cet événement explique :
Les singes ont contre-attaqué de nuit, démarrant leur assaut en frappant sur les planches de bois entre les rondins de la cabane des mineurs. Il y eut ensuite des martèlements sur les murs, la porte et le toit, mais la construction était bâtie pour résister aux fortes neiges de montagne et les singes ne purent pénétrer… Il y avait… le bruit de roches touchant le toit et dégringolant, et [les mineurs] barricadèrent de l’intérieur la lourde porte.
Ils entendaient les créatures frapper le haut de la cabane et cogner sur les murs, et ils tirèrent des coups de feu à travers les murs et le toit sans les faire partir. Le bruit commença dès la tombée du jour et se poursuivit presque jusqu’à l’aube… La cabane n’avait pas de fenêtres et bien sûr personne n’ouvrit la porte, donc en fait les hommes à l’intérieur n’ont pas vu ce qui causait le boucan extérieur.
Pas plus que M. Beck ne pouvait dire avec certitude… qu’il y avait plus de deux créatures dehors. Il y avait au moins ce nombre parce qu’il y en avait en même temps une sur le toit et l’autre frappant le mur. Peu importe leur nombre, c’était assez pour les mineurs, qui firent leurs bagages et abandonnèrent leur mine le jour suivant.
L’un des cas les plus perturbants, et les mieux documentés, concernant de grands primates non-humains se passa le 25 octobre 1973, près de Greensburg en Pennsylvanie, quand un jeune fermier du nom de Stephen Pulaski et plus d’une douzaine d’autres témoins observèrent une boule de lumière rouge brillante accompagnée de grands humanoïdes.
Un fermier de 22 ans et deux jeunes garçons observèrent du haut d’une colline comme un objet brillant « en forme de dôme », émettant un « bruit comme une tondeuse à gazon », installé au-dessus d’un champ. Il estima qu’il mesurait environ 46 mètres de diamètre.
Pulaski entrevit soudain deux grandes créatures, qu’il pensait au début êtres des ours – l’un d’eux d’une taille d’environ 2,10 m et l’autre d’une taille supérieure à 2,40 m – qui marchaient à côté d’un rail de clôture. Il pouvait estimer leur taille assez précisément, parce que leur silhouette se découpait le long du rail. Ils portaient de longs poils (cheveux ?) noirs et leurs bras pendaient comme ceux des gorilles. Les êtres faisaient des bruits comme des bébés qui gémissent et une terrible odeur, comme du caoutchouc brûlé, arrivait par bouffées sur la colline.
Les entités virent Pulaski et les deux jeunes gens et ils commencèrent à s’avancer vers eux. Alors que les deux jeunes couraient vers la ferme, le garçon de 22 ans tira un coup de feu d’avertissement au-dessus de la tête des créatures avec son fusil de chasse. Comme ils continuaient d’avancer, il tira trois autres coups, cette fois dirigés vers la plus grande des deux. Le grand bipède poilu agit comme s’il était touché, il souleva sa main droite, et l’objet en forme de dôme devint silencieux, disparut instantanément, mais fut remplacé par une zone fluorescente sur le sol. À ce moment-là les êtres se retournèrent pour se diriger vers les bois.
Quelques minutes plus tard, un policier arriva pour enquêter sur le coup de feu. Il descendit avec le fermier jusqu’au champ à 180 mètres de l’endroit de l’incident. L’officier de police rapporta plus tard qu’à leur arrivée le sol émettait toujours une lueur fluorescente. Des arbres se mirent à craquer dans la forêt et les hommes pensèrent que quelque chose de grand se dirigeait vers eux depuis le bois. Cela s’arrêta brusquement, puis, trente minutes plus tard, redémarra à nouveau. On pouvait voir un personnage de grande taille venir dans leur direction, ils grimpèrent donc dans la voiture de patrouille et ils filèrent se mettre à l’abri.
De bonne heure le lendemain, des membres du Groupe d’Étude d’Ovnis du comté de Westmoreland arrivèrent à la ferme pour commencer une enquête. Ils notèrent que le chien de Pulaski semblait suivre une piste dans le bois de quelque chose qu’ils ne pouvaient discerner. Pendant qu’ils parlaient avec le jeune fermier et son père, Pulaski commença inexplicablement à se comporter comme s’il était possédé par un démon – se convulsant, grognant et se débattant. Son chien se précipita sur lui et l’attaqua.
Au même moment, deux des enquêteurs commencèrent à se sentir étourdis et se mirent à respirer avec difficulté. Pulaski assomma soudain son père et tomba évanoui sur le sol, la tête la première dans le fumier. Quand il reprit ses esprits quelques instants plus tard, il commença à grogner comme un animal et prévint : « Éloignez-vous de moi. C’est ici. Partez. »
Une odeur de soufre emplit l’air pendant que Pulaski racontait sa vision d’un personnage enveloppé d’un costume tout noir, lui disant quelque chose sur un homme « qui venait pour sauver le monde ». Pulaski fut ensuite évalué physiquement et psychologiquement et on le trouva sain d’esprit et sincère. De nombreux témoins à diverses étapes de l’incident témoignèrent aussi que l’événement s’était produit réellement comme rapporté.
