Interview de Emery Smith par George Noory pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 11 épisode 2
Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis George Noory, ici avec Emery Smith.
“Désinformation”, un mot utilisé tous les jours auprès du public, mais aussi dans les programmes secrets. Emery, bienvenue.
Emery Smith : Merci, George.
George : Ces programmes de désinformation, concrètement, que sont-ils ?
Emery : Un programme de désinformation est constamment diffusé par l’armée, aux yeux du public, mais aussi dans les projets compartimentés, surtout si c’est en lien avec les renseignements et les trucs qu’ils cachent aux autres projets compartimentés.
Une des premières fois où j’ai eu affaire à la désinformation, c’est quand on m’a en fait dit que concernant tous les êtres sur lesquels je travaillais, 3% d’entre eux étaient des faux. Et que je ne le saurais pas. Et que je ne pouvais pas poser des questions non plus.
Ils lâchent ça pour voir si vous pouvez la boucler et pour surveiller les autres personnes dans les projets. Vous pouvez aller voir une navette, imaginons. Et ils mettent quelque chose sur la navette qui ne cadre pas vraiment, juste pour voir comment vous réagissez vis-à-vis des autres. Même si vous ne travaillez pas sur cette pièce en particulier, pour voir votre réaction, vous écouter à la cafétéria, au téléphone, et des trucs du genre.
La désinformation fait donc partie du contrat que vous signez là en bas, que vous ne recevez pas de désinformations, mais que vous y serez exposé.
George : Tentent-ils de la rectifier, de la corriger, parfois ?
Emery : Oh… pas vraiment la corriger. Ils ne disent jamais ce qu’ils ont fait.
Un exemple, et ça arrive souvent, et je l’ai aussi entendu de beaucoup de mes collègues travaillant dans ces installations souterraines, où vous verrez un être à peut-être 10 mètres de vous, ou un peu plus, juste assez loin. Avec, genre, deux gardes de sécurité escortant une créature de type reptilien dans le couloir et de manière très ostentatoire.
George : Quelqu’un dans un costume pour vous duper ?
Emery : Oui. Exactement. Et c’est juste au cas où. Si vous fautez, quand vous sortez et que vous en parlez, les gens ne vous croiront pas. Ils veulent que vous ayez l’air un peu dingue. Voir si vous allez suivre cette voie et en faire un bouquin, y expliquer ce que vous avez vu, et partager cette information avec d’autres pays ou agences, et tout ça.
Car vous êtes toujours suivi quand vous sortez de ces projets pendant 25, 30 ans. Ils vous font des visites de temps en temps, pour que vous sachiez qu’ils vous surveillent, et que vous n’avez pas trop foiré les choses.
Mais je n’ai jamais rien dit qui pourrait mettre le public en danger, moi-même, vous, par exemple, ou les organisations avec lesquelles je travaille. Beaucoup de trucs dont je parle sont dépassés, qui se passaient dans la fin des années 80, début des années 90. Ils sont davantage contrariés lorsque je parle de façons de vous soigner ou de créer de l’énergie libre, que lorsque je parle d’extraterrestres.
George : Ces programmes de désinformation sont-ils aussi destinés au public ?
Emery : Absolument. Beaucoup de choses, comme le crash de Roswell ; c’était un très bon exemple. D’abord, il y a eu la pure vérité, sur toute la documentation, puis ensuite : « Oh, un ballon météorologique ». Tout ça pour leurrer le public.
George : Des mannequins, non ?
Emery : Oui, c’est ça… des gens sont engagés pour ces projets spécifiques compartimentés pour rédiger des trucs et laissent traîner des dossiers pour voir si vous les ouvrirez, les lirez ou regarderez l’ordinateur, et lirez quelque chose qui est en fait faux.
George : Pourquoi ont-ils ces programmes ? Est-ce principalement pour déformer un fait de la vérité ?
Emery : Pas forcément. Souvent, c’est pour les renseignements et la sécurité des gens, et de tout ce qui travaille avec eux.
George : Ils ne font confiance à personne ?
