Interview de Corey Goode par David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 5 épisode 2
David Wilcock : Bienvenue à « Divulgation Cosmique ». Je suis ici avec Corey Goode. Dans cet épisode, nous allons explorer quelques-unes des technologies de la conscience qui ont été utilisées dans des contextes variés, à la fois sur Terre et dans le Programme Spatial.
Nous allons parler de la visualisation et de l’influence à distance.
Très bien, Corey, bienvenue dans cette émission.
Corey Goode : Merci.
DW : La notion traditionnelle, et la plus familière, de la visualisation à distance est apparue – du moins, la première fois que j’en ai entendu parler – c’était dans les années 90 dans le ‘’Art Bell Show’’. Il y avait des types qui venaient comme le Major Ed Dames et il disait qu’il entraînait des personnes à la visualisation à distance.
Il y avait Joe McMoneagle qui a fait des documentaires au Japon où il réunissait des gens avec leurs enfants. Il visualisait à distance la localisation de l’enfant, les réunissaient et c’était filmé.
Alors, quelle est la base de la visualisation à distance avec laquelle la plupart des gens sont familiers grâce à ces émissions paranormales ? Qu’est-ce qui se passe ici ? En fait, que font-ils ?
CG : Eh bien, dans le temps et l’espace, tout est connecté. Et nous pouvons utiliser notre conscience comme un véhicule pour voyager et voir ce que nous voulons, quand nous le voulons. Maintenant, c’est…
Le terme de « technique de visualisation à distance », cela est tout nouveau dans notre vocabulaire, mais c’est une chose que nous faisons depuis que nous sommes sur cette planète. Nous avons la capacité de nous mettre dans un état de conscience profond pour observer et influencer à distance d’autres personnes et d’autres lieux.
Maintenant, c’est une chose à laquelle les militaires ont commencé à s’intéresser quand ils ont découvert que les Russes avaient quelques réussites avec cela.
Dans le secteur public, les gens ont été entraînés dans la visualisation à distance pour faire exactement ce que vous avez mentionné, comme retrouver des enfants perdus, des objets perdus. C’est quelque chose que chacun peut utiliser et où chacun peut s’entraîner tout seul.
DW : Cela ne nécessite donc pas de dons ou de capacités particulières ?
CG : Non. Ils ont prouvé qu’ils pouvaient prendre n’importe qui ayant la volonté et un réel intérêt d’apprendre, et lui enseigner cette technique. Et cela réussit.
DW : Nous avons donc cette catégorie de la visualisation à distance où les gens obtiennent des renseignements. Et ensuite, nous avons d’autres types de canalisations, là où commencent ces religions extraterrestres élaborées. Et ils n’ont aucun autre point de référence hormis leur propre perception interne. Et vous voyez les gens qui croient à cette canalisation et qui disent que ces êtres font telle chose et à tel endroit. C’est leur vérité absolue mais ils n’ont pas de confirmations extérieures à cela.
Alors quelle est la différence entre ce dont vous parlez comme étant la visualisation à distance et certains de ces enseignements de canalisation que certains pensent crédibles mais qui ne s’accordent avec rien d’autre.
CG : Eh bien, la visualisation à distance… Quand vous avez une cible, ils vous donnent des renseignements sous forme de lettres ou de chiffres, quelque chose que… que vous ne pourrez pas associer avec une personne, un lieu ou une chose.
DW : Ce que l’on appelle communément « les coordonnées » ?
CG : Tout à fait. Les coordonnées. Ils vont essayer de faire de leur mieux pour ne pas vous mettre directement sur ce qu’est la cible. Ils ne laisseront rien au hasard… La personne qui a écrit le nom de la cible sur un morceau de papier, la plupart du temps, elle ne sait même pas qui est la cible. Ils donneront le papier à une personne qui le donnera à son tour à une personne qui l’apportera au voyant à distance afin d’éviter toutes brèches ou fuites psychiques.
Avec la visualisation à distance, vous voyez la cible mais cela n’est pas considéré comme un succès tant que cela n’a pas été vérifié.
