Des chercheurs de l’Institut Max Planck pour la recherche médicale en Allemagne, dirigé par Matthias Fischer, ont terminé l’analyse d’échantillons de sol prélevés en 2018 dans la forêt Harvard du Massachusetts.
Les théoriciens du complot soupçonnent que ce n’est pas sans raison qu’elle a suscité de l’intérêt – quelque chose s’est passé là-bas. Et il semble que les Allemands aient trouvé exactement ce qu’ils cherchaient.
Les résultats, que les scientifiques ont publiés 7 ans après la découverte, les ont choqués. Les échantillons ont montré d’énormes virus atteignant 635 nanomètres de diamètre. En soi, ce n’est pas élégamment impressionnant car des pathogènes géants se trouvent dans le microcosme. Mais la forme des virus ne ressemblait à aucune de celles trouvées sur Terre.
Certains virus ressemblaient à des étoiles à cinq branches, d’autres rappelaient des pieuvres avec de nombreux tentacules, et d’autres ressemblaient à des pattes à 20 côtés. À l’intérieur, ils étaient littéralement bourrés d’ADN – chaque génome contient jusqu’à 2,5 millions de paires de bases d’ADN.
Les Allemands, notant la variété des formes de virus qu’ils ont découvertes, les ont prudemment qualifiés d' »incroyables ». Ils ont admis qu’ils ne comprenaient pas encore les rôles que jouent ces structures biologiques complexes de virus et ne savaient pas encore d’où ils venaient.
Les journalistes, ayant pris connaissance d’un article scientifique préparé sur la base des résultats de l’analyse, n’ont pas hésité à suggérer que les virus sont le portrait craché des extraterrestres. La même chose s’appliquait à leur ADN.
Astrobiologistes : « L’univers est plein de virus »
Il est peu probable que des virus extraterrestres soient apparus dans la forêt du Massachusetts envoyés dans une capsule extraterrestre mais ils pourraient voler depuis l’espace – avec des météorites, des comètes, ou simplement avec de la poussière cosmique.
« Virus at Large in the Universe » était le titre d’un article que, par une étrange coïncidence, des astrobiologistes des États-Unis et du Japon ont été publiés dans la revue Astrobiology en 2018.
Les scientifiques Berliner Aaron, Mochizuki Tomohiro et leur chef Stedman Kenneth le prouvent dans leur article : « l’infection » couvre l’espace interstellaire, et les exoplanètes, et, bien sûr, les planètes du système solaire. Et la vie extraterrestre est principalement représentée par des virus, et non par des bactéries, à la recherche desquelles se sont concentrés des collègues de la NASA.
Les virus sont capables de tolérer le froid cosmique, les rayonnements ionisés durs, la plupart ne meurent pas dans le vide et certains ne meurent pas même lorsqu’ils sont bouillis dans de l’acide sulfurique concentré.
Il n’est pas du tout exclu que tous les virus aient été importés d’autres systèmes solaires et aient simplement pris racine sur Terre. Le Massachusetts est un exemple probable d’un tel avènement possiblement récent.
Kenneth Steadman et ses associés pensent qu’il est temps de développer des méthodes qui permettraient de détecter des virus dans des échantillons prélevés sur d’autres planètes. Selon les scientifiques, il serait intéressant d’équiper les sondes de recherche de microscopes électroniques.
Le COVID-19 a-t-il été arrangé pour nous par des extraterrestres?
Le fait que la pandémie de coronavirus ait été organisée par des extraterrestres n’a pas été assuré par un ufologue fou, mais par un scientifique britannique assez sérieux, le professeur Chandra Wickramasinghe du Buckingham Center for Astrobiology.
Les extraterrestres, selon le professeur, étaient les mêmes coronavirus. Ils ont volé sur une météorite qui a explosé au-dessus de la Chine en octobre 2019.
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