Emery : À personne. Ils font ça pour contrôler tout le monde. Et en même temps, beaucoup de ces histoires filtrent dans les médias ou au public volontairement. Ils autorisent cette filtration. Ils permettent à cette personne d’avoir ce dossier. Puis cette personne, cinq ans plus tard, le donne à quelqu’un d’autre. Puis ils le rendent public partout, car il porte le sceau de l’armée américaine.
George : Bien sûr.
Emery : Et je déteste dire ça, mais il y a beaucoup de documents que je sais que mes collègues ont eu, qui peuvent être vrais, ou pas. Il est dur de savoir ce qui l’est et ce qui ne l’est pas. Car ça peut être un vrai document avec un sceau, mais ça peut ne pas l’être. Cela peut être une mise en scène.
George : Dieu, c’est à ce point ?
Emery : Oui.
George : Et qui invente ces programmes ? Qui les développe ?
Emery : En fait, ils ont des organisations qu’ils engagent tout spécialement pour écrire des scénarios et qui anticipent l’avenir.
Pas juste genre : “On veut que ce message sorte le mois prochain.” Je parle de 5, 10, 15, 20 ans, et qu’ils ont une quantité incroyable de fausses informations prêtes à être distribuées, pas seulement aux militaires, à leurs officiers, mais aussi au grand public en général.
George : C’est de la propagande ?
Emery : En quelque sorte, oui, car beaucoup de ces trucs, ils ont besoin de lutter contre un terroriste inconnu pour faire de l’argent pour beaucoup de ces organisations. Ou entrer en guerre pour un truc. Ou imaginer une fausse invasion spatiale, ou l’arrivée d’un astéroïde. On a donc besoin d’argent pour construire ces satellites équipés de missiles, par exemple… alors qu’on a déjà toutes ces choses. C’est juste une manière de dévier l’attention du public, car il y a en fait un truc vraiment sérieux qui se passe. Et personne ne doit le savoir.
George : Appellerait-on ça maintenant des fake news, cette désinformation ?
Emery : Oui. Ce sont définitivement les fake news de la planète. Pas seulement ici. Elles sont partout. Regardez ce qui s’est passé avec le “Projet Révélation”.
Et quelques mois plus tard, les tours tombaient [le 11 septembre 2001]. C’est un changement, genre : « On ne peut pas avoir ces astronautes dans la presse mondiale, la plus grande presse internationale qui parle de ces trucs, car on va devoir y répondre. Orientons donc les choses sur cet autre projet et que tout le monde se sente américain pour sauver le monde contre les terroristes ».
Le but est de dévier votre attention vers quelque chose qui est vraiment important. La plus grande histoire, mais on ne veut pas que vous le sachiez.
George : Comme un tour de passe-passe.
Emery : Exactement.
George : Vous a-t-on déjà utilisé dans ces programmes ?
Emery : On ne m’a jamais utilisé. Ce que je vous raconte est vraiment ce que je vois. Exactement comment j’ai collaboré avec ces corporations et le gouvernement. Personne ne m’a jamais demandé de dire ceci ou cela. Je suis un rebelle solitaire.
George : Avez-vous été dans ces programmes ?
Emery : Pas de désinformation. J’ai participé à des programmes avec des désinformateurs, pour s’assurer que…
George : Et vous le saviez ?
Emery : Oui. Ils en ont même parlé avec certains contrats en disant : “Vous aurez des infos de désinformation pour des raisons de sécurité et de renseignement”.
George : Et qu’en pensiez-vous ?
Emery : Ça allait, car même si j’ai travaillé sur des êtres et que 3% d’entre eux n’étaient pas du tout ce qu’ils étaient, les 97 % restants, c’est plutôt génial.
George : Quelqu’un en particulier était-il associé avec ces gens qu’ils infiltraient avec la désinformation ? Un superviseur, par exemple ?
Emery : Pas que je sache. On ne m’a jamais affecté quelqu’un pour me surveiller. Maintenant, j’ai des conseillers scientifiques, des conseillers militaires et des instructeurs avec qui j’ai travaillé il y a longtemps, qui sont toujours mes amis. Et j’ai le plus grand respect pour eux. Ils me disent : “Emery, tu ne devrais peut-être pas parler de ceci ou cela.” Mais ils ne veulent que mon bien, voyez-vous, et veillent à ma sécurité.
George : La désinformation est-elle saine et importante ?
