Secrets révélés

Témoignage de Milton William Cooper mort en novembre 2001 au cours d’une « fusillade »

Un homme que l’on aurait tendance à ne pas prendre au sérieux, tant ce qu’il raconte parait incroyable. Et pourtant…

Pour les ufologues avertis, Milton William Cooper, l’enfant terrible du « conspirationnisme », n’est plus à présenter. Il fait partie de ces militaires de l’Air Force et de la Navy qui affirment, de par leur grade et leur type de travail, avoir été en contact avec des documents top secret.

Il est, avec le très contesté Bob Lazar ou avec John Ford et John Lear, une figure emblématique de ces personnalités qui ont été des témoins, voire des acteurs d’épisodes et de recherches des plus contestables effectués par une frange occulte de l’armée américaine mais également par la CIA et d’autres officines secrètes du gouvernement US.

L’univers que ces hommes ont décrit est absolument cauchemardesque. Les faits dénoncés, s’il sont vrais, indiquent à tous le moins que l’humanité est volontairement anesthésiée, désinformée et plongée dans l’ignorance la plus noire, voire l’obscurantisme quant aux dimensions réelles de l’homme et de ses relations avec son univers.


Cooper affirme en autre chose qu’une partie occulte du gouvernement et de l’armée américaine a conclu un pacte de non-agression avec les extraterrestres. En échange d’informations technologiques, nous leur fournirions du matériel humain et animal pour mener à bien des expériences d’hybridation génétique.

William Cooper a été officier dans la Navy à la fin des années soixante et au début des années soixante dix. Il a servi au Viêt-nam ainsi que dans la flotte du Pacifique. L’homme semble être un patriote nationaliste américain bon teint, parfois un peu excessif mais sans doute avec le brin de naïveté que l’on peut s’attendre de quelqu’un de cette trempe. On l’accuse d’avoir flirté avec des milices extrémistes.

Ses accusations contre le gouvernement américain, plus particulièrement l’Air Force et la CIA sont précises, parfois accablantes, souvent déroutantes voire incroyables.

Elles impliquent une vaste manipulation mentale, une énorme conspiration où la vie humaine a peu de prix et qui pénètre de plein pied dans l’univers de l’ufologie.

Il est l’auteur d’un livre sur le sujet :« le gouvernement secret » paru en français aux Editions Louise Courteau (*), d’un autre ouvrage plus complet devenu culte: « Behold a Pale Horse » et d’un show radio du même nom sur ondes courtes.


William Cooper est mort à l’âge de 58 ans en novembre 2001 au cours d’une fusillade qui l’a opposée à des « assistants » du bureau du sheriff de Eagar, une localité située à 200 km au nord de Phoenix, Arizona.

L’intéressé était poursuivi pour des faits d’évasion fiscale et avait refusé de se rendre aux autorités fédérale qui désirait l’interpeller. Ces mêmes autorités le considéraient à tort ou à raison comme un homme dangereux, justifiant donc les moyens musclés utilisés pour son arrestation, par sa possible appartenance aux milices et par son tempérament chaud et imprévisible. C’était tout simplement un homme en colère.

Simple « bavure » policière? Tentative d’arrestation qui a mal tournée? En tous cas, une chose est sûre, William Cooper ne parlera plus.

Voilà la traduction intégrale d’une de ses conférences données à Los Angeles, le 17 novembre 1989 devant une assemblée réunie pour le Whole Life Expo.

Début de la Conférence de Milton William COOPER :

« Pour ceux qui ne me connaissent pas, j’ai été élevé et éduqué au sein d’une famille de tradition militaire. Dès qu’ils arrivèrent dans ce pays, mes proches et mes ancêtres se sont mis au service du gouvernement. Nous avons servi l’armée, nous avons été de bons patriotes, nous avons combattu dans toutes les guerres. Nous nous sommes souciés de l’avenir de notre pays et nous croyons en la Constitution des Etats-Unis d’Amérique. Nous savons pertinemment, contrairement à beaucoup de gens que la Constitution des Etats-Unis est l’essence même des Etats-Unis! C’est la raison pour laquelle nous avons toujours été prêts à faire ce qu’il fallait faire pour préserver et protéger la constitution ».

« Lorsque j’ai quitté le domicile familiale, ce fut pour rejoindre l’Air Force et le Strategic Air Command (ndtr: le Strategic Air Command est l’état major qui dirige les forces offensives des bombardiers stratégiques intercontinentaux porteurs de l’arme nucléaire, les fameux B52). Alors que j’étais enfant, j’entendais les histoires de mon père et de ses amis pilotes -mon père était pilote- à propos des Foo Fighters (ndtr: nom donné à certains types d’OVNIS par les pilotes américains durant la seconde guerre mondiale), ces étranges appareils de fabrication extraterrestre. En tant que gamin, vous entendez ces histoires en passant, vous les rangez dans un coin de votre tête, vous en riez puis vous sortez dans le jardin pour jouer à l’homme de l’espace et vous oubliez l’anecdote ».