Donc, dans la canalisation (le channeling), vous vous ouvrez et absorbez des renseignements en provenance d’une source inconnue et cela n’est jamais vérifié. Ou peut-être quelques morceaux seront vérifiés mais jamais la totalité.
DW : Pensez-vous qu’il y ait un défaut majeur dans la psyché humaine, qui serait que si le canalisateur obtient certaines choses justes ou à-moitié justes, il va automatiquement croire à tout ce qui est dit ?
CG : Une fois que la personne a obtenu certaines confirmations de la source, la plupart du temps, elle arrête de vérifier. Donc, certaines choses sont confirmées et elle ouvre son esprit et accepte tout ce qui lui est donné au lieu de vérifier chaque donnée comme cela se fait dans la visualisation à distance. Tout doit être confirmé. Cela n’est pas considéré comme une réussite tant que cela n’est pas confirmé.
DW : Même les meilleurs des voyants ont transmis beaucoup de données inexactes sur le chemin d’apprentissage de leurs capacités.
CG : Tout à fait. Il y a un certain nombre de données qui proviennent du subconscient. Donc cela doit être filtré. Et il n’y aura pas qu’une seule personne. Il y en aura trois, au minimum, pour pouvoir trianguler.
Habituellement, ils auront un groupe de gens qui visualise à distance et un groupe de ceux qui examinent les données et qui savent comment dépister les choses émergeant du psychisme des différents voyants. Ils ont des profils de personnalités sur les voyants et ils sont capables de dénicher ces renseignements.
DW : J’ai remarqué que parfois j’ai une chanson en tête, cela vient très spontanément et quand j’écoute les paroles, je découvre qu’il y a un message, un message spirituel, au sujet de ce qui se passe.
La visualisation à distance semble impliquer tous les sens, n’est-ce pas ? Cela n’arrive pas d’une seule façon.
CG : Tout à fait.
DW : Pouvez-vous nous parler un peu plus des expériences sensorielles qui surviennent quand cela est fait correctement ? Qu’est-ce qu’on peut expérimenter quand on fait cela ?
CG : Vous ne connaissez pas la cible pendant toute la durée de la procédure. On vous donne toutes ces données sensorielles, comme le vent, certains goûts, certaines odeurs comme le béton mouillé, des goûts de minéraux. Et vous pouvez peut-être avoir des éléments auditifs. Les éléments visuels sont plus puissants sur certains que sur d’autres. Ils sont alimentés par d’autres données sensorielles. Votre esprit ressort quelque chose de visuel de tous ces éléments réunis. Et la précision de l’image de la cible dépend de chaque individu et comment chacun assemble tous ces éléments.
DW : La première fois que vous faites cela, y a-t-il un protocole ? Peut-il y avoir des choses qui perturbent vos capacités à le faire correctement ?
CG : Oui. Il faut complètement vider son esprit. On ne doit avoir aucun renseignement sur la cible. La moindre information sur la cible peut corrompre les renseignements donnés par la suite. Je veux dire, que c’est… Un point très important de la procédure est de préserver l’intégrité de la cible. Les voyants doivent avoir l’esprit clair afin qu’ils n’alimentent pas avec des informations provenant de leur vie personnelle.
DW : Dans certains des livres de visualisation à distance que j’ai lus, on dit qu’il ne faut pas avoir faim, ne pas être excessivement fatigué et vous ne devez pas avoir besoin d’aller aux toilettes avant de commencer. Etes-vous d’accord avec tout cela ?
CG : Absolument, oui.
DW : Quel rôle cela jouerait-il ?
CG : Ce sont des distractions. Quand ils entraînent des enfants à la visualisation à distance, ils les mettent dans des chambres d’isolement afin qu’il n’y ait aucune autre entrée de données que celles liées à la cible. Quand ils deviennent plus compétents, ils peuvent s’asseoir à une table dans une pièce avec de l’activité autour d’eux et être capables de se concentrer sur la cible.