Emery : Je ne vois pas un aspect positif à la désinformation, sauf si c’est pour garder des renseignements sur certaines choses qui pourraient être utilisées contre nous. Je crois que ça serait le seul point positif. Car c’est mieux d’être sincère avec le public, surtout sur ce qui se passe là-bas. Mais si vous l’utilisez à votre avantage, et pour dégrader le public, c’est alors la chose la plus horrible à faire pour une civilisation, en les réprimant et en les retenant.
Regardez Tesla et Stubblefield depuis 1899 et comment on les a attaqués et censurés. On devrait avoir depuis longtemps nos voitures volantes, appareils anti-gravité et d’énergie du point zéro pour tout le monde.
George : C’est comme si on avait des entreprises dans les programmes pour développer ce genre de programmes de désinformation.
Emery : C’est une question d’argent, d’ego et de contrôle. Ils veulent protéger leur propriété intellectuelle, leurs dispositifs secrets, que ce soit une navette, un dispositif de guérison, etc… Ces corporations sont aussi… vous savez, en leur sein, elles font aussi de la désinformation pour leurs employés, pour qu’ils ne sortent pas du rang.
C’est triste, parce que, parfois, ces employés donneront cette information au public, mais ils ne voulaient pas que ça arrive. Ils ne savaient pas que ça allait passer. Et c’est comme un détonateur. Comme une bombe à retardement. Puis cette information passe dans un autre pays. Et là, des gens engagent des gens pour tuer des gens pour avoir cette info quand elle n’existe même pas, ou l’appareil.
George : Sans vouloir vous vexer, mais comment savoir si vous n’êtes pas un désinformant ? Comment le savoir ?
Emery : Tout ce que je peux dire, c’est regardez-moi. Je suis le seul ici avec des références de colonels et de capitaines.
Et j’ai mon formulaire DD 214.
Je suis un des seuls initiés qui a fait ses révélations avec des centaines de documents, qui sont disponibles sur Gaia.com. Ils ont tout vérifié. Le Dr Michael Salla [Professeur d’université, directeur du site Exopolitics, de l’Exopolitics Institute, et auteur de nombreux livres sur l’exopolitique et les programmes spatiaux secrets] a vérifié tous mes antécédents. J’étais très nerveux.
George : Il est très minutieux.
Emery : Il l’a été, oui. Il est venu d’Hawaï, on est allés dîner. J’étais très nerveux. J’avais pris tous mes documents. Et il ne s’attendait pas à ça. Il a pris des photos de toutes mes attestations. Et il est allé plus loin. En fait, après, il est allé à l’université de Stanford et à Harvard aussi, il y a contacté les médecins qui m’ont aidé à développer mes brevets. Ils ont dit beaucoup de bien de moi.
Ils ont dit : “Oui, c’est le vrai Emery Smith. Il a développé ces appareils, a participé aux tests médicaux pour soigner telles et telles choses.”.
Puis, il est allé enquêter à Kirtland Air Force Base et dans d’autres installations militaires.
Et mes officiers m’ont en grande estime. Il a alors écrit un grand article, ce qui a aidé le public à comprendre.
George : Absolument. Je vais le dire au public.
Emery : On ne peut rien croire de ce que les gens disent. On ne peut pas croire tout ce qu’on lit et tout ce qu’on voit. Car je connais des satellites qui peuvent projeter une chose avec une ombre tout en reflétant la lumière. Vous penserez qu’elle est réelle, car on utilise nos sens.
George : Vous avez dit dans le passé qu’il y avait des informations que vous étiez autorisé à révéler. Qui vous a autorisé ? Pouvez-vous en parler ?
Emery : En fait, je suis soumis à un accord de confidentialité avec les sociétés, pas avec l’armée. Dans l’armée, je savais ce que je pouvais dire ou non.
Personne ne m’a appelé. J’ai juste attendu que 20 bonnes années passent. Et je sais ce que je peux dire ou non. Avec le temps, je pourrai en dire toujours plus.
Je suis toujours là, toutes les semaines, pour révéler ces informations, pour éduquer le public sur tout ce qui se passe pour aider le monde et nettoyer la planète. C’est mon objectif. Je ne suis là que pour nettoyer la planète, vaincre toutes ces maladies dans le monde et stopper la faim et toutes ces morts.