« Alors que j’étais dans l’Air Force, je rencontrai un homme qui avait participé à une soit disant opération de récupération d’un vaisseau extraterrestre accidenté.

L’histoire m’avait intrigué, intéressé sauf que c’était habituel d’entendre de genre de récit autour d’une table après avoir descendu quelques bouteilles de bière. Le plus souvent, le lendemain, je ne me souvenais foutrement plus d’un traître mot de ce que le type avait raconté. »

« Lorsque j’ai quitté l’Air Force, je me suis incorporé dans la Navy et c’est là que tout commença pour moi.

Au départ, j’avais simplement l’intention de me balader de service en service, d’un type d’unité vers une autre afin de faire des choses que peu d’hommes ont pu faire auparavant. J’étais un jeune type un peu dingue, aventurier et téméraire et je pensais que ce serait une vie tout à fait passionnante. Je me suis porté volontaire chez les sous-mariniers. J’embarquai à bord du USS Tyroot, le SS-416 et c’est sur la route reliant Portland-Seattle à notre port d’attache à Pearl Harbor qui abrite une base pour sous-marins que je vis un vaisseau du type ‘ »soucoupe volante ».

Ce vaisseau était énorme, aussi grand qu’un porte-avions de la classe Midway. Pour ceux qui ne savent pas ce que cela représente, laissez-moi simplement vous dire que c’est vraiment énorme. La chose a surgi de l’eau à approximativement 2 miles et demi nautique de notre étrave, soit à un angle de 45° à gauche de la proue de notre sous-marin. Le vaisseau a lentement basculé sur son axe et s’est dirigé vers les nuages. Selon mon angle de vue, cette chose se déplaçait lentement mais en réalité, ce vaisseau se déplaçait très rapidement car il a surgi de l’eau, a effectué plusieurs tonneaux et vrilles pour soudainement disparaître ! ».

« J’ai fait mon rapport à l’officier de pont. Je ne lui ai pas dit ce que j’avais vraiment vu au juste car, au cas où personne d’autre n’aurait vu ce phénomène, je ne désirais pas être le seul timbré à bord de notre vaisseau. De ce fait, j’ai demandé à l’officier de m’aider à surveiller visuellement la zone, ce qu’il fit. Il s’agit d’une demande habituelle pour les officiers car plusieurs yeux sont plus efficaces lorsqu’il se passe quelque chose sur le pont. Après quelques secondes d’observation, le même vaisseau ou un autre exactement du même type a surgi des nuages, a pivoté sur son axe pour plonger dans les flots. L’enseigne de vaisseau Ball qui était l’officier de pont était littéralement atterré. Que pouvais-je dire?

Le marin Dejeralimo qui s’occupait de la surveillance  » tribord  » a également été témoin du phénomène. L’enseigne Ball a alors appelé sur le pont le capitaine suivi par le quartier-maître en chef qui a amené avec lui une caméra 35mm. Pendant 7 à 10 minutes, nous avons pu observer le même vaisseau ou un autre du même modèle entrer et sortir de l’eau. C’était un spectacle extraordinaire. J’ignore si les occupants de cette chose savaient que nous étions là ou même s’ils s’en souciaient. Ce vaisseau ne rayonnait d’aucune source de lumière. Il s’agissait plutôt de métal, d’une machine sans aucun doute et qui était guidée de toute évidence par une force intelligente et colossale. Ayant travaillé dans l’Air Force et dans la Navy et connaissant ce que cela implique, j’estimais, sans l’ombre d’un doute et j’estime encore aujourd’hui que cette machine n’a pas été fabriquée sur notre terre. Tout simplement parce que l’homme ne peut concevoir une chose qui se déplace à une telle vitesse, qui pivote sur son axe, pénètre dans les flots et croise dans le fond des mers. »

« Si vous n’avez jamais été à bord d’un avion ou d’un sous-marin – je sais que certains d’entre vous ont déjà pu un jour ou l’autre visiter un sous-marin – vous pouvez quand même aisément vous figurer à quel point de telles prouesses techniques sont difficiles à obtenir sans même parler de la technologie qui s’y trouve. Où cette chose d’une telle dimension a t’elle bien pu être construite? C’était absolument incroyable. Cette histoire a entièrement changé ma vie et par conséquent, je sus dès lors que toutes les histoires que j’entendrai par la suite seraient la stricte vérité. Je commençai à percevoir le monde sous un autre éclairage ».

« Peu de temps après, j’ai reçu un entraînement au sein des services de sécurité de contre-espionnage de la Navy.

