Mystères

La civilisation hautement développée qui nous a laissé ces artefacts antiques

A qui appartiennent ces artefacts ?

Les chercheurs sont de plus en plus nombreux à admettre l’existence d’une civilisation hautement développée dans un passé lointain. Son niveau est encore difficile à déterminer, mais il était probablement supérieur au nôtre, ou du moins comparable. Quels faits et artefacts incitent les scientifiques à de telles réflexions ?

Figurines incas dorées

Au Mexique et aux États-Unis, des archéologues ont découvert des figurines en or ressemblant à des machines volantes (avions). Ces pièces détaillées sont difficiles à interpréter.

Le joaillier Emmanuel Staub fut le premier à remarquer l’étrange similitude entre les artefacts. Il réalisa une copie exacte de l’une des mystérieuses figures et la remit à Ivan Sanderson, un zoologiste renommé. La question était de savoir si cet objet représentait un animal ou un appareil technique, peut-être un avion.


Après une analyse minutieuse, le zoologiste a conclu que la figurine ne correspondait pas à une espèce connue. Il n’existe aucune créature dans la nature présentant de telles caractéristiques morphologiques.

Il est intéressant de noter que tous les artefacts, malgré leur ressemblance avec des avions, présentent des caractéristiques animales : yeux et bouche.

Cela a permis de les classer comme zoomorphes. Cependant, les experts en aviation, après avoir étudié les copies, sont arrivés à une conclusion unanime : il s’agit de maquettes d’avion. Ils ont découvert une cabine de pilotage, un fuselage, des ailes et un empennage avec stabilisateurs et quille.

La question se pose : comment des technologies comparables à celles modernes ont-elles pu apparaître dans l’Antiquité ?


Les scientifiques pensent que des civilisations anciennes comme les Mayas et les Aztèques n’auraient pas pu créer des objets aussi complexes.

Les figurines ont probablement été réalisées par des représentants d’une culture plus avancée. Cette hypothèse repose sur une analyse des caractéristiques technologiques et artistiques des artefacts, qui surpassent le niveau des sociétés antiques connues.

Figurine mystérieuse à quatre yeux

Des archéologues ont découvert en Serbie un artefact vieux de plus de sept mille ans. Cet objet témoigne de technologies étonnantes, impossibles à mettre en œuvre à cette époque. Sa création témoigne du plus haut niveau de savoir-faire des artisans de l’Antiquité. Leurs connaissances et leurs compétences étaient probablement bien supérieures à celles de l’époque, témoignant de leur maîtrise du travail des métaux, de la pierre et d’autres matériaux. Cet artefact confirme l’existence d’une culture hautement développée.

Permettez-moi de vous rappeler qu’il y a environ 7 000 ans, les gens vivaient à l’époque néolithique, la dernière période de l’âge de pierre.

Les hommes de l’âge de pierre.

À cette époque, les hommes utilisaient des outils nouveaux pour leur époque, tels que la faux, la faucille, les ciseaux et la charrue. Les méthodes de travail de la pierre se perfectionnèrent et la création d’outils en métal commença à s’imposer. La création de cette figurine émerveille l’imagination. De plus, on constate que cette créature à quatre yeux est totalement différente de l’homme et des animaux de notre planète.

Boulder Masuda Iwafun au Japon

Ce mégalithe unique étonne par sa taille et sa forme. Ses dimensions sont de 11 mètres sur 8 mètres sur 5, et son poids atteint 800 tonnes. La pierre est un énorme rocher percé de deux entailles asymétriques. Sa surface est travaillée avec tant de soin qu’il est évident que des technologies complexes ont été utilisées. Le mégalithe a probablement servi à des tâches techniques spécifiques. Ses caractéristiques géométriques et son niveau de finition confirment cette hypothèse.

Cet artefact, une structure de pierre unique, a été créé il y a environ mille cinq cents ans. Les chercheurs modernes expriment un certain scepticisme quant à la possibilité technique de sa création par des mains humaines à cette époque, ce qui soulève de nombreuses questions quant à la méthodologie et aux outils utilisés. De plus, la fonction de cet objet en pierre continue de faire l’objet de débats scientifiques et d’hypothèses.

Les épées d’Ulfberht

Datant d’environ 800-1000 après J.-C., cette épée est un artefact unique. Sa lame présente une forte teneur en carbone, signe d’une technologie de pointe utilisée pour sa fabrication. Elle était nettement supérieure aux standards de l’époque.

Pour obtenir la dureté et la résistance requises du métal, le minerai contenant du fer était chauffé à 1 600 °C. Ce niveau de chauffage est essentiel à la fabrication d’un acier de haute qualité. Cela témoigne de l’utilisation de méthodes métallurgiques avancées, peu courantes dans la forge européenne de l’époque.

Certains chercheurs suggèrent que le métal utilisé pour fabriquer les épées de type Ulfberht aurait pu être importé de régions dotées de technologies de transformation plus avancées. Mais on ignore encore d’où il provient.

