La policière Mariana Checheliuk a été torturée pendant deux ans en captivité russe après que la Croix-Rouge ait rompu sa promesse de protéger sa famille.
Mariana Checheliuk, une policière ukrainienne libérée la semaine dernière dans le cadre d’un échange de prisonniers, a parlé de ses deux années de captivité en Russie.
Checheliuk a déclaré qu’elle avait été faite prisonnière après avoir passé beaucoup de temps dans la ville assiégée de Marioupol.
Checheliuk, une policière civile, a supplié l’ONU et la Croix-Rouge de lui permettre de quitter la ville dans le cadre des convois humanitaires. Avec sa sœur et ses parents, elle est montée à bord du convoi humanitaire, mais Checheliuk et sa petite sœur Maria ont été emmenées dans un petit village d’où elle a été kidnappée. En violation de sa promesse, la Croix-Rouge l’a laissée entre les mains de la Russie.
Sa mère, Nataliia Checheliuk, a déclaré qu’au cours de ses deux années de captivité, Mariana avait été affamée, battue et soumise à d’autres tortures, alors qu’elle avait perdu beaucoup de poids et souffrait de maladies respiratoires répétées.
Aujourd’hui, environ 400 femmes ukrainiennes seraient détenues par la Russie, pour la plupart des civiles kidnappées par le régime russe, tandis que Moscou refuse d’accepter de les libérer, contrairement à l’échange de prisonniers de sexe masculin.
Les russes veulent récupérer leurs soldats qui sont tous des hommes. Ils kidnappent des civiles pour amuser les geoliers dans leurs prisons infâmes.
Avec l’axe du mal, Iran, Russie, Chine, on a droit à un retour au moyen-âge.
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