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Les objectifs secrets du projet de 6G Hexa X

22 entreprises dirigées par Nokia travaillent dans le but de faire de la 6G un élément indispensable de notre société.

L‘une des méthodes les plus ambitieuses pour relier nos cerveaux aux ordinateurs est l’optogénétique. Plus de 1 000 laboratoires dans le monde travaillent sur cette technologie. L’optogénétique peut effacer des souvenirs à l’aide de la lumière LED, mais aussi contrôler et influencer avec précision les pensées et les comportements. La transmission numérique de données se fait au moyen de la technique VLC. Or, la transmission de données est possible même lorsque les LED sont éteintes, ce qui permet de les utiliser comme antennes 6G.

Hexa X

L’Europe ne veut pas être prise au dépourvu : le projet Hexa-X a été lancé le 1er janvier 2021. C’est une initiative pour mettre au point la 6G à l’horizon 2030, avec en tête de pont Nokia et Ericsson (respectivement coordinateur et gestionnaire technique).

Le but est de créer un tissu intelligent de catalyseurs technologiques reliant les mondes humain, physique et numérique. 


La pub du projet :

À l’horizon 2030 et au-delà, l’Europe et le monde seront confrontés à des opportunités et à des défis de croissance et de durabilité d’une ampleur considérable ; s’attaquer de manière proactive aux problèmes d’efficacité des accords verts, d’inclusion numérique et d’assurance de la santé et de la sécurité dans un monde post-pandémique sera essentiel.

Une vision puissante est nécessaire pour connecter les mondes physique, numérique et humain, fermement ancrée dans la future technologie sans fil et la recherche architecturale. La vision Hexa-X appelle à un tissu x-enabler d’intelligence connectée, de réseaux de réseaux, de durabilité, de couverture de service mondiale, d’expérience extrême et de fiabilité.

Nokia précise les domaines de recherche :

  • intelligence connectée : amélioration significative de l’efficacité et l’« expérience » du réseau ;
  • réseau des réseaux : agrégation des ressources pour créer un écosystème numérique « intelligent et hétérogène » ;
  • durabilité des ressources : réduction de l’empreinte environnementale globale du secteur des technologies avec une infrastructure optimisée ;
  • couverture mondiale pour connecter des endroits éloignés ;
  • expérience de pointe avec des débits « extrêmes », une latence imperceptible et une détection précise ;
  • fiabilité et confidentialité des communications.

NOKIA a déjà prévenu se remettre en question en affirmant : « On verra la fin des Smartphones avant 2030 »

Notre conviction est que cet appareil sera dépassé par une expérience métaverse dans la seconde moitié de la décennie », a déclaré le directeur de la stratégie et de la technologie de Nokia Nishant Batra.

La technologie 6G va aussi se développer, et permettre tous types d’application du metaverse.

Le directeur général de Nokia, Pekka Lundmark, lors du Forum économique mondial de cette année a affirmé partir du principe que d’ici huit ans environ, les appareils de télécommunication comme les smartphones seront directement intégrés dans notre corps. Des capteurs intégrés surveilleront également notre corps et transmettront directement les résultats.

Le groupe chinois Huawei définit la 6G comme un réseau neuronal. Les réseaux neuronaux stimulent sur l’ordinateur des structures qui ressemblent au cerveau, afin de relier l’homme au monde informatique et d’inaugurer une ère dans laquelle tout est saisi et connecté.


L’homme doit donc être fusionné avec l’ordinateur, ce qui permet ainsi de le contrôler. Toute méfiance ou remise en question du discours politique officiel peut ainsi être contrôlée et manipulée par la 6G.

Étant donné que la plupart des gens sont totalement dépendants de leurs smartphones et ne peuvent plus imaginer vivre sans leur téléphone portable, le risque est grand que les rêves des dirigeants de l’UE, avec l’aide de Pekka Lundmark et de ses acolytes, se réalisent : Les populations seront libérées de leur méfiance problématique et pourront par conséquent accepter docilement et sans velléité, toute nouvelle technologie ou mesure gouvernementale.

Vous ne posséderez rien… Même pas votre discernement… Et vous serez des abrutis heureux.

Comment résister ?

Comment ce contrôle 6G manipulateur et incessant est-il techniquement réalisable?

