Divulgation cosmique

Technologie pour dépasser la vitesse de la lumière avec MARK McCANDLISH

Interview de Mark McCandish par Corey Goode et David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 7 épisode 20

David Wilcock : Bienvenue à « Divulgation Cosmique ». Je suis avec Corey Goode.

Alors, Corey, bienvenue au spectacle.

Corey Goode : Merci.


David : [se tournant vers les téléspectateurs] Nous allons commencer maintenant avec le premier épisode d’une série d’interviews de Mark McCandlish, où il va parler d’un type particulier de système de propulsion et d’un engin que l’un de ses amis initiés a vu.

Alors sans plus tarder, jetons un coup d’oeil.

* * * * * *

UNE VISITE DE LA TECHNOLOGIE CACHÉE

Mark McCandlish : J’ai reçu un appel d’un ami que j’avais connu à la fac. Pour le bien de cette conversation, je l’appellerai Brad.


Brad appelle et dit : « Tu sais, j’ai vu ton article. J’ai vu ton travail graphique, vu ton nom dans le magazine, et j’ai contacté le directeur artistique. Il m’a donné ton numéro, et voici Brad. Tu te souviens de moi ? »

Et j’ai dit : « Oui. C’est super. »

On a déjeuné ensemble. Nous parlions, et je lui ai dit qu’il y avait un spectacle aérien à la base aérienne de Norton, qui se trouve à San Bernardino. C’est à 75 miles à l’est de Los Angeles.

Et il y avait une histoire qui disait que le SR-71 Blackbird pouvait faire un survol ou qu’il pouvait être exposé de façon statique, ce qui était plutôt rare à l’époque.

Alors on a décidé d’aller au spectacle aérien. Et à la dernière minute, le magazine m’a appelé et m’a dit qu’ils étaient tellement satisfaits de cette illustration qu’ils voulaient que je fasse une autre illustration qui serait publiée l’année suivante, en février 1989, dans le cadre de l’émission X-31.

Ils voulaient donc qu’elle soit terminée rapidement, et j’ai donc dû essentiellement abandonner l’idée d’aller au spectacle aérien.

Une semaine s’est écoulée et Brad ne m’a rien dit. Je l’ai appelé et je lui ai demandé : « Ça t’a plu, le spectacle aérien ? » Mais au téléphone, il était très silencieux.

Et j’ai répondu : « Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu n’as pas l’air d’avoir passé un très bon moment. »

Il a dit : « Je crois que j’ai vu des choses que je n’étais pas censé voir. »

Et j’ai répondu : « Comment est-ce possible ? Tout ce qu’il y a au spectacle aérien est exposé pour le public. »

Et il a dit : « Il y a eu un autre petit spectacle pendant qu’on y était. »

Et au début de cette histoire, quand j’en ai entendu parler pour la première fois, il m’a laissé entendre concernant l’exposition dans laquelle il avait le droit d’entrer, que la personne qu’il avait emmenée, quelqu’un pour qui nous allions réseauter des travaux d’illustration, était un haut gradé de chez Lockheed Martin, et qu’ils allaient se retrouver et discuter travail.

Et cet individu, à peu près au moment où le Thunderbird, l’équipe de démonstration de l’armée de l’air, était sur le point de commencer son programme, il a dit à mon ami : « Allons-y. »

Donc, ce monsieur, mon ami, un certain nombre de politiciens de haut rang et de hauts gradés militaires, ont tous pris place à bord d’un Boeing 727, un avion de ligne militaire – un avion militaire avec des sièges passagers et ainsi de suite. Et ils sont partis de Norton et ont volé jusqu’à la base aérienne 42, qui est à Palmdale. C’est là que se trouve Lockheed Skunk Works.

Ils sont sortis de l’avion, et les agents de sécurité qui se trouvaient autour de l’immeuble avec un cordon et des M16, ont mis mon ami au défi parce qu’il n’avait pas d’insigne ou quoi que ce soit, contrairement à son escorte.

Et alors son escorte s’est en fait portée garante de lui, disant qu’il était son aide.