Bas-reliefs de Nuku Hiva

Des artefacts uniques ont été découverts sur l’île de Nuku Hiva, située dans l’archipel des Marquises et de la Polynésie française, dans l’océan Pacifique. Ces statues et bas-reliefs mystérieux attirent l’attention des archéologues et des anthropologues.

Les sculptures représentent des personnes aux traits reptiliens : d’énormes yeux ronds et une bouche au bas du visage leur donnent une apparence effrayante.

Les habitants ignorent qui a créé ces artefacts ni à quoi ils servaient. Au fil des millénaires, l’île a connu d’importants changements culturels et démographiques, rendant difficile l’étude de l’histoire et des traditions anciennes.

Il existe dans le monde des bâtiments anciens qui non seulement captivent les touristes et les voyageurs, mais déconcertent aussi les chercheurs qui tentent de comprendre qui et comment a pu construire tel ou tel objet, frappant par la complexité des formes ou des assemblages de blocs de plusieurs tonnes, entre lesquels on ne peut même pas glisser une carte en plastique. Et tout d’abord, voici le temple antique de Göbekli Tepe.

Göbekli Tepe

Göbekli Tepe est un site archéologique mystérieux situé en Turquie. Il s’agit d’une ancienne structure mégalithique datant du IXe millénaire avant J.-C. Elle a environ 12 000 ans, ce qui en fait l’un des plus anciens mégalithes du monde. (Selon Platon, c’est à cette époque que l’Atlantide a disparu).

Göbekli Tepe est une structure circulaire dotée de terrasses circulaires. On en compte une vingtaine, témoignant d’un système d’urbanisme complexe. Les colonnes sont ornées de reliefs qui témoignent des idées mythologiques et rituelles des peuples anciens.

Les recherches montrent que Göbekli Tepe était un important lieu de pèlerinage. Des gens venaient de loin, ce qui confirme son importance sacrée. Des rituels et des sacrifices y étaient célébrés, comme en témoignent les artefacts découverts.

J’aimerais ajouter qu’à cette époque, comme le pensent les scientifiques, seuls d’anciens nomades vivaient en ces lieux, qui ne connaissaient même pas le tour de potier. Auraient-ils pu créer un projet architectural aussi complexe ? Ou le temple appartenait-il à un peuple civilisé ?

Le Grand Sphinx d’Égypte

Selon l’une des théories les plus solides, la statue monumentale du Sphinx de Gizeh aurait été érigée par le pharaon Khéphren durant l’Ancien Empire, entre 2558 et 2532 av. J.-C. Cette hypothèse est corroborée par des données archéologiques et architecturales. Par exemple, lors de la construction du complexe du temple près du Sphinx, des blocs de pierre de même taille ont été utilisés, comme pour la construction de la Grande Pyramide de Khéphren. Ceci témoigne de la synchronicité des projets de construction. De plus, une sculpture en diorite de Khéphren a été découverte à côté du Sphinx, confirmant ainsi sa paternité. Malheureusement, cela ne confirme pas la paternité du Sphinx par Khéphren. Des doutes subsistent également quant à la date de construction des pyramides de Gizeh.

D’autres points de vue réfutent totalement la création du Sphinx par Khéphren. Une stèle d’inventaire datant de la Basse Époque indique que le pharaon Khéops, père de Khéphren, a déblayé la statue de sable. Mais la plupart des égyptologues modernes considèrent cette preuve comme peu fiable et la datent d’une époque bien plus tardive. Comment est-ce possible ? Après tout, il s’agit du père de Khéphren, qui a vécu plus tôt, et non plus tard.

Encore une fois, le père de Khéphren, Khéops, a débarrassé le Sphinx du sable, mais il n’est dit nulle part qu’il l’a créé.

On dit que le visage du Sphinx ressemble à celui de Khéphren. Cependant, il convient de prêter attention aux proportions : la tête du Sphinx est trop petite par rapport à son corps, qui ressemble également à celui d’un lion. On peut supposer qu’il s’agissait à l’origine d’un lion, mais sa tête a été endommagée par l’érosion causée par le vent, le sable et, peut-être, des pluies fréquentes. Plus tard, Khéphren ou son fils Djedefre ont probablement remodelé le visage du lion en visage humain.

Il est probable que cette œuvre d’art ait été créée dans le but d’être un artefact symbolique destiné à garder un espace sacré situé sur la route menant aux trois pyramides importantes de Gizeh : Khéops (Khufu), Khéphren (Khafre) et Mykérinos (Menkaure).

Ainsi, la question de l’époque et de la paternité du Sphinx reste ouverte.

Pyramides sur le plateau de Gizeh

Les pyramides égyptiennes continuent de passionner l’imagination des scientifiques et des passionnés d’histoire. Il n’existe toujours pas de consensus sur les raisons de leur construction, leur auteur, ni sur la manière et la date de leur construction.

