Secrets révélés

VIKTOR SCHAUBERGER Génie exploité, bafoué et occulté

Lorsque l’énergie libre verra enfin le grand jour, il ne sera que légitime d’élever à la gloire de pionniers occultés, qui furent les pierres d’achoppement de la science du 21ème siècle, des statues commémoratives et une loyale citation dans les futurs livres d’histoire : il s’agit entre autres des deux plus grands : Nikolas Tesla et Viktor Schauberger, que nous allons présenter ici.

Le principe des vortex (mini-tornades provoquées) furent la pierre d’achoppement des géniales réalisations de Schauberger ; celui-ci fut néanmoins largement calomnié et tourné en dérision parce que ses travaux contredisaient les théories de « l’establishment » scientifique et bureaucratique, menaçant ainsi leur crédibilité et leur réputation.

Viktor est né le 30 juin 1885 à Ulrischberg en Haute Autriche, dans une famille de forestiers. À 18 ans, il refusa catégoriquement de suivre la trace de ses deux frères et d’aller à l’université, ayant constaté comment cela avait affecté leur pensée. Il suivit donc son instinct naturel en devenant jeune garde forestier, métier où il put à loisir exercer son sens acéré de l’observation.

Il écrivit : « Je pouvais rester assis des heures sur la berge et regarder l’eau couler sans me lasser. À l’époque, j’étais encore inconscient du fait qu’il restait caché dans l’eau, le plus grand des secrets. »

Un jour d’hiver très froid, alors qu’il était sur le point de traverser un torrent de montagne très rapide, il chassa une truite stationnaire de sa tanière, alors qu’il cherchait un point d’appui ferme pour son bâton dans le lit du torrent.


Sa fuite rapide comme l’éclair en amont provoqua immédiatement chez lui un certain nombre de questions : « Comment la truite était-elle capable de s’enfuir en amont comme un filet de lumière au mépris de toutes les lois de la gravité ? Et comment était-il possible à ce poisson de se tenir si immobile, se manœuvrant lui-même avec de légers mouvements de ses nageoires de queue dans ce flux largement torrentiel, qui faisait tellement s’agiter mon bâton que je pouvais difficilement m’y cramponner ? Quelles forces permettaient à la truite de vaincre son propre poids corporel sans effort aussi rapidement, et au même moment d’en faire autant avec le poids spécifique de l’eau puissante coulant contre elle ? Et pourquoi l’eau ne gèle-t-elle pas même pendant des froids sévères avec une température en dessous de –30°C ?. »

On peut aussi lire dans ses écrits :

« Comme le temps passait, je commençais à jouer avec les forces secrètes de l’eau. J’abandonnais ma soi-disant conscience libre et permettait à l’eau d’en prendre possession pour un temps. Petit à petit, je réalisais qu’on pouvait détacher sa conscience du corps et l’attacher à celle de l’eau. Quand ma propre conscience retournait vers moi, la psyché de l’eau, la plus dissimulée souvent, me révélait les choses les plus extraordinaires. De cette façon, j’étais capable d’expérimenter des choses qui avaient échappé à l’attention d’autres gens, parce qu’ils étaient ignorants du fait qu’un être humain soit capable d’envoyer sa libre conscience dans ces endroits où les yeux ne peuvent pas voir. En pratiquant cette vision les yeux bandés, je développais un lien avec la nature mystérieuse dont j’apprenais lentement à percevoir et comprendre l’être essentiel. »

L’ASCENSION

En 1920, après qu’il eut mis au point un système de transport fluvial « Le Steryrling », Schauberger fut remarqué par le gouvernement autrichien qui demanda au Pr Forchheimer d’examiner les étonnantes théories de cet inventeur. Celui-ci fut littéralement enthousiasmé.

Le 1er janvier 1930, le Pr Wilhelm Exner, Président de l’Académie des Sciences, reçut des mains de Schauberger son traité sur la fonction de freinage des vortex et leur relation avec la température de l’eau intitulé, « Turbulence ». Mais, sur les recommandations de Forchheimer, le document fut mis sous scellés car la science n’était pas prête à recevoir un « tel dérangement ». Admettre son concept aboutissait à l’effondrement de la sacro sainte loi de conservation de l’énergie, et ce ne fut qu’en 1974 qu’il sera remis au grand jour, par Walter, le fils de Viktor.

Entre 1930 et 1933, Viktor Schauberger travailla sur un système de régénération de l’eau produisant une eau potable de qualité supérieure. Mais, cette machine ultra puissante en resta au stade du prototype, en raison d’un barrage systématique de l’administration, en particulier au travers d’un ennemi juré, le Dr Ehrenberger.