Ils vont donc au spectacle et dès qu’ils entrent, il regarde autour de lui et dit : « D’accord. Je vois qu’il y a des choses ici dont on ne m’a pas parlé, des choses que vous n’êtes pas censé savoir. Alors, taisez-vous. Ne dites rien du tout. Ne parlez à personne. Nous sortirons d’ici dès que possible. Mais profitez du spectacle. »

Brad m’a donc indiqué qu’il y avait des officiers de haut rang de la Force aérienne qui se promenaient comme des guides touristiques et qu’ils montraient les différents types d’avions qui étaient exposés, dont l’un était l’Aurora de première génération, ce que les Lockheed appelaient le Pulser.

Ils avaient donc quatre moteurs enfouis dans le fuselage. Tout était recouvert de tuiles thermo-ablatives, comme la navette spatiale.

L’arrière de l’appareil était utilisé de la même façon que… toute l’extrémité arrière de l’avion était comme un moteur linéaire avec des douzaines de ces éjecteurs de carburant qui pulvérisaient du carburant dans cette onde de choc supersonique et qui s’enflammaient spontanément.

Et l’explosion de ces gaz se propageraient entre l’onde de choc supersonique et le corps arrière effilé de l’aéronef et le pinceraient essentiellement – tout comme si l’on serrait une graine de citrouille humide et qu’on l’éjectait de vos mains.

Mais ce qui est intéressant avec ce type d’avion particulier, c’est qu’il avait évidemment des applications stratégiques, qu’il ne s’agissait pas seulement de reconnaissance à grande vitesse et en haute altitude.

C’était un avion qui avait des armes. Et sous le fuselage, enfoui dans le fuselage entre les moteurs, se trouvaient 121 tubes de mise à l’eau verticaux, chacun d’entre eux ayant une grande tuile circulaire à l’extérieur qui pouvait être emportée avec des boulons explosifs.

Et ce qui était si fascinant dans ce design, c’est qu’ils l’ont gardé aussi simple que possible, mais c’était totalement efficace.

Et ils avaient ce qu’il fallait… on pouvait utiliser des ogives conventionnelles de type explosif, mais elles se trouvaient dans des véhicules de rentrée comme les MIRV que l’on voit sur un ICBM, sauf qu’au-dessus de ce MIRV dans le tube, il y avait une autre tuile thermo-ablative avec un grand ressort enroulé à l’arrière, tous comprimés.

Dès qu’ils soufflaient la tuile extérieure, ce truc était craché dans le tube. Une autre dalle tombait, claquait et restaurait immédiatement l’efficacité aérodynamique de l’avion.

Donc, vous n’aviez pas de portes de soute à bombes et ce genre de choses s’ouvrait quand vous volez à grande vitesse.

Une autre des choses que j’ai aussi constatées dans les révélations récentes, c’est que lorsque l’avion était en service comme plate-forme d’armement, il avait un système de propulsion tertiaire, un troisième type, où l’arrière, qui était en quelque sorte plat mais de forme triangulaire, s’ouvrait.

C’était comme une coquille de palourde à l’arrière, et un moteur-fusée sortait, et cette chose pouvait alors monter dans une position de lancement exo-atmosphérique et flâner presque indéfiniment.

Il s’agit probablement de l’un des plus gros véhicules télécommandés jamais mis en inventaire. Mais il y avait une disposition pour pouvoir être piloté par quelqu’un en interne. Mais principalement, c’était un avion sans pilote.

Mais il pourrait monter et déployer ces armes de type MIRV depuis l’espace.

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David : Eh bien, pour moi, Corey, en tant qu’outsider qui n’a pas été dans ces circuits, quand quelqu’un se présente et a autant de détails techniques, je suis extrêmement, extrêmement fasciné.

J’ai entendu parler de l’Aurora pendant tant d’années. Je n’ai jamais entendu le genre de détails qu’il vient de donner ici.

Quelles sont vos propres pensées à la lumière de ce que nous venons de voir ?

Corey : Oui, c’est la quantité de détails. C’est ce que j’allais commenter.

