Divulgation cosmique

Énergie du Point Zéro et technologie de propulsion avancée

Interview de Corey Goode par David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 7 épisode 22

David Wilcock : Bienvenue à « Divulgation Cosmique ». Je suis avec Corey Goode.

Corey, bon retour parmi nous.

Corey Goode : Merci.



David : Je dois dire que quand j’ai vu cette vidéo, la première que nous allons regarder ici, il a mentionné le nom d’un type que je connaissais très bien. Et Mark Comings est l’une des rares personnes que j’ai jamais rencontrées à être bien supérieures à moi quand il s’agit de physique avancée.

Mark Comings, enseignant chercheur de Physique à l’Université de Berkeley, a étudié les effets énergétiques des cristaux.

Et donc, quand vous et moi parlons, vous en savez beaucoup plus sur le Programme Spatial Secret que n’importe qui d’autre que j’ai rencontré, à l’exception de quelques initiés.

Mark Comings est l’un de ces gars, mais dans le domaine de la physique. Donc, cela m’a vraiment frappé de l’entendre mentionner ce nom parce que je connais si bien ce type qu’on pourrait parler de lui pendant deux heures.

[se tournant vers les téléspectateurs] Donc, sans plus tarder, écoutons la première chose que Mark McCandlish  a à dire, et vous comprendrez peut-être pourquoi j’ai été si surpris quand vous l’aurez vu. Jetons un coup d’oeil.

À LA POURSUITE DE L’ÉNERGIE LIBRE

Mark McCandlish : J’ai rencontré un scientifique qui, depuis, s’est en quelque sorte retiré de la circulation. Il a disparu. Il s’appelait Mark Comings.

Il a été professeur de physique travaillant comme assistant d’enseignement à l’UC Berkeley, dans leur département de physique.

Et il a été… Il s’était rendu compte que dans le sous-sol du bâtiment de physique du campus, il y avait beaucoup de ce vieil équipement excédentaire – des générateurs de fréquences, des oscilloscopes et des générateurs électriques, toutes ces sortes de choses.

Il a donc demandé au chef du département s’il pouvait aller faire quelques expériences. Il avait des idées avec lesquelles il voulait jouer. Et ils lui ont donné le feu vert.

Il a donc eu l’idée que, comme vous le savez peut-être, il y a certains types de cristaux, comme le quartz par exemple… C’est la base du disque original du phonographe, le stylet.

Quand on mettait un petit cristal – je pense que c’était comme un cristal de diamant – sous pression, cela créait un courant électrique doux.

Et si vous amplifiiez ce courant, vous pourriez alors entendre comment les impulsions arrivaient à travers cette pierre, ce joyau. Et on pouvait entendre les vibrations enregistrées dans un disque de plastique. C’est comme ça que le phonographe fonctionne.

Son idée était donc que les cristaux, lorsqu’ils sont mis sous pression – la pression physique – créent une charge électrique.

Mais il s’est demandé si, en augmentant le processus en mettant des bobines électriques qui envelopperaient le cristal, et qu’essentiellement on appliquerait une pression électrique sur le cristal, le cristal ne ferait pas seulement le même processus piézoélectrique de créer une production d’électricité, mais qu’il pourrait produire en fait plus que ce que vous obtiendriez en mettant juste de la pression physique sur lui.

Qu’en profitant du treillis – la structure cristalline de cet objet, cette pierre – vous pourriez alors l’amener à résonner d’une manière qui dégagerait encore plus d’énergie que vous n’en mettiez dedans.

Il avait donc un cristal de titanate de baryum. Il mesurait environ huit pouces de long [20 cm], avait une double extrémité – en d’autres termes, une pointe de chaque côté – et avait une section transversale qui ressemblait à un panneau d’arrêt, une forme octogonale, qui avait été fabriquée par une installation située à l’extérieur de la baie de San Francisco où il vivait.

Et il avait deux bobines différentes. L’une d’eux avait beaucoup de bobinages fins, et une autre enroulée autour de l’extérieur, complètement isolée, qui avait un plus petit nombre de bobinages.

Et il a expérimenté avec la mise en place d’une variété de charges électriques différentes, différentes tensions, fréquences, dans différentes combinaisons, jusqu’à ce qu’une nuit, environ à 1 heure du matin, en travaillant tard sur cet appareil, le cristal a commencé à briller d’un bleu-vert, et il a commencé à sonner.

Vous savez quand vous êtes à un mariage et que vous prenez votre verre – votre doigt mouillé sur une coupe de champagne [Mark fait un geste circulaire du doigt comme glissant en faisant des cercles répétés sur le rebord extérieur de la coupe de champagne], et que ça sonne si fort ? Il a dit que c’était comme ça.

Et il a regardé l’échelle – les cadrans de son équipement qui montraient la tension d’entrée et la tension de sortie. Et cette chose sortait à 125%. En d’autres termes, il obtenait 25% de plus que ce qu’il mettait dans le cristal.

Bien sûr, il était très excité, vous savez, il a pris ses notes, tout éteint, il est rentré chez lui, est allé au lit. À 8 heures le lendemain matin, sa maison était entourée de SUVs noirs et de gars avec des écouteurs et des lunettes foncées.

[note : la description de ces mystérieux agents et de leur fonction de répression de tout ce qui sort du « système » fait assez penser, analogiquement parlant, aux agents de la Matrice que l’on peut voir dans le film « Matrix »…]

Ils ont frappé à la porte d’entrée. Ils ont mis toute la maison sens dessus dessous. Ils l’ont arrêté. Ils lui ont confisqué toutes ses notes. Ils lui ont confisqué son équipement.

