Depuis la maison supérieure du paradis, où demeurent ceux des étoiles et nos ancêtres, que leurs bénédictions viennent à nous maintenant !
Extrait de la Prière aux 7 directions galactiques
Récemment, une personne très chère à mon cœur est décédée de manière inattendue. C’était le Kin 68, et je le connaissais comme d’autres aussi, sous son nom spirituel Sham Tok Maru.
Son décès a provoqué en moi une profonde réflexion et une réorientation intérieure. Beaucoup d’entre nous le connaissait. Il menait chaque semaine la méditation Silio sur l’application Lawoftime. Il était parmi les êtres les plus disciplinés et les plus honorables qu’il m’ait été donné de rencontrer.
J’ai songé à lui dédier un hommage, mais il n’accordait aucun intérêt à tout ce qui était public. Il était un pratiquant de l’hermétisme et préférait œuvrer sur les plans intérieurs et ne recherchait jamais les honneurs extérieurs.
Au cours des neuf dernières années, depuis le décès de José Argüelles/Valum Votan, il fut parmi les êtres les plus proches de moi ; plus particulièrement au cours de l’année 2020 où il a grandement soutenu ce travail en coulisses. Ses connaissances, sa capacité à étudier et à appliquer les codes synchroniques les plus avancés étaient sans pareil.
En son honneur, je partage un de ses passages favoris extraits des Chroniques de l’histoire cosmique. Cet extrait honore également le Kin 89, Lune rouge spectrale qui correspond au 16° tour de Tzolkin depuis le décès de José Argüelles/Valum Votan.
Je dissous afin de purifier – En libérant le flux, je scelle le processus de l’eau universelle avec la tonalité spectrale de la libération. Je suis guidé(e) par mon propre pouvoir doublé.
Cet extrait est l’introduction du Livre du Cube, le septième et dernier tome des Chroniques de l’histoire cosmique. Les six premiers tomes ont été réalisés ensemble avec José Argüelles/Valum Votan. Et si je n’avais pas terminé ce livre, je n’aurais probablement pas rencontré Sham Tok Maru, car c’est ce livre qui a contribué à activer sa mission, qui nous a connectés comme avec tant d’autres. Cette vie est réellement mystérieuse.
Je dédie cet extrait à toutes les personnes qui ont perdu un être cher, en sachant que nous nous reverrons un jour et que nous comprendrons tout.
Le mystère de la vie et de la mort
De la mort, ce livre est né. Cette introduction a commencé par un rêve : un jour de pleine lune, en Nuit bleue galactique ; 114 jours après le départ de José Argüelles/ Valum Votan.
“ Ne crains rien ! ” m’a dit Valum Votan dans ce rêve. “ Ne me pleure pas ! Lève-toi et avance !… N’aie pas peur ; le monde est juste une illusion. Une façade en plastique, malléable par la vérité. ”
Dans ce rêve, il tendait un cube en cristal. Il le déplaçait pour que je me concentre. J’ai d’abord regardé dans le cube et je ne voyais rien que des reflets superficiels. Je l’ai fixé plus longtemps et soudain, j’ai remarqué une grande route bordée d’un petit nombre de maisons. J’ai aperçu un éclat lumineux qui provenait de quelques maisons. Je fus ensuite soulevée au-dessus de la Terre et, avec une vision à rayons X, j’ai vu des résidences particulières s’allumer autour de la planète.
J’ai réalisé qu’il m’avait été donné accès à la vision de la lumière de ces êtres qui s’étaient engagés dans une profonde transformation. Ces agents de lumière se reflétaient, à travers le cube, en différentes fractales, formant ensemble le plus exquis et fantastique tout ! Leurs esprits fusionnaient en un réseau télépathique de lumière. En même temps et simultanément, ils ouvraient chacun un canal différent, unique et brillant. Ils étaient les sages, ceux qui font advenir les choses, les gardiens de la prière intérieure, les co-créateurs de la nouvelle réalité !