Je fus envoyé au Viêt-nam. Je fus nommé capitaine à bord d’un bateau patrouilleur d’abord dans le port de Da Nang avec sous mes ordres un équipage et sous ma responsabilité, un navire de plusieurs millions de dollars. Mon travail consistait à récolter des informations sensibles auprès des gens qui vivaient dans les environs du port et des pêcheurs en transit. Je devais donc assurer la sécurité de la zone et des navires à quai. Après 5 mois, je fus envoyé au Nord, dans la DMZ (ndtr: la zone démilitarisée, une zone neutre tampon sur la ligne de front partageant les belligérants) dans une localité appelée Qua Vieaf (phonétique) sur le Tonkin. Notre camp de base se trouvait dans l’embouchure du fleuve. Nous nous trouvions seulement à 5 kilomètres de la frontière avec le Nord Vietnam et notre boulot consistait à mener des patrouilles sur le Tonkin, depuis l’embouchure de Dong Ha jusqu’à Quang Tri, couper à travers la ville même de Quang Tri afin de vérifier ce que les gens habitant sur l’autre rive pouvaient bien faire, récolter des informations, patrouiller toutes les nuits et assurer la sécurité du fleuve et de son trafic.  »

« C’est à cette occasion que je découvris qu’il y avait une intense activité d’Ovnis et d’extraterrestres au Viêt-nam.

Cette activité était officiellement répertoriée sous l’appellation « d’hélicoptères ennemis ». Tous ceux qui connaissent un tant soit peu la guerre du Viêt-nam savent que les Nord Vietnamiens ne disposaient pas d’hélicoptères, tout particulièrement après nos deux premiers raids de bombardements aériens massifs sur le Nord. De toute façon, ils n’auraient pas été assez stupides pour faire venir leurs hélicos de l’autre côté de la DMZ car cela aurait été leur fin assurée. Nos unités ont occasionnellement été les victimes du feu de ces « hélicoptères ennemis » tout comme les Nord Vietnamiens l’ont également été au même titre que certains de nos hommes ont tout simplement disparus. Je sais de bonne source qu’à une reprise au moins, c’est un village au complet qui a disparu corps et biens en une nuit à cause de ces « activités extraterrestres ».

La raison pour laquelle ils utilisèrent le terme « hélicoptère ennemi » dans les messages et les dépêches, c’est qu’au Viêt-nam, vous pouviez être à tout instant dépassé par les événements peu importe l’endroit où vous vous trouviez. Ils n’ont pas emmené au Viêt-nam la machinerie adéquate pour l’encodage et l’encryptage automatique des messages radio. Nous avions donc des tables de calcul pour le décodage des messages et nos codes changeaient toutes les 24 heures. C’est de cette façon que nous fonctionnions. Parce que nous n’avions guère la dextérité pour utiliser cet encodage des messages, nous utilisions alors plus simplement des mots codes comme « hélicoptère ennemi » « .

« Lorsque je quittai le Viêt-nam, je fus finalement détaché auprès de l’Etat-Major du quartier général du commandement général de la Flotte du Pacifique basée à Hawaii dans une base surplombant Pearl Harbor.

Il s’agit d’un très bel édifice de couleur blanche. Je fus plus particulièrement détaché auprès des bureaux de renseignements et d’informations du commandement en chef de la Flotte Pacifique ».

« C’est à l’occasion de cette période de ma vie militaire, dans le cadre de mon travail, que j’ai eu accès à des documents dont la teneur est tellement incroyable et invraisemblable que cela me prit un certain temps pour admettre que ce dont j’étais le témoin était réel.

Pour ceux qui ne comprennent pas de quelle manière je fus en possession de telles informations, je comte leur donner un petit cours théorique en matière de sécurité, de renseignements, de contrôle de documents et d’autorisation d’accès à cette information et de la façon dont on peut avoir accès à des informations confidentielles et classifiées. Que l’on soit militaire ou que l’on travaille pour le gouvernement, cela ne change pas grand chose car les règles sont les mêmes ».

« Tout d’abord, vous avez besoin d’une autorisation d’accès correspondant au niveau d’informations que vous désirez consulter. Par exemple, la classification « Top Secret. Magie. Information strictement réservée » correspond, je le découvris plus tard, au plus haut niveau de classification secrète du pays.

Pour avoir une autorisation d’accès à ce type de niveau, vous devez vous soumettre à une enquête minutieuse sur vos antécédents effectuée par le FBI, ce qui prend environ 6 mois. Ils vous envoient un agent fédéral à votre domicile privé, dans vos anciennes écoles, posent des questions à vos professeurs, vos amis, à tous ceux dont vous avez mentionné l’existence dans votre formulaire de demande d’accès. Ils enquêtent dans votre voisinage, à vos anciennes adresses, auprès de tous vos employeurs. C’est très embarrassant parce qu’ils ne disent pas la raison pour laquelle ils mènent une enquête sur votre personne. Ils montrent simplement leur badge d’identification et commencent à poser des questions pour savoir qui sont vos amis et qui sont vos ennemis. Nombreux sont ceux qui sont impressionnés par ces méthodes et qui se demandent si vous n’avez pas un jour braqué une banque et s’il est encore opportun de vous fréquenter ! ».

