Pendant trois ans, des responsables canadiens intégrés au régime Trudeau ont secrètement injecté à des enfants inuits un vaccin expérimental contre le VRS, le palivizumab, sans le consentement des parents et sans en informer la communauté inuite.
Cette révélation troublante, révélée par des courriels récemment obtenus en vertu de la Loi sur l’accès à l’information (FOI), révèle une violation choquante de l’éthique médicale et soulève de sérieuses questions sur les expériences médicales menées par le gouvernement Trudeau sur les populations autochtones – et sur l’ensemble de la population canadienne.
Le journaliste d’investigation canadien Donald Best a découvert des courriels prouvant que la Dre Theresa Tam, administratrice en chef de la santé publique du Canada, était pleinement consciente des préoccupations éthiques soulevées. D’autres hauts responsables de la santé publique l’étaient également.
THREAD : Des courriels explosifs en vertu de la Loi sur l’accès à l’information révèlent des expériences secrètes sur des vaccins menées sur des enfants inuits 🚨
1/ BREAKING : Des courriels FOI récemment découverts prouvent que les autorités canadiennes ont utilisé des enfants inuits comme sujets de test pour un vaccin contre le VRS entre 2017 et 2019 – sans le consentement des parents, sans surveillance et sans responsabilité.
Theresa Tam le savait. Et elle n’a rien fait. 🧵⬇️ Voir sur X
Donald Best rapporte : Dans un courriel du 16 décembre 2019 adressé à Tam et à d’autres hauts fonctionnaires, le Dr Tom Wong, directeur général du Bureau de la santé de la population et de la santé publique de Services aux Autochtones Canada, a explicitement averti que les travailleurs de la santé avaient soulevé de graves signaux d’alarme au sujet du programme.
« Des préoccupations éthiques ont été soulevées par des professionnels de la santé concernant la garantie d’un consentement libre et éclairé des parents ou des tuteurs, ainsi que l’absence de participation de la population inuite au processus de décision et de mise en œuvre. » — Dr Tom Wong à Dre Theresa Tam et autres, 16 décembre 2019
Mais plutôt que de mettre un terme au programme, le gouvernement a préféré aller de l’avant.
Les parents, les dirigeants inuits et la communauté dans son ensemble ont été tenus dans l’ignorance.
Pire encore, l’expérience avait déjà échoué : les injections du vaccin anti-VRS Palivizumab* n’ont pas fonctionné comme prévu.
Mais les autorités ont caché cette information et ont continué à utiliser une population indigène comme cobayes à leur insu.
Ce n’est pas la première fois que le système médical canadien utilise des enfants autochtones comme sujets de test sans leur consentement.
Depuis les expériences nutritionnelles des années 1940-1950 dans les pensionnats, où les chercheurs ont délibérément affamé des enfants autochtones pour étudier la malnutrition, jusqu’aux essais de vaccins contre la tuberculose sur 600 enfants autochtones en Saskatchewan en 1933, où près de 20 % d’entre eux sont morts, l’histoire a déjà prouvé que les responsables étaient prêts à sacrifier des vies autochtones pour ce qu’on appelle la « science » (réf. **).
« La différence entre les essais cliniques de recherche médicale et les expériences sur les humains réside dans le consentement du patient. Étant donné les relations de pouvoir très inégales entre le personnel médical et les patients, associées à des barrières linguistiques souvent déroutantes et à la perception répandue selon laquelle de nombreux autochtones n’accepteraient pas de traitement de plein gré, le consentement du patient au traitement était souvent tenu pour acquis. » (Lux, M. Separate Beds, University of Toronto Press, 2016, p. 112)
Une honte de plus pour ce pays qui veut donner des leçons à un petit état d’Israël qui se défend contre la barbarie terroriste…
Les méfaits exercés sur la population réellement autochtone (celle-la), au Canada sont particulièrement nombreux.
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