Et ils ont essentiellement dit qu’ils avaient trouvé un système de télévision en circuit fermé qu’il avait installé pour voir certaines des femmes de l’immeuble d’éducation physique, le vestiaire, le vestiaire des femmes dans le bâtiment voisin. Et, vous savez, il avait des ennuis.

Et ils ne voulaient pas lui dire de quoi il était accusé. Ils n’arrêtaient pas de dire : « Vous savez de quoi on vous accuse. Vous savez ce qui se passe ici. »

Et la réalité de tout cela était qu’il avait créé un appareil qui avait accompli ce qui était censé être impossible.

Et je lui ai demandé : « Quand vous avez fait ça, quand cette chose a finalement fonctionné lorsque vous avez trouvé tous les bons ingrédients pour la faire fonctionner, croyez-vous que cette chose a laissé une sorte d’empreinte dans l’environnement que quelqu’un parmi « ceux qui savent » écoutait et était prêt à réprimer ? »

Il a dit : « Absolument, sans l’ombre d’un doute. » Il a dit : « Quelqu’un a triangulé ma position, a trouvé où j’étais, a trouvé le matériel, a contacté l’administration de l’université, et ils étaient chez moi à 8 heures le lendemain matin. » C’était aussi rapide que ça.

Et donc il s’est caché. Et j’ai entendu dire qu’il travaille quelque part en Extrême-Orient. Il est bien financé et poursuit ses recherches, mais tout est clandestin.

* * * * * *

David : Eh bien, Corey, c’est une chose très émouvante pour moi en fait, parce que tout d’abord, je connaissais Mark Comings avant qu’il ne se cache.

Nous avons parlé sur la même scène lors d’une conférence que je faisais à Portland en 2003, intitulée « Time and Global Shift » [« Le Temps et le Changement Global »].

Et il ne voulait pas me dire ce qu’il avait inventé qui avait poussé ces types à venir chez lui. Donc voir McCandlish entrer dans les détails de l’invention était une première. Je n’avais pas entendu… J’avais juste entendu parler des aspects désagréables.

Parlons-en d’abord. Existe-t-il, en fait, une sorte de signature énergétique comme Mark et moi en avons parlé personnellement, dont nous avons théorisé qu’elle serait émise lorsque vous construisez l’un de ces types de dispositifs, et qu’ils pourraient détecter?

Corey : Oui. Et c’est ainsi qu’ils suivent, aussi, une grande partie des vaisseaux non terrestres et humains au sein de notre système solaire.

C’est utilisé comme moyen de contrôle aérien pour localiser les vaisseaux qui produisent cette signature. Il y a en effet une signature qui est émise dans un spectre limité qu’ils écoutent toujours sur la Terre et aussi dans l’espace.

David : Y a-t-il un endroit sûr dans le monde pour que quelqu’un développe cette technologie ? Ou la Cabale pourrait-elle vous frapper à n’importe quel endroit de la Terre ?

Corey : Quand il s’agit de la développer, ouais, il y a plein de trous profonds et sombres dans lesquels vous pouvez vous cacher pour la développer. Et vous devez acquérir tout ce que vous allez utiliser – tous les différents types de technologies –, vous devez les acquérir très discrètement.

Si une personne commence à acquérir une certaine technologie, les signaux d’alarme retentissent.

Vous pouvez donc trouver un endroit sûr pour la développer, mais à la minute où vous réussirez, ils sauront grâce à cette signature énergétique qu’ils pourront capter.

David : C’est vrai.

Corey : C’est pourquoi ils observent ces personnes de très près, c’est très important qu’ils développent un profil de personnalité sur eux afin qu’ils puissent décider comment les approcher.

Certaines personnes, vous savez, le tout puissant dollar… S’ils leur offrent un milliard de dollars, ils vont signer le brevet très rapidement.

Pour d’autres, qui ont plus de principes, ils doivent menacer leur famille. Ils doivent faire pression sur eux. Et parfois, au bout du compte, ces gens meurent de cancers étranges, de crises cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux, de suicides.

David : On dirait que vous décrivez un type différent de ce que John Perkins a écrit dans son livre classique, « Confessions of an Economic Hitman ». Et il l’appelait « La campagne du révolver ou de l’argent »…

Corey : Um-hmm.

David : …où il entrait avec un pistolet dans une main et une liasse de billets dans l’autre, et disait : « Je vous donne un de ces deux-là avant de partir d’ici. Lequel voulez-vous ? »

Corey : Oui.

Même idée de base, hein ?

Corey : Même idée de base. Et, je veux dire, si cela peut fonctionner dans cette situation, les humains sont tellement les mêmes, qu’ils vont pouvoir s’en servir pour le secteur de l’énergie libre aussi.

David : Une autre histoire que Mark Comings m’a racontée, c’est que dans un autre groupe qui était au courant de ce genre de chose, ils ont essayé de construire un appareil à énergie libre où chaque composant était construit séparément et où les plans étaient séparés.

Et ce n’est qu’au moment où ils allaient le tester qu’ils demandaient à chacun des gars d’assembler une pièce différente de la machine, de la construire sur place, de la tester, puis de la démonter et de tout enlever.

Mais même dans cette situation, il a dit qu’ils se sont quand même fait coincer.

Corey : Eh bien, c’est facile parce qu’il y a des satellites qui couvrent presque chaque centimètre carré… chaque centimètre carré qui est important sur Terre.

Alors, même s’ils se sont regroupés très rapidement, ont assemblé cet appareil, l’ont allumé, puis que « les pouvoirs en place » ont reçu ce signal sur leur appareil – ils l’appellent un ping –, et ensuite ces gens ont démonté l’appareil, puis ils ont fiché le camp… eh bien, ils vont être capables de revenir en arrière – tout comme avec une cassette vidéo ‒ grâce aux satellites qui enregistrent tout, à tout moment, et ils vont aller au bon satellite, trouver le métrage, et retracer le parcours des gens pour voir d’où ils venaient.

