Divulgation cosmique

Fédération galactique et télépathie

Les extraterrestres sont parmi nous. Un ancien général israélien l'a dit. La thèse des aliens continue d'intéresser les armées.

Israël et les États-Unis sont en contact avec des extraterrestres, qui préfèrent pour l’instant rester discrets. Washington collabore même directement avec eux, dans leur base commune sur Mars.

Un général israélien à la retraite l’affirme dans un livre de l’écrivaine Hagar Yanai qui vient de sortir, L’Univers au-delà de l’horizon.

L’Etat d’Israël appartient à un club prestigieux, composé de peu de pays à forte capacité spatiale, avec des réalisations dans le domaine des lanceurs, des satellites et même des lanceurs d’engins spatiaux. Le professeur Haim Eshed est l’une des personnes responsables de ces fières réalisations israéliennes.


Le professeur Haim Eshed a servi de 1981 à 2010 en tant que chef du programme spatial de sécurité d’Israël et au fil des ans, il a reçu le prix de la sécurité d’Israël trois fois, deux fois pour son contenu avec des inventions technologiques confidentielles.

Les écrits de la journaliste sont trop précis pour qu’il semble s’agir d’une invention pure et simple de sa part. Si c’était le cas sa réputation professionnelle serait réduite à néant. Si on se réfère à ce dont la presse s’est faite l’écho ; Haïm Eshed :

– Celui-ci serait fermement convaincu, non seulement qu’il existe des être intelligents dans l’univers, qui sont non-humains, mais que ceux-ci suivent de longue date les activités humaines et même interviennent.

– Une « fédération galactique » regrouperait plusieurs ethnies extraterrestres.


– Ceux-ci seraient ainsi intervenus à plusieurs reprises pour éviter une catastrophe nucléaire.

– Il évoque une connivence entre ces êtres et « les Américains » ainsi que « des accords passés ».

– Ces extraterrestres disposeraient de bases souterraines sur Mars.

– Ils auraient fait profiter des Américains de ces installations (donc en le faisant profiter des systèmes leur permettant de se déplacer)

– Le président Trump serait au courant de tout cela et aurait envisager de faire des révélations à ce sujet. Mais « la fédération » l’en aurait dissuadé, invoquant la panique que ces révélations pourraient engendrer.

Il est possible, mais ceci serait à vérifié, que Hagar Yanai, recueillant le témoignage de Haïm Eshed ait écrit dans le livre que celui-ci était favorable à la thèse de visites d’extraterrestres et au fait que l’avenir de l’humanité soit de l’intégrer à la communauté de ces visiteurs. Selon le contenu de la 4° de couverture ce livre traduit une position « assez avancée » émanant de Haïm Eshed, qui va un peu plus loin que le scepticisme ambiant de bon ton.

De son coté, : Isaac Ben-Israel (né le 26 juillet 1949) est un scientifique militaire, général et ex-politicien israélien. Il est actuellement président de l’Agence spatiale israélienne et du Conseil national pour la recherche et le développement, sous les auspices du ministère israélien de la science, de la technologie et de l’espace. Il a terminé son service dans l’armée israélienne en tant que général, à la tête de l’administration militaire pour le développement des armes et de
l’industrie technologique.

Entre 2010 et 2012, il a été conseiller principal en cybernétique auprès du Premier ministre Netanyahu, période durant laquelle il a fondé le Bureau national du cybernétique au sein du bureau du Premier ministre et lancé l’Initiative nationale du cybernétique. Ben-Israel est maintenant à la tête du programme d’études de sécurité de l’université de Tel-Aviv, où il dirige
également la conférence internationale annuelle sur la cybersécurité. Entre 2007 et 2009, il a été membre de la Knesset pour Kadima.

Ben-Israel est l’un des meilleurs experts israéliens en matière de sécurité spatiale, cybernétique et technologique. Il est titulaire d’un doctorat en philosophie et d’une licence en physique et en mathématiques de l’université de Tel-Aviv.

Et il dit :

S’il y a une personne dans l’État d’Israël qui mérite le titre ′′de père du programme spatial israélien״, c’est bien le professeur Haim Ashd. Haim rêvait de doter Israël d’une capacité spatiale indépendante dans l’espace. Il a ignoré tous ceux qui lui ont expliqué qu’un petit pays comme Israël ne pouvait pas jouer dans « le grand jeu de l’espace′′ (comme le font l’Union soviétique et les États-Unis).

