Parapsychologie

Voyage astral vers d’autres civilisations

Témoignage :

La race humaine se définit faussement par le corps d’incarnation dans lequel se manifeste des âmes d’origines stellaires très diverses, faisant fi du large spectre vibratoire de ces âmes. L’expérience humaine est souvent choisie, fréquemment imposée et parfois utilisée à divers desseins. Nous sommes tous en apprentissage. Nous comprenions les règles auxquelles nous serions soumis bien que nous les ayons oubliées.

En choisissant de travailler à activer mes centres énergétiques, je me tourne vers l’intérieur pour trouver la Connaissance. Je recours peu à la projection astrale pour découvrir les réalités, maitrisant mal mes voyages et m’exposant souvent à des dangers.

L’information retranscrite sur les civilisations dites extraterrestres est manipulée, déformée et extrêmement limitée. Les sources sont obscures ou oubliées. Les témoignages se portent souvent sur les quelques races habituelles. La désinformation règne afin de créer de la confusion.


Je fais le choix de conter le récit de quelques voyages non pas pour aborder ma technique ou méthode propre de voyage astral mais pour laisser entrevoir que la nature de ces races peut nous être révélée par nos propres capacités.

Il s’agit de mes récits et en cela ils ne doivent pas être considérés comme vérité absolue mais comme partage de Ma vérité soumise à mes filtres.

Une race extraterrestre hostile

Mon esprit est en projection astrale au-dessus des nuages. Je m’élève jusqu’à atteindre la limite supérieure de la haute atmosphère terrestre. Emplissant mon champ de vision, le noir intersidéral est piqueté d’une myriade d’étoiles. Je demande à me rendre sur n’importe quelle planète. Je fixe une portion de l’espace et j’accélère subitement dans cette direction. Le champ des étoiles s’étire brièvement autour de moi.

Je suis en altitude sur une planète qui n’est plus la Terre. Le soleil de cette planète décline à l’horizon. Il semble s’agir d’une naine rouge. Je ressens que la luminosité est toujours faible sur cette planète. Le paysage est baigné d’un éclairage rougeâtre très particulier. Je vois des montagnes au loin. Je survole une cité. Tous les bâtiments sont noirs, aux pointes acérées. Les tours ont la forme de mandibules de coléoptères dressées à la verticale. Je flotte entre les plus hautes tours, jaugeant de l’importance de cette cité, fonctionnelle au détriment de tout esthétisme selon nos critères humains. Ce monde est froid, hostile et agressif. Je ressens que la cité grouille d’êtres en son sein même si aucune agitation extérieure ne vient le démontrer.


Subitement, je me sens interpellé. Une créature apparaît et emplit mon champ de vision. Elle ressemble à un insecte noir, une sorte de fourmi mais avec une tête sur laquelle saillit de courts appendices pointus. Elle s’adresse à moi dans un cliquetis de sons incompréhensibles. Ses yeux rouges me fixent mais cherchent en même temps quelque chose ou quelqu’un.

Bien que son langage me soit inintelligible, une forme de compréhension s’opère quand même. L’être devant moi est en charge de surveiller ce genre d’intrusion astrale. Il ne comprend pas pourquoi je suis venu et ce que je suis venu faire. Je ressens avoir bravé un interdit. J’aurai même dû être intercepté plus rapidement. Il y a vraiment de la surprise et de la gêne dans ce que je perçois chez mon interlocuteur.

Un deuxième arrive. Il est encore moins amical que le premier dont il est visiblement le supérieur. Son cliquetis est très fort et agressif, il plonge son regard en moi. Je comprends que sa planète est une planète interdite. Ils ne veulent pas d’interaction avec les autres races. Ils ne visitent personne et n’accueillent personne. Il ne comprend pas pourquoi j’ai défié cet interdit ni comment j’ai réussi.

Sans crier gare, il émet un hurlement à mon encontre. Non pas un cri mais une vibration stridente qui vient me vriller le cerveau. Je prends conscience que mon corps physique resté allongé ressent cette douleur physique. L’être m’expulse littéralement. Je me vois m’éloigner de sa planète mais cela se poursuit. Je n’ai plus qu’une pensée, trouver refuge ailleurs.

Une race extraterrestre amicale et curieuse

Je me retrouve à la surface d’une planète dont le paysage se démarque tant par la profusion de couleurs vives que par la nature même de la flore. Il n’y a rien de commun. Les plantes et les arbres sont de formes bulbeuses, douces et arrondies que l’on pourrait assimiler aux plantes succulentes, dites grasses, avec leurs formes charnues. La comparaison ne peut aller plus loin. La densité semble différente, plus légère. Les textures ont un côté intangible. Les règles qui régissent la matière sur ce monde sont très particulières. Mes repères sont absents et je suis décontenancé.

Une forme de vie animale est présente. Je les assimile instinctivement à des herbivores tels des vaches qui paissent dans les champs. Elles sont d’un jaune vif sans membre inférieur ou supérieur, un peu comme des Barbapapa sans bras.

