Des soldats américains se dirigent vers Gaza. Ils ne sont pas là pour combattre les terroristes islamiques, mais pour garantir l’accord désastreux de Biden qui a sauvé le Hamas en surveillant et en inspectant les Gazaouis voyageant à travers le « corridor de Netzarim ».
L’une de ces entreprises est UG Solutions, fondée par un ancien combattant des forces spéciales, qui embauche des vétérans de l’armée américaine pour assurer la sécurité.
Embaucher des vétérans comme sous-traitants est devenu une pratique courante pendant la guerre contre le terrorisme, car cela permettait aux politiciens d’éviter de rendre des comptes pour les victimes américaines.
Des centaines d’Américains ont été tués alors qu’ils travaillaient comme contractuels en Irak. Parmi eux, l’un des incidents les plus tristement célèbres de la guerre : quatre anciens contractuels des forces spéciales travaillant pour Blackwater ont été traînés dans les rues, battus, poignardés et pendus à un pont sous les acclamations d’une foule arabo-musulmane d’hommes, de femmes et d’enfants. La même scène s’est reproduite à Benghazi, lorsque deux anciens Navy SEALS travaillant comme contractuels de la CIA ont été assassinés.
Combien de temps faudra-t-il attendre avant que cela se produise à Gaza ?
Faire appel à des vétérans comme sous-traitants est depuis longtemps une façon de dissimuler la présence de « soldats sur le terrain ».
Mais les hommes qui portent ces bottes sont toujours des vétérans qui croient servir leur pays. Et lorsqu’ils meurent, ce sont des Américains qui meurent pour appliquer la politique de leur commandant en chef.
Gaza est tout aussi dangereuse que Falloujah, en Irak, ou Benghazi, en Libye. Un soldat américain a déjà perdu la vie lors de l’infructueuse opération de Biden visant à acheminer de l’aide humanitaire depuis le quai de Gaza . Ce sera bien plus risqué.
En 2003, des terroristes islamistes ont bombardé un convoi diplomatique américain à Gaza, tuant trois agents de sécurité, John Branchizio, Mark Parsons et John Martin Linde Jr. Branchizio était un ancien Navy SEAL, Linde, un ancien Marine, et la famille de Parson a poursuivi l’Autorité palestinienne qui a libéré les terroristes assassins des trois hommes. Malheureusement, rien n’a été appris de leurs meurtres.
Selon certaines informations, d’anciens militaires et agents de la CIA seraient déjà sur place et planifieraient des opérations.
Peu importe comment ils sont déguisés, les bottes américaines sont de retour sur le terrain et la vie des soldats américains est risquée dans un projet de construction nationale visant à créer un État terroriste.
Comme l’ a déjà rapporté le magazine FrontPage , l’ONU estime qu’il faudra 50 milliards de dollars pour reconstruire Gaza, avec une date d’achèvement estimée à 2040. Et elle est déjà prête à déployer des Américains armés sur le terrain pour sécuriser une opération de reconstruction nationale vouée à l’échec.
Alors pourquoi recommencer tout ça ?
L’administration Biden a convaincu Steve Witkoff, l’envoyé de Donald Trump, de signer son accord visant à sauver le Hamas et, d’ici la phase 3 , à commencer à construire un « État palestinien » financé et protégé par nous.
Witkoff a admis sur Fox News qu’il n’avait rien fait d’autre que d’accepter le protocole du 27 mai de l’administration Biden, qu’il n’avait rien à voir avec « les mathématiques derrière la libération des prisonniers et des otages » et qu’il avait simplement « accéléré le processus » en faisant pression sur Israël pour qu’il fasse toutes les concessions possibles au Hamas.

En obligeant Trump à accepter l’accord de Biden, Witkoff et ses alliés au sein de l’équipe de transition de Trump, dont certains sont associés au réseau pro-iranien Koch, ont également contraint le président Trump à un projet global de construction nationale qui l’obligerait à passer tout son deuxième mandat à reconstruire Gaza et à envoyer d’anciens soldats sur le terrain pour la sécuriser.
Lors d’un événement, Trump a déclaré à juste titre qu’il n’était « pas sûr » que le cessez-le-feu tienne, décrivant Gaza comme « un chantier de démolition massif » et affirmant qu’il faudrait « reconstruire d’une manière différente ».