« Une fois que vous avez passé le cap, vous obtenez une autorisation que l’on appelle B1. Pour ceux qui ont entre les mains une copie de mes états de service, regardez la première page, le formulaire DD-214 où il est marqué « autorisation d’accès – degré de sécurité ». Vous verrez le code « B1″, ce qui implique un contrôle de sécurité du FBI. A cet instant, vous possédez une autorisation d’accès à tous les documents secrets et plus encore. Ce qui va déterminer ce à quoi vous aurez accès est en fait ce que vous avez besoin de connaître et c’est votre travail qui déterminera ce que vous avez besoin de connaître. »

« J’ai donc été affecté à l’équipe de renseignements et d’informations du commandement en chef de la Flotte Pacifique qui avait l’obligation de savoir tout ce qui se passait dans sa zone de contrôle opérationnelle, ce qui représente en gros près de la moitié de la surface du globe, à savoir l’océan indien, l’océan pacifique et les terres qui séparent ces océans.

Que vous le croyiez où non, s’il y a une guerre, si jamais nous entrons un jour en guerre, ce sera la Marine des Etats-Unis qui portera les premiers coups et qui tentera de maintenir l’ennemi à distance pendant que nous rassemblerons nos forces. L’arme nucléaire n’a pas grand chose à faire avec ce type de stratégie même si les chefs militaires aiment en parler ».

« A cause de cette situation, vous n’avez pas idée de la quantité de renseignements et d’informations qu’un commandant de région a besoin de connaître. C’est incroyable. Il doit pouvoir suivre le cheminement de toute cette information. Il a besoin de savoir tout ce qui se passe afin de pouvoir prendre la bonne décision et ce, 24h sur 24. Et chaque matin, entre 8 et 9 h du matin, nous devions participer à une réunion d’informations au cours de laquelle nous devions livrer au commandant et à son état major un compte-rendu sur tout ce qui s’est passé au cours des dernières 24 heures, tout ce que nous pouvions prévoir dans les prochaines 24h ainsi que tous les rapports contenant des renseignements pertinents que nous avions réceptionnés. De temps à autres, nous recevions des renseignements portant la mention « Top Secret. Magic (ndtr : Magique). Information strictement réservée ». Les renseignements y étaient codés de telle façon que vous aviez des réponses à des questions dont vous ne connaissiez pas la teneur et par conséquent, vous ne compreniez en fait pas de quoi il s’agissait ».

« En définitive, je me suis trouvé en possession de deux documents, deux dossiers: l’un était dénommé « Projet Grudge » (ndtr : Projet « Rancune ») et un autre document, « Projet Majority ».

Ce projet « Grudge » contenait en fait un historique de la présence extraterrestre sur notre planète depuis 1936, historique débutant sur l’implication de l’Allemagne dans l’affaire et la découverte par ceux-ci d’une soucoupe volante accidentée en 1936 et de leur tentative de recopier leur technologie.

Ils échouèrent malgré tout ce que les chasseurs de nazi pourraient prétendre.

S’ils avaient vraiment réussi à assimiler cette technologie, nous n’aurions pas gagné cette guerre parce que nous ne pouvions pas combattre de telles armes. Vous ne pouvez pas vous mesurer à de tels vaisseaux avec nos avions conventionnels. N’y pensez même pas! Si l’Allemagne avait réussi dans cette entreprise, vous auriez aujourd’hui, face à vous un drapeau allemand ornant ce podium ».

« Mais ils ont fait quelques progrès. Lorsque nous avons pris Pennemunde (ndtr: Gigantesque complexe militaire en partie sous-terrain situé sur une île sur la mer Baltique et destiné à la fabrication et l’expérimentation des V2, des missiles balistiques intercontinentaux et d’une partie des armes secrètes du régime nazi), nous avons mis la main sur certains documents et certains matériaux de même que nous avons capturé des scientifiques. Les russes ont fait de même.

Mais ce n’est pas avant 1947 que nous avons pu capturer un vaisseau spatial complet, non en pièces détachées mais cette fois là, nous avions tout.

L’événement se passa près de la localité de Roswell au Nouveau-Mexique. On a également récupéré dans cet appareil les cadavres d’entités extraterrestres.

Dans le dossier « Projet Grudge », j’ai pu voir les photographies de ces cadavres, du vaisseau mais également d’extraterrestres encore vivants ainsi que des clichés d’une autopsie et des organes internes de ces créatures.

Je pus examiner les clichés d’un extraterrestre qui fut baptisé EBE ( ndtr: Extraterrestrial Biological Entity-Entité biologique extraterrestre) et qui fut maintenu en captivité de 1949 au 2 juin 1952, date à laquelle il mourut…Cette entité extraterrestre vivante a été retrouvée en train d’errer dans le désert après un autre accident d’un vaisseau spatial en 1979 à Roswell.