David : C’est très intéressant que Mark Comings décrive le cristal qui brille. Je suis donc curieux de savoir si vous avez déjà été témoin d’une technologie cristalline étincelante dans l’un des objets que vous avez vus.

Corey : J’ai vu les scientifiques travailler avec différents types de cristaux, de pierres et d’autres choses, et j’ai vu de très petits cristaux qui étaient carrés, de toute évidence fabriqués par l’homme, briller lorsqu’on leur appliquait un champ.

Et il y en avait… Rien ne les touchait physiquement. Oui, j’ai déjà vu ça.

David : S’ils vous donnent, disons, des milliards de dollars, et que vous les prenez. Est-ce qu’ils vous tueront plus tard, ou est-ce que vous pourrez vivre votre vie ?

Corey : Vous vivez votre vie très tranquillement, probablement sur une île isolée.

David : Très bien. [se tournant vers les téléspectateurs]

Eh bien, en gardant cela à l’esprit, voyons maintenant cette prochaine séquence d’interview avec Mark McCandlish discutant de la politique intéressante et effrayante autour de l’énergie libre. Jetez un coup d’œil.

LIBÉRATION DE L’ÉNERGIE LIBRE

Mark McCandlish : En fait, sortir cette technologie et la rendre utilisable est quelque chose qui va nécessiter de prendre toutes les précautions que nous avons dû prendre lorsque nous sommes passés de l’ère des chevaux et des calèches aux automobiles – vous savez, les accidents de voiture, ou les gens qui vont trop vite, ou qui renversent de l’essence, et les incendies.

Mais, vous savez, la technologie, si elle est correctement mise en œuvre, peut donner à l’industrie pétrolière la capacité de prendre toute cette chimie et de l’utiliser pour d’autres choses qui sont beaucoup plus précieuses en termes de retour sur investissement.

À un moment donné, il faudra que la communauté scientifique dans son ensemble se réunisse et qu’elle reconnaisse que la technologie est réelle.

Il y a eu suffisamment d’expériences, assez de brevets faits maintenant pour que quiconque qui est vraiment au courant, qui comprend les implications de la technologie, comprenne que si un consortium scientifique, un groupe de scientifiques, s’est réuni et a défini un plan pour mettre en œuvre le développement de la technologie d’une manière qui pourrait être utilisée de façon sécuritaire – en toute sécurité pour la production d’énergie, dans le seul but de sauver l’environnement de tous les impacts de la pollution qui s’est créée à cause des énergies fossiles, et plus encore à cause de l’énergie nucléaire, depuis la prise de conscience entraînée par Three Mile Island, Tchernobyl, et maintenant Fukushima…

Je veux dire, il y a maintenant des gens qui disent que dans 20 ans, l’océan Pacifique pourrait être mort à cause de tout le césium 137 qui est mis dans l’océan.

Et si nous pouvons utiliser la technologie pour produire de l’énergie et ne pas avoir à nous soucier de l’énergie nucléaire, des retombées et de la terrible empreinte des déchets nucléaires, alors je pense que nous serons beaucoup plus avancés. Je pense que l’environnement en bénéficiera vraiment.

* * * * * *

David : Donc, en ce qui concerne cette question de l’énergie propre, je pense que vous et moi sommes d’accord pour dire qu’elle est supprimée pour diverses raisons.

Selon vous, quelles sont les principales raisons pour lesquelles cette technologie n’est pas autorisée à voir le jour, malgré sa grande utilité concernant les problèmes que nous avons ?

Corey : La plupart de ces brevets ont été classifiés pour une seule raison.

La raison en est que si l’énergie gratuite est rendue publique, cela va faire chuter l’économie parce que le secteur de l’énergie représente une très, très grande partie de l’économie.

La vraie raison en est que ceux qui contrôlent le secteur de l’énergie ne veulent pas perdre leur pouvoir et leurs revenus.

[David approuve de la tête] On nous refuse ces technologies parce que quelqu’un veut être payé.

Un autre aspect de ceci est que si vous avez quelqu’un essayant de reproduire un de ces dispositifs d’énergie libre, et si on le sait, à distance, ils peuvent créer un déséquilibre dans le domaine de l’endroit où les gens font les tests, et ce qui devrait normalement être répétable – des expériences qui sont répétables –, cela ne fonctionnera pas.

Ils sont donc aussi en mesure d’influencer ça à distance, d’influencer sur la recherche des gens.

David : Très bien. Nous allons maintenant voir une séquence de Mark McCandlish dans laquelle il décrit non pas une situation d’ingénierie inverse, mais un engin extraterrestre réel et les circonstances qui s’y rattachent. Jetons un coup d’oeil.

COMPRENDRE L’ÉNERGIE DU POINT ZÉRO

Mark McCandlish : Depuis que j’ai découvert l’existence du Véhicule de Reproduction Extraterrestre « Alien Reproduction Vehicle » ou Fluxliner – ARV, une des choses sur lesquelles j’ai commencé à enquêter, c’est toute cette affaire d’enlèvements et de contacts avec des extraterrestres, et ce genre de choses, parce que je pensais que si ces gens rencontraient vraiment des êtres d’un autre système stellaire, il pourrait y avoir une chance – aussi mince soit-elle – qu’ils soient embarqués à bord de ces véhicules, et qu’ils aient pu faire le tour du vaisseau.

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Ils ont peut-être eu l’occasion de voir certains éléments du vaisseau.

