Vous étiez certainement nombreux à attendre que la Justice, sortant de sa somnolence, punisse les charlatans qui, exploitant leur maîtrise de l’outil médiatique et la naïveté des hypocondriaques, s’enrichissent de façon indécente en empoisonnant le chaland. C’est désormais chose faite. Ou presque : Thierry Casasnovas était en garde-à-vue. Et Pfizer court toujours.
Au vu des chiffres très alarmants (commentés, par exemple, par Pierre Chaillot) de la natalité et de la mortalité des jeunes (naturellement causée par le « changement climatique »), certains – en entendant parler « d’abus de faiblesse » – auraient pu s’attendre à ce que les foudres de la justice s’abattent plutôt sur la société multirécidiviste Pfizer et sa VRP germano-américaine Ursula, dont les manigances sont désormais dénoncées par d’obscurs organes de presse complotistes comme le New York Times.
Etant donné que, après tout, ces technologies expérimentales avant l’administration desquelles on est prié de signer une décharge au fabricant et à l’Etat qui nous en impose l’achat ont tout de même l’air un peu plus dangereuses que les jeûnes et les jus de légume du « gourou » pyrénéen.
Eh bien non.
En Macronie, c’est Libération qui décide qui est malade et qui guérit
Au moment même où l’Europe entière se lance dans des opérations de démolition contrôlée du récit covidiste, la maréchaussée du Gauleiter impérial Macron poursuit sans sourciller son salutaire travail de répression des médecines naturelles.
Ce sont d’ailleurs les débuts de cette vertueuse croisade au service de la médecine chimiquement chère qui avaient, plusieurs années avant le Great Reset, amené l’un des bénéficiaires du jeûne thérapeutique – l’écrivain suisse Slobodan Despot – à concevoir des soupçons quant à la philanthropie pharmaceutique – soupçons par la suite largement confirmés par ses observations de 2020 sur la pandémie-fantôme.
Bulletin paroissial de l’Amicale des Prêtres et des Sacrificateurs de la Nouvelle Religion covidiste – d’ailleurs officiellement financé par son pape Bill Gates – le journal Libération annonce la grande nouvelle avec une évidente jubilation : à force de mentir effrontément, cette presse de grand chemin, que plus personne ne lit, pardonne difficilement à Casasnovas ses 600 000 abonnés YouTube.
Quand les hiérarchies spontanées du marché (en l’occurrence : informationnel) s’éloignent des recommandations philanthropique de l’expertise subventionnée sur fonds publics et oligarchiques, pour tout communiste qui se respecte, cela ne peut vouloir dire qu’une seule chose : qu’il est temps d’envoyer quelqu’un au goulag.
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