Les gens qui viennent parler de ces choses n’en ont normalement qu’un aperçu. Il n’y a pas eu quelqu’un qui ait pu se promener dans les parages et faire une visite guidée du personnel de la Force aérienne.

C’est donc une très bonne idée de la façon dont cet avion fonctionne.

David : J’avais entendu parler de l’Aurora qui faisait ce bruit très fort de marteau-piqueur en voyageant.

Corey : Ils ont laissé ce qu’ils appelaient, quoi, des « contrails de donuts » ?

David : C’est vrai. Mais je n’ai jamais eu ce genre de détails techniques.

Que ressentez-vous à propos de ce genre d’avion, l’Aurora, qui semble être l’un des modèles les plus classiques, même depuis les années 80 et ainsi de suite ?… À quoi pourrait servir l’Aurora ?

Corey : À l’époque, tous les avions de haute altitude servaient habituellement exclusivement à la reconnaissance ou bien à la livraison… comme des plates-formes d’armes.

Et bien souvent, ils peuvent permuter au niveau de la technologie, et ils peuvent être l’un ou l’autre.

David : Êtes-vous en train de dire, donc, que l’Aurora aurait pu être utilisé dans une guerre conventionnelle, juste que les gens qui sont frappés par ces bombes ne savent pas d’où elles viennent?

Corey : Il est possible qu’il ait été utilisé dans la guerre conventionnelle, mais on dirait que c’est pour cela qu’il a été mis de côté… il était dans l’inventaire pour un événement spécial, comme s’il y avait un conflit avec l’Union Soviétique.

David : Très bien. [se tournant vers les téléspectateurs]

Nous allons maintenant passer aux illustrations du plan qu’il a donné à partir des témoignages d’initiés du Véhicule de Reproduction Extraterrestre [ARV en anglais], qui semble être une réplique exacte du vaisseau cloche original allemand. Jetons un coup d’oeil.

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VÉHICULE DE REPRODUCTION EXTRATERRESTRE

Mark McCandlish : Il y avait aussi une exposition séparée qui a été présentée après que tous les participants, les participants de cette exposition, se soient présentés.

Ils ont ouvert les rideaux, et il y avait ici les trois soucoupes volantes, ce qui est finalement devenu connu sous le nom de « Alien Reproduction Vehicle » ou Fluxliner – ARV pour faire court.

Et c’est là que j’ai commencé à comprendre qu’il y avait des systèmes vraiment incroyables et avancés qui étaient en cours de développement.

Non seulement étaient-ils exposés, mais ces embarcations flottaient sur le sol. Il n’y avait pas de train d’atterrissage en dessous, pas de câble les suspendant au plafond.

Le plus petit appareil était d’environ 24 pieds [7 mètres] de diamètre. Le suivant était de 60 pieds [18 mètres] de diamètre et le plus grand des trois mesurait environ 120 pieds [36 mètres] de diamètre.

Ce qui est intéressant dans cette partie de l’exposition, c’est que Brad a dit que ces appareils semblaient être là depuis très longtemps. Et c’était en 1988 – 12 novembre 1988.

Et il a dit qu’il y avait un certain nombre de panneaux autour du périmètre du fuselage, à plat sur le fond, les côtés inclinés à environ 35° – un peu d’un rebord autour de ce qui semblait être un compartiment de l’équipage, puis un dôme.

 

Et sur le haut du dôme, il y avait ces petites ampoules claires avec un peu de lumière… comme une caméra de type CCD dans chacune d’entre elles sur un petit cardan qui la déplacerait pour la pointer où l’on veut.

Encore une fois, il s’agissait d’une autre utilisation de quelque chose comme un système de vision synthétique, où deux des caméras pouvaient être tournées en paires pour créer une vue de l’œil gauche et de l’œil droit, de sorte que le pilote qui portait un casque spécial à l’intérieur pouvait avoir une vue complètement tridimensionnelle.

Et ce qui est finalement devenu évident, c’est que le système utilisait une technologie inhabituelle pour créer de l’énergie électrique, en la tirant directement du vide de l’espace-temps appelé énergie scalaire ou énergie du point zéro.

