Résonance

La perception que nous avons de la réalité dépend de l’épaisseur de temps que nous percevons

par Philippe Guillemant

Depuis que le Pentagone a reconnu l’existence des PANs et des NHIs (Non Human Intelligence), l’hypothèse d’une origine interdimensionnelle (ou transdimensionnelle) est souvent invoquée pour identifier leur origine, y compris par des scientifiques comme Eric Davis, Hal Puthof, Avi Loeb, Michael Masters… sans oublier Jacques Vallée qui est le premier à l’avoir proposé.

Le mot « interdimensionnel » fait appel à d’autres dimensions afin d’expliquer le fait que les PANs sont capables de traverser océans et montagnes, de se rendre invisibles ou se dématérialiser (en apparence), ce qui peut effectivement se concevoir si notre réalité n’est qu’une projection d’une réalité de plus grande dimension.

Dans l’exemple souvent donné pour illustrer le concept, notre réalité 3D est ramenée à seulement 2 dimensions, comme une feuille de papier. Si un objet en 3D pouvait traverser la feuille il semblerait alors effectivement apparaître en venant de nulle part puis disparaître, comme s’il n’était pas matériel. Donc si notre réalité avait 4 dimensions spatiales et non 3, nous tiendrions là une bonne explication.


Cette explication relativement séduisante m’a toujours gêné.

D’une part, parce que cela n’explique pas la transparence des PANs. Entre leur visibilité et leur invisibilité il y a en effet des situations intermédiaires où l’objet semble se fondre avec le décor : on peut voir à travers, comme s’il était fantomatique ou se mélangeait avec l’arrière-plan de l’environnement. D’autres cas où l’objet est visible à l’œil nu mais pas sur le radar et vice-versa. Et sur les photos, des cas où les PANs paraissent translucides ou flous…

D’autre part, parce que je ne crois pas en une 4èmedimension d’espace.

Les autres dimensions, si elles existent et c’est bien le cas d’après moi et c’est aussi une hypothèse forte selon la physique mainstream, ne seraient pas des dimensions d’espace mais plutôt des dimensions vibratoires, dites « compactifiées » et infinitésimales.


Je préfère donc faire appel à un autre concept pour rendre compte de ces phénomènes, qui est celui de « densité » de temps ou d’information, reposant sur le fait que la perception que nous avons de la réalité dépend de l’épaisseur de temps que nous percevons, autrement dit de la fenêtre de temps à travers laquelle notre conscience perçoit la réalité.

Ce concept part de l’hypothèse « mainstream » selon laquelle notre futur est déjà réalisé.

Le temps serait donc spatialisé et tout se passerait comme si nous étions dans un train et que la réalité nous apparaitrait comme étant le décor qui défile au travers de la fenêtre du train : il faut bien que cette fenêtre ait une certaine épaisseur.

Cette épaisseur de temps serait de l’ordre de la seconde afin que nous puissions percevoir les mouvements rapides.

Elle ne pourrait être nulle sinon nous ne percevrions rien. Elle ne pourrait pas être d’une minute sinon nous n’aurions pas le temps d’agir et faire plein de choses durant cette minute. Elle correspondrait au spectre des fréquences cérébrales de nos 3 cerveaux qui s’étend d’une fraction de Hertz jusqu’aux ondes gamma (plus de 40 Hz).

Cette densité ou épaisseur de temps serait variable selon les organismes vivants.

Pour les mouches qui nous cassent les pieds ou les chats qui nous ramènent des oiseaux comme cadeau, elle pourrait être plus faible que la nôtre, leur permettant d’avoir de bien meilleurs réflexes. Pour les plantes grimpantes elle pourrait être 2000 fois plus élevée et pour notre planète la terre entre un et dix millions de fois plus élevée.

Ne pouvant comprendre ce qu’est la vie dans d’autres densités, si différentes, nous n’attribuerions qu’à nous-mêmes la capacité de libre arbitre.

Enfin bref, là n’est pas le propos.

J’en reviens aux NHI : ces entités pourraient être finalement beaucoup moins différentes de nous qu’on l’imagine, par exemple des humanoïdes vivant dans la même densité, mais qui seraient capables grâce à la technologie de leur PAN de dilater le temps afin de voyager dans une densité ou épaisseur de temps beaucoup plus élevée.

Elles seraient par exemple situées, pour fixer les idées, à seulement 1% ou un pour 1000 dans la fenêtre de temps de notre présent. Elles seraient donc essentiellement dans le futur et ne feraient que très partiellement partie de notre présent.

Sachant que leur information physique dans notre présent serait réduite d’un facteur 100 ou 1000, les PANs ne serait pas intégrés (ou maillés) à notre espace-temps (le phénomène de décohérence n’ayant pas de prise sur eux) et pourraient donc naviguer librement, sans que la gravité et la thermodynamique n’ait de prise sur eux.

La semi-transparence s’expliquerait beaucoup mieux en fonction d’un réglage de la densité, et leur navigation serait de type purement vibratoire, faisant appel aux dimensions vibratoires de la conscience.

Mais là j’ai conscience de perdre en clarté en allant trop vite en besogne et donc je m’arrête là. Pour plus d’informations à ce sujet, lire « Hyperphysique des ovnis ».

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