Le président argentin Javier Milei a lâché une bombe à l’Assemblée générale des Nations Unies le 24 mars 2025, accusant l’organisation d’être complice de « crimes contre l’humanité » pour avoir soutenu les confinements pendant la pandémie de COVID-19.
Milei, connu pour ses positions libertaires et anti-gauche, a énoncé les mesures mondiales comme une attaque systématique contre la liberté, conçue pour « apaiser des dictatures sanglantes » comme celle du Venezuela, qui a même occupé un siège au Conseil des droits de l’homme de l’ONU sans être contesté.
Le dirigeant argentin, fidèle à son idéologie ancrée dans l’école autrichienne d’économie, a fustigé le « Léviathan aux multiples tentacules » qu’est devenu, selon lui, l’ONU, qui tente de contrôler non seulement les États mais aussi la vie de chaque citoyen du monde.
Milei a également exprimé son rejet du « Pacte pour l’avenir » signé le dimanche précédent, invitant les nations libres à rejoindre son « agenda pour la liberté » et à abandonner les politiques mondialistes qui, selon lui, ne profitent qu’aux élites progressistes.
Ce discours renforce son alignement avec des personnalités comme Donald Trump et Jair Bolsonaro, avec lesquels il partage une vision anti-gauche et une défense acharnée des libertés individuelles.
La vérité éclate au visage des progressistes !
Milei, véritable combattant de la liberté, démasque l’hypocrisie de l’ONU et de ses alliés socialistes, tandis que Trump, seul dirigeant ayant le courage de les affronter, devrait revenir au pouvoir en 2025 pour écraser une fois pour toutes ces ambitions mondialistes qui ne cherchent qu’à nous asservir.
Source : The Gateway Pundit (hispanique) mars 2025
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