Lors d’un passage sur le plateau de CNN, la candidate démocrate Kamala Harris a insulté Donald Trump de fasciste. L’équipe de campagne du candidat républicain a décidé de lui répondre dans un communiqué.
Harris est une « perdante »
Steven Cheung, directeur de la communication au sein de l’équipe de campagne de Donald Trump, a voulu répondre à la candidate démocrate. En effet, cette dernière ou son entourage multiplient les parallèles entre l’ancien président des États-Unis et des régimes fascistes.
Kamala Harris a en effet insulté Donald Trump de « fasciste » lors d’une émission de grande écoute. Steven Cheung a répondu à la candidate démocrate par le biais d’un communiqué de presse :
« Kamala Harris est une pure perdante qui est de plus en plus désespérée parce qu’elle est à la dérive et que sa campagne est en lambeaux. C’est pourquoi elle continue de colporter des mensonges qui sont facilement réfutables ».
« Elle est méprisable »
Le directeur de la communication ne s’arrête pas là, il rajoute :
« Le fait est que la rhétorique dangereuse de Kamala est directement responsable des multiples tentatives d’assassinat contre le président Trump et qu’elle continue d’attiser les flammes de la violence. Tout cela au nom de la politique. Elle est méprisable et son comportement grotesque prouve qu’elle est totalement inapte à exercer ses fonctions ».
En somme, il est possible de constater une véritable radicalité qui s’est développée au sein des démocrates.
Les parallèles douteux avec le fascisme cachent en réalité l’incapacité de la candidate à retrouver une dynamique. Quitte à tomber dans la vulgarité politique la plus crasse. De plus, cette stratégie ne semble pas fonctionner puisque sa base est acquise aux idées de Donald Trump et qu’en parallèle les démocrates modérés trouvent la posture du parti de plus en plus radicale.
La candidate démocrate Kamala Harris était l’invitée de CNN pour répondre aux questions des Américains. La vice-présidente s’est focalisée sur des attaques à l’encontre de Donald Trump, ce qui a même entrainé des critiques dans son propre camp.
Trump est-il fasciste ? Harris : « Oui, je le pense »
À seulement 12 jours du scrutin, les démocrates enchaînent les déconvenues. La peur s’installe au sein du parti de l’âne qui tente par tous les moyens de relancer la campagne de Kamala Harris, en vain. Pourtant, la candidate était invitée sur le plateau de CNN pour répondre aux questions des citoyens américains et des journalistes. Une occasion parfaite pour revenir sur le devant de la scène.
Cependant, le journaliste Anderson Cooper de CNN a posé la question suivante :
« Laissez-moi vous demander ce soir, pensez-vous que Donald Trump est un fasciste ? ». Kamala Harris a répondu par la positive en affirmant : « Oui, je le pense. Oui je le pense. Et je crois que ceux qui le soutiennent devraient me croire à ce sujet ».
Des critiques dans le camp démocrate
Cette réponse de la candidate démocrate a entrainé de nombreuses critiques, émanant aussi de son propre camp politique. En effet, Mark Penn, ancien conseiller de Bill Clinton et d’Hillary Clinton a exprimé :
« En route vers la dernière ligne droite, Trump est offensif – détendu, allant chez Al Smith et McDonald’s, à la recherche des principaux électeurs catholiques et de la classe ouvrière. Harris semble sur la défensive – s’efforçant de regagner les électeurs noirs, qualifiant Trump de fasciste. C’est tout ce que vous devez savoir pour savoir qui gagne ou perd ».
Se rajoute à cela un sondage de l’institut Gallup qui souligne que 52% des Américains se sentaient mieux sous l’ère Trump que pendant le mandat de Joe Biden.
L’Administration Biden veut poursuivre pénalement Elon Musk
Le gouvernement américain souhaite poursuivre pénalement Elon Musk pour le lancement de sa loterie qui incite les citoyens à voter.
La loterie d’Elon Musk
Le New York Times a dévoilé la volonté du ministère de la Justice de poursuivre pénalement l’homme le plus riche de la planète. Cette décision résulte du lancement par Elon Musk d’une loterie. En effet, le patron de Space X a fait la promesse de donner un million de dollars par jour au hasard à une personne qui a signé sa pétition. Le but étant de protéger les deux premiers amendements de la constitution du pays.
Cependant, pour pouvoir participer à cette loterie, il est nécessaire d’être inscrit sur les listes électorales. Ainsi, le gouvernement voit d’un très mauvais œil le soutien d’Elon Musk à Donald Trump. Surtout depuis que Kamala Harris traine dans les sondages et ne retrouve plus de dynamique.
Une violation des règles électorales
Toutefois, de nombreux juristes et experts du droit ne sont pas convaincus de la possible violation des règles électorales par Elon Musk. Nate Persily, professeur à la Stanford Law School, a souligné :
« La question juridique pertinente est de savoir s’il s’agit d’un paiement pour inciter les gens à s’inscrire. Si c’est le cas, alors cela viole la loi. Si c’est un paiement pour inciter les gens à signer une pétition, alors ce n’est pas un problème. Cependant, nous sommes dans un nouveau territoire juridique ».
Pour le moment, les sondages sont extrêmement serrés entre les deux candidats. Donald Trump a une légère avance dans certains Swing State. Cette décision du ministère de la Justice est une preuve de plus soulignant que la peur gagne le camp des démocrates.
En effet, le parti de l’âne est inquiet de revivre une victoire du candidat républicain comme en 2016….
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