« On pourrait faire de belles choses là-bas, des choses fantastiques », a-t-il suggéré. Et lorsqu’on lui a demandé s’il participerait à la reconstruction de Gaza, Trump a répondu : « Je pourrais. »
Et ce serait une erreur catastrophique.
L’Amérique ne devrait pas s’engager dans la construction d’une nation à Gaza ou ailleurs dans le monde musulman.
Trump a raison d’être sceptique. Et il avait raison lorsqu’il a déclaré :
« Vous ne pouvez certainement pas garder les gens qui étaient là. La plupart d’entre eux sont morts. Mais ils n’ont pas vraiment bien géré la situation. Ils ont géré la situation de manière vicieuse et maladroite. Vous ne pouvez pas accepter cela. »
Mais l’accord qui lui a été imposé par Biden, le Qatar, Witkoff et ses alliés du réseau Koch a exactement cet effet : il sauve le Hamas et remet les terroristes au pouvoir.
Toute reconstruction profitera au Hamas et permettra de mettre des milliards dans les poches des terroristes islamistes, tout comme nos projets de reconstruction en Afghanistan ont financé les talibans.
Et le fait que des vétérans américains risquent leur vie pour inspecter les terroristes se déplaçant à Gaza est insensé.
Les Israéliens ont montré qu’ils étaient parfaitement capables de contrôler le corridor de Netzarim et de sécuriser Gaza. Ils n’ont pas besoin que nous le fassions à leur place. Le Hamas et ses alliés en ont besoin. Et une fois que les Américains seront sur le terrain, le Hamas nous attaquera pour reprendre le contrôle des zones de Gaza.
Le piège Biden pour l’administration Trump nous amènera à dépenser du sang et de l’argent à Gaza.
Notre peuple aura la tâche ingrate de remplacer les Israéliens pour les tenir éloignés du Hamas. Non seulement le Hamas ne nous remerciera pas, mais les terroristes nous tendront des pièges, nous accuseront de les avoir attaqués, puis nous attaqueront. Tout comme cela s’est déjà produit en Afghanistan et en Irak.
Nous serons là pour permettre la mise en place d’un gouvernement de front d’unité « technocratique » négocié par le Hamas et l’OLP sous l’égide de la Chine communiste et de la Russie lors de réunions à Pékin et à Moscou.
Le personnel de Biden a une fois de plus piégé l’administration Trump dans la reconstruction nationale.
Mais les choses ne doivent pas se passer ainsi.
L’administration Trump peut sortir de l’accord Biden et plus tôt nous le ferons, plus ce sera facile. Pas un seul Américain ne doit mourir, et pas un seul dollar ne doit être dépensé pour la reconstruction de la nation à Gaza. Et ce ne sera pas le cas si nous sortons de l’accord Biden.
Personne au sein de l’administration Trump ou du mouvement conservateur ne devrait s’approprier l’accord Biden. Cela reviendrait à tomber dans un piège qui leur ferait porter la responsabilité de l’accord lorsqu’il échouera. Witkoff a admis ce que nous savions déjà. C’était l’accord Biden. Il devait en finir avec lui.
En se retirant de l’accord, Trump peut démontrer une fois de plus que l’Amérique n’a plus pour vocation de construire une nation : que nous ne gaspillerons pas de sang et d’argent pour des agendas mondialistes.
Les Israéliens n’ont pas besoin de nous et ne veulent pas de nous à Gaza. Tout ce qu’ils veulent, c’est avoir les mains libres pour en finir avec les terroristes. Et quand ils le feront, ce sera un problème mondial de plus auquel nous n’aurons pas à faire face.
Les États-Unis ne devraient pas avoir de « bottes » ou de « baskets » sur le terrain. Après les meurtres de John Branchizio, Mark Parsons et John Martin Linde Jr, aucun Américain de plus ne devrait mourir pour Gaza. Nous n’avons pas besoin de reconstruire Gaza, de l’inspecter ou d’essayer d’enseigner à sa population la démocratie.
Quittons Gaza. Laissons l’accord de Biden avec le Hamas.
Et laissons la construction de la nation « palestinienne » aux pays assez stupides pour penser que ce qui a échoué depuis le début des années 1990 fonctionnera désormais.
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