Divulgation cosmique

Une flotte secrète en orbite

Les rumeurs selon lesquelles les Etats-Unis possèdent une flotte ultra-secrète de vaisseaux à antigravité circulent depuis des années.

Le 23 mars 1993, lors d’une réunion destinées aux ingénieurs, organisée à Los Angeles, le Dr. Ben Rich – ancien directeur exécutif des ‘recherches avancées’ chez Lockheed – a montré une image d’un disque noir se dirigeant vers l’espace et a déclaré :

« Nous possédons maintenant la technologie nécessaire pour ramener E.T. à la maison ».

Des informateurs des milieux militaires et d’autres, issus de compagnies privées, ont ouvertement témoigné qu’ils avaient une bonne connaissance de tels engins à antigravité, comme l’Aurora et le TR-3B.

Dans son livre, « The Hunt for Zero Point », l’analyste Nick Cook, du Jane’s Defense Weekly, écrit ceci à propos de l’Aurora : « Depuis la fin des années 80, on s’interroge sur l’existence du successeur secret du Blackbird; il s’agit d’un avion mythique nommé l’Aurora qui serait capable de voler deux fois plus vite et aux limites de notre atmosphère » (p. 14).


D’autres informateurs, comme Edgar Fouche, ancien contractant du Ministère de la Défense, ont soutenu que l’Aurora, à la suite du Blackbird [ou du SR-71] se compose de deux types d’avions hypersoniques pour aller dans l’espace :

« L’Aurora intègre le SR-75, qui est capable de voler à Mach 5, et sert de vaisseau-mère pour le SR-74, qui peut atteindre Mach 18 et aller placer des satellites dans l’espace. »

Au sujet des révélations d’Edgar Fouche, lire aussi :

Le cristal temporel à la base des technologies en attente de divulgation

Plus spectaculaire, il y a aussi le TR-3B, de forme triangulaire, qui selon Fouche génère un champ électromagnétique intense, lequel réduit son poids de 89%. D’après lui, le TR-3B utilise l’effet Biefeld-Brown (créé par d’importantes charges électrostatiques), puis des systèmes de propulsion plus conventionnels tels que les scramjets l’amènent à des vitesses prodigieuses. Ca se situerait bien au-dessus de Mach 18, qui est selon lui la vitesse du SR-74. Fouche affrime que le TR-3B a un diamètre de 200 mètres, ce qui approche la taille d’un porte-avions.

Des preuves bien établies confirment qu’il existe une flotte secrète d’engins spatiaux à antigravité. Par exemple, cette note étonnante du Président Ronald Reagan, dans son Journal, nous parle d’une navette qui aurait la capacité d’emporter 300 passagers en orbite terrestre. Autre exemple, le 6 août 2007, la NASA a honoré « l’Equipe de Soutien aux Vols Habités » parce qu’elle a permis d’éviter aux vaisseaux de la NASA d’entrer en collision avec des débris spatiaux. Cette équipe faisait partie du Space Command, dont il est notoire qu’il est le principal commandement militaire qui fournit une assistance spatiale à l’U.S. Strategic Command.


« Cette récompense… souligne le soutien exceptionnel que l’équipe nous a apporté pour permettre à la navette, à la Station Spatiale Internationale et à leurs équipages, d’éviter les dangers des débris en orbite, les collisions de vaisseaux, et autres accidents potentiels qui sont inhérents aux manoeuvres en orbite. »

Toutefois, le public n’a pas connaissance que l’USAF Space Command ni le Strategic Command disposeraient d’engins spatiaux qui puissent assister la Navette ou l’ISS. Normalement, ces vaisseaux de la NASA devraient nécessiter des corrections graduelles, lesquelles prennent beaucoup de temps, et ne permettraient pas de faire face à des dangers imminents.

Selon Ted Twietmeyer, cette récompense est la preuve que des engins à antigravité existent, qui sont dotés d’armes à rayonnement de particules avec lesquelles ils peuvent détruire les débris qui se trouvent sur le chemin des vaisseaux de la NASA.

Cette idée d’une flotte secrète, disposant de technologies avancées, capable d’intervenir pour assister la Navette et l’ISS, est également renforcée par le témoignage d’un ancien employé de la NASA.

Clark McClelland a travaillé comme opérateur pour plusieurs lancements de la Navette de 1989 à 1992. Il a déclaré avoir vu embarquer un passager immense, qui devait faire 2,5 à 2,80m et à côté de lui un engin à antigravité en forme d’aile delta.

McClelland connaissait tous les astronautes de ce programme de la NASA, et il pense que ce personnage en combinaison spatiale était un extraterrestre. On ne peut écarter la possibilité que cet être, ainsi que l’engin, aient fait partie d’une mission secrète en relation avec la Flotte de l’Espace, sous l’autorité de l’U.S. Strategic Command.

