Des archéologues ont utilisé l’intelligence artificielle pour décoder les inscriptions vieilles de 4 000 ans sur les anciennes tablettes cunéiformes babyloniennes, qui avaient échappé à la compréhension pendant plus de cinquante ans.
Les tablettes, découvertes dans la ville de Sippar (aujourd’hui en Irak), datent d’environ trois mille ans. Après leur découverte, elles ont été conservées au British Museum. Le décryptage par intelligence artificielle a révélé que les anciens Babyloniens considéraient les éclipses lunaires comme bien plus que de simples phénomènes célestes ; ils les voyaient comme de terribles présages annonçant la mort et la dévastation.
L’une des tablettes indique qu’une « éclipse pendant la veille du matin » signifie « la fin de la dynastie ».
« Si l’éclipse se propage à partir du centre, puis s’arrête immédiatement, le roi mourra, Elam s’effondrera », dit une autre prédiction inquiétante.
« Une éclipse dans la veille du soir signifie une peste », dit un autre. « Si l’éclipse ne se produit pas comme elle devrait, le déluge mondial se produira partout et personne ne sera sauvé. »
La signification exacte de la référence de l’astrologue à une éclipse qui « ne se déroule pas comme elle devrait » est ambiguë, mais on suppose qu’elle décrit un scénario dans lequel le disque de la lune se déplace dans une direction inattendue.
De plus, les tablettes décrivent des rituels impliquant des intestins d’animaux, censés vérifier les signes inquiétants et évaluer si le roi est confronté à un réel danger.
Les chercheurs ont précisé que ces tablettes compilaient plus de 60 présages, qui sont des interprétations basées sur le moment et la nature des éclipses lunaires. Ces présages sont censés prédire l’avenir, indiquant souvent un malheur ou une calamité.
« Les prédictions sont fascinantes car elles révèlent des informations sur la psychologie de la gouvernance. En général, les présages annoncent des calamités telles qu’un assassinat, un coup d’État, une révolte, un scandale, une défaite militaire, une perte territoriale, une épidémie, la famine, l’aridité, l’effondrement de l’agriculture et des invasions de sauterelles, entre autres. Il est clair que ces préoccupations étaient primordiales pour les monarques babyloniens », selon les scientifiques.
The Independent rapporte que la civilisation mésopotamienne est apparue dans la région située entre le Tigre et l’Euphrate, englobant aujourd’hui l’Irak moderne, le nord-est de la Syrie et le sud-est de la Turquie.
Il est intéressant de noter que de nombreux cataclysmes ont été liés à des éclipses solaires.
Par exemple, la princesse Diana est décédée le 31 août 1997, un jour exactement après une éclipse solaire. De même, l’impact de la météorite de Tunguska s’est produit deux jours seulement après une éclipse solaire.
La révolution de 1917 est souvent associée aux éclipses, car cette année-là, il y eut deux éclipses solaires, le 23 janvier et le 19 juin. Les coups d’État commencèrent en février et, en juillet, les Russes anticipaient une crise du pouvoir et la montée des bolcheviks.
Le naufrage du Titanic est également lié aux éclipses ; une éclipse lunaire totale s’est produite le jour du lancement du navire, suivie d’une éclipse solaire deux jours après la catastrophe.
Avant l’événement catastrophique survenu à la centrale nucléaire de Tchernobyl le 26 avril 1986, il y a eu deux éclipses : une éclipse solaire le 9 avril et une éclipse lunaire le 24 avril.
Certains pensent que certaines éclipses peuvent avoir un impact considérable sur les dirigeants, entraînant de graves conséquences. De plus, cette année, deux autres éclipses auront lieu : une éclipse lunaire le 18 septembre et une éclipse solaire le 2 octobre.
Comme par hasard, ces éclipses sont omniprésentes sur la couverture de The Economist que nous avons plus ou moins décryptée dans cet article :
Ce que nous savons au sujet de cette couverture énigmatique, c’est que la femme invisible était Kamala Harris, candidate à la prochaine présidentielle américaine. Au niveau des éclipses, nous n’avons rien de particulier, si ce n’est que contrairement à la première éclipse du 8 avril qui est présentée en noir et blanc et a bien sonné l’heure de la mondialisation du conflit israël/Hamas dont cette couverture ne parle pas… bizarrement !
La seconde éclipse est présentée en rouge et bleu… Comme si on était en plein dans la course électorale entre Démocrates et Républicains, et qu’il allait se passer quelque chose… Nous voyons sur la couverture The Economist, qu’il y a une continuité entre le sablier (qui représente le temps qu’il reste pour terminer la guerre entre la Russie et l’Ukraine avec cette bataille entre Trump et la femme mystérieuse qui se trouve être Kamala Harris), les élections, et l’éclipse du 2 octobre.
Une continuité dont va dépendre les rapports entre la Chine et les États-Unis.
Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.
Aidez Elishean à survivre. Merci |
ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde