Le cinéaste Jeremy Corbell a lancé un avertissement concernant une prétendue tromperie du gouvernement : une affirmation selon laquelle un vaisseau extraterrestre s’approcherait de la Terre d’ici 2027.
Corbell, présenté dans UFO Revolution : S2E3, décrit cela comme « le mensonge qu’on va vous dire », soulevant des questions urgentes sur les raisons pour lesquelles un tel récit pourrait être introduit.
Pendant des décennies, le gouvernement américain a nié l’existence des ovnis, pour finalement reconnaître leur réalité ces dernières années. Corbell suggère que ce changement est délibéré :
« Parfois, lorsque vous voulez que quelqu’un sache une vérité, c’est pour le pousser à croire un mensonge. »
Il relie la chronologie de 2027 à des rumeurs provenant de documents classifiés datant des années 1970, suggérant une stratégie sur plusieurs décennies pour se préparer à ce moment.
Le mensonge, selon Corbell, serait probablement présenté comme une menace, justifiant une militarisation et un contrôle accrus.
« Si le gouvernement annonce qu’un vaisseau spatial se dirige vers la Terre, qui pourrait en douter ? », prévient Corbell. Ce discours pourrait remodeler les priorités mondiales, des budgets de la défense aux libertés civiles, sous couvert de survie.
Corbell pointe également du doigt l’année 2027 comme point central de spéculation, une date évoquée par d’autres initiés des ovnis comme Luis Elizondo.
Bien qu’aucune preuve concrète n’ait été apportée, Corbell exhorte le public à rester vigilant.
« Commencez à prêter attention », conseille-t-il, prévenant que le récit – et sa chronologie – pourraient changer en réponse à un examen approfondi.
Ce qui est en jeu, c’est la confiance dans les institutions et la manipulation potentielle de la perception du public. Corbell reconnaît les risques qu’il y a à s’exprimer : « On me traitera de fou. Ce n’est pas grave. » Pourtant, son avertissement s’inscrit dans la lignée des modèles historiques de secret dans les enquêtes sur les ovnis.
Des scientifiques suggèrent que des aliens pourraient visiter notre système solaire dans pas longtemps, et envoyer de petites sondes sur Terre, de la même manière que la NASA lorsqu’elle étudie d’autres planètes.
Cela sonne comme une blague, et pourtant, c’est l’hypothèse formulée dans un document préliminaire publié le 7 mars 2023 par le directeur du All-Domain Anomaly Resolution Office (AARO) du Pentagone, Sean Kirkpatrick, et l’ancien président du département d’Astronomie de l’Université d’Harvard, Abraham Loeb.
Dans leur rapport, les physiciens font le parallèle avec la découverte, en 2017, d’Oumuamua, le premier objet venu de l’extérieur à avoir traversé notre système solaire. Il fut tour à tour qualifié de comète, puis d’astéroïde et enfin d’objet interstellaire. Certains scientifiques se sont même risqués à dire qu’il était d’origine artificielle, une hypothèse sujette, cependant, à d’importants débats.
“Avec une conception appropriée, ces minuscules sondes pourraient atteindre la Terre ou d’autres planètes du système solaire à des fins d’exploration, tandis que le vaisseau mère passerait à moins d’une fraction de la distance Terre-Soleil, comme l’a fait ‘Oumuamua’”, poursuivent les auteurs de l’étude.
“Les astronomes ne pourraient pas remarquer la pulvérisation des mini-sondes parce qu’elles ne reflètent pas suffisamment la lumière du soleil pour que les télescopes d’étude existants les remarquent.”
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