Et j’ai vraiment eu beaucoup de chance, parce que l’une des trois jeunes dames sur lesquelles j’ai enquêté de façon très approfondie, a déclaré qu’après avoir subi des tests très horribles pour déterminer si elle représentait une menace pour les êtres qui se trouvaient à bord de ce véhicule, ils lui ont fait visiter le vaisseau.

Et l’une des zones dans lesquelles elle s’est rendue était une zone où se trouvait la partie centrale du système de propulsion. Bon nombre des éléments décrits étaient remarquablement semblables à ceux du Véhicule de Reproduction Extraterrestre [ARV].

Il y avait une colonne centrale. Il y avait des traces de contre-rotation, comme dans « la Cloche ».

Il y avait un petit disque, très semblable à l’objet qui se trouve dans l’ARV. Mais dans l’ARV, c’est le cas… on dirait le plancher du véhicule. C’est un disque de 9 pieds [2,7 mètres] de diamètre qui se trouve sous les sièges éjectables.

Mais sur la version extraterrestre, ce truc n’a que deux à trois pouces de plus de diamètre que la colonne centrale. Et la colonne était faite d’une substance semblable au verre, tout comme les matériaux utilisés dans l’ARV.

Il était assis dans une fosse au milieu d’une pièce circulaire, et le périmètre de la pièce était en quelque sorte une passerelle avec une rampe à son bord.

Mais elle a dit que lorsqu’elle a regardé dans la fosse et de l’autre côté, elle a vu que sous le plancher, il y avait cette substance semblable à du verre avec ces bobines intégrées, tout comme l’anneau de bobines autour de l’appartement de l’équipage dans l’ARV.

Mais la chose la plus fascinante dans sa description était que dans la colonne centrale, avec le petit disque au fond tournant dans une direction, la colonne elle-même tournant dans la direction opposée, qu’il y avait un fluide argenté métallique qui était à l’intérieur de cette colonne qu’elle pouvait voir sous le verre.

Et il y avait ces petites taches, ces taches brillantes et ces taches sombres qui tournoyaient un peu partout, mais elle a dit qu’on pouvait voir la turbulence dans le liquide.

Et le modèle de turbulence ressemblait à une série de cinq petites tornades qui tournoyaient en spirale autour de l’intérieur de cette colonne.

Ce qu’elle a vu ressemble beaucoup à ce que vous voyez quand vous avez une tornade F5. Vous avez le plus gros au milieu qui roule à 150 miles [240 km] à l’heure. Ça déchire tout ce qui est en vue.

Et puis, bien souvent, vous obtiendrez une série de petites tornades qui tournent dans la direction opposée, presque comme un engrenage planétaire. Et elles tournent en orbite autour de la principale au milieu.

Et le modèle de turbulence qu’elle voyait dans cette colonne ressemblait exactement à ce que vous verriez dans ces petites tornades soeurs qui tournaient autour d’un F5.

Et donc cela m’a dit que l’intérieur de cette colonne était un effet de cisaillement, où deux choses se déplacent l’une devant l’autre comme ça [les deux mains de Mark glissent l’une devant l’autre], ce qui signifie qu’il y a un autre cylindre à l’intérieur qui se déplace dans une direction. Et puis il y a un cylindre à l’extérieur qui se déplace dans la direction opposée.

Et c’est cet effet de cisaillement qui créait ces structures miniatures de type tornade à l’intérieur.

Ainsi, le fluide lui-même peut être vu se déplacer vers le haut. Donc, ça pose la question, d’accord, où va-t-il ?

Eh bien, s’il s’agit d’un système en boucle fermée – et cela remplit en quelque sorte certains des détails du Die Glocke, la Cloche –, c’est que si le liquide remonte, il doit redescendre quelque part.

Et la réponse, c’est que ça passe par le milieu. Donc c’est une boucle fermée. Il monte par les bords entre les deux cylindres et descend ensuite par le milieu.

Et si vous avez cette décharge électrique extrêmement puissante qui se propage à travers ce liquide, et que c’est fait de la bonne façon, si vous façonnez différentes parties du système de telle sorte que c’est comme un venturi, comme un entonnoir en haut, quand vous tirez de l’électricité au centre de cet entonnoir – parce que vous avez une électrode en forme d’anneau et ensuite une électrode en forme de cône au milieu –, vous obtenez ce qui équivaut à un éclair artificiel en boule.

La foudre en boule a été modélisée en laboratoire comme un torus, en forme de beignet. Ils ont fait ça.

Et ce qui se passe quand vous créez ce genre d’événement avec des tensions élevées, c’est que dans cet événement en forme de donut, vous avez les ions qui se déplacent non seulement autour du périmètre de cette forme de donut, mais ils se déplacent aussi à l’intérieur et à l’extérieur, en faisant une précession autour du périmètre de cette forme de donut.

Et ils créent un champ électromagnétique puissant.

Donc, ce que vous avez dans ce dispositif est une décharge d’électrons [ou « électrique », ou encore « dans l’électrode » ? ; ce n’est pas très clair à l’écoute…] qui crée ce qui équivaut à un anneau de fumée d’ions qui tirent vers le bas à travers la colonne. Les bords extérieurs caressent essentiellement les moustaches de cette électrode et dégagent toute la puissance qui est essentiellement tirée du vide de l’espace-temps.

Et c’est ainsi qu’ils tirent l’énergie de point zéro hors du vide – c’est avec ce système.

* * * * * *

David : Eh bien, c’est remarquablement technique. Et toutes sortes de lumières clignotent dans ma tête alors que nous l’écoutons dire ces choses, parce que vous faites partie des gens qui ont parlé d’un système de propulsion au mercure.