La ferme Pulaski est un exemple parmi les milliers d’événements comparables où des « cryptids » sont apparus accompagnés de caractéristiques spiritualistes et démonologiques. Dans un autre récit, deux créatures, l’une géante et l’autre petite se liguaient pour torturer une jeune femme. Ce fait n’a pas été seulement capturé par de multiples témoins, mais s’est effectué à plusieurs reprises dans une cellule de prison, devant des gens éberlués, dont des officiers de police, des gardes de prison, du personnel médical et des douzaines de journalistes, en plein Manille, capitale des Philippines. Dans ce cas, une preuve concrète a même été capturée sous la forme d’un long poil noir d’une bête qui n’a jamais été identifiée. Au centre de l’épisode, il y avait l’un des ministres du culte les plus connus d’Amérique, le Dr Lester Sumrall, qui a créé la station de radiodiffusion Le SEA.
Au début des années 50, le Dr Sumrall se trouvait à Manille en train de faire construire une église, connue aujourd’hui comme la Cathédrale des Louanges.
Le 12 mai 1953, le Daily Mirror de Manille publia une surprenante histoire avec en gros titre : « Un médecin de la police expose le scandaleux récit de démons mordeurs », dans laquelle une affaire des plus inhabituelles s’était déroulée avec des forces de l’ordre et des médecins légistes mystifiés par une détenue dont le corps portait en permanence de profondes marques de dents.
Effrayée, la femme prétendait que deux êtres étaient apparus et l’avaient mordue. L’un des démons était grand, fort et noir, avec de longs poils sur la tête, la poitrine et les bras. Il avait des crocs comme ceux des chiens et de grands yeux perçants, et ses pieds étaient au moins trois fois plus grands que la normale. Il était habillé d’une robe noire avec ce qui semblait être une capuche dans le dos. Sa voix était grave, avec un écho comme dans un tunnel. Le deuxième être était trapu, peut-être d’une taille de 75 cm, et il était aussi noir, chevelu et difforme.
Pendant que des témoins observaient, les expressions du visage de la jeune femme changeaient d’un coup, et elle commençait à jeter des coups d’œil autour d’elle comme si elle voyait quelque chose que les autres ne pouvaient voir (ce qu’elle voyait était surnommé « La chose » par la presse.) Puis la jeune femme commençait à crier et à se battre contre une force invisible avant de s’effondrer, à moitié consciente, dans les bras d’un membre de l’équipe de la prison qui la soutenait. Il y avait à ce moment-là des marques de dents mouillées de salive sur son corps.
Le Dr Mariano B. Lara, alors médecin légiste en chef du département de police de Manille et professeur de pathologie et de médecine légale à l’université, était convaincu de la véracité d’une possession et de son exorcisme, et il a fourni sa propre description, racontée dans cet extrait tiré du rapport médical officiel enregistré à la prison :
Je trouve difficile et presque impossible d’accepter quoi que ce soit de caractère surnaturel… Équipé d’une lentille grossissante et d’un esprit sceptique sur ce phénomène de morsure, j’ai soigneusement examiné les parties exposées de son corps [celui de Clara Villanueva], ses bras, ses mains et son cou, pour savoir s’ils portaient des marques de morsure. J’ai vu sur ses bras des marques de morsure rougeâtres de type humain… À cet instant même, cette jeune femme en semi-transe hurlait sans arrêt… J’ai vu, de mes yeux incrédules, de claires marques ou impressions de dents de type humain aussi bien de la mâchoire supérieure qu’inférieure. Il y avait de l’humidité dans la zone mordue de la face dorsale de la main gauche, et les impressions de dents étaient presque de la forme des dents de devant ou incisives. Voyant cela de mes yeux incrédules, je ne me suis toujours pas expliqué ni compris comment elles se produisaient, car sa main était tout le temps restée hors de portée de sa bouche…
Alors qu’elle était en pleine possession de son état mental normal, je lui ai demandé qui la faisait souffrir de morsures. Elle a répondu qu’il y en avait deux qui la mordaient alternativement ; l’un est gros, noir, chevelu comme les humains, très grand, avec deux yeux perçants, deux canines pointues, une longue barbe comme un hindou, les extrémités et la poitrine poilues, habillé en noir, avec une petite partie blanchâtre dans le dos ressemblant à une capuche. Ses pieds ont environ trois fois la taille normale. L’autre gars est très petit, environ 60 à 75 cm, supposé noir aussi, chevelu et laid.