DW : Donc la personne communément appelée ordinaire n’est évidemment pas ordinaire. C’est une des choses que nous entendons ici. Nous avons tous ces capacités. Quels genres de choses une « personne ordinaire », entre guillemets, serait capable de faire si elle était correctement entraînée dans cette discipline ? Jusqu’où cela pourrait-il mener ?
CG : Cela dépend de l’individu. Et il y a également l’influence à distance. En fait, ils peuvent entraîner des personnes à avoir une influence même dans un endroit situé à une grande distance.
Vous pouvez donc influencer des personnes à se comporter d’une certaine façon. Et il y a également la visualisation à distance et l’influence à distance technologiquement optimisées qui peuvent être utilisées comme des armes pour tuer des gens.
DW : Quelle est cette technologie ?
CG : Eh bien, les systèmes que j’ai vus étaient composés de deux assiettes. C’était comme l’anode et la cathode reliées à un système de boîte noire, lui-même relié à un réseau d’antennes. Quand la personne faisait de la visualisation à distance ou était dans un profond rythme cérébral Thêta que certaines personnes du Programme Spatial sont capables d’atteindre, comme un rythme cérébral Thêta conscient, cela optimisait et stimulait leurs capacités et les concentrait par le biais de cette technologie.
Certaines de ces personnes peuvent arrêter les battements d’un cœur, peuvent provoquer un anévrisme. Elles peuvent faire tout un tas de choses à distance.
DW : Et c’est avec cette technologie.
CG : Tout à fait. Certains d’entre d’eux ont tellement utilisé cette technologie – ils sont devenus optimisés. Ils ont tellement utilisé ce système d’arme qu’ils peuvent tuer des gens ou les blesser sans y avoir recours.
DW : Revenons à la « personne ordinaire », entre guillemets, utilisant cette technique. Si vous faites en sorte qu’une personne devienne vraiment bonne à cela, sera-t-elle limitée à ne voir que le présent ou pourra-t-elle avoir les capacités de voir à travers les lignes du temps et les futurs probables.
CG : Voir les futurs probables et regarder dans le passé. Oui, toutes ces choses sont possibles avec la visualisation à distance. Regarder dans le futur est très difficile parce que le libre-arbitre fait son apparition et il y a toujours quelque chose qui modifie un petit peu le futur. C’est pour cela qu’on l’appelle le futur probable.
DW : Quand vous dites que les gens ne doivent rien savoir de la cible, y a-t-il d’autres protocoles afin d’empêcher l’esprit de s’intéresser aux renseignements ou d’essayer de comprendre ce qu’il voit ?
CG : Oui, cela vient avec l’entraînement. Nous parlions des systèmes d’armes qui… J’ai oublié de mentionner le fait qu’ils utilisaient également cela pour garder des installations, des avions, des engins spatiaux. Cela les protège contre les visualisations à distance.
Si les voyants essaient de… Si vous essayez de visualiser certaines installations, il y a des personnes qui sont essentiellement des gardiens éthériques.
Et si quelqu’un essaye de visualiser à distance, alors… les voyants les nomment « ceux qui dispersent ». Quand ils ont verrouillé une cible, ils trouvent leurs pensées… et ils les dispersent tout simplement. Ils utilisent la technologie pour les optimiser quand ils font cela.
Quand j’étais enfant, ils trouvaient en chacun de nous… quel était notre don ou notre faculté et ils essayaient de nous enseigner comment utiliser cela afin de nous protéger nous-mêmes des voyants à distance. Et la méthode qui m’a été enseignée était de visualiser des balles bleues contre-rotatives autour de moi, une tournant dans ce sens (sens des aiguilles d’une montre), l’autre tournant de ce sens (sens inverse des aiguilles d’une montre), et je devais les imaginer tournant de plus en plus vite en sens inverse.
J’imaginais ensuite qui ou quoi que ce soit qui essayait de me visualiser à distance ou de m’influencer à distance. Et alors, je devais attraper chaque côté, les tirer fortement d’un coup sec. Et cela renvoyait l’énergie à la personne qui me visualisait à distance et lui donnait ce qu’ils appellent un « mal de tête éthérique » et d’autres problèmes qui duraient pendant plusieurs jours.