Mais étant donné le nombre de détails qu’il a dit et le fait que vous ne lui avez jamais parlé auparavant, quelle est la vérité dans ce qu’il dit en se basant sur ce que vous savez ici ?

Corey : Il l’explique bien mieux que moi. Et ils… J’imagine qu’au début, nous avons essayé d’utiliser du mercure, mais ils ont fabriqué d’autres métaux à base de gallium qui sont essentiellement des métaux liquides qui conduisent beaucoup mieux l’électricité, et lorsqu’ils sont exposés à des champs électriques élevés, ils ne se transforment pas vers l’or, ce qui se produisait lorsque nous essayions d’utiliser du mercure. Et j’en ai parlé en profondeur dans le passé.

David : Donc, l’idée essentielle qu’il y a un tube ou un guide d’onde d’aspect cristallin au milieu, et que le mercure ou tout autre métal liquide qui tourne est à l’intérieur de ce tube central, et qu’il y a des petits tourbillons en contre-rotation à l’extérieur du plus grand, tout cela semble vrai ?

Corey : Oui, c’est ça… Et les formes de donuts qui descendent ou montent selon la polarité… c’est-à-dire… dans quel sens les assiettes tournent. Le liquide monte et descend par le tube et redescend par le système.

David : Quand vous parlez de la forme d’un donut, est-ce que vous dites que c’est un vortex type donut dans le liquide que l’on voie ?

Corey : Oui, c’est comme un… On peut les voir monter les uns après les autres. Et ils sont parfaitement espacés les uns des autres.

David : Quand il dit que la foudre en boule se forme au centre, est-ce que cela signifie qu’il y a une sorte de sphère visible et rayonnante au centre du tube ?

Corey : Il disait que c’était quelque chose qui ressemblait à la foudre. Il décrivait ces tourbillons en forme de donuts qui arrivaient.

David : Oh. Ont-ils donc une luminosité, une lumière ?

Corey : Non, ça ressemblait à du liquide… ça ressemblait à du métal liquide poussé avec des tourbillons du même métal liquide à l’intérieur. On pourrait dire différents vortex.

David : Cet événement que cette femme avait vécu était décrit comme un enlèvement extraterrestre.

Pensez-vous, à la lumière de ce que nous savons maintenant, que cela pourrait provenir du programme spatial qui utilise des formes de vie programmables et ce genre de choses, étant donné à quel point cela ressemble à une sorte de version plus avancée de la technologie allemande que vous avez décrite?

Corey : Cela me semble non terrestre. Beaucoup de… Il décrivait que nous avions des plaques de 9 pieds, alors qu’ils avaient des plaques de 11 pouces qui suffiraient à remplir la même fonction.

David : C’est vrai.

Corey : Et ça a à voir avec le fait qu’ils sont beaucoup plus avancés que nous dans les sciences des matériaux. Ils peuvent donc créer une plaque supraconductrice qui produit ou manipule la même quantité d’électricité que nous, mais ils peuvent le faire avec une surface beaucoup plus petite.

David : Pourquoi pensez-vous qu’il a dit qu’il y avait des taches noires dans cette matière? Le matériau ne se comporterait-il pas au mieux s’il s’agissait d’une substance uniforme ou serait-il possible qu’il élimine la charge de certaines particules à certains endroits en les faisant distribuer ainsi ? Qu’est-ce que vous en pensez

Corey : Oui, ça expliquerait bien que ça aide à distribuer la charge.

David : Dans quelle mesure est-il commun pour les groupes extraterrestres d’utiliser ce type de guide d’ondes et de système de propulsion à métal liquide où le guide d’ondes est comme un tube qu’on peut voir au milieu de l’engin?

Corey : Je crois que c’est assez courant. Et c’est une des méthodes que certains groupes moins avancés utilisent. Il y a des moteurs temporels beaucoup plus avancés et d’autres types de systèmes de propulsion beaucoup plus avancés que celui-ci.

Mais quand on a des non-terrestres… Quand on pense aux non-terrestres dans l’univers, ils se situent à des niveaux différents de développement technologique.

Et il n’est pas rare non plus d’entendre parler d’une personne enlevée qui reçoit une visite guidée. J’ai lu des informations sur les visites guidées, l’équipement, les cartes des étoiles, d’autres informations. Ce n’est donc pas inhabituel non plus.

David : Très bien. Ensuite, nous entendrons Mark McCandlish parler d’une histoire de crash très inhabituelle. Allons voir ça.

RÉCUPÉRATION DE VAISSEAU AVANCÉ

Mark McCandlish : J’étais dans un petit cybercafé ou cybercafé utilisant un ordinateur parce que mon ordinateur avait été piraté, alors j’empruntais leur ordinateur.

Et j’étais occupé à vérifier mes courriels, et sur le côté, je pouvais entendre cette conversation entre deux personnes qui parlaient de ferrofluides magnétiques – des fluides à base d’huile. Ils ont beaucoup de particules métalliques qui réagissent au magnétisme parce qu’ils ont du fer. Et ils se demandaient si ça avait quelque chose à voir avec un système de propulsion.

Et donc mon oreille, mon attention a un peu augmenté. Et le type parlait d’un accident dans un véhicule, et j’ai dit : « De quoi vous parlez ? »

« Oh, on ne peut pas en parler. »

J’ai dit : « Je vais vous dire ce que je sais, et si vous pensez que c’est assez intéressant pour vous, dites-moi ce que vous savez. »

L’un de ces deux gars était dans l’armée. Il était… Apparemment, il faisait partie d’un équipage, d’un groupe, d’une unité qui venait d’être formée. Ce n’était même pas encore dans les livres.