Tout à coup, je me retrouvais à nouveau sur cette grande route et mon esprit fut captivé par une maison en particulier. Je fus invitée à entrer par des signes télépathiques dans la la maison d’une femme. Mon esprit planait au-dessus d’elle et elle semblait calmement et joyeusement consciente. Elle portait une bougie, elle alla vers un bureau et s’assit. Je la regardais alors qu’elle écrivait ces mots :
La grande guerre est terminée, et les jours de doute sont passés.
Quel profond soulagement ces mots m’ont apporté ! Puis, mon attention revint à Valum Votan, qui souriait et tenait le cube magique de vision.C’était le soir à présent et les étoiles scintillaient dans le ciel clair quand il entra à l’intérieur, fit un feu et y posa la bouilloire.
C’est là que je me suis réveillée de ce rêve.
Où suis-je ? Et comment suis-je arrivée ici ? L’aube pointait, et lentement, les couches de cette réalité se mettaient en place, une à une avec toutes leurs tensions et densités subtiles. Une immense pression et urgence m’emplissaient, mon cœur battait rapidement. Une pensée unique à l’esprit : Finis le Livre du Cube ! Je me levais immédiatement du lit et me mettais au travail.
Ainsi, j’étais ici, laissée seule dans cet endroit reculé de l’hémisphère sud qu’il avait appelé Moronga Morove (le nom aborigène pour désigner le Serpent arc-en-ciel), répandant ses cendres aux vents et autour des arbres afin qu’ils transportent les vibrations galactiques du Temps du rêve tout autour de la planète.
La méditation du cube s’empare de moi et ne me laisse aucun répit – de jour comme nuit – jusqu’à qu’il soit achevé. C’est l’hiver. Les vents hurlent. Le feu brûle. Le thé dans la bouilloire. Les codes sont éparpillés sur la table et tout autour sur les murs. Assise, emmitouflée dans mon poncho arc-en-ciel et coiffée de mon chapeau inca, il me semble plus facile de m’accorder au canal radio de ce courant spécifique d’informations galactiques… l’Histoire cosmique.
Je regarde par la fenêtre, alors qu’une force invisible dirige mes pensées. Des brumes sombres s’enroulent autour des eucalyptus. Je rassemble les courants de transmission alors que de nouveaux flux entrent. Je ressens la présence d’un Être d’intelligence qui regarde par dessus mon épaule, me guide, barrant ceci et ajoutant cela. D’abord lentement, puis très vite, le texte se met en forme de lui-même ; je m’abandonne au processus.
Au cours des neuf dernières années, j’ai traversé d’innombrables initiations alors que l’Histoire cosmique se déployait.
Dans les royaumes psycho-mythiques, je suis l’archétype de l’Initié du Serpent et Valum Votan, l’Illusionniste spectral. Son départ de cette planète (spectralisation) m’avait déjà fait traversé la plus profonde initiation. Où était-il allé ? Que signifiait tout ceci ? Qu’est-ce que la mort ?
La roue du temps fait tourner le cycle de la vie et de la mort. La signification de l’ordre cyclique qui se manifeste se trouve dans le mystère de la mort. Toute initiation est une sorte de mort. La mort doit avoir lieu avant la naissance d’un être qui pourra assimiler une nouvelle connaissance.
Au début, j’avais l’impression que mon plexus solaire s’arrachait de sa base et que mon équilibre était temporairement ébranlé alors que je luttais pour me réorienter physiquement et que mon esprit brûlait d’envie de le suivre hors de cette dimension. Mais j’ai compris que ma mission n’était pas encore terminée.
C’est alors qu’un message de réconfort est arrivé : Ne t’inquiète pas et ne me pleure pas. La mort est le facteur d’évolution de l’esprit ; c’est simplement un changement physio-chimique dans la matière tridimensionnelle ; son sens véritable est un rite de passage pour l’esprit. La mission continue. C’est un voyage sans fin de l’esprit. Toute chose et chacun qui a été, est ici avec toi maintenant. Les assistants de l’esprit t’entourent et te guident. Ceux qui se souviennent du rêve t’aideront.
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