Car on ne va nulle part. Et la planète nous en veut vraiment. Donc mon but principal n’est pas de dire au monde entier : “Il y a des bases secrètes et on travaille avec des extraterrestres.” Oui, c’est vrai. Tout le monde le sait déjà que les extraterrestres existent !
George : C’est connu.
Emery : Mais c’est surtout en rapport avec les technologies qu’on possède déjà et qu’ils censurent, des technologies dont on a vraiment besoin pour s’entraider et pour aider le monde. Car si on les utilisait, on n’aurait plus besoin de gaz, de charbon et de pétrole. Ou de nous entre-tuer. On serait plus un groupe conscient pour aider la planète et s’entraider.
J’essaie donc de changer ça, juste en éduquant.
George : Mais qui vous a autorisé à le révéler ?
George : Je n’ai pas besoin d’autorisation.
George : Personne en haut ?
Emery : Personne n’est jamais venu me voir pour ça. Je savais juste ce que je pouvais dire, dès le départ, et je le fais. Je n’ai jamais eu d’appel d’une corporation me disant : “Vous pouvez le faire.” Ou d’appel de mon ex-officier disant ceci et cela.
George : Et si vous dites un truc que vous ne devez pas ? Qui vous tomberait dessus ?
Emery : Je ne le sais pas. Mais vous si, car je serais mort.
George : Ça serait sérieux à ce point ?
Emery : Tout à fait.
George : Et si vous dites un mauvais truc ?
Emery : Dans ce cas et si j’ai lâché quelques trucs, ils me taperont sur les doigts. Et qui le fera ? Ils ôteront peut-être la vie d’un membre de ma famille, de mes meilleurs amis, de mon chien, comme message. Ces menaces sont réelles. Je travaillais sur des trucs et j’ai peut-être dit des choses qu’il ne fallait pas, et pas à la télé. Au téléphone, à des collègues. Et ils me sont tombés dessus.
George : Savez-vous qui ?
Emery : Définitivement une grande entreprise clandestine dont j’ai peut-être affecté la propriété intellectuelle.
George : On dirait que vous savez qui ils sont…
Emery : C’est vraiment une très grosse entité, composée des plus grandes sociétés. Je ne sais pas spécifiquement qui ils sont. Mais je sais qu’ils sont là, car on m’a averti. J’ai reçu des textos et des appels.
George : Ils ne plaisantent pas.
Emery : Ils m’ont appelé. Une fois, ils sont passés devant chez moi dans une fourgonnette. Deux types en tenue tactique ont agité leur MP5 et l’ont pointé vers moi. J’ai su que j’avais dû faire ou dire un truc que je ne devais pas.
George : Portaient-ils un masque ?
Emery : Oui, tout à fait.
George : Ah oui ? Ils voulaient vous faire savoir que si vous dépassez les bornes, ils savent où vous vivez.
Emery : Tout à fait. On ne peut se cacher de ces gens.
George : Dans d’autres épisodes de « Divulgation Cosmique », vous avez beaucoup parlé d’extraterrestres et de ce qui se passe là-bas. Tentent-ils de nous désinformer quant à la présence des extraterrestres ? Tentent-ils de cacher ça ?
Emery : Ce n’est pas tant donner de fausses informations, mais plutôt ne pas donner d’informations sur leur existence. Tous les pays ont pourtant divulgué tous leurs documents sur les ovnis, mais on n’en parle pas. Seuls les Etats-Unis n’ont encore rien divulgué. Je me demande pourquoi.
George : Car il y a trop de choses à divulguer.
Emery : Voilà pourquoi il faut que tout le monde le découvre soi-même. Ne croyez pas ce que je dis. Je ne suis là pour convaincre personne de ce que j’ai vécu. Je suis là pour exposer certaines choses, pour que la communauté scientifique travaille ensemble, pour développer ces choses sans le gouvernement et les rendre publiques pour aider à sauver le monde.
George : Et ces programmes sous fausse bannière liés aux extraterrestres et tout ça ? Nous ont-ils piégés avec différents faux pavillons ?
