L’Enfer, c’est pour les Autres ! Les non-musulmans. Sérieusement ?! Quand l’eschatologie devient une loterie inversée !
Mesdames et messieurs, attachez vos ceintures théologiques, car voici un extrait sacré qui ferait passer un scénario de South Park pour une homélie modérée.
On le trouve dans le Sahih Muslim, Livre 37, Hadith 6666 (oui, oui, 6666, on dirait le gag d’un scénariste un peu trop fan de symbolisme démoniaque).
Voici la citation culte du jour :
« Aucun musulman ne mourra sans qu’Allah n’admette à sa place un Juif ou un Chrétien dans le feu de l’enfer. »
— Sahih Muslim 6666 (on ne s’en remet pas 😅)
Autrement dit : « Tu meurs peinard, t’as pas été top-top, mais t’inquiète, Allah a un quota de mécréants à jeter dans les flammes à ta place. Bonus fidélité garanti. »
La divine arnaque au ticket d’Enfer :
Mais alors… C’est ça, le business model céleste ? Tu pêches, tu mens, tu tapes ta voisine, mais comme t’es « du bon côté », tu passes direct au Paradis, pendant qu’un pauvre chrétien qui a passé sa vie à nourrir des orphelins en Ouganda finit rôti façon merguez cosmique ?!
C’est plus une religion, c’est une assurance tous risques à la Pascal Praud. Tu vis pépouze et c’est l’autre qui trinque. Littéralement.
Un Dieu comptable ? Ce hadith donne l’impression qu’Allah gère le Jugement Dernier comme une mauvaise compagnie aérienne low cost :
Nombre de places en Enfer : limité !
Si un musulman saute son tour, on overbooke un Juif ou un Chrétien à sa place ! C’est la sharia shuffle, édition brasier éternel. Et gare à vous si vous avez eu la mauvaise idée de naître du mauvais côté du Proche-Orient.
Contradictions, vous avez dit contradictions ?
Le Coran nous affirme pourtant :
« Nul ne portera le fardeau d’autrui. » (Sourate 6:164).
Mais ce hadith dit tout l’inverse, façon grand écart idéologique sans échauffement.
Heureusement, les savants musulmans ont la parade magique : « Oui mais c’est symbolique, voyez-vous. » Symbolique, comme la déclaration de patrimoine d’un député : ça rassure, mais ça ne reflète rien.
L’inversion morale totale : Ce texte sacré — ou faudrait-il plutôt dire ce ‘sacré texte’… n’est pas seulement absurde : il est profondément immoral. Il inverse tout principe de justice élémentaire. C’est comme si au tribunal, le juge déclarait :
« Bon, Monsieur Dupont, vous êtes coupable de meurtre, mais on va envoyer Monsieur Lévy à votre place, parce qu’on a un quota communautaire à respecter. »
Même Kafka n’aurait pas osé !
Mais alors, pourquoi un tel hadith existe-t-il ? Trois hypothèses :
– Humour noir du VIIe siècle ? Possible, mais le public a mal vieilli.
– Propagande théologique pour flatter les convertis ? Genre « Tu viens chez nous, t’es intouchable. »
– Ou simplement : une dérive sectaire déguisée en justice divine.
Conclusion (et feu d’artifice spirituel) :
Que l’on soit croyant ou non, ce genre de texte mérite d’être scruté à la loupe… et moqué sans pitié. Car quand la foi prétend légitimer le rejet, la punition arbitraire et la haine des autres, ce n’est plus du sacré : c’est de la théologie de caniveau. Version barbecue.
Oui, vous avez bien lu : ce n’est pas une blague, et le numéro 6666 est exact — vous pouvez vérifier par vous-même. Et surtout, prenez bien note : ce sont les paroles mêmes de celui que l’on nomme ‘le Prophète Mohamed’ (allez voir sur ce lien)
Abu Burda a rapporté sur l’autorité de son père que l’apôtre d’Allah (ﷺ) a dit :
Aucun musulman ne mourrait sans qu’Allah n’admette à sa place un juif ou un chrétien dans le feu de l’enfer. ‘Umar b. Abd al-‘Aziz prêta serment : Par Celui en dehors duquel il n’y a pas d’autre dieu que Lui, trois fois que son père lui avait raconté cela de la part du Messager d’Allah.
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