On pensait autrefois que les pyramides étaient les tombeaux des pharaons. Mais c’est faux. La plupart des pyramides ne contiennent pas les corps des souverains. Les scientifiques pensent qu’elles ont été pillées dans l’Antiquité.

Une autre théorie est que les pyramides seraient de « faux tombeaux ». Les pharaons étaient enterrés secrètement ailleurs, et les pyramides servaient de diversion aux pillards.

Certains chercheurs pensent que les pyramides auraient pu servir d’observatoires. Elles auraient pu observer les étoiles et prédire les phénomènes naturels.

Certains pensent également que les pyramides seraient des générateurs d’énergie. Christopher Dunn, expert en architecture égyptienne, affirme qu’elles pourraient fonctionner grâce aux principes de la gyroscopie et de la résonance acoustique.

La fonction des pyramides demeure donc un mystère. La diversité des hypothèses témoigne de la complexité du phénomène. Les égyptologues continuent d’étudier les pyramides, et peut-être connaîtrons-nous bientôt la vérité.

Le complexe sous-marin de Yonaguni a coulé au large des côtes du Japon

Yonaguni est une île des îles Yaeyama, dans la région subtropicale de Sakishima. C’est le point le plus occidental du Japon. Elle est située à 125 kilomètres de Taïwan.

La superficie de l’île est de 28,88 kilomètres carrés. En 2011, 1 581 personnes y vivaient. Yonaguni appartient à la préfecture d’Okinawa.

L’attraction principale de l’île est le complexe sous-marin de Yonaguni. Découvert en 1986 à la pointe sud de l’île, il est constitué de terrasses en forme d’escaliers, aux côtés droits et aux angles vifs.

En 2025, une étude a montré que le monument pourrait avoir plus de 12 000 ans. Le grès qui le compose s’est formé avant la dernière période glaciaire, lorsque le niveau de l’océan était plus bas. Cela signifie que le monument pourrait être apparu lorsque les zones côtières étaient au-dessus du niveau de la mer.

L’origine de Yonaguni est controversée. Le géologue Robert Schoch estime qu’elle a été créée par des processus naturels dans des zones d’activité sismique. Le professeur Masaaki Kimura soutient qu’elle est l’œuvre de la civilisation humaine lorsque l’île se trouvait au-dessus du niveau de la mer.

Yonaguni est donc un site important pour les géologues et les archéologues. Son origine demeure un mystère qui attire les scientifiques du monde entier.

Pyramides en Chine

L’Académie chinoise des sciences considère les pyramides étudiées comme les tombeaux d’anciens souverains, bien que leur nombre dépasse celui des empereurs historiquement confirmés. Aucune recherche archéologique n’a été menée ; les hypothèses reposent sur des données visuelles.

La Chine restreint l’accès des scientifiques étrangers : en 1966, une expédition américaine a été interrompue en raison de la « révolution culturelle ». Dans la province du Shaanxi, un monastère bouddhiste doté d’une bibliothèque a été détruit, ce qui a entraîné la perte d’informations sur les pyramides.

La Pyramide Blanche, selon les scientifiques chinois, est une formation naturelle, mais Maxim Yakovenko considère cela comme peu probable.

La vallée de Xianyang (40 à 50 km le long de la rivière Wei) est une région qui compte de nombreuses pyramides. Les habitants affirment qu’il y en a plus que ce que l’on peut voir sur les images satellite.

Les pyramides sont camouflées par les arbres et intégrées aux systèmes agricoles. Les raisons de ce camouflage sont obscures : préservation du patrimoine culturel, motivations politiques ou protection de l’histoire ancienne.

Des chercheurs ont découvert que la disposition chaotique des pyramides de la vallée de Xianyang est une illusion. En réalité, elles forment un motif géométrique rappelant la constellation du Cygne. La technologie moderne a permis de découvrir des pyramides cachées formant la constellation « Jingzi » (Cygne), symbole de l’immortalité dans la mythologie chinoise. Dans d’autres cultures, elle est associée à la constellation de l’Épée, du Phénix ou de la Croix du Sud.

Il est intéressant de noter que les anciens Chinois ont pu créer l’image d’une constellation visible uniquement dans l’hémisphère sud. Ces pyramides auraient-elles pu être construites à une époque où la Terre était inclinée différemment ?

Les pyramides ne sont pas orientées vers les points cardinaux, mais vers l’ancien pôle magnétique. La ligne passant par leurs bases s’écarte du pôle Nord actuel.

La plupart des pyramides ont une base carrée, mais il en existe des rectangulaires et des rondes, presque toutes tronquées. La question de leur orientation exacte reste ouverte.

Les scientifiques sont confrontés à des difficultés car certaines pyramides sont inaccessibles. La Chine est connue pour son code pénal strict, qui prévoit la peine de mort pour profanation de monuments, rendant ainsi dangereuses les recherches sans autorisation.

Pourquoi les expéditions sont-elles interdites de travail à la Pyramide Blanche ? La réponse se trouve peut-être dans les images satellite. La plus grande pyramide est située à côté d’un objet ressemblant à un lance-missiles, relié à elle par deux lignes. Leur fonction est inconnue.

