Dans les années 1970, des rumeurs ont commencé à circuler sur l’existence d’une civilisation inconnue dans les eaux de l’océan mondial. Ils vivraient dans des villes cachées au fond et voyageraient dans de petits véhicules.
Ces créatures ne remontent jamais à la surface et on ne sait pas si elles sont des habitants de la Terre ou si elles sont arrivées sur notre planète en provenance d’une autre planète.
Les scientifiques ont généralement considéré ces informations avec méfiance et les ont considérées comme pseudo-scientifiques. Jusqu’à ce que l’océanographe australien Patrick Grenier organise une plongée bathyscaphe dans le golfe du Mexique, où des témoins oculaires ont affirmé avoir rencontré des effets étranges, des lueurs et même vu des dispositifs étranges à la surface même de l’eau.
Le rapport de son expédition et de ses recherches a été classé « secret » pendant longtemps. En 2020, les informations sont devenues disponibles grâce aux actions de pirates informatiques. Il s’est avéré que les scientifiques ont non seulement découvert des traces de civilisation dans l’océan mondial, mais connaissent également l’emplacement de l’une des villes de ces créatures.
Lors de sa plongée, Patrick Grenier a atteint le fond à 600 mètres. C’est ici que commence l’étape principale de collecte d’informations. Les sonars ont détecté un signal inhabituel provenant de quelque part dans l’obscurité totale de l’océan. En se dirigeant vers sa source, l’océanographe a rencontré quelque chose d’inexplicable. Tous les instruments de l’appareil se sont éteints et l’image d’une créature invisible est apparue sur l’écran. Il faisait des bruits étranges. Le chercheur pensait qu’il s’agissait de tentative de communication et qu’un habitant du monde sous-marin essayait de lui parler.
Patrick n’a ressenti aucune peur, même si l’arrêt de tous les équipements le menaçait d’inondation et de mort. Il essaya de parler, leva les mains, fit des gestes, montra qu’il était arrivé en paix et qu’il était un scientifique de la surface. À travers le hublot, l’homme vit quelque chose de grand et de brillant s’approcher de son appareil. C’était définitivement une technologie. Le bathyscaphe de l’Australien a été pris en remorque, bien qu’à distance par une technologie inconnue.
Soudain, après l’obscurité totale, une lumière a frappé le hublot, et il n’y avait plus d’eau autour. Patrick sortit du bathyscaphe et fut immédiatement aveuglé à nouveau, cette fois par une sorte d’appareil. Le faisceau qui en émanait enveloppait tout le corps de l’homme, probablement en train de le scanner. Après cela, Grenier suivit plusieurs créatures. Ils ont fait visiter leur colonie à l’homme. L’océanographe était tellement impressionné qu’il ne pouvait contenir ses émotions. Cela peut être vu dans les entrées du journal :
Je me suis retrouvé sur le territoire d’une structure en forme de dôme. Ici, tout est high-tech – un niveau de développement complètement différent du nôtre. Alors que l’humanité est fière de son exceptionnalité, une civilisation vit paisiblement au fond de l’océan, sans guerres, maladies, armes, politique, économie, etc. Il s’agit d’un niveau de société totalement différent. Nous n’avons aucun prérequis pour nous approcher du niveau de développement de ces créatures.
Bien sûr, ce qu’il a vu a étonné l’homme. Pour comprendre leur niveau de développement, il suffit de lire ce passage :
Le dôme de la ville est une installation gigantesque. À son contact, l’eau est purifiée. C’est ainsi qu’elle est potable. Les impuretés ainsi éliminées sont également utilisées. Le composant biologique permet la culture d’aliments nutritifs à partir de celui-ci dans des dispositifs spéciaux. Des composés minéraux et des molécules métalliques utiles sont multipliés à l’aide d’un fantôme moléculaire quantique. Ou quelque chose de similaire.
Malheureusement, la barrière de la communication nous empêche d’apprendre les détails de cette technologie. Mais, relativement parlant, après avoir reçu une cellule vivante, ils en créent des millions de mêmes pour se nourrir. Et ayant acquis une molécule d’une certaine substance, ils utilisent la matière universelle pour en créer des similaires.
Les habitants des fonds marins sont toujours vêtus de combinaisons spatiales, mais en réalité, ce n’est pas le cas :
« Si j’ai bien compris, ce sont des combinaisons spéciales qui leur permettent de vivre dans un environnement habitable. Elles protègent leurs corps fragiles de toutes les maladies, bactéries et autres influences. »
La lumière du soleil est nocive pour ces créatures, leur habitat se trouve donc dans les profondeurs de l’océan. La lumière qu’ils utilisent ici est étrange – c’est une sorte de moyen astucieux d’accumuler la fluorescence de la vie marine pour leurs propres besoins.
À la fin du rapport, Patrick expliquait pourquoi il était impossible de trouver cette ville :
« Ce n’est pas une invention. Le niveau de développement permet de dissimuler la colonie. De la rendre non seulement invisible, mais aussi de la transférer ailleurs dans l’océan ou de la dématérialiser. On peut, comme je l’ai fait, suivre un signal faible jusqu’à sa source. S’ils décident de nous laisser passer, nous aurons alors une chance de voir ce que j’ai pu voir. Sinon, l’humanité pourrait encore se divertir pendant des milliers d’années en se demandant ce qui la caractérise, sans même se douter que des civilisations bien plus développées vivent littéralement à proximité. »
L’océanographe voulait publier cette information comme un message à l’humanité, mais il n’a pas été autorisé à le faire. L’information a été classée secrète et on ne sait pas combien d’années encore elle était censée rester cachée au public. Grâce au hasard, nous avons la possibilité d’apprendre au moins une miette d’information sur une autre civilisation.
Beaucoup de ceux qui ont déjà pris connaissance de cette histoire ont perçu l’information différemment. Certains pensaient qu’il s’agissait d’une fiction, tandis que d’autres étaient convaincus que les événements s’étaient réellement produits. Je ne peux pas le dire avec certitude. Ma tâche consiste uniquement à transmettre des informations au lecteur.
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