Et il s’avère plus tard que c’est comme ça que j’ai découvert que c’est ainsi qu’ils mènent beaucoup de ces opérations classifiées : ils créent une unité, mais avant que cela ne soit inscrit dans les livres, avant que cela ne fasse partie du dossier historique, il y a déjà des gens qui travaillent dans cette unité. Ils partent en mission, peut-être deux ou trois, puis ensuite, tout est dans les livres pour ce qui est de l’existence de l’unité.

Mais avant s’en être arrivés là, il n’y a pas d’accès aux documents relatifs à cela grâce à la Loi sur la liberté d’accès à l’information, car officiellement, cela n’a jamais existé. Et c’est ce qu’était cette unité.

Et juste à la fin de la guerre froide, alors que l’Union soviétique était en train de s’effondrer et qu’on parlait beaucoup de la réunification de l’Allemagne de l’Est et de l’Allemagne de l’Ouest, il y avait des agents doubles – des gens qui travaillaient pour la communauté du renseignement des États-Unis et qui faisaient partie du gouvernement est-allemand.

Et la mission de ce jeune homme était d’entrer, de faire une insertion en Allemagne de l’Est – vous savez, en rase-mottes, en dessous du radar, littéralement – et de rassembler certaines des personnes qui opéraient à l’intérieur en tant qu’agents doubles parce qu’ils craignaient vraiment que ces personnes soient tuées une fois que le gouvernement aurait commencé à s’effondrer.

Et ils étaient au milieu de cette mission – ils se rendaient à un point de ramassage pour récupérer une de ces personnes – lorsqu’ils ont été redirigés vers le lieu de l’écrasement.

Le véhicule lui-même… Je ne sais pas comment s’appelle le véhicule, mais je peux vous le décrire.

Imaginez une grosse pointe de flèche noire avec une extrémité émoussée ici [laissant une main devant le visage] et une longue extrémité pointue ici [l’autre main est tendue jusqu’à environ 60 cm].

Sauf que quand cette chose volait dans les airs, elle volait avec la pointe émoussée vers l’avant.

Il y avait un cockpit qui ressemblait beaucoup à celui du F-117A avec les petites dents de scie autour des fenêtres. Et le bord de l’auvent présentait le même type de coupe en dents de scie dans l’architecture du véhicule.

Vue de face, l’appareil ressemblerait à un triangle. Sur le côté, il ressemblerait à une pyramide étirée sur l’un de ses trois angles.

Ensuite, sous chacun des coins avant se trouvait une sphère blanche d’environ 24 à 30 pouces [60 à 75 cm] de diamètre, intégrée dans la carrosserie du véhicule à chaque coin de l’avant.

Et puis environ aux 2/3 du chemin de retour, sur la longue pointe, il y avait une troisième sphère.

Les sphères étaient maintenues en place par un fermoir à trois volets, presque comme une perle sertie dans un anneau, c’était argenté, cela semblait articulé et pointé dans différentes directions pour peut-être diriger le véhicule.

Au moment où il est arrivé, dans le cadre de cette opération de sauvetage, il y avait deux techniciens avec des blouses blanches et tout ce qu’il faut, qui sortaient d’importants composants du poste de pilotage. Ils enlevaient des composants et on les transportait ailleurs.

Le véhicule s’était écrasé parce que le pilote effectuait une sorte de mission de surveillance, qu’il effectuait un vol en rase-motte à l’aide de ce système, qu’il traversait une vallée située à environ 10 kilomètres au sud-ouest de la ville de Halle, H-A-L-L-E, en Allemagne de l’Est.

Et il est monté sur une crête, et il a coupé le sommet d’un grand pin avec le coin avant gauche du véhicule, et cela a pratiquement arraché le coin, écrasé la sphère qui était à ce coin.

Et le véhicule a immédiatement commencé à plonger vers la gauche et vers le bas en raison de la perte de ce support, quel que soit le mécanisme de propulsion.

Et donc, pour tenter de ne pas s’écraser, il a essayé de basculer le plus à droite possible, et il a levé le nez vers le haut, mais il a de toute façon impacté le flanc de la colline. C’est la queue qui a touché en premier.

Et quand c’est arrivé… Lorsque la queue a heurté en premier le flanc de la colline, elle s’est fissurée et a ouvert la structure du fuselage à l’endroit où cette troisième sphère se trouvait dans la longue extrémité pointue.

Et cette sphère commença à s’élever et flottait autour de la colline quand ils arrivèrent.

Et le fermoir à trois volets s’était détaché, mais la sphère elle-même était pratiquement intacte. Il l’a décrite comme une citrouille blanche en céramique avec des stries verticales comme dans une citrouille.

Mais ensuite, chacune des stries individuelles avait un festonnage, presque comme les tuiles de terre cuite sur une architecture de style missionnaire.

Il y avait ce genre de chose. . . On aurait dit que la forme avait été conçue pour créer des turbulences à l’intérieur du vaisseau.

Tout en haut, il y avait un conduit électrique, de couleur métallique, comme une couleur d’aluminium brossé, avec un certain nombre de fils qui en sortaient.

Maintenant, il a décrit cette chose comme étant dans une sorte de danse, juste à quelques dizaines de centimètres au-dessus de la surface du sol, et de temps en temps, elle commençait à tourner rapidement et sautillait de-ci de-là.

Et elle s’élevait un peu plus haut du sol, puis il y avait une décharge électrique entre deux des fils qui sortaient de cette chose, puis elle se calmait et descendait à nouveau.

Ils ont donc été chargés de capturer cette sphère. Et l’objet faisait périodiquement cette petite danse un peu énergique, et ils devaient donc en quelque sorte l’enregistrer pour la capturer à un moment où elle n’était pas trop énergique.