Pourtant l’invention de Viktor répondait à un cuisant besoin (déjà à l’époque) de réhabiliter les eaux du Rhin et du Danube, sur la demande d’une commission internationale. D’ailleurs, Ehrenberger et une certaine équipe de hauts fonctionnaires n’ont cessé de saper sa carrière et ses relations, par d’incessantes calomnies, fausses informations et dénigrements de ses œuvres, bref le faisant passer pour un imposteur, car Viktor risquait de menacer leurs positions académiques.

Quoiqu’on ait pensé de Schauberger en Autriche à cette époque, les termes de ses capacités et déclarations contenues dans son livre publié et intitulé « Notre stupide travail – la source de la crise mondiale » arrivèrent à d’autres oreilles, dont celles d’un certain Adolf Hitler.

ENTREVUE AVEC HITLER

À une époque où les relations entre l’Autriche et l’Allemagne étaient au plus bas, Viktor fut convoqué à une audience à la Chancellerie du Reich à Berlin. Tout fut arrangé très vite et Viktor quitta l’Autriche pour Berlin pour un meeting avec Hitler, qui l’accueillit chaudement comme un compatriote, lui disant avoir étudié tous les rapports sur ses travaux, et être très impressionné par ce qu’il avait lu.

Trente minutes avaient été allouées pour les discussions, et le Pr Max Planck avait été requis pour un rôle de conseiller scientifique (un peu avant qu’il soit destitué sans ménagement de sa position de conseiller privé).Cet échange de vue dura en fait une heure et demie durant lesquelles Schauberger expliqua l’action destructive de la technologie contemporaine et ses inévitables conséquences.

Il lui exposa tous les processus naturels de mouvement et température, la relation vitale entre les arbres, l’eau et la productivité du sol, en effet, toutes choses qu’il considérait devoir être sérieusement étudiées, comprises et pratiquées, pour créer une société viable et soutenable.

Quand Viktor eut terminé son explication, Max Planck, qui était resté silencieux, fut interrogé pour donner son opinion sur les théories naturelles de Viktor. Sa réponse fut la constatation révélatrice et remarquable du fait que « la science n’a rien à voir avec la nature ».

Hésitant un moment à rentrer dans cette étonnante admission, Viktor fit ensuite référence au soi-disant Plan Goering, disant que s’il était institué, il minerait et détruirait les fondations biologiques de l’Allemagne. Comme résultats, le 3ème Reich se terminerait en 10 ans au lieu des 1000 années annoncées (Viktor n’était pas si loin de la vérité dans son estimation).

Durant le début de la conversation, Hitler avait été enthousiaste mais il devint fortement perturbé sur ce qu’il venait d’entendre et donna l’ordre à ses conseillers techniques et économiques (Messieurs Keppler et Wiluhn) de discuter avec Viktor sur ce qui pouvait être fait. Une fois à l’extérieur de la porte, ces deux hommes demandèrent à Viktor comment il en était arrivé là. Courroucé par leur air condescendant, il répliqua sèchement : « Par la même porte par laquelle je viens de sortir ! » No comment !

Voyant que ses idées n’avaient aucune chance d’être acceptées et les laissant là bouche bée. Il retourna à son hôtel et repartit pour l’Autriche le matin suivant. Cependant Keppler et Wilhun eurent leur revanche plus tard, après l’Anschluss le 13 mars 1938.

ÉLIMINATION RATÉE DE PEU

À Vienne, un peu plus tard, alors qu’il prenait le thé avec Mme Mäda Primavesi, une figure bien connue de la haute société, Viktor s’excusa en disant qu’il serait absent une vingtaine de minutes, pour un examen médical de routine de ses blessures de la Première Guerre Mondiale, à la clinique proche de l’Université de Vienne, pour obtenir son éligibilité à la continuité de sa pension de guerre. Comme il ne revint pas, et furieuse d’avoir été si rudement délaissée, Mme Primavesi se mit en tête de le retrouver. Rageuse, elle alla là où il vivait et s’étant entendu dire par sa femme qu’il n’était pas de retour, et que ce comportement ne lui était pas habituel, elle alla alors à la clinique.

Prenant au collet le directeur, le Pr Pölz, qu’elle connaissait bien, elle refusa de le quitter tant qu’on n’aurait pas préalablement retrouvé Viktor. Elle finit par le trouver dans le quartier réservé aux fous. Il reposait calmement sur un lit dans un vêtement étroit attendant une injection mortelle qui était alors la procédure standard du 3ème Reich pour éliminer les malades mentaux et autres sujets « indésirables ».

