Dans une tribune publiée par le quotidien Die Welt, Elon Musk a indiqué que le parti AFD était, selon lui, « la dernière lueur d’espoir » pour le pays. Pourquoi Elon Musk mise sur l’AfD ? Difficile de répondre à cette question.
Mais revenons sur une info de 2022 : des armes biologiques militaires dangereuses ont été découvertes en Ukraine, selon le représentant permanent de la Russie auprès de l’Office des Nations Unies à Genève, Guennadi Gatilov.
Le but des armes biologiques était d’étudier le potentiel de maladies mortelles, telles que la fièvre hémorragique de Crimée-Congo.
Selon le site Freewestmedia.com, le projet aurait été financé par le ministère allemand des Affaires étrangères et par les forces armées allemandes.
Le public n’en savait rien. Comme c’est bizarre !
Lors de la session plénière de la Conférence du désarmement à Genève, le 31 mars 2022, le diplomate a exigé que ce programme, comme celui des États-Unis, fasse l’objet d’une enquête. Gatilov a mentionné qu’en plus de la Géorgie et de la Grande-Bretagne, l’Allemagne sous-traite également une partie de ses recherches sur les armes biologiques à l’Ukraine.
Échange de biomatériaux
L’Institut allemand de médecine tropicale a coopéré avec le ministère de la Santé ukrainien. Kiev s’est engagé à fournir des échantillons de sang de groupes ethniques slaves de différentes régions du pays.
En outre, des spécialistes allemands se sont rendus régulièrement dans les hôpitaux ukrainiens de Kiev, Kharkov, Odessa et Lemberg, où ils ont pu se familiariser personnellement avec les particularités de l’évolution de la maladie au sein de la population locale.
Ces villes disposent également de laboratoires américains d’armes biologiques. Des échantillons ont été échangés, entre autres, avec l’Institut Friedrich Löffler de santé animale.
Hunter Biden en plein milieu
Ha bah, comme c’est bizarre !
Gatilov a passé en revue les détails des recherches en biologie militaire menées par les États-Unis dans un réseau de plus de 30 laboratoires dirigés par les États-Unis en Ukraine. Les travaux ont été menés pour le compte et avec le financement des États-Unis.
Les entreprises sous-traitantes du Pentagone chargées de la recherche sur les armes biologiques étaient des sociétés bien connues telles que Black and Veach, Metabiota, CH2M Hill.
Le nom du fils du président américain, Hunter Biden, qui a joué un rôle central dans le financement des recherches mentionnées, apparaît également, comme l’a rapporté FWM plus tôt.
Travaux préparatoires aux pandémies camouflées
Le point principal de la recherche américaine était la possibilité de propagation d’infections particulièrement dangereuses causées par la grippe hautement pathogène H5N1, les agents pathogènes de la fièvre hémorragique, les virus Corona, etc.
Six familles de virus et trois types de bactéries pathogènes ont été isolés.
Ces virus se caractérisent par leur résistance aux médicaments et leur propagation rapide de l’animal à l’homme. De plus, ils ont des sources naturelles en Ukraine et en Russie, et leur propagation peut être déguisée en épidémie naturelle, a déclaré M. Gatilov.
Guerre ethnique
En théorie, les armes biologiques peuvent également être conçues pour cibler des groupes ethniques spécifiques, a ajouté M. Gatilov.
Il a déclaré qu’il était particulièrement inquiétant que des milliers d’échantillons aient été prélevés sur des patients slaves et envoyés à l’Institut de recherche militaire Walter Reed sous prétexte de tester des médicaments pour traiter et prévenir les infections au coronavirus.
En échange d’une bonne somme d’argent, l’Ukraine a permis aux États-Unis de transformer son propre pays en terrain d’essai pour des recherches extrêmement dangereuses sur les armes biologiques.
Gatilov a déclaré aux États-Unis qu’il ne s’agissait pas d’une « aide noble », mais d’une utilisation cynique du territoire étranger et de ses habitants pour des recherches dangereuses que Washington ne veut pas mener sur son propre sol.
Violation par les États-Unis de la Convention sur les armes biologiques
Depuis 2016, année où les projets évoqués ici ont été lancés, les États-Unis et l’Ukraine n’en ont jamais fait mention dans leurs rapports sur les mesures de confiance au titre de la Convention sur les armes biologiques (CABT). La question est de savoir s’il y a eu violation.
Depuis des années, la Russie réclame le renforcement du régime de la Convention sur les armes biologiques et à toxines et l’adoption d’un protocole contraignant pour un mécanisme efficace de vérification du respect des engagements par les pays participants.
Les États-Unis bloquent ces efforts depuis 20 ans.
On peut se demander si les États-Unis n’ont pas quelque chose à cacher.
Trump arrive, et ça va valser, je vous le dis !
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