Emery : Si on regarde sur Internet certains autres pays, ou ça pourrait être notre pays rédigeant une lettre en Bolivie, ou diffusant une vidéo d’un extraterrestre ligoté et interviewé. Ce sont là des campagnes de désinformation. Ils ne permettraient pas vraiment que ça arrive. Ou la vidéo serait éliminée dans l’heure suivant sa publication.
George : Et ce sont de bonnes campagnes. Ils font ça très bien.
Emery : Oui, et c’est très excitant de voir quelque chose comme ça. C’est intrigant. Et ça influence la population en général dans ses croyances. La meilleure façon de faire est en plein jour, en faisant un film qui vous fait penser que ces êtres ont 10 tentacules et qu’ils pondront un oeuf dans votre sinus. C’est comme ça depuis le départ, et c’est le plus facile à faire. Elle est devant vos yeux la désinformation. Tout ce qu’ils font pour essayer de nous contrôler se trouve sous nos yeux. Et ils le font grâce aux médias. Avec des films. Avec des émissions de télé. Mais beaucoup de gens le savent. En fait, ça ouvre un peu plus votre esprit pour accepter différentes races et différentes personnes de tout l’univers, si quelque chose devait être révélé. Mais le pire, c’est de faire croire que ça va être un agenda démoniaque.
George : Comment le public fait-il la différence entre ce qui est vrai et ce qui est faux, où ça semble authentique, ou peut-être pas ? Comment le sait-on ?
Emery : C’est le plus compliqué à dire. Généralement, quand une vidéo vraiment authentique sort, et qu’ils ne l’ont pas interceptée à temps, elle sera suivie d’un tas de fausses vidéos, avec lesquelles ils désinformeront le public ou ayant des similitudes avec cette vidéo en particulier. Cela déstabilise les gens. Car vous dites : “Il a été démontré que ces cinq-là sont fausses. Donc celle-ci doit aussi l’être. Elle est si similaire.”
George : Mais c’est sûrement la vraie.
Emery : Et c’est la vraie. Cela arrive partout dans le monde, souvent dans d’autres pays, car ils peuvent la transférer plus vite qu’aux Etats-Unis sans qu’on la retire.
George : Comment a servi la technologie à la désinformation ? Car on peut faire des trucs incroyables, des montages vidéos, des montages audios, des images de synthèse. On peut faire tant de choses pour perturber les gens.
Emery : Exactement. Comment croire une vidéo alors que je pourrais prendre une photo d’un ami et le faire vous ressembler ? Ou filmer une vidéo où vous et moi semblons dîner ensemble quelque part en train de parler et de raconter des secrets…
George : Voire mettre des mots dans notre bouche.
Emery : Exactement. Cela a entraîné un effet linéaire de négativité, car on ne peut plus se fier à rien. C’est très dur à faire. Le mieux, c’est d’avoir des gens, des témoins, qui peuvent témoigner pour dire : “Oui, c’est ce qui s’est passé. J’ai filmé ça. Voici tous les gens qui étaient avec moi.” Par exemple, un de mes CE-5 était un être de lumière, devant moi, très petit.
Une des photos civiles les plus connues que j’ai prises. Et par chance, des gens étaient présents.
Donc, j’ai pris le nom de tout le monde, pour m’assurer qu’on avait l’autorisation de montrer un truc comme ça et pour dire: « Ce n’est pas moi qui filme une vidéo, ou prends une photo ».
George : Exactement.
Emery : Je n’étais pas tout seul. Il y avait des témoins. Donc, quand ces grands événements ont lieu dans le monde, à Mexico, au-dessus de Washington DC, et qu’ils sont filmés, et qu’il y a un énorme groupe d’individus qui les voient, je crois que ça aide vraiment le public à dire : « D’accord, même si 90 % ou 95 %, voire 99 % de toutes ces vidéos sur Youtube sont des fakes, même s’il n’y a que 1 % de vrai, c’est vraiment incroyable. »
Je crois que le public doit découvrir ça tout seul, et mener ses propres recherches, et examiner ces technologies, car on peut imiter n’importe quoi maintenant.
George : Feu Roger Leir était un expert en retrait d’implants aliens ou un truc dans le genre. Il était convaincu que les implants étaient une sorte d’appareil de mesure implanté dans les gens pour la surveillance, entre autres choses.