Construire des pyramides de 150 mètres de haut est un défi d’ingénierie complexe. Ces pyramides étaient-elles vraiment des tombeaux ? Leur accès est réservé aux scientifiques et aux touristes.

Selon une version officielle, la Pyramide Blanche serait le tombeau du premier empereur de la dynastie Qin. On estime qu’environ 700 000 personnes ont péri lors de sa construction. Leurs restes, selon le témoignage de l’historien Sima Qian, du Ier siècle avant J.-C., ont été emmurés dans les murs de la pyramide.

La pyramide est recouverte de couches de terre compactées, dans lesquelles sont enfouis des centaines de milliers d’ossements. Ces ossements font désormais partie intégrante du tombeau, se transformant en une immense fosse commune pour ceux qui ont travaillé sur le chantier. Nombre d’entre eux sont mélangés, comme si les corps avaient été déchiquetés avant la mort, comme après une explosion.

Il est intéressant de noter que, selon l’historien Sima Qian, les bâtisseurs n’ont pas érigé de pyramide. Ils ont simplement creusé un couloir à l’intérieur. Mais qu’ont-ils découvert dans l’ancienne chambre, et pourquoi une explosion a-t-elle pu précéder leur mort ?

Selon une version, deux cents ans avant notre ère, les hommes auraient non seulement ouvert la Pyramide Blanche, mais auraient également piraté un appareil de haute technologie hérité d’une civilisation plus ancienne.

Divers objets anciens défiant la logique et l’imagination, qu’il s’agisse de blocs de construction de structures grandioses ou simplement d’énormes rochers transportés jusqu’à leur emplacement actuel depuis des centaines de kilomètres, à une époque où il n’existait aucun moyen de transport terrestre autre que des bateaux primitifs, ne cessent d’étonner les chercheurs. Comment est-ce possible ?

Mais nous examinons chaque artefact séparément et nous nous rassurons simplement en pensant que les peuples anciens ont réussi à faire cela… Mais comment ? Qui nous l’expliquera ?

Baalbek

Près de Beyrouth, au Liban, se trouve l’ancienne cité de Baalbek. Les premières mentions remontent au XIVe siècle av. J.-C. À cette époque, le pharaon égyptien Akhenaton instaura dans son État le culte du dieu Aton, divinité solaire.

La légende raconte que la forteresse de Baalbek fut construite par Caïn, le fils d’Adam, en l’an 133 après la création du monde, dans un accès de colère. Connaître l’année de la création du monde permet de calculer l’âge de ces artefacts anciens. L’année 2025 correspond à la 7533e année de la création du monde. 7533 – 133 = 7400 ans. Il la baptisa du nom de son fils Hénoch et la peupla de géants, qui moururent plus tard lors du Déluge.

En réalité, si l’on en croit la théorie du Déluge de la mer Noire, vers 5600 av. J.-C., un événement s’est produit : l’inondation de la mer Noire par de l’eau salée. Ce phénomène a été provoqué par la percée du Bosphore et/ou du détroit des Dardanelles, qui a entraîné l’afflux immédiat d’importants volumes d’eau de mer dans le bassin d’eau douce de la mer Noire. Cet événement a eu des conséquences écologiques et climatiques mondiales, affectant considérablement les régions côtières et la biosphère de la région. On peut dire que la période du Déluge et celle de la construction de Baalbek coïncident. Et si l’on en croit la légende, Baalbek n’a pas été construite par l’homme.

À Baalbek, le temple de Jupiter et les vestiges de son complexe sont encore en ruines. Le temple de Jupiter est une structure assez imposante, dont les blocs de fondation pèsent jusqu’à 1 000 tonnes. Cet édifice surpasse la pyramide de Khéops, dont le plus gros bloc de granit, situé au-dessus de l’entrée de la chambre du roi, pèse 35 tonnes, voire 90 tonnes selon certaines sources.

La grande cour du complexe du temple de l’ancienne Héliopolis.

« Pierre du Sud » à Baalbek

Ce bloc de pierre mégalithique est le plus grand bloc travaillé au monde. On ignore qui l’a travaillé, mais sa masse est impressionnante : plus de 1 000 tonnes. Ses dimensions sont : longueur : 20 m, largeur et hauteur : 4 m.

Une légende raconte qu’une femme enceinte savait comment ces pierres étaient livrées sur le chantier. Elle promit de le révéler si elle était nourrie jusqu’à la naissance de son enfant. On ignore si elle a révélé son secret, mais cette pierre est aussi communément appelée « la pierre de la femme enceinte ».

Il convient de noter que ce bloc est situé à 900 m du temple de Jupiter. Il est légèrement plus lourd que les blocs de pierre Trilithon de 800 tonnes qui constituent les fondations du temple.