La future norme de téléphonie mobile 6G aura très probablement des fréquences supérieures à 100 gigahertz. Dans cette plage, les ondes se comportent déjà plus comme de la lumière.

L’inconvénient : ces ondes ne pourront vraisemblablement pas ou peu traverser les arbres, les murs des maisons ou autres. Pour garantir une irradiation sans faille et un contrôle des personnes, les antennes 6G devront donc à l’avenir être installées à proximité immédiate et partout où des personnes se trouvent. Quoi de plus idéal que d’utiliser des lampes LED comme « antennes radio », puisque les LED se trouvent partout où vivent les gens ?

Comme le montre l’émission « Optogénétique – la voie planifiée vers un contrôle sans faille de nos cerveaux ? » dans la vidéo ci-dessus, l’objectif est d’intégrer un capteur dans chaque lampe LED afin d’utiliser la lumière LED pour la transmission numérique de données au moyen de la technique VLC. Cela signifie que partout où se trouvent des LED, un échange de données doit avoir lieu à l’avenir.

Depuis le 31 décembre 2012, les lampes à incandescence classiques ont définitivement disparu de la vente en Europe.

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Comment reconnaître une ampoule LED?

Pour reconnaître une ampoule LED, il vous suffit de déceler ses signes physiques et son mode de fonctionnement. L’ampoule LED présente une structure tout à fait simple. Contrairement aux sources lumineuses classiques, elle ne possède pas de filament, ce qui fait qu’elle produit bien moins de chaleur qu’une lampe halogène par exemple. La lampe LED est constituée d’une puce LED montée sur un réflecteur. La diode électroluminescente est protégée par un verre époxy, et on distingue aussi une cathode et une anode.

La tentation de l’Homme augmenté

La fibre optique et les LED sont aujourd’hui essentiellement utilisés dans les domaines de l’informatique et des télécommunication. Mais miniaturisation aidant, des applications médicales utilisant ces technologies sont en voie de développement. Les implants cochléaires de nouvelle génération pourraient par exemple permettre aux malentendants d’écouter de la musique et de faire face à une conversation animée dans le bruit d’une salle de restaurant.

Modèle de l’oreille humaine avec un implant optogénétique

L’optogénétique est une technique de recherche largement utilisée à ce jour dans les études animales. Elle implique l’introduction dans les neurones de gènes dotés de protéines sensibles à la lumière – les channelrhodopsins ou « opsines » – permettant aux neurones de réagir à la lumière.

Les chercheurs qui publient cette étude avaient déjà publié un document en 2014 sur la possibilité de créer des souris équipées d’opsines à la naissance. Pour cette nouvelle étude, ils ont utilisé des gerbilles, qui peuvent entendre les fréquences plus basses que ce que les humains perçoivent. La manipulation génétique a été effectuée par des chercheurs chez des individus adultes. Concrètement, ils ont injecté un virus dans la cochlée des gerbilles, virus qui a transporté le gène de l’opsine dans les neurones auditifs.

Ils ont ensuite utilisé une fibre optique pour transmettre la lumière dans la cochlée. Avec succès semble t-il. L’étude n’a utilisé qu’un seul canal optique et n’a donc pas pu mesurer la résolution en fréquence. Une étape importante sera donc le développement de dispositifs multicanaux. Dans cette perspective, l’utilisation de réseaux de micro-LED pourrait être envisagée, tout comme la technologie de guidage d’onde, qui peut diriger la lumière à partir de fibres optiques.

Et également (oui, ce n’est pas un sujet minime), la question de la manipulation génétique chez les êtres humains. Les chercheurs précisent toutefois que sur un pur plan technique, la manipulation génétique induite par un virus les oreilles, tout comme les yeux, sont de bons candidats à ce type d’expérimentation car ils sont moins protégés par le système immunitaire et simple à isoler d’une point de vue anatomique. Cela permet de s’assurer que le gène inséré reste dans l’organe ciblé.

Les chercheurs prévoient de commencer des essais sur des primates – qui ont systèmes immunitaires plus semblables aux humains – cette année (2018).

« Nous saurons probablement dans deux ans environ si nous nous sentons suffisamment à l’aise pour transcrire tout cela sous la forme d’un appareil médical » explique Tobias Moser. « Il reste encore beaucoup de chemin à parcourir ».


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