DW : Le lanceur d’alerte que nous nommons Daniel et qui m’a donné les renseignements sur Montauk, entre autres choses, parce qu’il a dit avoir travaillé là-bas, m’a dit qu’à un moment donné il a été recruté pour ce programme de voyance.
Il a dit que quelqu’un était venu le voir à la base et lui avait dit, « Hé, que penses-tu d’ESP ? ». Apparemment, de façon très décontractée. Mais ensuite, il a dit, « Hé, si tu es intéressé, nous pouvons te mettre dans cette classe et tu serais payé pour cela pendant ton service militaire. »
Et il a dit également qu’il y avait des recruteurs nazis. « Hé, que penses-tu des juifs ? ». Vous savez, ce genre de choses.
CG : Les Nazis ont expérimenté la visualisation à distance bien avant les Russes.
La version russe est apparue après l’Opération Paperclip.
DW : Etes-vous familier avec cette technique de recrutement où quelqu’un vient vers vous et commence une conversation anodine alors qu’en fait il y a un objectif derrière cela ?
CG : Oh oui. Cela m’est arrivé plusieurs fois. Une fois que vous connaissez leur méthode, c’est plutôt évident. Ils viennent… ils viennent pour prendre la température. Ils se mouillent un orteil pour voir si l’eau est bonne, pour voir s’ils peuvent aller plus loin.
DW : Tout à fait. Parlons de l’autre chose qui est arrivé à Daniel. Il a été emmené dans cette pièce avec ce type qu’on appelle le Professeur. Il a un crâne chauve et des lunettes. Le Professeur lit des notes sur un morceau de papier. Il le regarde et lui pose des questions.
Pendant que les questions lui étaient posées, un semblant de questions d’évaluation psychologique, Daniel a subi une terrible attaque psychique de la part du Professeur. La douleur était dans son esprit, c’était comme un cri, comme des crissements d’ongles sur un tableau noir, un grincement métallique. Et il m’a dit que si vous ne demandiez pas à ce type « Mais qu’est-ce que vous faites ? », vous ratiez le test.
CG : Oui, tout à fait.
DW : Avez-vous jamais entendu quelque chose comme ça ?
CG : J’ai fait l’expérience de quelque chose comme ça.
DW : Vraiment ?
CG : Oui.
DW : Que vous est-il arrivé ? Une histoire similaire ?
CG : Oui.
DW : Racontez-nous.
CG : Cela m’est arrivé plusieurs fois. Vous devez être capable d’identifier non pas une seule personne dans une pièce mais plusieurs personnes pendant qu’un groupe vous interroge au sujet d’un entraînement que vous avez eu. Et vous recevez ce même type de douleurs dans votre tête et vous savez que vous êtes attaqué au niveau éthérique. Vous devez identifier qui vous attaque.
Et cela n’est pas si facile quand vous avez trois, quatre, voire six personnes dans une pièce qui sont toutes très bien entraînées à faire cela.
DW : Dans le cas de Daniel, il a dit que si vous n’aviez pas cette réaction et que vous échouiez, alors vous ne faisiez plus du tout partie du programme d’entraînement médiumnique.
CG : Oui. Eh bien, à ce stade, vous en faites déjà partie.
DW : Tout à fait, tout à fait. Maintenant, il y a une autre chose dont nous avons entendu parler par d’autres lanceurs d’alerte et qui est considéré comme de la magie noire. Il y a des personnes qui font des pactes avec certains démons ou entités pour qu’ils s’attachent à eux et les défendent contre des attaques d’autres voyants à distance pendant qu’ils font leur travail. Etes-vous familier avec cela ?
CG : Oui, oui. Certains praticiens des forces occultes utiliseront ce qu’ils appellent la magie noire pour inviter une entité à s’attacher à eux afin de les protéger ou bien à l’utiliser pour toutes sortes de choses. Mais c’est évidemment une des facettes de leur utilisation.
DW : Parlons un peu de l’influence à distance. De nos jours, il est dit que les gens peuvent être influencés à avoir certaines pensées.
