L’élection de Donald Trump aux Etats-Unis représente une « grave menace » pour l’avenir du « Nouvel Ordre Mondial », a averti Borge Brende, président du Forum économique mondial, lors d’une récente conférence de presse.
La réunion annuelle du WEF 2025 se tiendra du 20 au 24 janvier à Davos-Klosters, en Suisse. Le thème de cette année est « Collaboration pour l’ère intelligente » et se concentrera sur divers sujets, notamment la transformation de l’IA, la résilience et la géopolitique, la transition énergétique, la santé des femmes et le leadership au 21e siècle .
Expose-news.com rapporte : En amont de la fête annuelle des mondialistes, le 7 janvier, le président du Forum économique mondial, Børge Brende, et Bob Sternfels, associé directeur mondial de McKinsey, ont tenu une conférence de presse pour dévoiler la deuxième édition du « Baromètre de la coopération mondiale ». Il s’agit d’un outil permettant de mesurer et de guider la collaboration dans les domaines du commerce, de la technologie, du climat, de la santé et de la sécurité.
Bien que nous ayons peu ou pas d’intérêt pour la collaboration WEF-McKinsey sur un outil pour « mesurer et guider » le monde sur la façon de « collaborer », Brende a exposé son point de vue sur le « Nouvel Ordre Mondial » à venir.
« Le Baromètre, avec ses 41 indicateurs différents, nous donne une idée de la situation actuelle de la coopération mondiale », a déclaré M. Brende.
Il a ajouté :
« Les trois décennies de coopération accrue que nous avons connues après la guerre froide sont définitivement terminées. Nous vivons entre deux ordres mondiaux.
Nous avions un ordre mondial après la guerre froide qui renforçait et encourageait la coopération.
« Et non, nous ne savons pas vraiment ce qu’est le Nouvel Ordre Mondial, mais la coopération doit également jouer un rôle dans ce Nouvel Ordre Mondial.
« Mais actuellement, entre les ordres, et nous le savons aussi par l’histoire, il y a du désordre. Il faut donc vraiment lutter pour trouver des moyens de coopérer lorsque les pays sont en concurrence – en concurrence pour une influence accrue dans un monde nouveau.
« Et, espérons-le, ce Nouvel Ordre Mondial ne sera pas la jungle qui repousse, mais il y aura aussi des moyens de collaborer dans un monde très compétitif. On peut considérer la situation comme un verre à moitié vide ou à moitié plein. »
Plus tard, il a donné un peu plus d’informations sur ce qui cause leur inquiétude au sujet du Nouvel Ordre Mondial qui « espérons-le… n’est pas la jungle qui repousse ».
« Le Nouvel Ordre Mondial est un ordre mondial très compétitif », a-t-il déclaré.
« Et je pense que la nouvelle administration Trump va soutenir cela. Mais je pense que l’histoire nous a montré que nous sommes également capables de faire face à cela et de nous y attaquer. Je choisis de le considérer comme un verre à moitié plein et non à moitié vide comme je l’ai dit au début. »
Il semble que le WEF ait le sentiment de perdre le contrôle de l’ordre mondial. Pour tenter de reprendre le contrôle, sa réponse est de se tourner vers la technocratie en utilisant un outil de mesure de la coopération mondiale. On vous pardonnera d’avoir un petit rire à ce stade.
La technocratie est une forme de gouvernement dans laquelle les décideurs sont choisis en fonction de leur expertise technique et de leurs connaissances dans un domaine spécifique.
Un système technocratique se caractérise par le règne d’experts, souvent appelés technocrates, qui sont sélectionnés en fonction de leurs connaissances spécialisées dans un domaine spécifique. Les décisions sont prises en fonction des données et de la méthodologie plutôt que de la popularité.
Ce système n’est pas démocratique, ne tient pas compte de la volonté du peuple et peut conduire à des concentrations injustes du pouvoir et à une théorie erronée de la connaissance.
Pendant ce temps, le président Donald Trump, redouté par le Forum économique mondial, façonne l’ordre mondial dans une direction différente.
Dans son discours d’investiture, le président Trump a clairement indiqué qu’il suivrait sa politique nationaliste de l’Amérique d’abord, qui fera frémir, voire vomir, les mondialistes, et a déclaré que l’Amérique reviendrait à la méritocratie pour contrecarrer l’idéologie destructrice de la justice sociale.
Le président Trump ne faisait pas référence à la méritocratie au sens politique, c’est-à-dire en tant que forme de gouvernance, mais au sens social. Il a déclaré :
« Nous allons forger une société qui ne tient pas compte de la couleur de peau et qui est fondée sur le mérite. »
Contrairement au copinage et aux systèmes aristocratiques, oligarchiques et kleptocratiques – qui sont basés sur la richesse des gens, leur statut social ou leurs privilèges héréditaires et sur lesquels le WEF s’appuie pour son existence – la méritocratie est celle où les gens réussissent en fonction de leurs capacités et de leur talent, indépendamment de leur expertise technique.
La méritocratie met l’accent sur le mérite global d’une personne, qui peut inclure des facteurs tels que l’éducation, les diplômes, l’intelligence, le travail acharné et le dévouement. Elle est souvent considérée comme l’égalité des chances. L’égalité est fondamentalement différente de l’équité et les deux concepts ne pourraient pas être plus opposés. L’égalité constitue donc une menace pour le programme de « diversité, d’équité et d’inclusion » (« DEI ») des mondialistes.
Une société américaine fondée sur le mérite ne fera pas tomber le WEF ou les oligarques, mais elle donnera aux Américains un sentiment de liberté et de confiance, une confiance qui résultera en partie du fait que les citoyens ne seront pas constamment bombardés de messages, de réglementations et de lois qui devraient les inciter à avoir honte de leur identité, de leur histoire, de leur culture, de leurs valeurs et de leurs traditions. Une nation de personnes qui ont confiance en elles-mêmes et qui ont un sens aigu de leurs droits, de leurs libertés et de leur identité propre constitue une force redoutable pour quiconque tente de les conquérir.
Lutter pour une société fondée sur le mérite afin d’éliminer l’idéologie woke n’est pas la seule politique introduite par le président Trump qui aura fait monter la pression au WEF.
Le président Trump a mentionné plusieurs autres politiques mondialistes mises en œuvre par Biden que l’administration Trump va inverser. Ne faites pas confiance aux médias mainstream pour vous en parler, écoutez son discours par vous-même :
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