Vous êtes-vous intéressé au phénomène des implants aliens ?
Emery : Je ne m’intéresse pas à ce phénomène des implants. J’ai extrait de nombreux débris et tout ça. Beaucoup de gens ont du métal en eux. Je ne sais pas comment ils arrivent là, et ils émettent de l’énergie et des fréquences.
George : Ils pourraient être naturels ?
Emery : Je crois que c’est un phénomène naturel. Mais je ne peux pas dire que j’ai fait plus que juste quelques centaines de ces procédures. Mais je n’ai jamais rien vu qui relierait ça à quelqu’un l’implantant dans le corps, ou dans un autre être, ou qu’il soit dans un corps.
George : Des gouvernements pourraient-ils le faire, pour suivre les gens ?
Emery : Tout à fait. C’est une option, définitivement. Ils ont des technologies plus avancées pour ça. Les cicatrices sont différentes. S’il y a des cicatrices bizarres sur un corps, qui n’ont pas de sens, on leur a inoculé quelque chose.
George : Comme une marque, non ?
Emery : Pas une marque, mais plutôt une vraie cicatrice, ou un hématome ou quelque chose qui a une forme spécifique, dirons-nous. On a inoculé ces personnes. Cela peut arriver quand ils marchent.
George : Vraiment ?
Emery : Oui, des trucs fous.
George : Doivent-ils vous frôler ?
Emery : Ils pourraient, et vous ne le sauriez pas.
George : Comme un choc ?
Emery : Juste un choc. Ça m’est arrivé, à moi et mon équipe, au cours de ces six derniers mois. Et on m’a contaminé à l’aéroport de Denver.
George : Êtes-vous tombé malade ?
Emery : Pas malade, mais j’ai dû prendre de très sérieuses mesures de précaution auprès de médecins spéciaux pour éliminer ce truc de mon corps.
George : Comment ont-ils fait pour vous contaminer ?
Emery : Ils m’ont bousculé. Trois types en sweatshirt, qui m’ont bousculé l’un après l’autre. Ils ont dû rater les deux premières fois. Je n’ai pas fait attention, il y avait du monde.
George : À l’aéroport ?
Emery : Oui, et ce n’est pas avant que deux de mes amis proches, quand j’étais en t-shirt, m’aient dit : “C’est quoi ce cercle bizarre avec un point au centre et 10 points autour ?” J’ai des photos :
Elles montrent cette inoculation. Je sais ce que c’était. J’ai dit : “Ils m’ont eu !”
George : Vous l’avez senti ?
Emery : Rien du tout. Ça a été si vite… et ça a été fait avec un appareil très petit.
La marque fait la taille d’une pièce de 10 centimes.
George : Et que tenteraient-ils de faire, Emery ?
Emery : Pour me surveiller, car je vais souvent incognito ces derniers temps sans prendre mon téléphone avec moi. Ça les rend nerveux. Je ne crois pas qu’ils voulaient me tuer, mais l’existence de ces… nanobots ont été prouvés et détectés. J’ai dû faire un de nos petits programmes spéciaux genre désintox. Et c’était arrangé en 48 heures.
George : Ils sont allés chez vous. Ils sont allés vous menacer à l’aéroport.
Pourquoi vous laissent-ils faire ?
Emery : Je ne dis rien que quelqu’un n’a pas déjà filtré ou pas, même si le public ne le sait pas. Ils n’ont pas vraiment peur que je parle des extraterrestres, de mon expérience dans les installations souterraines. Ils sont contrariés parce que je parle de futures technologies avant qu’il ne soit temps, ce que je peux comprendre un peu. Car ces technologies pourraient ne pas être utilisées à bon escient pour l’humanité, on doit donc être prudents.
Mais je dois toujours éduquer les gens. Oui, on a les réponses, OK ? Et ils tentent de faire ces divulgations lentement. Ils ne veulent pas que l’iPhone 20 sorte déjà. Ils voulaient diffuser lentement ces cures et ces dispositifs et ces informations. Mais vu que j’ai parlé, il y a eu 15, 20 appareils différents qui sont sortis depuis novembre 2017, car j’ai juste lâché quelques petites informations sur le sujet. Et les sociétés sont en ligne pour tenter d’éliminer ces trucs. Ils regardent ces émissions et écoutent ce que je dis.