Par ailleurs, lors de recherches archéologiques plus poussées dans la carrière de Baalbek, commencées dans les années 1990, des structures similaires ont été découvertes, dépassant même ces blocs de pierre en taille. Le deuxième monolithe surpassait la « pierre du Sud » par son poids. Ce bloc géant pèse environ 1 300 tonnes, mesure environ 20 mètres de long et a une section transversale de 4,5 mètres.

Lors de la poursuite des travaux archéologiques, en 2014, des chercheurs allemands ont découvert un troisième monolithe aux caractéristiques encore plus étonnantes. Il mesure environ 19,6 mètres de long et pèse entre 1 650 et 1 670 tonnes.

Trilithon, constitué de blocs de pierre massifs

Plusieurs hypothèses ont été émises quant à la manière dont les artisans de l’Antiquité parvenaient à créer de tels blocs de pierre, mais toutes soulèvent des doutes. Les peuples anciens, dépourvus d’équipements et de moyens de transport spécifiques, auraient-ils pu construire une telle chose ?

Stonehenge

J’ai déjà écrit des articles sur cette structure, mais dans le contexte de ce sujet, je ne peux m’empêcher de la mentionner. Donc, Stonehenge :

Cet ancien complexe de pierres en Angleterre intéresse chercheurs, historiens et amateurs de mystères depuis des siècles. Qui l’a créé ? Dans quel but ? Et comment les hommes de l’âge de pierre parvenaient-ils à déplacer et à installer des pierres aussi lourdes ?

La construction de Stonehenge a commencé il y a environ 5 000 ans et s’est poursuivie pendant plusieurs siècles.

On ignore qui a construit ce complexe antique. Les scientifiques pensent qu’il est apparu au Néolithique et à l’âge du bronze. À cette époque, diverses tribus antiques vivaient sur le territoire de l’actuelle Grande-Bretagne.

Il existe plusieurs versions sur l’identité de celui qui aurait pu créer le complexe :

Des groupes de chasseurs et de cueilleurs ont peut-être construit les premières structures en terre.

Il est également possible que la culture du Wessex ait joué un rôle. Connue pour ses structures mégalithiques, elle a peut-être largement contribué à la création du complexe, grâce à ses traditions architecturales.

Mais comment et de quelle manière la construction a été organisée ? On ne peut que deviner. J’aime particulièrement imaginer comment les chasseurs ont construit cette structure.

On ignore encore à quelles fins Stonehenge a été construit. Selon une version, il pourrait s’agir d’un observatoire.

Têtes olmèques

Les scientifiques pensent que la civilisation olmèque est apparue au milieu du IIe millénaire avant J.-C. et a perduré pendant environ mille ans. Les principaux centres de cette ancienne culture mésoaméricaine se situaient sur la côte du golfe du Mexique, dans les États actuels de Tabasco et de Veracruz.

Malgré plus d’un demi-siècle de recherches, de nombreux faits concernant la civilisation olmèque demeurent mystérieux. L’origine de cette culture, sa langue et les raisons de sa disparition suscitent encore la controverse parmi les scientifiques.

Les Olmèques ont connu un grand succès dans le traitement de la roche dure, notamment du basalte. Leur principale réalisation fut la découverte de têtes monumentales en pierre, aujourd’hui au nombre de 17. Dix d’entre elles ont été découvertes à San Lorenzo, quatre à La Venta et les autres dans d’autres territoires olmèques. Leur hauteur varie de 1,5 à 3,4 mètres et leur poids varie de 10 à 35 tonnes.

Les caractéristiques anthropologiques des visages des têtes de pierre – nez plat aux narines larges, lèvres charnues et grands yeux – ne correspondent pas au type physique des anciens Mexicains. Cela soulève des questions sur la génétique et l’ethnicité des Olmèques.

Des études géologiques ont montré que le basalte des sculptures de La Venta provenait des montagnes de Tuxtla, à 90 km du site. Transporter des monolithes aussi massifs sur un terrain accidenté n’était pas chose aisée pour un peuple qui ne connaissait pas la roue. Les chercheurs modernes n’ont toujours pas réussi à comprendre comment ils y parvenaient.

Naupa Huaca Pérou

Naupa Huaca est un complexe archéologique unique situé sur les hauts plateaux du Pérou, à proximité de la Vallée Sacrée des Incas. Il se compose de deux structures en pierre savamment sculptées et des ruines d’un bâtiment en pierre.

Le premier élément du complexe est une niche en pierre, sculptée avec une grande précision. Ses paramètres géométriques, notamment ses lignes, ses angles et ses surfaces, se caractérisent par une régularité et une douceur parfaites, témoignant du haut niveau de technologie de construction et du savoir-faire des architectes antiques. Cette niche, ou fausse porte, n’a aucune signification fonctionnelle et avait probablement une fonction rituelle, symbolisant l’accès à d’autres mondes ou à l’espace.

Le deuxième élément du complexe est une structure en pierre à la structure géométrique plus complexe, également sculptée avec une grande précision. Il s’agit d’une autre fausse porte, caractérisée par la présence de deux saillies en pierre situées sur les bords, pouvant être interprétées comme des « accoudoirs ».