Son nom, EBE a été suggéré par le Dr Vannevar Bush et était l’abréviation d’entité biologique extraterrestre. EBE avait une tendance au mensonge. Pendant plus d’un an, il n’a fait que donner les réponses que l’on désirait entendre aux questions qu’on lui posait. Il ne répondait pas aux questions qui auraient pu se conclure par une réponse indésirable. A un moment seulement, au cours de sa seconde année d’activité, il a commencé à se livrer.

Les informations provenant d’EBE étaient pour le moins déroutantes. La compilation des révélations d’EBE est à la base du dossier que l’on baptisera plus tard le « Yellow Book », le livre jaune. Des clichés ont été pris d’EBE. J’ai pu les consulter avec d’autres dans le dossier « Projet Grudge ». J’ai pu lire un aperçu historique qu’ils ont été capables de faire à partir des informations qu’ils ont récoltées sur le sujet depuis les premiers incidents remontant au 19ième siècle et qui impliquèrent des extraterrestres et leurs vaisseaux ».

« J’ai pu voir les noms de code des projets. J’ai pris connaissance d’un projet consistant à tenter de piloter un vaisseau extraterrestre accidenté mais qui avait été récupéré intact et sans dommages majeurs. Je n’ai aucune idée de la façon dont cela est arrivé. Ce projet avait pour nom de code « Projet Redlight » (Lumière rouge) et fut mené à bien sur le site d’essai de Tonopah dans le Nevada puis ce projet déménagea vers un site spécialement construit pour l’abriter et dont la construction fut ordonnée par le président Eisenhower.

Ce site s’appelle l’Aire 51, baptisé sous le nom de code « pays des rêves » (Dreamland). Il a été édifié sur un lac asséché, le Groom Lake pour servir de site expérimental et ce, par un ordre présidentiel secret. Officiellement, l’Aire 51 n’a aucune existence et si vous demandez à qui que ce soit, si vous envoyez un courrier au gouvernement à propos de ce site, on vous répondra que cet endroit n’existe pas. Cependant, si vous vous rendez dans la région, à différents endroits ou si vous en survolez les limites et que vous observez attentivement le coin, vous vous apercevrez que c’est là, que cela existe même si, selon le gouvernement, cela n’existe pas ».

« Le projet pour piloter et tester en vol ces appareils s’est poursuivi jusqu’en 1962, année au cours de laquelle un vaisseau a explosé en plein vol non loin de la zone d’essai. Cette explosion a pu se voir dans toute une région comprenant trois états (ndtr: sans doute la Californie, l’Utah et le Nevada car l’Aire 51 se trouve dans une zone frontière entre ces trois états). Le pilote a été tué. Ils n’eurent absolument aucune idée des causes de cet accident et ils mirent de côté pour un temps le projet « Redlight » jusqu’à ce que les extraterrestres nous livrent 3 vaisseaux ainsi que le personnel de maintenance afin de nous apprendre à piloter ces engins.

Ce projet s’est donc poursuivi et aujourd’hui, nous n’avons pas seulement un vaisseau extraterrestre que nous pouvons piloter mais nous avons pu également être en mesure de construire un pareil vaisseau en utilisant la technologie ainsi capturée par le passé. De ce fait, certaines des apparitions d’OVNIS rapportées par différents témoins sur le territoire américain et ailleurs sont en fait des vaisseaux pilotés par du personnel du gouvernement américain ».

« Tout ceci peu être un choc pour vous. Nous possédons une technologie qui dépasse de loin les limites que l’on prétend être les nôtres.

Une bonne partie de notre développement technologique depuis la fin de la seconde guerre mondiale résulte d’un échange technologique constant et qui se poursuit encore sur l’Aire 51 ».

« Peu de gens connaissent James Oberth, professeur aujourd’hui à la retraite. Le professeur Oberth est sans doute l’un des plus éminents scientifiques en matière de fusées et le plus grand spécialiste de l’espace qui n’ait jamais vécu. Lorsqu’il a pris sa retraite, le gouvernement lui a décerné une récompense spéciale. A cette occasion, il y eut une conférence de presse et tout un cérémonial.

Lorsqu’il prit la parole, il affirma: « Messieurs je ne fais que citer les paroles du professeur Oberth: Messieurs, nous ne pouvons pas nous prévaloir de la paternité de tout le développement technologique de cette dernière décennie. Nous avons été aidés ». Puis il s’est tu. »

« Un des journalistes a alors levé sa main pour poser une question et a demandé: « Professeur Oberth: pouvez-vous nous dire quel pays nous a aidé? »

« Il a alors répondu: « Ce sont ces petits gars de l’espace ».

Puis il s’est assis pour se taire définitivement. Cela se passait en 1959. Je peux continuer sur ma lancée mais je ne dispose pas d’assez de temps ».