Après avoir entendu le premier compte-rendu à la radio, puis avoir lu l’histoire du journal le jour suivant, le Dr Sumrall, qui pensait que la jeune femme était possédée du démon, se convainquit que le Seigneur voulait qu’il se procure la permission des autorités de la prison afin de prier pour la délivrance de la prostituée.
Grâce à l’architecte de l’église, qui était ami avec le maire de Manille, il reçut un accord de visite avec le conseiller médical en chef du département de la police, le Dr Mariano Lara. Parlant au médecin dans la morgue de la prison, Lara reconnut devant Sumrall qu’il se produisait quelque chose dépassant sa connaissance professionnelle, et qu’il était en réalité effrayé par « La chose » après avoir été témoin de marques de morsure apparaissant sous ses yeux.
Avec l’approbation de Lara, Sumrall fut autorisé à prier pour la fille en présence d’observateurs. Elle était très résistante, le maudissant en anglais (langue qu’elle ne parlait pas), hurlant et se débattant en permanence pour s’échapper. Le premier jour de prière échoua à procurer une guérison, et Sumrall pensa qu’il avait besoin de jeûner et de prier pour un autre jour. Ce soir-là, le journal publia sa photo en première page, sur trois colonnes, avec le gros titre : « La chose défie le pasteur ». Le jour suivant se révéla différent. Suite à une bataille spirituelle rappelant le prophète de l’Ancien Testament mettant au défi les adeptes de Baal, et avec une repentance pour ses péchés et l’acceptation de Jésus comme Sauveur, la fille fut délivrée, mais pourtant l’histoire n’était pas finie.
Sumrall explique ce qui arriva ensuite :
En partant, j’ai dit à Clarita que j’étais sûr que ces démons allaient revenir. « Après que je sois parti », ai-je dit, « ils viendront. Tu dois alors leur demander de partir sans que je sois présent. Tu dois dire : Partez, « au nom de Jésus », et ils obéiront. » Ceci fait, j’ai quitté la prison.
Nous avons demandé aux journalistes de ne pas faire d’articles sur les événements du matin, mais ils ont dit qu’ils y étaient obligés. L’histoire durait depuis deux semaines et elle devait avoir une fin. Comme l’Église Méthodiste est la dénomination protestante la plus ancienne des îles, ils ont supposé que j’étais méthodiste, et c’était écrit comme ça dans les journaux. Ils ne savaient pas comment décrire une telle expérience ; ce qui fait que leur version n’était pas exacte. Mais je me sens largement responsable de ce fait, car je ne leur ai accordé aucune interview et j’ai laissé la ville se débrouiller avec la publicité.
Les démons sont revenus attaquer Clarita et une chose étrange est arrivée quand elle a demandé leur départ. Elle était engagée dans un combat mortel et elle est tombée dans le coma, les poings serrés. Le médecin a ouvert ses mains de force et à sa stupéfaction, s’y trouvaient de longs cheveux noirs de texture grossière. Le Dr Lara a placé ces cheveux dans une enveloppe et l’a mise dans un endroit sûr. Il a découvert au microscope que les cheveux ne venaient d’aucune partie d’un corps humain. Le médecin n’a aucune réponse à ce mystère – comment un être invisible, probablement un démon, pourrait avoir laissé des cheveux dans la main d’un être visible qui les lui a arrachés.
La notion de matériau physique, comme des cheveux ayant été arrachés à un démon spectral, ouvre une fascinante porte sur la possibilité que des êtres ultra-terrestres (appelez-les anges, démons ou extra-terrestres) puissent faire des allers-retours entre différentes réalités et prendre des formes qui sont autant matérielles qu’immatérielles.
Cela semble fou pour l’entendement, le concept est pourtant biblique.
L’auteur de « Hébreux » nous rappelle de « ne pas oublier de nous occuper des étrangers : parce que certains sont ainsi restés ignorants des anges » (Héb. 13:2), et quand les disciples de Jésus le virent sortir du tombeau, ils « étaient terrifiés et pleins d’effroi et ils supposèrent qu’ils avaient vu un esprit ». Jésus leur dit de le toucher pour voir qu’un « esprit n’avait pas de chair ni d’os, comme vous le voyez pour moi » (Luc 24:37-39).
De la même manière, Abraham a été visité par trois anges dans les plaines de Mamré (Genèse 18:1-8). Ils apparaissaient comme des hommes, et ils marchaient, parlaient, s’asseyaient et mangeaient. Mais à la vérité ils n’étaient pas du tout humains, mais des êtres-esprits du ciel, illustrant l’un des faits les plus dynamiques des Écritures : que des formes de vies inter-dimensionnelles ont le pouvoir d’endosser la matière tangible à chaque fois que cela convient à leur cause. Cela explique-t-il comment des « cryptids » peuvent être là à un moment et partis après, laissant l’homme perplexe par leur apparition et disparition ?
