Divulgation cosmique

Sachez que les extraterrestres ne peuvent tolérer une guerre nucléaire

Des intelligences non humaines contrôlent-elles notre destin nucléaire ?

Une hypothèse convaincante suggère que les observations d’UAP augmentent en période de tension géopolitique accrue, en particulier lorsque la menace d’une guerre nucléaire s’intensifie.

Au cours des cinq dernières années, alors que l’horloge de l’Apocalypse approche de minuit, les signalements d’activité d’OVNI ont augmenté.

Cette tendance concorde avec les affirmations selon lesquelles les NHI (Non-human intelligence) sont profondément préoccupés par le potentiel destructeur des armes nucléaires, non seulement pour l’humanité mais pour la planète elle-même.


Cette théorie postule que les OVNI pourraient avoir la capacité de surveiller et même de neutraliser les arsenaux nucléaires. Des rapports de militaires ont décrit des incidents au cours desquels des OVNI auraient survolé des silos nucléaires, désactivant temporairement les systèmes de lancement. Serait-ce un message délibéré :

« Nous vous surveillons et nous ne vous laisserons pas détruire votre monde » ?

L’ancien officier de lancement de missiles balistiques intercontinentaux de l’armée de l’air américaine, Robert Salas, a témoigné qu’il était en service à la base aérienne de Malmstrom, dans le Montana, le 24 mars 1967, lorsqu’un OVNI en forme de disque orange a brièvement plané au-dessus de la porte d’entrée.

Le grand bluff nucléaire ?

Une autre idée intéressante est celle selon laquelle les armes nucléaires pourraient ne pas fonctionner comme nous le pensons.

Certains théoriciens soutiennent que les NHI ont rendu ces armes inutilisables, peut-être grâce à une technologie avancée ou à une suppression fondamentale des capacités nucléaires. Si cela est vrai, cela expliquerait l’extraordinaire secret qui entoure les arsenaux nucléaires et la posture géopolitique qui repose sur leur valeur de dissuasion.

Cela pourrait aussi expliquer l’accord quasi-universel entre les puissances nucléaires pour empêcher de nouvelles nations de développer des armes nucléaires.


L’arrêt soudain des essais nucléaires par les grandes puissances – depuis 1992 pour les États-Unis et 1990 pour la Russie – alimente cette spéculation.

Si ces armes sont, comme certains le prétendent, de « coûteux presse-papiers », leur valeur réside davantage dans la perception que dans l’aspect pratique. Toute révélation publique de cette vérité pourrait déstabiliser les structures de pouvoir mondiales.

Le dernier essai nucléaire confirmé a eu lieu en septembre 2017, lorsque la Corée du Nord a procédé à sa sixième explosion nucléaire.

Si les ovnis s’inquiètent effectivement de l’utilisation d’armes nucléaires par l’humanité, pourquoi leur activité signalée ne s’est-elle pas intensifiée autour de la Corée du Nord, un État qui reste ouvertement provocateur dans ses ambitions nucléaires ?

Il est possible que les OVNI n’aient pas été au courant de l’entrée de la Corée du Nord dans l’arène nucléaire. La position relativement isolée de la Corée du Nord sur la scène internationale pourrait représenter un défi unique, même pour une intelligence extraterrestre.

Contrairement à la guerre froide, où les tensions nucléaires étaient centralisées autour de deux puissances dominantes, la nature multipolaire et moins prévisible du paysage nucléaire actuel pourrait compliquer leur stratégie apparente.

Cette hypothèse non seulement élargit la portée de la théorie de la « connexion nucléaire », mais suggère également que les actions – ou les inactions – de ces entités non identifiées peuvent dépendre de la manière dont elles hiérarchisent les risques potentiels pour l’humanité ou la planète dans son ensemble.

Si cela est vrai, alors le programme nucléaire de la Corée du Nord, bien qu’important, pourrait toujours être considéré comme moins menaçant dans l’immédiat qu’une confrontation nucléaire à grande échelle impliquant plusieurs superpuissances.

Un incident particulier souvent cité dans ces discussions est l’ alerte aux missiles balistiques de 2018 à Hawaï, qui s’est avérée être une fausse alerte. Si l’explication officielle attribue ce fait à une erreur humaine, il s’agit peut-être d’un test de réaction de la population, voire d’un moment d’intervention réelle.

Si les NHI surveillent les capacités nucléaires, des événements comme ceux-ci pourraient représenter des tentatives de prévention des accidents ou envoyer des messages aux gouvernements selon lesquels leurs actions sont examinées de près.

Les témoignages de première main de militaires apportent encore plus de crédibilité à ces idées.

Une image de l’alerte envoyée par erreur aux téléphones portables à Hawaï le 13 janvier 2018.

Nouveaux joueurs, anciennes règles

L’entrée de nouvelles puissances nucléaires, comme la Corée du Nord, dans cette équation délicate soulève des questions sur la manière dont ces dynamiques se jouent sur la scène internationale.

Si les NHI neutralisent effectivement les capacités nucléaires, pourquoi autoriseraient-ils des essais par des nations comme la Corée du Nord ?

Ces essais pourraient passer inaperçus dans un premier temps, pour ensuite donner lieu à une intervention. Il se pourrait aussi que les puissances nucléaires établies jouent le rôle d’intermédiaires, appliquant les « règles » fixées par les NHI.

Certains analystes affirment que les grandes puissances mondiales maintiennent une façade d’unité en matière d’armes nucléaires précisément parce que l’illusion de leur fonctionnalité est vitale pour la stabilité mondiale.

Tout écart par rapport à ce discours – par exemple l’apparition d’une nouvelle nation révélant l’inefficacité des armes nucléaires – pourrait mettre à mal des décennies de postures stratégiques.

L’idée selon laquelle les NHI interfèrent activement avec nos capacités nucléaires conduit à une autre question : pourquoi ?

Certains estiment que les NHI ont un intérêt direct dans les écosystèmes terrestres et pourraient considérer les ambitions nucléaires de l’humanité comme une menace pour leur propre existence.

S’ils partagent notre planète – que ce soit sous l’eau, sous terre ou même dans des dimensions parallèles – ils auraient toutes les raisons d’empêcher une catastrophe nucléaire qui pourrait mettre en péril leurs habitats.

Le Dr Michael Salla, spécialiste de politique internationale et figure éminente dans le domaine de l’ufologie, a discuté des théories selon lesquelles les civilisations extraterrestres, qu’elles soient interdimensionnelles ou non, pourraient être concernées par les capacités nucléaires et l’utilisation de l’humanité.

Il suggère que de telles entités auraient pu intervenir pour empêcher l’utilisation d’armes nucléaires, en particulier après des incidents tels que des observations d’OVNI à proximité de bases militaires et d’installations nucléaires.

Il existe également une possibilité plus inquiétante : les institutions nationales de santé pourraient considérer l’humanité comme une expérience et la prévention d’une guerre nucléaire comme un moyen de préserver leur « investissement ».

Cette perspective dépeint les institutions nationales de santé comme étant froidement pragmatiques, intervenant non par altruisme mais pour assurer la survie d’une ressource qu’elles jugent précieuse, qu’il s’agisse de la biodiversité de la planète ou de l’humanité elle-même.

Si les gouvernements possèdent des preuves de la surveillance ou de l’intervention des NHI sur des sites nucléaires, le public a le droit de le savoir. Les enjeux étant si importants, comprendre la véritable nature de ces interactions pourrait ouvrir la voie à une désescalade et à un avenir moins chargé de l’ombre d’une guerre nucléaire.


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