« Je vais vous dire, Mesdames et Messieurs qu’il se passe énormément de choses tout le temps. Pendant que je vous entretiens de tout cela, nous faisons des progrès rapides. Depuis que j’ai commencé m’exprimer devant le grand public, de plus en plus de gens sont sortis de l’ombre, de ceux qui savent certaines choses, qui détiennent certaines pièces de ce puzzle et qui nous aident à mettre tous ces éléments ensemble car je n’ai pas toutes les réponses. J’ai pu voir une grande quantité de matériels, j’ai pu mémoriser un grand nombre d’informations mais dans mes souvenirs, il est possible que j’aie fait quelques erreurs mais je vous garantis que ces erreurs sont mineures ».

« Pour ceux qui ne croient pas en l’existence d’un groupe occulte et secret appelé « Jason Society of de Jason Scholars », nous avons ici une lettre du Pentagone reprenant 51 noms de membres de la société de Jason ainsi qu’une accréditation émanant du Pentagone selon laquelle ces personnes détiennent le niveau de validation, de sécurité et d’accès à l’information classifiée le plus élevé du pays. Pour le Pentagone, ces gens ont un grade protocolaire de contre-amiral et sont traités comme tels sur toutes les installations militaires ainsi que dans tous les bâtiments du gouvernement. Parmi eux, il y a 6 lauréats du prix Nobel.

Ils sont l’élite de l’élite dans le monde scientifique et ils sont à ce jour en fait les seuls à vraiment connaître la vérité en ce qui concerne l’authentique science physique parce que le scientifique que nous venons d’évoquer –le Pr Oberth- parle tout le temps. Si vous envoyez vos enfants à l’école pour apprendre la physique, vous gaspillez en fait votre argent parce qu’on leur apprendra des choses qui ne fonctionnent pas, des connaissances erronées, des choses qui ne sont pas vraies. Le phénomène de la gravité n’est absolument pas ce que nous pensons que c’est. Il existe une théorie unifiée (ndtr: dans le sens universel). Nous savons déjà de quoi il en retourne et c’est ce qui fait marcher ces engins. Ce qui se passe en vérité est absolument incroyable ».

« Combien parmi vous ont pu capter, en dehors de Las Vegas, l’émission radio présentée par Billy Goodman sur la station KVEG (ndtr: station radio privée locale à Las Vegas où est diffusé le « cultissime » Art Bell Show) diffusant des émissions sur des sujets très controversées et célèbres aux USA). Pour ceux qui n’en ont jamais entendu parlé, je vous conseille de vous brancher sur ce canal tous les soirs entre 20h et 1h du matin, sauf le samedi, sur la fréquence 840 AM. (en onde moyenne). Les sujets qui y sont traités sont de ces sujets que personne n’ose toucher aux Etats-Unis, même avec des gants. C’est la seule émission où vous pouvez appeler et dialoguer en direct avec un autre auditeur. Vous avez trois minutes pour parler de ce que vous voulez tant que vous n’insultiez ou ne diffamer personne. Chaque nuit, cette émission contribue à révéler ce genre de chose ».

« Lorsque John Lear (ndtr: autre militaire américain, pilote d’essai et fils du fabricant des Lear Jet) et moi-même avons révélé ce qui se passait à Groom Lake, tout le monde a dit: « Bande d’idiots. Il n’y a strictement rien qui se passe à Groom Lake ».

Des auditeurs de l’émission de Billy Goodman ont pris contact les uns avec les autres et se sont rendus ensemble, pour une petite excursion, à Groom Lake. Chaque nuit, ils sont montés sur les hauteurs qui surplombent Groom Lake et chaque nuit, ils ont pu assister à des essais de vaisseaux extraterrestres. La première nuit, il y avait une centaine de personnes là-bas. Ces 100 personnes ont vu 4 vaisseaux en train de voler et d’accomplir des prouesses qu’aucun avion ou hélicoptère ne peut faire. Ce qu’ils nous affirment aujourd’hui est qu’il ne s’agit absolument pas d’extraterrestres mais plutôt d’un projet secret du gouvernement. Peu importe. Nous prouverons en fin de compte qu’ils ont tort. Cela prendra simplement un certain temps ».

« Maintenant, si vous voulez savoir ce qui se passe aujourd’hui, regardez tout simplement les films au cinéma, les séries télévisées, les publicités ou les programmes spécialisées sur les OVNIS.

Lisez le livre de Whitley Streiber (ndtr: auteur de science-fiction et de fantastique américain qui affirme avoir été abducté, enlevé par des extraterrestres) intitulé « Majestic ». Ce livre fait partie d’un plan bien prémédité destiné à tester les réactions du grand public à la présence des extraterrestres sur la terre.

Je viens de terminer mon analyse de ce livre et je peux vous dire maintenant que la majeure partie des informations contenues dans cet ouvrage de prétendue fiction -selon son auteur- sont authentiques et proviennent du dossier « Projet Grudge ».

Il s’agit d’une partie de la campagne gouvernementale destinée à divulguer au compte gouttes certaines informations de telle manière qu’il leur reste toujours la possibilité de les nier. Il n’y a qu’une seule chose erronée dans cet ouvrage concernant les intrigues qui arrivent aux personnages et dont je n’ai pas connaissance. Ce dont je vous parle, ce sont des documents d’origine prétendument gouvernementale qui sont inclus dans ce livre.