Cela ne rappelle-t-il pas les Réphaïm, qui existent dans le monde spirituel, mais qui pouvaient avoir aussi la capacité de se manifester sur Terre en tant que géants, bipèdes poilus connus dans la Bible en tant que Néphilim et peut-être aujourd’hui en tant que Bigfoot ?
Soit dit en passant, les cheveux de la « chose » de Manille ne sont pas le seul exemple trouvé.
En octobre 2012, un gros titre du Mail Online britannique annonçait : « Un Sasquatch en Sibérie ? Des poils trouvés dans une grotte russe « appartenaient à un mammifère inconnu relié de près à l’homme ». »
L’article prétendait que les tests ADN des « poils soupçonnés être ceux d’un Yéti » découverts dans une grotte de Sibérie lors d’une expédition internationale de 2011, révélaient celui d’un mammifère inconnu très proche de l’homme, mais non humain. Les poils n’appartenaient pas non plus à un quelconque animal connu dans la région, comme un ours, un loup ou une chèvre, disait l’article. Une analyse réalisée en Russie et aux US, qui « était d’accord sur le fait que les poils venaient d’une créature ressemblant à un homme qui n’est pas un Homo Sapiens, plus étroitement apparenté malgré tout à l’homme qu’au singe ».
Ensuite, le 24 novembre 2012, un autre communiqué de presse fut publié évoquant une équipe d’experts en génétique, médecine légale, imagerie et pathologie dirigée par le Dr Melba S. Ketchum de Nacogdoches, Texas, et leur étude de 5 ans sur l’ADN (soumise pour révision par des pairs), qui prétendaient à « l’existence d’une nouvelle espèce hybride d’hominidés, communément appelée « Bigfoot » ou « Sasquatch » qui vivrait en Amérique du nord ».
La séquence d’ADN suggérait que le légendaire Sasquatch est en fait « un croisement hybride entre l’Homo Sapiens moderne et une espèce primate inconnue ».
Le Dr Ketchum a rapporté que son équipe avait séquencé trois génomes nucléaires complets de Sasquatch et déterminé que l’espèce est un hybride humain. « Notre étude… a utilisé un séquençage d’une génération voisine pour obtenir 3 génomes nucléaires complets des prétendus échantillons Sasquatch », a dit Ketchum. « La séquence de génome montre que l’ADN mitochondrial (ADNmt) Sasquatch est identique à celui de l’Homo Sapiens moderne, mais l’ADN nucléaire (ADNnu) Sasquatch est celui d’un nouvel hominidé inconnu relié à l’Homo Sapiens et à d’autres espèces de primates. Nos données indiquent que le Sasquatch nord-américain est une espèce hybride, le résultat de mâles d’une espèce hominidée inconnue croisé avec une femelle Homo Sapiens ».
Ketchum, vétérinaire, dont l’expérience professionnelle comprend 27 ans de recherche en génétique, y compris des analyses médico-légales, continuait ainsi :
Le géniteur mâle qui a contribué à la séquence inconnue de cet hybride est unique, car son ADN est plus distant de celui des humains que d’autres hominidés récemment découverts, comme l’individu de Denisova.
L’ADN nucléaire Sasquatch est incroyablement nouveau et pas du tout ce à quoi nous nous attendions. Alors qu’il possède un ADN nucléaire dans son génome, on y trouve aussi des séquences distinctement non-humaines, d’hominidés non-archaïques et non-simiesques. Nous le décrivons comme une mosaïque de séquences humaines et non-humaines nouvelles. Une étude ultérieure est nécessaire et en cours pour mieux définir et comprendre l’ADN nucléaire Sasquatch.
Cette découverte de Ketchum et de son équipe, publiée avant d’avoir été révisée par des pairs, est suspecte et peut s’avérer erronée. D’un autre côté, si elle est validée, ce pourrait être un autre élément de preuve déroutant, en lien avec cette créature mystérieuse que nous nommons « Bigfoot » et « Sasquatch ».
Nous ferons une investigation plus poussée des « Skinwalking », « Shapeshifting » et des loups-garous démoniaques dans le prochain écrit.
- [i]Thomas G. Aylesworth, Science Looks at Mysterious Monsters (New York, NY: Julian Messner, 1982), 30.
- [ii] Noah Hutchings, Marginal Mysteries (Crane, MO: Defender Publishing, 2011), 141.
- [iii] Thomas G. Aylesworth, Science Looks at Mysterious Monsters, 32–33.
- [iv]Joseph Jacobs, “The Truth Behind The Exorcist,” TAT Journal 12 (1981), last accessed January 14, 2013,
A suivre…
Voir tous les articles du dossier EXO-VATICANA
Sur le même sujet, voir aussi : La chasse au Skinwalker
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