Et ils avaient l’une de ces grandes valises en aluminium jaune utilitaire que les militaires sont réputés utiliser, avec une charnière de piano d’un côté et les ridoirs de l’autre. Vous savez, vous les rapprochez et vous fermez bien serré.

Ainsi, lorsqu’ils se sont approchés de cette chose comme ceci [Mark a le dos des mains jointes et les mains écartées, pour signifier la valise ouverte comme une mâchoire en direction de la sphère] pour essayer de la refermer autour d’elle, l’aluminium reflétait apparemment un champ magnétique créé par cet objet.

Et ainsi, quand ils essayaient de s’en approcher, ça s’éloignait un peu. Il était repoussé par l’aluminium.

Alors, ce qu’ils ont trouvé, c’est qu’ils ont enlevé le couvercle de cette valise en défaisant le… en glissant la charnière du piano et en dégageant les goupilles. Ils ont glissé le couvercle sous ce truc. Puis, ils ont abaissé la moitié inférieure de l’affaire par-dessus, ils ont enclenché la charnière, fermé les ridoirs, puis ils ont relâché la valise.

Et la valise a fait « vrouff » [geste de mouvement rapide] et s’est levée comme une pierre tombale.

C’était vraiment effrayant d’après ce qu’ils ont dit.

Mais ils ont fait venir – et c’est vraiment fantastique – ils ont amené un super étalon CH53 avec une longe synthétique très longue – au moins 100 pieds [30 mètres] – sur laquelle ils ont accroché ce conteneur.

Apparemment, c’était tellement puissant du point de vue des champs magnétiques qu’il produisait, qu’ils craignaient que cela fasse foirer l’avionique de l’hélicoptère, et ils sont partis de là.

Il y avait des Navy Seals de la Marine avec des cabans et des casquettes de gardien de nuit. Ils avaient les M-16 avec les lance-grenades.

Ils avaient deux hélicoptères Cobra, entièrement armés avec les missiles et tout le reste, en orbitaient autour du site.

Et ils ont ramassé autant de débris qu’ils ont pu, qui ont été transportés jusqu’à un véhicule qui se trouvait sur une route pas trop loin.

Et puis ils ont mis des grenades thermites dans ce qui restait du fuselage et l’ont brûlé entièrement.

* * * * * *

David : Je n’avais même pas réalisé que personne n’avait jamais fait une description aussi détaillée de ce que vous appelez un Dart [en français : une Flèche].

Dans quelle mesure cela ressemble-t-il à ce que vous avez décrit [comme appareil] qui vous ramassait chez vous ?

René Armenta, sur les indications de Corey Goode, a réalisé un remarquable visuel vidéo en images de synthèse représentant la façon standard dont un vaisseau Dart est venu à plusieurs reprises chercher Corey à un point de rendez-vous prédéterminé, puis a redécollé pour se rendre en quelques instants à la base secrète du LOC (le Centre d’Opérations Lunaires), sur la face cachée de la Lune. Cette base est d’ordinaire masquée par un voile holographique et elle n’apparaît au regard que lorsque le poste de contrôle du LOC coupe momentanément l’hologramme de masquage/dissimulation.

Cette séquence vidéo était à l’origine diffusée intégralement dans un épisode ultérieur de « Divulgation Cosmique », dans la Saison 10 (diffusée en 2018), avant que cet épisode n’ait été brutalement et scandaleusement supprimé par la chaîne TV Gaia.com lorsqu’elle a remanié en 2019 la composition des Saisons de l’émission (signalons aussi que dix-sept autres précieux épisodes avec Corey Goode et David Wilcock, inclus au départ dans les Saisons 9 à 11, ont également été supprimés à cette triste occasion, dont 8 où Corey Goode était en binôme avec Emery Smith, toujours interviewés par David Wilcock ; ces 18 épisodes, à présent cruellement manquants sur la chaîne TV Gaia, seront bien sûr tous réintégrés dans cette intégrale le moment venu, les matériaux de ces épisodes ayant été sauvegardés ailleurs !…).

Cette séquence est encore visible, pour ses deux premiers tiers, dans le documentaire « Behind Majestic », à partir de 44’45 » :

Les deux derniers tiers de cette séquence sont quant à eux visibles dans un extrait du célèbre documentaire de divulgation « Above Majestic » la séquence sur le Dart commençant à 1h22’37 ».

Vous pouvez lire la transcription complète du documentaire Above Majestic que j’ai passé plus de deux jours à faire, un boulot énorme que je ne regrette vraiment pas...Miléna

Comprendre ce que « Divulgation Cosmique » veut réellement dire

Corey : Eh bien, nous avons récemment eu une image du Dart qui a été produite.

David : C’est un lien étonnant. Juste… Ils sont tellement semblables dans leur apparence que je me demande s’il y a des différences, ou si c’est juste que votre illustrateur n’a peut-être pas la capacité de saisir toutes les nuances.

Corey : Il n’a pas saisi toutes les nuances, mais c’est très proche. On dirait un précurseur [l’appareil dont parle McCandlish] de ce qu’on appelle le Dart, maintenant…

David : C’est vrai.

Corey : …parce qu’il y a un équipage – la cabine de l’équipage, elle est faite pour deux personnes. Il y a des places pour deux personnes. Et à l’arrière, il y a des places pour trois personnes.

David : C’est vrai.

Corey : Et…

David : Dans le Dart où vous étiez ?

Corey : Dans le Dart où j’étais.

David : C’est vrai.

Corey : Et il y avait aussi ces coupoles rouges ou bordeaux, trois dômes qui pendaient depuis le dessous.