Et ils en ont aussi marre, car quelqu’un au-dessus d’eux fait en sorte que ça n’arrive pas. Mais quand quelqu’un comme moi arrive et en parle, ils doivent faire quelque chose. Et soit ils en tirent de l’argent, soit ils l’enterrent complètement. Ils préfèrent en tirer de l’argent et dire : “Ce qu’ils disent sur cela, c’est un peu vrai, au niveau science.” Ils sont contrariés. Ils m’attaquent, mais c’est plus pour ça que pour les extraterrestres. Ils se fichent que les gens croient à l’existence des extraterrestres car on ne fait pas d’argent en parlant des extraterrestres.
George : Ils sont plutôt inquiets pour des problèmes terrestres affectant leur portefeuille.
Emery : Exactement.
George : Qu’est-ce qui vous motive à parler au public de la désinformation ?
Emery : Ce qui me motive, c’est le fait que j’ai eu accès à des technologies qui doivent être connues. Et ils censurent ces technologies grâce à la désinformation, en disant : « On ne peut pas faire ça, c’est impossible. Smith, que raconte-t-il ? Des appareils à énergie du point zéro. On en est tellement loin. »
Mais non, en fait, on est bien plus avancés. Et vu que je connais la vérité, je veux révéler cette vérité pour que ces technologies aident à nettoyer la planète, à guérir le monde des maladies et de la famine, à avoir de l’eau propre et potable partout dans le monde. Les gens attendent cette eau potable, bon sang. Ce sont ces choses qui me motivent à venir ici et à éduquer le monde.
Car je ne suis pas le seul scientifique qui puisse le faire. Il y a des centaines de milliers de gens brillants qui sont venus me voir avec des inventions incroyables qui m’ont bluffées. Mais en même temps, ils ont peur de parler, ce que je comprends.
George : Vous avez des tripes.
Emery : Je le ferai. Je parlerai pour eux. Tout le monde le sait. Je viens ici et vous représente, les gars, si vous nous écoutez. Vous n’avez pas à le faire si vous n’êtes pas prêts. Récemment, quelques scientifiques ont parlé et d’autres initiés qui font des préparations pour leur famille pour venir nous parler, à vous et moi. Ça affecte donc les gens, ce qu’on fait ici, qu’on en parle, ça les fait se volatiliser. Ces scientifiques se sentent un peu plus à l’aise, et je suis toujours ici. Faisons-le. Faisons-le ensemble et parlons-en.
George : Vous êtes un patriote, pour moi.
Emery : Merci.
George : J’étais à un événement il y a deux mois, et un couple est venu me voir. Ils m’ont dit : “Que pensez-vous de Emery Smith ?” Je vous avais déjà interviewé dans Au-delà du croyable, sur Gaia. J’ai répondu : « C’est une personne authentique. Il a plus de tripes que la plupart des humains, car il met sa vie en jeu. Et à tout moment, il pourrait la perdre. » Mais rien ne vous arrêtera, je suppose ?
Emery : Ils m’ont tout pris, George. Tout. On m’a tiré dessus, poignardé, torturé, enlevé. Mais… je continuerai. Ils le savent. Je suis toujours là. Et je continuerai aussi longtemps que possible. Et grâce aux très nombreux spectateurs que vous avez et que Gaïa aussi a, et à d’autres personnes à mes côtés. Cela me motive à continuer. Je n’ai plus rien à perdre. Je n’ai rien. Je suis là pour représenter ces gens qui ont peur, car je n’ai pas peur. Je n’arrêterai pas.
George : Comme vous savez, « Divulgation Cosmique » revient avec de nouveaux invités et initiés, et avec votre histoire, une histoire tellement importante. En tant qu’invité régulier, avez-vous d’autres informations ?
Emery : J’ai beaucoup de choses à révéler, je suis donc content d’être ici et de pouvoir expliquer ces choses qui me sont arrivées et celles qui attendent le monde.
George : Vous êtes un héros, mon ami.
Emery : Merci.
George : Et merci aux téléspectateurs d’avoir suivi cet épisode.
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