En 2012, la chercheuse et journaliste mexicaine Miranda Gonzalez a publié un article très inhabituel sur Mars, les technologies modernes, le développement spatial et bien plus encore.
Après cela, la femme a disparu du radar des informations. Il s’est avéré plus tard que la journaliste n’était pas rentrée chez elle.
Cette affaire pourrait être considérée comme une affaire de routine si ce n’était le contenu de la publication de Miranda. Ses proches et ses collègues pensent que le problème vient d’elle. Oui, il convient de noter que la disparition de la femme s’est également produite dans des circonstances très étranges.
Originaire de Puebla de Zaragoza, la journaliste a passé toute sa vie à essayer de prouver sa théorie selon laquelle le monde qui nous entoure n’est pas du tout celui qu’on nous montre. En 2007, elle s’est produite en Espagne, après quoi, selon elle, elle a commencé à recevoir des messages anonymes lui demandant d’arrêter de diffuser de fausses informations.
Mais elle a continué son enquête et s’est envolée en 2012 pour les États-Unis pour s’y produire. La conférence fut un succès et Miranda déclara que dans un an ou deux, elle publierait un livre qui présenterait des preuves irréfutables qu’elle avait raison.
Depuis les États-Unis, la journaliste a décidé de prendre un jet privé, prétextant que ce serait plus sûr. Mais elle n’a pas atteint la frontière mexicaine. Le signal a été coupé à environ 200 kilomètres et le lieu potentiel du crash n’a jamais été localisé.
Dans le même temps, tous les comptes qui avaient réussi à partager l’interview ont été purgés, et depuis 2013, en Europe et aux États-Unis, il est interdit de mentionner le nom de Miranda Gonzalez dans les médias. Qu’est-ce que la femme essayait de dire ?
Elle a affirmé que les vols vers la Lune n’avaient pas cessé. Au contraire, leur nombre n’a fait qu’augmenter. De plus, des bases et des usines secrètes destinées au traitement des minéraux et à la synthèse du carburant provenant du sol lunaire ont déjà été construites sur le satellite de la Terre.
Sur Mars, selon Miranda, des forêts et des jardins poussent déjà sous d’immenses dômes. Le terrain est en train d’être préparé pour la réinstallation de l’élite mondiale sur cette planète.
Gonzalez était une farouche opposante à la numérisation.
Selon elle, d’ici le milieu du XXIe siècle, les gens seront obligés d’avoir des micropuces et des nanorobots implantés dès la naissance, et toute leur vie future se déroulera sous un contrôle strict.
Toutes les sphères de la vie seront contrôlées.
Qu’est-ce qu’on fait ? Où on va ? Quelle profession doit-on choisir ? Quels soins médicaux sont nécessaires ? Quelle foi ? Dans quelle langue communiquer ? Avec qui être ami et qui éviter ? Et ainsi de suite. Il y a plus de 180 questions dans cette liste. C’est-à-dire qu’un réseau mondial unifié sera créé, appelé registre civil.
Les gens pourront visiter les pays qui ont rejoint le réseau, sans restrictions, mais leur solde financier, leur résumé de vie, leur localisation, etc. seront tous dupliqués et contrôlés.
Si nécessaire, une personne qui a violé une loi pourrait être privée de sa place dans l’état civil et expulsée des frontières du « paradis fleuri ».
Qu’est-ce que cela signifie?
Miranda Gonzalez a affirmé que le « paradis fleuri » est un futur réseau – un conglomérat de pays et de villes sous la protection d’une seule armée mondiale, qui n’inclura pas des gens, mais des robots contrôlés par une seule neuroconscience.
Très bientôt, selon la journaliste, les gens céderont intellectuellement la place aux réseaux neuronaux et à l’intelligence artificielle.
Mais comment le réseau traitera ses créateurs, personne ne le sait.
Selon une première version, ce projet devait être mis en œuvre seulement à la fin du 21e siècle, mais comme l’humanité se précipite de plus en plus vers un conflit mondial, il a été décidé de l’accélérer.
Les systèmes nécessaires ont été testés dans le plus strict secret il y a 20 à 30 ans. En 2012, comme l’affirmait Miranda, ils étaient prêts à 85-90 %.
De quoi parle-t-on ?
Tout d’abord, l’équipement. Pour fournir à plusieurs milliards de personnes les nanorobots nécessaires, etc., d’énormes usines et laboratoires sont nécessaires. Des variations individuelles sont créées pour chaque groupe ethnique, c’est pourquoi le gouvernement américain a déjà étendu la zone de ses bases de laboratoire à près de 130 pays à travers le monde.
Deuxièmement, aux États-Unis même, dans le plus grand secret, on développe des ordinateurs à neutrinos d’une telle puissance que le collisionneur ressemblera à un jouet d’enfant. Ce n’est qu’avec l’aide de ces technologies qu’un système mondial de registre civil peut être créé et maintenu.
Troisièmement, le projet dit de « nouvelle armée de terre cuite » sera mis en œuvre aux États-Unis – il s’agira de plus de 2 millions de policiers robotisés qui surveilleront l’ordre dans la nouvelle réalité mondiale.
Pour le terrien moyen, ils créeront des zones de divertissement nécessaires à son existence.
En fait, la vie de la plupart des gens deviendra comme le jour de la marmotte. Tout est strictement conforme au régime qui sera choisi d’en haut. Dans une telle situation, personne ne pourra jamais savoir ce qui se passe réellement dans le monde. L’information sera dosée, soigneusement sélectionnée, comme la nourriture qui est déjà stockée dans d’immenses réservoirs pour les futurs habitants du « paradis fleuri ».
Les pays qui refusent d’adhérer au réseau se retrouveront exclus. Ils seront hors de la juridiction. Ils seront déconnectés d’Internet, interdits d’utilisation de satellites et privés d’armes.
C’est ce que craignait Miranda Gonzalez. Parce qu’il y a des pays, avec des populations de plusieurs millions d’habitants, qui ne veulent pas d’un tel avenir. Et s’ils tentent de les priver de leur armée ou de tout avantage, cela conduira à de graves affrontements.
Aujourd’hui, le monde est confronté à une crise économique et technologique. Cela est démontré par les troubles qui se produisent même dans les pays considérés comme prospères et par le nombre de personnes pauvres.
La numérisation ne commencera peut-être à apparaître que vers le milieu du 21e siècle.
Craindre que le monde finisse par tomber sous un contrôle aussi total est assez pessimiste. La technologie n’est pas toujours négative, tout dépend de la conscience qui est derrière. Je ne crois pas à cette vision de l’avenir… D’ailleurs, nous co-créons la réalité donc, soyons prudents…
Je crois plutôt à un avenir Star Trek, où la technologie est au service de l’humain, et pas le contraire…
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