Naupa Huaca remonte à l’époque pré-inca. Plusieurs hypothèses circulent actuellement quant à sa fonction. L’une d’elles suggère que le complexe servait à des cérémonies religieuses, tandis qu’une autre le considère comme un point d’observation stratégique permettant de contrôler les routes commerciales et les colonies de la région.

Bien que Naupa Huaca soit un site archéologique important, son étude et ses recherches ne sont pas encore achevées. Contrairement à d’autres monuments du Pérou, ce complexe nécessite une approche plus détaillée pour comprendre pleinement sa fonction et la méthode de traitement de la pierre. Certains chercheurs pensent que le traitement de la pierre au laser a été utilisé dans ce cas, et que ce travail a été réalisé par… des extraterrestres. Mais je pense que les civilisations anciennes n’étaient pas aussi primitives qu’on nous le présente.

On trouve sur Internet de nombreuses informations sur les restes momifiés et squelettiques de certaines créatures ayant vécu il y a longtemps, mais dont les corps ont survécu jusqu’à nos jours. Difficile de dire s’il s’agit d’extraterrestres ou s’ils ont aussi habité notre planète.

Crâne extraterrestre ?

Cette photo montre le crâne momifié de la créature. Cet artefact a été découvert dans une grotte péruvienne. La découverte appartient à l’archéologue Brian Foster.

Les fragments de crâne mesuraient 13 centimètres de long et étaient recouverts d’une peau brune. Le crâne avait une forme inhabituelle. À en juger par la taille des orbites, la créature avait d’énormes yeux ronds et un menton très étroit. Sa bouche était si petite qu’il était difficile d’imaginer comment la créature pouvait se nourrir.

La partie inférieure de l’artefact a été endommagée et l’intérieur du crâne était visible.

L’archéologue a transmis la découverte à un institut américain et, selon certaines informations, le crâne a récemment été examiné. L’analyse de l’ADN isolé du tissu osseux du crâne a permis aux experts de conclure que cette séquence moléculaire est associée à des espèces biologiques connues vivant sur la planète Terre. La structure de l’ADN présente une divergence significative avec celle des représentants de l’espèce Homo sapiens et de l’Homme de Denisova, ce qui indique une appartenance à une branche d’hominidés jusqu’alors inconnue.

Momie à trois doigts

Cette momie, découverte au Pérou, possède de l’ADN humain, mais elle n’a que trois doigts aux mains et aux pieds. Mais quels doigts ! Ils sont trois fois plus longs que la moyenne des doigts humains. On ignore qui est cette créature.

Le crâne est allongé ou en forme d’œuf

Une tombe datant d’environ 500 ans a été découverte en Bolivie. Elle contenait les restes d’une créature au crâne allongé. Et ces restes étaient nombreux.

À proximité immédiate de la ville de Viacha, située à 20 kilomètres de La Paz, capitale de la Bolivie, des archéologues ont découvert les restes de plus d’une centaine de représentants des peuples autochtones d’Amérique du Sud. Ces découvertes appartiennent à divers groupes ethniques, mais parmi les artefacts découverts, se distinguent des crânes à la forme allongée inhabituelle, ce qui pourrait indiquer le statut social élevé de leurs propriétaires.

Le cimetière où ces découvertes ont été faites appartient au peuple Pacajes, membre de l’un des royaumes aymaras. Les Pacajes sont apparus vers 1200 après J.-C., après le déclin de la civilisation andine Tiwanaku, qui a atteint son apogée entre 700 et 900 après J.-C.

La question se pose : pourquoi les représentants de la soi-disant « élite » de ce peuple possédaient-ils de tels crânes ? Il convient d’ajouter qu’il ne s’agit pas d’une déformation artificielle.

Il existe une suggestion selon laquelle Néfertiti, la reine égyptienne, avait également un crâne de forme inhabituelle :

Toutankhamon et Akhenaton avaient également des crânes allongés :

Toutankhamon
Akhenaton

Des restes avec des crânes allongés ont également été découverts en Crimée.

Crâne de Toutankhamon

Des recherches récentes en anthropologie et en archéologie ont permis de mieux comprendre la nature physique du pharaon Toutânkhamon. Grâce à des méthodes modernes de tomodensitométrie et de modélisation 3D, les scientifiques ont établi que la forme du crâne de Toutânkhamon n’avait subi aucune déformation artificielle (bandage), ce qui remet en question les hypothèses largement répandues concernant une déformation intentionnelle de la tête dans le cadre de pratiques rituelles égyptiennes antiques. De plus, le volume de son cerveau, selon les données obtenues, dépassait largement la moyenne statistique, ce qui témoigne des grandes capacités mentales de ce souverain.