Malgré le nouvel ordre instauré par l’Anschluss et l’épée de Damoclès maintenant en permanence au-dessus de sa tête, Viktor continua tranquillement ses recherches. Dès qu’il avait trouvé quelque chose qui marchait, il notait le fait et passait à un nouveau projet. Il n’était jamais intéressé par commercialiser ses découvertes.

Comme jamais auparavant, il poursuivit ses recherches sur les moyens de générer l’énergie à partir de l’eau, à travers l’interaction de formes complémentaires mais opposées.

INVENTIONS RÉCUPÉRÉES

En 1936, il déposa des brevets pour une turbine à air, qui utilisait un « compresseur » centripète et une tubulure de sortie rayée au centre.

Suivirent des brevets d’application dans lesquels ces concepts étaient améliorés.

Bien que toute trace de ceux-ci aient depuis disparu (!), l’appareil décrit était non seulement capable de transformer l’eau de mer en eau douce, mais il pouvait aussi être exploité pour propulser les avions et les sous-marins.

Une fois encore, Viktor fut victime de tromperie et ses idées furent usurpées.

Dans un document daté de 1941, il décrit comment le Pr Ernst Heinkel – le designer du premier avion à réaction ayant réussi à voler pour la première fois le 27 août 1939 – avait illégalement eu connaissance des applications préliminaires de Viktor au Bureau des Brevets à Berlin, par l’intermédiaire de ses avocats en brevet, Lehmann-Harlens. Les ayant étudié soigneusement, Heinkel avait exprimé son désintérêt mais avait inauguré immédiatement un programme de recherche secret, utilisant cette information dans une forme modifiée pour améliorer la performance de son chasseur.

ENRÔLÉ DE FORCE PAR HIMMLER

En 1943, malgré ses blessures de guerre et ses 58 ans, Viktor fut déclaré apte au service actif et incorporé dans la Waffen SS, tombant sous le contrôle de Himmler qui le contraignit à participer à la recherche d’une nouvelle arme secrète.

Pourvu d’un logement convenable à Schloss Schönbrunn – proche du camp de concentration de Mathausen, pour fournir la force de travail des ingénieurs prisonniers, Viktor voyait sa vie menacée s’il ne se conformait pas aux ordres et ne continuait pas ses recherches. En dépit de ces menaces, Viktor traîna les pieds et exigea du commandement SS le droit absolu de sélectionner les divers ingénieurs dont il avait besoin. Il exigea même que chaque technicien qu’il choisissait soit retiré complètement du camp, nourri correctement, habillé de vêtements civils, sinon ils seraient improductifs. Comme il l’expliquait, les gens qui vivent dans la menace pour leurs vies et sous un grand stress émotionnel, ne peuvent pas travailler avec créativité ni de manière conséquente. Etonnamment, les SS furent d’accord et ainsi Viktor sélectionna entre 20 et 30 ingénieurs, pilotes et autres personnels qualifiés pour les faire installer dans diverses maisons près de lui.

Quand ils furent tous installés, Viktor les exhorta à travailler aussi dur qu’ils le pourraient, mais sans aucun espoir de penser à s’enfuir sous peine d’être punis et exécutés. Ils commencèrent à travailler volontairement et, alors qu’ils ne comprenaient pas ce que Viktor cherchait à atteindre, ils suivirent ses instructions fidèlement.

Deux machines furent construites, l’une appelée « Répulseur » et l’autre « Répulsine », le nom reflétant les forces actives en elles.

Après la guerre, toute l’information récupérée fut confisquée puis séquestrée par les alliés (russes, français, anglais et Américains) et n’est donc pas disponible pour le grand public.

De même, on ne retrouve aucune trace disponible des brevets de l’époque de Viktor (ce qui n’empêchera pas l’information de ressortir plus tard comme c’est toujours le cas et comme nous le verrons plus loin).

SOUS L’OCCUPATION AMÉRICAINE

D’un certain point de vue, Viktor Shauberger pouvait se considérer comme plutôt chanceux après la guerre, parce qu’avec son groupe d’ingénieurs, il avait été évacué par les SS à Léonstein en Haute Autriche à cause du bombardement de Vienne, et donc en mai 1945, il était sous juridiction des forces américaines d’occupation. Au Leonstein, Viktor fut placé sous bonne garde pendant neuf mois par les américains, pour glaner à leur profit de l’information sur sa période de recherche en temps de guerre, dans les énergies « supérieures » de Mathausen et Leonstein, et en partie pour le soustraire à un éventuel enlèvement par les russes.