L’idée d’une flotte secrète a été aussi relancée par le hacker britannique Gary McKinnon, qui risque d’être extradé aux Etats-Unis pour avoir fouillé dans les ordinateurs de la NASA et de l’armée. McKinnon avait annoncé qu’il avait eu accès à des dossiers secrets du Pentagone et de la NASA, dont une ‘liste d’officiers non-terrestres’, ainsi qu’une directive qui évoquait des ‘transferts de flotte à flotte’.

Corey parle de Gary McKinnon dans cette émission de Cosmic Disclosure :

Questions n° 12 Les divulgations réprimées et les transmissions de communication

Se pourrait-il que le géant, accompagnant deux autres astronautes, fasse partie d’un groupe d’officiers ‘non-terrestres’, qui peuvent apporter leur soutien aux programmes de la Navette, sous l’égide du Space Command de l’US Air Force?

Si on considère ces preuves, émanant de diverses sources, la note du Président Reagan rédigée en 1985 dans son Journal apparait comme une reconnaissance évidente d’un programme spatial secret qui permet de transporter et de prendre en charge des centaines d’astronautes.

Cette note montrerait qu’il a reçu un ou plusieurs briefings sur ce sujet.

D’autres indices importants peuvent émerger des 250.000 pages de documents récemment déclassifiés. L’essentiel serait que le public soit informé des technologies d’antigravité qui ont été développées dans le plus grand secret, et qu’on utilise depuis des décennies pour envoyer des astronautes militaires dans l’espace. »

Si le commentaire de Reagan et les témoignages des informateurs sont fondés, cette flotte spatiale est gérée par l’U.S. Strategic Command. Le nom de code de ce programme secret est ‘Solar Warden‘. Corey Goode faisait partie de ce programme spatial secret.

L’existence de Solar Warden, si elle est vérifiée, prouverait que la NASA n’est qu’un programme de couverture qui utilise les technologies obsolètes de propulsion avec des fusées.

La première référence à Solar Warden date de Mars 2006. Une source fiable, selon les administrateurs du forum Open Minds, a révélé son existence et ses moyens : tous les programmes spatiaux ne serviraient qu’à occulter la réalité de cette flotte.

Nous disposions, dès 2005, de huit vaisseaux, utilisés comme des porte-avions, et 43 « protecteurs » – qui sont des avions spatiaux.

L’un aurait été récemment perdu, suite à un accident dans l’orbite de Mars, alors qu’il tentait de ravitailler la colonie multinationale. Cette base aurait été établie en 1964 par une équipe américano-russe.

Une autre source qui a évoqué Solar Warden est un informateur anonyme du Projet Camelot, nommé ‘Henry Deacon‘, qui a travaillé comme physicien aux laboratoires Laurence Livermore. Les initiateurs du Projet Camelot connaissent sa véritable identité; ils ont vérifié ses qualifications et l’ont estimé crédible.

Selon eux : « Henry Deacon a confirmé qu’il existe une vaste base sur Mars, dont la maintenance est assurée par une flotte spatiale alternative (nom de code SOLAR WARDEN). »

Lire aussi :

Témoignage de Henry Deacon: Fissures dans l’espace-temps et bases sur Mars

D’après l’ouvrage du journaliste William Arkin sur les noms de codes militaires, qui attribue deux lettres spécifiques aux programmes militaires secrets, Solar Warden relève d’un Commandement militaire unifié. Ça voudrait dire que Solar Warden est contrôlé par le Strategic Command, ainsi que nous l’avons déjà exposé.

Si Solar Warden a permis d’établir une colonie sur Mars, en utilisant des systèmes de propulsion à base d’antigravité, ça pourrait expliquer pourquoi les recherches sur l’antigravité sont devenues hautement classifiées vers le milieu des années 50.

9a expliquerait également pourquoi les chercheurs civils qui étaient parvenus à répliquer les technologies d’antigravité furent brutalement écartés ainsi que c’était arrivé pour Otis T. Carr en 1961.

Cette mise à l’écart a été révélée pour la première fois en 2007 grâce au témoignage de Ralph Ring, l’ancien fidèle de Carr.

Les témoignages d’informateurs et d’experts se multiplient, qui attestent de l’existence d’un tel programme spatial.

Il permettrait d’envoyer des centaines d’astronautes militaires dans l’espace. Si Solar Warden existe, ou s’il s’agit d’un programme militaire classifié de même type, alors on peut comprendre pourquoi le Président Obama tarde à nommer un nouvel administrateur à la tête de la NASA. Le déclin persistent de la NASA depuis la réussite d’Apollo ne met pas en cause la compétence et le savoir faire des personnels de l’organisation. La réalité politique serait que des programmes militaires hautement compartimentés empêchent que les technologies avancées d’antigravité soient versées au secteur public pour des applications commerciales.

Lire aussi :

Preuves officielles d’une base américaine sur la Lune

Il serait préférable que le public soit informé des réels programmes menés par l’armée américaine et des compagnies privées qui utilisent des technologies avancées d’antigravité, et nous devons savoir comment ils les ont obtenues. »


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