Toutânkhamon devint pharaon à l’âge d’environ 10 ans et régna une dizaine d’années, jusqu’à sa mort prématurée vers 19 ans. Son règne marqua une période d’instabilité politique et religieuse, causée par le rejet de la réforme monothéiste initiée par son père Akhenaton et un retour aux croyances polythéistes traditionnelles. Cependant, jusqu’à présent, la reconstitution de l’apparence de ce jeune souverain n’a fait l’objet que de vifs débats scientifiques.

Grâce aux progrès récents de la paléoanthropologie et des technologies numériques, il est désormais possible de reconstituer avec précision le visage de Toutânkhamon. Ce processus a nécessité non seulement l’analyse des restes osseux survivants, mais aussi l’utilisation d’un logiciel spécialisé de modélisation des tissus mous, permettant aux scientifiques de recréer l’apparence du pharaon avec une grande fiabilité.

Os du géant

À la fin des années 1950, lors de travaux de construction d’autoroutes dans le sud-est de la Turquie, des découvertes archéologiques liées à d’anciens complexes funéraires ont été faites dans la vallée de l’Euphrate. Dans deux de ces sépultures, des fémurs d’environ 120 centimètres de long ont été découverts.

Joe Taylor, directeur du Crosbyton Fossil Museum au Texas, a réalisé une reconstitution minutieuse à partir de l’analyse des artefacts. L’étude a révélé que le propriétaire d’un fémur de cette taille mesurait environ 4,2 à 4,8 mètres, soit environ 5 mètres. Ses pieds mesuraient entre 50 et 55 centimètres, soit environ 50 centimètres. Lorsqu’il marchait, ses orteils se trouvaient à environ 1,8 mètre du sol.

Si toutes ces découvertes sont authentiques, nous pouvons supposer que ces créatures ont pu non seulement visiter notre planète, mais aussi y vivre autrefois, et peut-être même à notre époque. Nous voyons parfois d’étranges lumières dans le ciel, des ovnis, et il existe même des témoignages de communication avec des extraterrestres. Par exemple, Kirsan Ilyumzhinov a raconté comment il a communiqué avec des extraterrestres.

Il est possible que ces créatures aient volé jusqu’à notre planète dans l’Antiquité, apportant aux peuples anciens savoir et technologie.

Il est nécessaire de parler des cartes du passé. Certaines suscitent l’interrogation même des sceptiques. Dans cette partie, je propose d’examiner les cartes les plus insolites. L’une d’elles a été découverte en Indonésie.

Carte de Star Trek

Cette carte ancienne est gravée sur pierre. Elle a été découverte en 1992 par le géologue Castillo, qui travaillait dans la grotte de Satan, dans la province de Kapanga, en Indonésie. Il s’agit d’une pierre travaillée sur laquelle on peut observer des symboles inhabituels. Ils sont similaires à ceux gravés sur les plaques d’aluminium anodisé installées sur les sondes Pioneer 10 et Pioneer 11 envoyées dans l’espace lointain en 1972 et 1973.

Il est possible que, dans l’Antiquité, des civilisations hautement développées, dotées de connaissances astronomiques approfondies dépassant même notre compréhension moderne, aient existé sur le territoire de l’Indonésie actuelle. Cette hypothèse repose sur l’analyse d’un artefact pouvant être interprété comme la carte d’un système stellaire inconnu composé d’une étoile et de sept planètes. Ou peut-être s’agit-il du système solaire ?

L’astronomie moderne compte huit planètes dans le système solaire, même si, jusqu’à récemment, on pensait qu’il y en avait neuf. Il convient toutefois de noter que Pluton était jusqu’à récemment considéré comme une planète et qu’il a acquis, depuis 2006, le statut de plus grande planète naine. Si notre système solaire ne compte en réalité que huit planètes, les astronomes anciens, avec leur propre vision du monde, ne pouvaient pas non plus classer Mercure comme une planète, dont le diamètre est seulement deux fois supérieur à celui de Pluton et qui est la plus petite planète du système solaire.

Ainsi, les connaissances astronomiques des civilisations anciennes, reflétées dans cet artefact, témoignent de leur haut niveau de développement scientifique et culturel. Mais qui étaient-ils ?

Plaque de Chandar – carte en pierre de la région de Sibérie occidentale

En 1999, près du village de Chandar, situé dans la partie sud de l’Oural, le professeur Alexander Chuvyrov a découvert une dalle de pierre unique contenant une image en relief de la Sibérie occidentale. Cette découverte a suscité un intérêt considérable au sein de la communauté scientifique, grâce à l’utilisation de technologies qui échappent encore à la compréhension de la science moderne.

Compte tenu des avancées de la cartographie moderne et des systèmes d’information géographique, la création d’une telle image cartographique paraît quasiment impossible. La dalle de pierre reproduit avec un haut niveau de détail le paysage naturel de la région, ainsi que deux réseaux de canaux d’une longueur totale de douze mille kilomètres et d’une largeur de cinq cents mètres. La carte montre également douze barrages d’une largeur de trois cents à cinq cents mètres, d’une longueur maximale de dix kilomètres et d’une profondeur maximale de trois kilomètres.