L’une d’entre elles se rapproche et communique télépathiquement avec moi. Je me sens confus de l’avoir réduite au rang d’animal. Elle s’en aperçoit mais ne s’offusque pas du tout. Nous communiquons en toute aisance. D’autres nous rejoignent. Elles manifestent une grande curiosité à mon égard, me demandant d’où je viens. Elles me disent ne pas avoir souvent de la visite car peu leur montre de l’intérêt. Elles n’ont aucun goût pour le développement technologique et mènent une quête spirituelle. Elles ont plus de questions pour moi que moi pour elles, toujours désarçonné par cette rencontre.

Une civilisation carrefour

Je glisse dans l’atmosphère d’une planète orbitant autour d’une étoile à environ une vingtaine d’années-lumière de la Terre. Je ne sais pas pourquoi j’ai reçu cette information, sûrement soufflé par un guide qui m’accompagne lors de ce voyage astral. Le paysage pourrait se situer sur Terre. Un panorama de vallées et de collines verdoyantes s’étend jusqu’à l’horizon. Une grande tour s’élance très haut dans le ciel. Elle est massive mais aux courbes fines et aux reflets iridescents. J’aperçois au loin trois ou quatre tours similaires. Cette civilisation concentre son développement dans ces tours de verre qui feraient pâlir le plus haut de nos gratte-ciels terrestres. Leur surface au sol est la plus faible possible pour laisser la nature à elle-même.

Je suis surpris que mes déplacements se fassent selon des courants. Bien que j’aperçoive des nefs aériennes glisser d’une tour à l’autre ou s’élancer au loin, je prends conscience qu’il y a beaucoup d’êtres en projection astrale avec moi. Je discerne l’énergie d’entités invisibles qui glissent avec moi le long d’autoroutes astrales. Toutes circulent librement comme moi mais je sens la contrainte de suivre ces routes invisibles. Elles sont très fréquentées. Tout semble relever d’une mécanique astrale inconnue. Bien que je ne les connaisse pas, l’effet de masse induit des règles de déplacement qui me sont imposées.

Cette planète est un carrefour de civilisations, un point de passages multiples, des portails de transfert. Je n’arrive pas à rentrer en contact avec qui que ce soit. Je me sens repartir de cette planète.

La grille planétaire

De retour vers la planète Terre, je suis invité à l’observer avant de revenir dans mon corps. Cette fois-là m’a permis de comprendre que j’ai toujours été accompagné d’un guide lors de mes voyages. Je sens qu’il souhaite que j’observe une trame éthérique qui enserre la Terre. Je suis juste au-dessus, je la vois d’un bleu violet électrique avec un maillage assez serré. Je n’ai pas su s’il s’agissait d’une grille cristalline ou d’une grille éthérique des archontes. Ces deux concepts m’étaient encore inconnus lors de cette expérience.

Mon guide souhaitait que je prenne conscience de cette grille. Je ressentais plutôt qu’elle nous enfermait et qu’il n’y avait que d’étroits passages pour la traverser. Je compris qu’il me guidait pour passer au travers même si je n’en ai jamais eu le souvenir.

Base souterraine sur Terre

Lors d’une sortie astrale, je me souvins avoir plongé dans un lieu profondément enfoui sous terre, possiblement au Canada. Je suis dans une base dont les couloirs et les salles sont éclairées d’une lumière blafarde. Je survole une salle comme si j’étais au plafond. Il n’y a qu’une seule race d’êtres, de type insectoïde. Ils ressemblent à des mantes se tenant debout. Ce sont des scientifiques. Cependant, je suis écœuré de voir qu’ils pratiquent des manipulations génétiques sur du matériel humain. Je vois des membres disséqués ou des corps entiers baignant dans des cuves. Je ne détaillerai pas davantage mes observations.

Ces êtres sont affairés. Plusieurs ont conscience de ma présence car ils m’observent tout en poursuivant leurs travaux. Je ressens ne pas avoir besoin de les craindre et qu’ils n’ont rien à me dissimuler ne représentant pas une menace pour la confidentialité de leurs expériences. Comme je m’attarde pour les observer, je vois que l’un d’entre eux me signale à d’autres êtres avant de reprendre sa tâche. J’éprouve alors seulement une crainte sourde. Je sens qu’il faut que je parte car ceux qui vont venir me chasser sont d’une autre race et qu’ils sont très inamicaux.

Conclusion sur ces voyages astraux

Tout voyage astral ne m’ouvrit qu’une perception de surface sur les autres mondes et les peuples qui les habitent. Ils nourrissent le mental dont l’entendement n’a pas les repères nécessaires pour une compréhension en profondeur. Je ne voyais que l’apparence des choses. Je n’apprenais pas leurs orientations, leurs dynamiques évolutives, ne percevais pas leur plan de conscience. Je n’ai pas pu mieux me représenter les êtres de la nature, les dragons, les êtres vibrant à la fréquence angélique, les êtres de l’Intra-Terre ou les êtres extraterrestres. Je ne me suis pas mieux compris.

Je n’ai pas progressé sur la maîtrise de ma multidimensionnalité. Je n’y ai pas retrouvé mes mémoires stellaires. Je n’ai pas mieux compris les enjeux actuels des différentes factions dans le jeu terrestre. Je n’y ai pas vu ma mission de vie ni mon plan divin personnel.

Le voyage astral reste un outil et n’est pas sans danger.

La voie du Cœur est celle qui m’ouvre à moi-même, à mes expressions multidimensionnelles, qui me connecte aux guides issus de diverses hiérarchies et origines stellaires.

Samuel


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