Au début, le Premier ministre Menahem Begin, après la signature de l’accord de paix avec l’Égypte, a décidé que nous avions besoin d’un satellite pour s’assurer que les Égyptiens gardent la péninsule du Sinaï. C’est tout naturellement que Haim a été, en tant qu’officier de l’armée Israélienne celui qui a pendant des années fait le siège de tous les milieux militaires pour essayer de convaincre de la nécessité d’un projet comme celui-ci (nous nous étions rencontré à l’époque où j’étais dans les forces aériennes israéliennes).

Il a occupé le poste de directeur du programme spatial israélien pendant près de trente ans, poste qu’il a quitté il y a une dizaine d’années.

Il a donc écrit un livre, où il nous conte l’histoire de sa vie et où il tente d’attirer l’attention des jeunes sur la science et la technologie. Dans ce livre il exprime sa croyance en l’existence d’êtres extraterrestres intelligents, une déclaration qui a bien sûr fait les gros titres de la presse dans le monde entier.

Nombreux sont ceux alors qui ont levé le sourcil. En tant que responsable au sein du MAE depuis de nombreuses années je peux rassurer le public. Rien de particulier n’a frappé Haim Eshed, qui a gagné le prix de la sécurité en Israël. C’est seulement quelqu’un d’extrêmement ouvert et créatif. Sans son exceptionnelle créativité et imagination nous n’aurions jamais pu lancer un satellite d’observation dans l’espace.

Etre réellement créatif fait qu’on est doté de la capacité d’envisager des idées propres à faire dresser leurs cheveux sur la tête de certains. Je peux en témoigner : Haïm a toujours eu des idées de ce genre. Mais ces digressions ne l’ont jamais éloigné des buts qu’il s’était fixé. Personnellement je préfère des gens come lui aux technocrates qui, se concentrant sur un arbre, ne voient jamais la forêt qui l’entoure.

L’humanité n’est pas prête et la crédibilité du fait du statut professionnel sont deux arguments récurrents dans les discours de ceux qui sont convaincus que des extraterrestres parcourent déjà le globe.

Tout en répétant à quel point l’être humain n’est pas capable d’accepter une telle remise en question de ses connaissances, et surtout de ses croyances, un certain nombre de chercheurs, d’aviateurs, d’astronautes mais aussi de militaires persiste à affirmer avoir eu des contacts avec des extraterrestres dans une multitude de colloques et de médias… sans jamais pouvoir fournir de preuves définitives. Vous n’êtes tellement pas prêts qu’ils le racontent à longueur de bouquins vendus en bonne place à la librairie du coin.

Un seul militaire a affirmé clairement avoir discuté avec des extraterrestres: le général russe Alexey Y. Savin. Après un début de carrière prestigieux dans la marine, il a créé en 1989 une nouvelle unité, la Military Unit 10’003, qui avait vocation à étudier les compétences extraordinaires de certains individus. Il était alors convaincu que les Américains étaient très en avance dans le domaine de la télépathie.

Il dirigeait deux groupes. Le premier, composé de forces spéciales, reste couvert par le sceau du secret. Le second, composé de femmes civiles, était soumis à toutes sortes d’expériences. L’officier raconte par exemple que ses équipes ont pu visualiser des bases ennemies par la pensée ou encore aider à repérer des mines pendant la guerre en Tchétchénie.

«Les extraterrestres ont un code de communication composé de chiffres et de lettres, comme les opérateurs.»

Alexey Y. Savin, ex-général russe

Le général Savin décrit donc, parmi ces étonnantes aventures, une rencontre avec des aliens: «Pendant plusieurs mois, nous avons fait des recherches et compris comment instaurer le contact avec les extraterrestres grâce à la télépathie. Ils ont un code de communication composé de chiffres et de lettres, comme les opérateurs.»

A-t-il des preuves? Pas vraiment: il peut simplement fournir un courrier du ministère de l’Intérieur remerciant sa troupe pour sa participation à des opérations de police. Les derniers travaux sur ces questions ont été arrêtés par l’armée russe en 2012. Savin, lui, continue de proposer ses services dans le privé tout en écrivant des essais ésotériques. Comme souvent, le secret-défense a bon dos: aussi bavards soient ces témoins privilégiés, ils assurent ne pouvoir présenter de documents, faute d’autorisation. Dommage.

Il n’y a absolument aucun doute: les forces armées de nombreux pays se sont intéressées à cette problématique des phénomènes non identifiés. En leur sein, beaucoup d’individus ont cru, au moins pendant un temps, qu’il était probable que des visiteurs venus de l’espace soient une explication plausible. Ils sont aujourd’hui ultra-minoritaires à continuer de défendre la thèse d’aliens, qu’ils appartiennent à une «Fédération galactique» ou pas. Au-delà de leur intime conviction, ces derniers restent d’ailleurs bien en mal de fournir la moindre preuve tangible et multiplient les récits divergents.


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