On trouve confirmation de tout cela dans une lettre de Viktor au Ministre allemand de la Défense, Franz Joseph Strauss, du 28 février 1956. Dans cette lettre, il relate comment le dernier appareil, sur lequel il avait travaillé, avait été saisi seulement quelques jours après un vol réussi par des membres des services secrets américains, qui semblaient très bien informés sur son existence. Son composant le plus important, qui avait été oublié dans la hâte de partir, avait été récupéré par les russes dans son appartement de Vienne, lequel avait ensuite été détruit par une explosion. Viktor fut apparemment menacé d’un internement s’il était assez fou pour continuer ses recherches dans ce domaine (ce qui confirme la peur engendrée par l’intérêt de ses travaux).

Durant cette période de l’après-guerre immédiate, la nourriture était extrêmement rare et beaucoup de gens souffraient de malnutrition. Quand il fut relâché, sans ressources, il se déplaça à Salzbourg fin 1946, et commença à appliquer son énorme potentiel de connaissance aux systèmes de culture alors en place.

UNE TRISTE FIN DE VIE

En collaboration avec Franz Rosenberg, il fut en mesure de démontrer comment des accroissements de productivité pouvaient être atteints en utilisant les connaissances qu’ils avaient acquises en Bulgarie, avant la guerre. Hélas, tout progrès dans cette région ayant été bloqué par des politiciens corrompus en 1949, il retourna à ses études sur l’implosion, la génération d’énergie et le mouvement de l’eau, essayant avec ses fonds limités de faire fructifier ses recherches antérieures. Ces travaux furent consignés à l’Université Technique de Stuttgart en 1962, sous l’égide du Pr Franck Pöpel.

Sept mois et demi avant sa mort, Viktor est écœuré par toutes les trahisons qu’il a subies. Il en fait part à un ami dans une lettre où il écrit :

« J’ai toujours été obligé de fournir une preuve. Chaque fois que je le faisais, j’étais volé à tel point qu’aucune autre voie n’était ouverte pour moi, autre que de rester silencieux une fois encore »

« chaque fois que j’ai produit quelque chose, tout ce qu’on me donnait, c’était des broutilles… » et « si je révèle tout cela, ce sera simplement étouffé, car les pouvoirs politiques et les doctrines de l’Eglise en seraient ébranlées… J’ai l’intention de retourner vers la forêt pour mourir en paix ».

En fait, le dernier chapitre de sa vie fut une histoire lamentable où s’étant laissé courtiser par les Américains, il est allé aux Etats-Unis croyant être enfin reconnu et récompensé de son immense travail.

En fait, ce fut la plus grande trahison de sa vie qui le fera mourir brisé le 25 septembre 1958 après avoir déclaré : « Je ne suis plus propriétaire de mon esprit et de mes pensées. Après tout ce que j’ai fait, il ne reste plus rien. Je suis un homme sans futur. Ils ont dit que j’étais fou. L’espoir, c’est qu’ils aient raison. Mais, si j’ai raison et que la science a tort, alors que Dieu pardonne à l’humanité. »

LE MOTEUR A IMPLOSION DE SCHAUBERGER ET SES APPLICATIONS

Le moteur à implosion de Schauberger était un moteur rotatif à propulsion alimenté par un générateur autonome, l’exact contraire du moteur à explosion. Viktor Schauberger était un défenseur de « l’implosion au lieu de l’explosion », il rejetait le moteur à explosion car il soutenait qu’il contredisait les lois naturelles, étant donné que c’est un phénomène destructeur.

Le moteur à implosion fut développé durant la Seconde Guerre mondiale par le Troisième Reich.

Félix Ehrenhaft l’aida à réaliser les calculs destinés à la réalisation de son moteur. Il comportait un circuit fermé avec un mélange d’eau et d’air, mu par un moteur électrique fourni par l’aviation allemande, et il atteignait 20 000 tours par minute. Le modèle A fut mis en marche sans l’autorisation de Schauberger, les amarres le retenant se rompirent, faisant s’écraser et se détruire l’engin contre le toit du hangar. Se basant sur la résistance des vis, Schauberger estima la force ascensionnelle de l’engin à 228 tonnes. Ce moteur à implosion faisait diminuer la température au centre, en violation des principes de la thermodynamique.

Cette technologie donna naissance aux ailes lenticulaires (Flugscheiben) du régime nazi : les Haunebu et les Vril, dont il n’a subsisté que des photographies.

C’est à cette période que Schauberger se lia d’amitié avec Werner von Braun, ce qui explique que la Nasa ait pu récupérer cette technologie détenue par les nazis, pouvant continuer à la perfectionner secrètement, en amusant la galerie avec ses fusées spatiales d’un principe de base en fait complètement dépassé !…

Michel Dogna


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

(Vu 377 fois, 1 visites aujourd'hui)

Laisser un commentaire

Bouton retour en haut de la page