CG : A avoir certaines pensées qui mènent à certaines actions. Pour… disons que vous voulez vraiment affecter un sénateur dans sa capacité à gouverner ou s’il travaille sur un projet de loi que vous ne voulez pas du tout voir passer.
Premièrement, on établit un profil psychologique, on cherche ses penchants, par quoi il est intéressé et on commence à l’influencer à distance et à le faire agir contre quelque chose contre quoi il n’agirait pas habituellement.
Beaucoup de gens… Vous avez des pensées ou des fantasmes qui entrent momentanément dans votre esprit mais vous n’agissez pas en fonction de cela. Mais l’influence les amène un peu plus à agir en fonction de ces pensées ou de ses fantasmes. Et plus vous les influencez, plus ils sont enclins à suivre leurs pensées. Plus il y a de gens qui travaillent sur eux et plus ils sont enclins à faire des erreurs et il y a de gros scandales qui émergent sur eux dans la presse. Et ils en oublient le projet de loi sur lequel ils travaillaient.
DW : Quand on lit T. Lobsang Rampa, “Masters and Teachings of the Far East” Maîtres et enseignements de l’Extrême-Orient, pouvez-vous parler…
CG : Je ne peux pas l’affirmer mais… ha, ha, ha, ha.
DW : Ils parlent de ces Tibétains dont certains d’entre eux faisaient de la magie noire. Et dans le livre, on décrit certaines de ces… C’est une pratique très dangereuse et il y a une méthode d’assassinat qui consiste à charger un poignard d’une certaine énergie et quand quelqu’un… On place le poignard à l’endroit où une personne se trouve et celle-ci sera irrésistiblement forcée à prendre le poignard et à se frapper avec.
Apparemment, c’est extrêmement dangereux parce que vous pouvez être amené à prendre le poignard et à vous tuer vous-même.
Avez-vous déjà entendu parler d’une chose aussi extrême, comme de charger des objets avec une intention magique ?
CG : J’ai essentiellement entendu parler de personnes qui utilisent leur conscience sur des objets inanimés mais pas qui chargent un objet où si une personne le touche cela la conduit à agir.
DW : Eh bien, parlons des choses liées au vaudou parce que cela ressemble à un type d’influence à distance.
CG : Oui.
DW : C’est la même chose que ce que vous décrivez. Quelqu’un crée une poupée à votre effigie et ensuite on y enfonce des aiguilles. Apparemment c’est lié avec le fait de voir la poupée.
CG : Oui. L’élément clé est que votre cible voit la poupée.
DW : Tout à fait.
CG : Parce que lorsqu’il la voit, quelque chose… de psychologique se produit qui co-crée l’expérience de celui qui pratique. Beaucoup de ce qui arrive est en fait créé et co-créé par la cible.
DW : Diriez-vous qu’il y a un lien avec une entité par l’intermédiaire de la poupée ? Une sorte de présence spirituelle mise dans la poupée qui pourrait être invitée si quelqu’un la regarde ?
CG : Cela peut être un élément mais la présence d’une entité n’est pas nécessaire. Cela peut être… Si une personne grandit avec cette culture traditionnelle et possède de fortes croyances dans le fait que la poupée a un pouvoir, si elle en reçoit une à son effigie avec des aiguilles plantées à un endroit particulier, son mental créera des problèmes dans son corps.
DW : Tout à fait.
CG : Donc on crée… On manifeste la magie que la personne essaie de créer.
DW : Bien sûr. Que pensez-vous de l’utilisation de la scopolamine dans la tradition vaudou ? Y a-t-il… Premièrement, récapitulons rapidement l’utilisation de la scopolamine dans ces cultures vaudous. Que savez-vous de la scopolamine ? Quel est son action ?
CG : C’est vraiment mauvais la scopolamine. C’est un… Je crois que c’est une graine qui pousse sur une plante et je ne me souviens pas du nom de la plante.
DW : La datura.
CG : La datura. Et je crois que cela s’écrase et on utilise la chair intérieure, on la fait sécher et on l’utilise comme une poudre.
DW : Oui.