Une attention particulière est portée aux sites en forme de losange situés à proximité des canaux, qui peuvent indiquer un système complexe de structures hydrauliques et de solutions d’ingénierie qui n’ont pas d’analogues dans la pratique historique.

Carte babylonienne du monde

Le British Museum abrite un objet unique : une tablette d’argile de Mésopotamie, réalisée à la fin du VIIIe et au début du VIIe siècle avant J.-C. Il s’agit de l’une des plus anciennes cartes du monde, créée par les Babyloniens. À ce jour, c’est le seul exemple subsistant de cartographie orientale antique.

La tablette a été découverte à Abou Habba, dans l’actuel Irak. Elle représente une carte schématique du monde tel que les Babyloniens le concevaient. Au centre se trouve la Mésopotamie, entourée de deux anneaux symbolisant la mer ou l’océan, que les Babyloniens appelaient « eaux amères ». Au cœur de cette étendue d’eau conventionnelle se trouvent des villes et des agglomérations, représentées par des cercles et des rectangles miniatures.

L’Euphrate, qui traverse la Mésopotamie, divise la carte en deux parties. La tablette contient également des textes cunéiformes relatant des récits mythologiques et cosmogoniques. Ils relatent la création du monde par le dieu Marduk et l’existence de créatures mythiques vivant au-delà du monde connu des Babyloniens.

Carte du monde sur les pierres d’Ica

Il convient de prêter attention à une petite collection de pierres rassemblées par le Dr Cabrera, sur lesquelles sont représentés les continents. Un simple coup d’œil suffit pour comprendre qu’il s’agit de cartes.

Sur ces pierres, les continents sont délimités par une bordure presque parfaitement ronde, que l’on pourrait appeler la « frontière du monde ». La collection compte quatre pierres de ce type, toutes présentant des caractéristiques similaires.

En étudiant les images sur ces pierres, le Dr Cabrera a développé sa théorie sur une humanité ancienne qui existait avant le grand cataclysme qui a changé la face de la Terre.

Selon le Dr Cabrera, les pierres représentent les continents perdus de Mu, de la Lémurie et de l’Atlantide, ainsi que d’autres continents, mais avec des contours différents.

Carte de Piri Reis

Carte de l’amiral et cartographe turc Hagi Ahmed Muhiddin Piri (Piri Reis), compilée 300 ans avant la découverte de l’Antarctique.

Selon les chercheurs, elle représente le territoire avant la glaciation, qui a débuté il y a plus de six mille ans. Historiens et cartographes ne sont pas encore parvenus à un consensus quant à la représentation de l’Antarctique sur la carte, car celle-ci a été créée au Moyen Âge et représente le continent austral sans glace. Une hypothèse existe selon laquelle elle aurait pu être créée à partir de sources anciennes qui transmettent des connaissances sur le continent avant sa glaciation. Cette version est corroborée par des éléments de la carte qui peuvent être interprétés comme le reflet d’idées géographiques anciennes. Mais de qui étaient-elles issues ?

Le plateau continental sur une carte de Mercator, représenté comme une terre

Il existe un autre document cartographique médiéval bien connu. Il s’agit de la carte de Mercator, sur laquelle le plateau continental est représenté comme une terre et correspond à la partie nord du plateau eurasien, aujourd’hui enfouie sous les eaux de l’océan Arctique.

Sur la carte de Mercator, cette région est appelée « ASIAE PARS ». Les recherches scientifiques modernes, notamment en géologie marine, permettent de supposer que la partie du plateau continental située au nord de la Sibérie était une terre ferme entre le XVIIIe et le VIIIe millénaire avant J.-C. Cependant, d’autres hypothèses suggèrent que ce territoire aurait pu être une terre ferme à des époques géologiques antérieures. Question : où Mercator a-t-il obtenu ces données ? Il n’a sûrement pas étudié les contours du plateau continental à bord d’un sous-marin ? Je n’ai qu’une seule hypothèse : il a utilisé la matrice des cartes parmi les cartes très anciennes dont il disposait. Et très probablement, l’Amérique du Nord était absente de ces cartes ou mal préservée, le cartographe l’ayant représentée de manière assez approximative, contrairement à l’Eurasie.

Ces cartes anciennes, si étonnantes, nous laissent entrevoir l’existence de civilisations préhistoriques, et nous laissent entrevoir des vestiges, dispersés un peu partout dans le monde.

J’ai tenté d’en rassembler quelques-unes dans cet article, afin de permettre à mes chers lecteurs de comprendre qu’avant notre civilisation actuelle, existait déjà une civilisation tout aussi développée. Qui étaient-elles ? Des humains et nos lointains ancêtres, ou bien des créatures complètement différentes : des nains, des géants, des extraterrestres, et peut-être même des reptoïdes… Difficile de répondre à cette question, car les scientifiques n’ont pas encore confirmé l’existence d’une civilisation hautement développée dans le passé. Mais ils ne l’ont pas non plus réfutée !


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