Je vous affirme ce soir que tout est vrai.

Ces documents sont identiques à ceux que j’ai vus dans le « Projet Grudge » que j’avais consultés entre 1972 et 1973 et dont je vous ai parlé auparavant. Maintenant, nous savons que Whitley Streiber travaille pour le gouvernement. De toute manière, nous avions des soupçons. Sur la couverture de son livre, il affirme avoir été aidé par une équipe de chercheurs composée de Moore, Shanderey et Friedman. William Moore avait publiquement admis, le 1ier juin, être un agent du gouvernement et nous savons que les autres le sont également. »

« Tout cela va finir par être révélé au grand public.

La raison pour laquelle ils révèlent une partie de la vérité de cette manière est qu’ils savent qu’en fin de compte, le grand public découvrira que tout cela est vrai et réel.

Ils vous désensibilisent de telle façon à ce que vous ne soyez plus choqué et que la société telle que nous la connaissons n’en soit pas autrement bouleversée dans ses structures.

De telle sorte que les structures religieuses ne s’effondrent pas, que la bourse ne deviennent pas incontrôlable car ce sont là, leur crainte première.

Il n’y a rien que nous puissions faire en vérité car tout est déjà en train de se produire. Une partie de la population est déjà prête à vénérer les extraterrestres même s’ils ne sont pas si différents de nous. Ils viennent juste d’ailleurs et ils peuvent avoir un aspect différent. Ce ne sont pas des Dieux. Mais il y a déjà des gens qui vénèrent ces extraterrestres et ils prédisent que tout cela arrivera lorsqu’ils ôteront le sceau du secret qui recouvre toute cette histoire ».

« Vous savez, tout a très bien fonctionné dans les règles dans leur programme sauf pour deux ou trois choses: tout d’abord, alors qu’ils avaient décidé de garder cette histoire secrète, ils eurent besoin d’argent pour financer cette opération. Il leur était impossible d’en parler au public et à fortiori au Congrès.

Ils décidèrent alors de tout financer grâce à la vente et à l’importation de drogue.

Dans les documents que j’ai pu consulter -à savoir le dossier « Opération Majority »-, il est spécifiquement dit que Georges Bush (père du président actuel), alors président de la compagnie pétrolière Zapata, avec l’aide de la CIA, organisèrent conjointement la plus grande opération d’importation massive de drogue dans notre pays à partir de l’Amérique du Sud et de l’Amérique Centrale grâce à des bateaux de pêches et le réseau des plates-formes de forage pétrolier de la compagnie Zapatta Oil.

De ces plate-formes, ils convoyaient la drogue sur les plages, contournant ainsi les contrôles douaniers et de polices de toute sorte. Aujourd’hui encore, ils convoient de la drogue de cette manière mais certes dans des quantités plus limitées. Une autre voie de pénétration de la drogue consistait à employer des avions sous contrat de la CIA.

Une de leur base d’arrivée est une base de l’armée de l’air située à Homestead en Floride. Nous avons des procès-verbaux de contrôleurs aériens qui se sont occupés de diriger ces avions tout en s’assurant que ces appareils ne seraient jamais importunés de quelle que manière que ce soit. Nous détenons des procès-verbaux du personnel de la base de Homestead selon lesquels Zeb Bush, le propre fils de Georges Bush, se trouvait au rendez-vous à l’arrivée de ces avions. Nous avons d’autres procès-verbaux encore provenant de gens qui ont travaillé dans le golfe du Mexique sur ces plates-formes et qui affirment que de la drogue y transitait, du moins sur certaines. »

« La deuxième chose inacceptable: pour maintenir le secret, ils ont tué bon nombre de gens qui ont tenté de révéler certaines choses.

Si je ne m’y étais pas pris de la façon dont je m’y prends maintenant, vous ne m’auriez plus vu ni entendu sur la surface de notre terre. Ils ont tué le président Kennedy par exemple. Après, lors de l’atelier de travail, je vous montrerai sur une cassette vidéo qui a tué le président Kennedy et pourquoi.

Entre 1970 et 1973, dans le dossier « opération Majority », on affirme textuellement que le président Kennedy avait donné l’ordre au MJ-12 (ndtr: MJ 12 ou Majestic 12 est une cellule secrète du gouvernement regroupant certaines personnalités scientifiques et politiques chargées de gérer le problème des OVNIS) l’importation et la revente de drogue en territoire américain. Il leur donnèrent également l’ordre de mettre sur pied un plan afin de révéler à la population américaine la présence des extraterrestres sur terre dans l’année à venir.