CG : Cela enlève principalement le libre-arbitre. La plupart du temps, c’est utilisé pour cambrioler les gens. On leur donne la drogue au bar – beaucoup en Amérique du Sud – et on… Une fois que la drogue a fait son effet, la personne qui l’a administrée dit, « Amenez-moi chez vous et donnez-moi tout ce que vous avez. »
Et on les amène joyeusement dans notre voiture et on les conduit chez nous, on les aide à charger tout ce que l’on a dans un camion. Une fois que la personne est partie et que la drogue n’agit plus, les gens se retrouvent déconcertés face à ce qui leur est arrivé.
DW : Concentrons-nous sur cela. Peut-on donner de la scopolamine à quelqu’un, lui jeter un sort vaudou dont il ne se souviendra pas une fois conscient mais qui restera enregistré dans son esprit ?
CG : La plupart des choses qui arrivent se passent au niveau du subconscient. Donc l’information peut être stockée dans le subconscient sans qu’on en ait conscience.
DW : Cela pourrait être utilisé pour optimiser les effets. Comme de faire de la suggestion post-hypnotique sous scopolamine, quand on voit la poupée, on a la suggestion que cela va nous mener dans une certaine direction.
CG : Oui. Tout à fait. Dans les programmes, ils utilisent de la scopolamine synthétisée ainsi qu’un cocktail d’autres drogues lorsqu’ils effacent la mémoire de manière chimique.
DW : Et pourraient-ils aussi bien l’utiliser pour implanter des suggestions hypnotiques ?
CG : Oui. Pendant l’effacement de la mémoire, vous perdez les souvenirs des incidents. Ils implantent également des suggestions hypnotiques au cas où vous commenceriez à vous rappeler. C’est comme une porte dérobée de protection.
DW : Quand j’étais au lycée, il y avait – je pense que c’était sur la Fox, quand la Fox a débuté, cette chaîne – il y avait une émission qui s’appelait « Vendredi 13 », et cela n’était pas du tout basé sur les films de Jason. Chaque semaine, l’émission portait sur un vieux monsieur et sa jolie assistante qui travaillaient dans un magasin d’antiquités. Mais cela n’était pas vraiment des antiquités.
Ils gardaient des objets, de vieux objets étranges qui étaient chargés par des sortes d’esprits ou d’entités. Donc, chaque semaine il y avait un objet qui avait provoqué un meurtre et ils devaient pourchasser l’entité. Si quelqu’un fait tout un programme basé sur cela, et nous savons qu’il y a des liens sous-jacents, sur l’idée qu’un objet est capable d’influencer des gens, c’est que cela n’est pas juste une théorie.
Donc, y a-t-il des objets chargés qui entraînent une influence à distance – comme les objets anciens ou des anciennes civilisations?
CG : Oui. Je veux dire, les objets peuvent porter en eux l’énergie de leur environnement. Et s’ils sont chargés avec un certain type d’énergie, ils peuvent la maintenir jusqu’à ce qu’elle soit neutralisée ou qu’ils soient chargés avec une énergie différente. Ils vont contenir et émaner cette énergie jusqu’à ce qu’elle soit neutralisée.
DW : Nous avons parlé de l’influence à distance et de la façon dont certaines traditions anciennes l’ont pratiquée et comment cela a été incorporé et modernisé dans ces programmes secrets dont nous parlons.
Revenons maintenant à la visualisation à distance afin de finir cet épisode sur une touche plus positive. Quels sont les exemples, parmi les plus spectaculaires, les exemples incroyables que vous avez vus personnellement lors de vos visualisations à distance qui étaient des réussites ?
CG : Je ne dirais pas que cela est super positif mais j’ai lu des rapports sur des installations et des bases de non-terrestres que nous prévoyions d’attaquer ou d’infiltrer et qui étaient encore inconnues.
Plusieurs autres voyants à distance ont pu déterminer la localisation et noter les différents aménagements matériels. Ce qui a permis aux opérateurs d’utiliser tout cela pour construire une réplique et préparer l’attaque.
DW : Wahou !