Et je me suis demandé pourquoi, et quand j’ai demandé : qu’est-ce qui propulse l’engin ? Qu’est-ce qui le fait fonctionner ? Et ils me disaient qu’ils avaient des couilles disco.

David : Ha, ha, ha !

Corey : Et je pensais qu’ils se moquaient juste de moi, mais après avoir vu cet orbe qui flottait de-ci de-là et comment il était décrit [par McCandlish], ça pourrait très bien être ce à quoi ils faisaient référence.

David : Wow !

Corey : Et ça m’a frappé quand je regardais cette vidéo.

David : Même vous, vous êtes surpris et vous apprenez de nouvelles choses ici.

Corey : Oui. Et comment il a décrit que vu depuis l’avant et d’en haut, il ressemble à un triangle, et je l’avais décrit [le Dart] ressemblant à une pyramide. C’est construit comme une pyramide sur le côté. C’est exactement ce à quoi ça ressemble.

David : Pensez-vous que le Dart sera l’un des engins les plus utilisés dans un monde post-divulgation, que nous en verrons beaucoup ?

Corey : Différentes versions, oui.

David : Une des choses que j’ai remarquées pendant que nous observions cela, c’est que vous avez eu un choc visible, ou du moins une surprise, quand il a décrit l’Allemagne avant l’effondrement du mur de Berlin, et l’idée qu’un hélicoptère américain aurait pu y aller pour effectuer une opération de récupération en cas d’écrasement.

Quelle a été votre réaction ?

Corey : Je pense que cela prouve très bien la collaboration aux plus hauts niveaux entre l’Union soviétique et l’Occident à cette époque.

David : Ah !

Corey : Parce qu’il y a… N’importe qui ayant vécu pendant cette période de temps sait qu’il n’y a aucune chance que nous puissions voler, en particulier des moyens aériens, en Allemagne de l’Est pendant cette période. Ils seraient rapidement démolis.

Ils avaient des défenses aériennes partout. Ça l’aurait été… Je pense qu’il aurait été impossible d’y installer des moyens aériens sans la collaboration entre les États-Unis et l’Union soviétique au plus haut niveau, là où l’on discute des Programmes Spatiaux Secrets.

David : Un de mes initiés originels a décrit avoir dû transporter 26 boîtes de documents très sensibles pour un ami à lui qui était un franc-maçon de haut niveau. Et ils ont dû le faire très rapidement en une nuit parce qu’il y avait une faille de sécurité.

Et comme gratification pour avoir risqué sa vie pour cela, il a pu ouvrir une des boîtes. Et ce qu’il a dit, parmi plusieurs choses fascinantes dont j’ai déjà parlé, c’est qu’il a vu un document des États-Unis qui a apparemment été remis à tous les pays du monde.

Et on leur a dit : « Si un OVNI s’écrase dans votre pays, laissez-nous nous en occuper parce que du matériel biologique pourrait sortir, la radioactivité pourrait sortir, tout ce genre de choses. »

Pensez-vous que ce document est, en fait, vrai ? Et pensez-vous que c’est quelque chose que les États-Unis gèrent généralement partout où cela se produit ?

Corey : Les États-Unis s’en chargent, mais les Soviétiques ont aussi un groupe de réaction important. Je crois que nous l’avons appelé… Au moins dans l’armée, ça s’appelait Pounce, Operation Pounce [en français : « Opération récupération éclair »]. Pour tous les objets non terrestres qui tomberaient sur la Terre, ils iraient les récupérer.

Ainsi, les Américains allaient récupérer des objets à l’étranger. D’habitude, les pays étrangers nous le faisaient savoir, non seulement parce qu’ils avaient peur et nous prenaient au mot, mais aussi parce qu’il y avait eu des incidents, comme au Mexique.

Dans la Zone du Silence, il y a eu un OVNI qui s’est écrasé et ils ont envoyé des équipes Pounce américaines en tenue NBC [Nucléaire-Biologique-Chimique] complète pour récupérer l’engin. Et quand ils l’ont fait, il y avait, je crois, des militaires mexicains qui étaient morts à la suite de l’exposition à cette technologie.

David : Vous avez mentionné que l’une des cinq factions du programme spatial était la Société Galactique Mondiale des Nations.

Pensez-vous que les dirigeants mondiaux à qui on dit ‒ essentiellement sous la menace d’une arme à feu ‒ de renoncer à ces objets très précieux qui s’écrasent dans leur pays, qu’ils sont emmenés [en compensation] dans une sorte de base spatiale, c’est comme une gratification pour les faire taire, les garder heureux, comme s’ils étaient à l’intérieur de quelque chose ?

Corey : Oui, c’est la raison pour laquelle ce programme particulier a été mis sur pied, pour donner un siège à d’autres pays qui connaissent le programme spatial, mais c’est aussi pour les inciter au silence à ce propos, pour les empêcher de l’annoncer.

David : Très bien. C’est tout le temps dont nous disposons pour cet épisode. C’est absolument fascinant. Tous les poils de mes bras se sont dressés quand j’ai vu l’image du Dart qui sautillait devant moi tout à l’heure. [Corey sourit en approuvant de la tête]

Eh Corey, vous venez de hocher de la tête [sourire].

Corey : Oui.

David : C’est donc vraiment étonnant de travailler là-dessus pendant tant d’années et de voir des sources complètement isolées vous donner presque exactement la même chose.

C’est là que la véritable divulgation commence à se produire.

Et cela n’arrive qu’ici sur « Divulgation Cosmique », vous apportant la pointe de la lance pour une Divulgation Complète. Merci d’avoir regardé, et à la prochaine fois.


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