Son assassinat fut commandité par la branche politique des Bilderberger (ndtr: organisation secrète fondée en Hollande en 1954 par le Prince Bernard des Pays-Bas regroupant 120 personnalités de la haute finance et dont le but serait l’instauration d’un gouvernement mondial. Le nom Bilderberger provient du nom de l’hôtel d’Amsterdam où ces gens se sont réunis).

Le MJ 12 a concrétisé le plan de l’assassinat et a décidé que Dallas serait la ville cible. Cet attentat impliqua des agents de la CIA, de la 5ième Division du FBI, des services secrets de l’armée et du bureau de renseignement de la Marine.

Le président Kennedy a été achevé par William Greer, le chauffeur de sa voiture. Il a utilisé pour ce faire un pistolet à gaz, sans recul avec des composants électriques spécialement conçu par la CIA pour assassiner des gens en tir rapproché. Cette arme tire une bille explosive qui injecte une forte quantité d’un poison organique mortelle dans le cerveau. C’est la raison pour laquelle, dans certains documents, on affirme que le cerveau du président Kennedy a été prélevé.

Et si vous étudiez ce cas plus en profondeur, vous découvrirez en fait que son cerveau a tout simplement disparu parce qu’ils ne voulaient pas que l’on retrouve dans le cerveau des particules de la bille explosive ou des résidus du poison organique, ce qui aurait prouvé de façon irréfutable que Lee Harvey Oswald n’est pas l’assassin. En fait, Oswald n’a jamais tiré un seul coup de feu. Il n’était que le dindon de la farce (1).

M. Cooper s’arrête un instant de parler. Une dame de l’assistance lui pose la question suivante:

« Pourquoi n’avez-vous pas été assassiné? »

Ce à quoi Cooper rétorque: « S’ils me tuent à l’instant, qu’en déduirez-vous? »

« C’est vrai… » affirment alors certaines personnes dans la salle

« Je les tiens exactement là où je veux les tenir. S’ils tentent quelque chose contre moi, tous ceux qui m’ont entendu parler deviendront vraiment enragés car ils sauront que tout ce que j’avais raconté était vrai. Tant qu’ils ne me touchent pas, il y en aura toujours parmi vous qui auront un doute. En fin de compte, nous arriverons à mettre en lumière assez de preuves. Si vous restez pour participer à l’atelier de travail, vous pourrez voir beaucoup de choses qui vous prouveront que tout est vrai. Et que cela se passe maintenant ».

« Il est vrai que j’ai passé sous silence beaucoup de choses mais on ne peut pas tout dire en l’espace de 45 minutes ».

Question: « Est-ce que d’autres puissances que les institutions gouvernementales utilisent la technologie concernant l’énergie et le mode de propulsion des extraterrestres? »

Cooper: « Certaines personnes ont bien essayé mais ils ont tous été arrêtés dans leurs travaux et le seront encore. Tout simplement parce que lorsque vous disposez d’une énergie gratuite, eux n’ont alors absolument plus de pouvoir sur vous. Vous comprenez? C’est la raison pour laquelle ils ont tout arrêté ».

Question: Qu’est ce qui a été donné aux extraterrestres en échange de leur technologie?

Cooper: « Des êtres humains et des animaux »

Question: « L’Union Soviétique est-elle impliquée dans tout cela? »

Cooper: « L’union soviétique et les Etats-Unis ont conclu une alliance très intime depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Ils ont collaboré de tout temps et très activement dans le cadre du programme secret de la recherche spatiale. Les Soviétiques possèdent les mêmes choses que nous, oui, c’est exact.

Ce que vous voyez se produire dans le bloc soviétique pour l’instant n’est pas le résultat d’un soulèvement du peuple qui dit « nous voulons être libres ». Mais bien le résultat d’une concertation entre les banquiers internationaux qui disent « Maintenant, vous baissez ces barrières. Vous faîtes la moitié du chemin pour rencontrer le bloc occidental, vous donnez des libertés à vos populations. Les occidentaux, pour leur part enlèveront la jouissance de certaines libertés chez eux de façon à ce que nous puissions instaurer un nouvel ordre économique unique et centraliser ainsi tout le pouvoir ». C’est ce qui se passe pour le moment! Si vous ne le croyez pas, baladez vous et observez autour de vous! »

Fin de la Conférence de Milton William COOPER.

(1) Manifestement, cette « révélation », du prétendu « achèvement » de Kennedy par son chauffeur a été une entreprise de désinformation (en laissant filtrer de fausses « informations », en fait fabriquées de toutes pièces), dans le but d’intoxiquer les enquêteurs, afin qu’ils ne découvrent pas la vérité. Et lorsque l’on voit le nombre de sites, relayant cette affirmation sur internet, on peut dire que l’opération a marchée au de-là de leurs espérances. Pour connaitre comment ce sont passé les évènements concernant l’assassinat du président, voyez les 15 articles, dans la catégorie « Assassinat de J.F. Kennedy ».

Conférence traduite par Karma One


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

(Vu 226 fois, 1 visites aujourd'hui)

Laisser un commentaire

Bouton retour en haut de la page