CG : Quand ils sont arrivés sur place, c’était pratiquement les mêmes aménagements dont ils avaient eu les plans. Et cela était crucial pour leur réussite.
DW : Quel est votre exemple personnel de la plus étonnante visualisation à distance ?
CG : Hum. Une qui figure sur mon site web et qui date de 1989. J’étais sur une visualisation à distance et il s’est avéré que la cible était l’étoile Némésis. Et je me suis retrouvé… Quand j’ai compris que c’était une étoile, j’ai compris que j’étais en-dehors du système solaire. Celui-ci ressemblait à une sorte de croissant de lune presque comme une comète. Et je pouvais sentir le vent interstellaire sur moi. Je me sentais tiré de tous les côtés. Et j’étais capable de… c’était juste… C’était une des expériences les plus vives que j’ai eues, sans vraiment entrer dans les détails.
DW : Vous avez aussi parlé d’un flash solaire que vous avez vu lors d’une de vos visualisations.
CG : Oui.
DW : Je pense qu’il serait bon d’entendre cette histoire dans le cadre de toutes ces choses dont nous discutons.
CG : Oui. Cela fait un bout de temps donc je ne me souviens pas de tous les détails. Mais, oui, c’était au cours d’une visualisation à distance de… et il y avait des êtres dans le ciel et ils pointaient du doigt vers le bas. Et à chaque fois qu’ils pointaient du doigt vers le bas, il se passait quelque chose sur Terre que je visualisais à distance. Vers la fin de la visualisation, il y a eu… des flashs, des flashs à répétition qui sont venus du soleil.
Et après cela, c’était… dans la visualisation à distance, tous les gens de la Terre se sont rassemblés et ont commencé à se donner la main et à chanter, ils étaient très heureux. Et j’ai vu tous ces gens négatifs comme s’ils tombaient à la renverse, puis disparaître – comme s’ils étaient simplement tombés de la Terre et avaient disparu.
DW : Vous ne saviez pas ce que vous alliez voir quand cela est arrivé.
CG : Non.
DW : Cela a-t-il été corroboré par les données d’autres voyants à distance ?
CG : Je n’étais pas vraiment tenu au courant. Habituellement, vous donniez les renseignements et c’était tout. Vous n’aviez pas de retour, ce qui était très frustrant parce qu’on aurait souhaité avoir des confirmations afin d’être plus confiant.
DW : Tout à fait.
CG : Mais quand vous êtes arrivé à un certain niveau, que vous êtes compétent, vous ne recevez plus cette validation constante. Vous faites juste votre travail et ils vous donnent une cible. Vous travaillez sur la cible. Ils prennent les informations et vous passez à la cible suivante.
DW : Mais vous avez entendu parler de ce flash dans d’autres contextes, peut-être pas…
CG : Tout à fait. J’ai entendu parler de certaines personnes qui visualisaient à distance… Certains ont vu la Terre être détruite par le feu. D’autres ont vu… Les personnes voyaient des choses différentes. Je sais cela mais je ne connais pas tous les détails. Mais je pense qu’ils essayaient de découvrir ce qui allait arriver à notre soleil et à quel moment cela allait survenir.
DW : Votre visualisation sonne presque comme une connotation d’extase chrétienne.
CG : Tout à fait.
DW : L’ascension.
CG. Tout à fait. Ils connaissaient mes origines et ils ont donc abordé ce renseignement en se disant, « D’accord, voici son profil. Voilà comment il a été élevé. C’est son système de croyances. Cela va donc influencer les données de cette façon. » Et ils ont essayé de retirer ce qu’ils recherchaient des données brutes.
DW : Mais pensez-vous que différentes personnes pourraient être sur des lignes de temps différentes au point qu’ils expérimentent l’évènement différemment ?
CG : Oui mais ce ne sont que des spéculations jusqu’à que cela n’arrive.
DW : Tout à fait, bien sûr. Très bien. Vous l’avez entendu ici. Nous visualisons notre chemin au travers d’un autre grand épisode. C’est « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, David Wilcock. Nous nous verrons la prochaine fois.
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