« Israël, béni soit celui qui te bénira, et maudit soit celui qui te maudira! »
Il existe de nombreuses façons de manquer de respect à quelqu’un. Ernie Terrell l’a fait à Muhammad Ali lorsque, avant leur match de championnat, il a appelé Ali à plusieurs reprises par son nom de naissance : Cassius Clay.
Le soir du 6 février 1967, un Muhammad Ali surmotivé a récompensé Terrell pour son insolence en lui infligeant une raclée en 15 reprises. Pendant le combat, Ali a puni Terrell par une combinaison de coups de poing et de « Comment je m’appelle ?! ». Vers la fin du combat, un Terrell épuisé a finalement avoué à son bourreau : « C’est Muhammad Ali. »
Dans un discours télévisé du 18 juin, le dirigeant iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, évoquant la guerre en cours avec Israël et répondant par la négative à l’appel du président Trump à la « capitulation inconditionnelle » de l’Iran, a qualifié Israël d’« entité sioniste ».
Ce faisant, il a perpétué la rhétorique iranienne, vieille de plusieurs décennies, qui désigne Israël sous les noms d’« entité sioniste » et de « Petit Satan ».
Ces insultes vont bien au-delà du manque de respect et de l’aversion.
Elles sont symptomatiques de la haine et du vitriol qui bouillonnent en permanence dans le cœur noirci des mollahs iraniens, qui ne souhaitent rien de moins que l’anéantissement de l’État juif.
Dans la Genèse, Jacob lutte toute la nuit contre un puissant être angélique. Jacob refuse d’abandonner le combat et, pour sa force, l’ange le bénit et lui donne le nom d’« Israël ».
L’Iran et ses alliés (le Hamas, le Hezbollah, les Houthis) s’efforcent de détruire l’Israël actuel, et cet Israël ne capitule pas non plus.
Il y a une semaine, sachant que l’Iran était proche de se doter de la bombe atomique et que les Iraniens n’hésiteraient pas à l’utiliser contre Israël, le Premier ministre Netanyahou a lancé une attaque surprise préventive contre les infrastructures nucléaires et militaires iraniennes.
« Volant comme un papillon et piquant comme une abeille », les attaques de précision de Tsahal ont stupéfié l’Iran.
À chaque succès, j’imagine le peuple d’Israël crier d’une voix unifiée à l’ayatollah et à ses mollahs: « Quel est mon nom ?! » « Quel est mon nom ?! » La réponse est Israël, bien sûr. ISRAËL.
Il ne s’agit pas seulement de l’avenir d’Israël, qui assume actuellement la majeure partie du travail. Il s’agit de l’avenir du monde.
S’il est vrai qu’Israël a subi de lourdes pertes, il domine actuellement le ciel iranien et inflige une lourde correction aux Iraniens.
Le président Trump a réfléchi à l’implication des États-Unis dans les combats, il a averti l’Iran qu’il serait sage de déclarer « No más ». Puis il a montré sa capacité à soutenir son allié :
J’attends avec impatience le jour où « entité sioniste » et « Petit Satan » seront définitivement rayés du vocabulaire iranien – et où « Grand Satan » sera également entendu pour la dernière fois.
Que Dieu bénisse Israël et les États-Unis.
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