Mais quand cette chose était mise sous tension, elle créait une telle quantité énorme d’ionisation autour de l’appareil que les molécules d’air commençaient réellement à produire des photons à rayons X, qui sont mortels.

Et donc tu ne pouvais pas avoir de fenêtres dans ce truc. Il fallait avoir un système de vision synthétique pour piloter ce truc.

Mais, pour revenir à sa description de l’appareil, il a dit que tout cela ressemblait à une peinture à base de résine qui contenait de petites taches de métal dans la résine qui venait d’être frappée sur les côtés de l’appareil.

Il y avait des éclats, des fissures et des choses autour des attaches Dzus qui retenaient ces panneaux autour du périmètre du fuselage, vous savez, des empreintes de mains graisseuses et ce genre de choses.

Il a donc dit que ça avait l’air d’exister depuis très longtemps.

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David : Il y a beaucoup de détails en ce qui concerne ce qu’il dit ici, notamment que l’ionisation se forme autour de l’embarcation quand elle est alimentée en raison de la charge électrique qu’elle a, et qu’elle libère des photons à rayons X, qui sont si mortels qu’il ne peut y avoir de fenêtres dans l’embarcation.

Maintenant, j’avais l’impression que sur certaines des illustrations que vous avez commandées auparavant, concernant Maria Orsic et l’appareil dont elle sortait, il y avait des hublots dans l’appareil.

Maria Orsic a impulsé le développement d’un des deux Programmes Spatiaux Secrets allemands de l’entre-deux guerres.

Pensez-vous donc qu’il y a peut-être eu une innovation qui a permis à ces fenêtres de bloquer les rayons X, peut-être ?

Corey : Oui. Beaucoup d’embarcations ont des fenêtres, surtout à l’époque où les Nazis les développaient.

Et ils n’avaient pas les caméras, je ne crois pas, installées. C’est possible. Je ne m’en souviens pas. Il y en avait… En fait, certaines des images, il y avait ce qu’il appelait des ampoules, des hémisphères transparents qui resurgissaient à l’intérieur des caméras.

J’en ai vu quelques-uns sur certains vaisseaux, mais je ne me souviens pas qu’ils utilisaient des caméras comme références visuelles.

David : Juste pour que nous soyons absolument clairs, à quel point cette description est-elle proche de celle qu’il donne à votre compréhension de l’appareil allemand original basé sur Die Glocke ?

Corey : D’après ce que j’ai compris, les ARV étaient de vieux appareils des Allemands, et ils les appelaient des ARV, ou véhicules de reproduction extraterrestre, pour éloigner les gens de là d’où ils venaient réellement.

David : D’où viennent-ils ?

Corey : Des Allemands ; pendant l’échange après 1952, quand les Allemands dissidents commencèrent à travailler plus étroitement avec notre complexe militaro-industriel.

David : Pourquoi l’appareil serait-il capable de flotter dans l’air ambiant s’il ne fonctionne pas vraiment ? Ou est-ce qu’il est dans un état de vol stationnaire pour le faire planer comme ça ?

Corey : Ils utilisent une propulsion anti-gravitique, de sorte qu’elle peut être mise dans un état neutre et verrouillée en un seul endroit.

David : Très bien. Il y a beaucoup de choses à dire ici, alors continuons la fête. Mark McCandlish nous en dira plus sur cette observation étonnante et les illustrations qui en ont résulté. Jetons un coup d’oeil.

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À L’INTÉRIEUR DE L’ARV

Mark McCandlish : En tant que dessinateur, quelqu’un avec mon expérience dans l’art conceptuel, c’est une des façons dont j’ai pu comprendre comment tous ces éléments étaient reliés entre eux – un certain nombre de panneaux avaient été retirés du véhicule – le plus petit.

Ils avaient un escalier roulant qui montait à côté avec une sorte de plate-forme qui roulait sous le véhicule, puis les escaliers qui montaient du côté incliné. Et vous pourriez vous tenir debout sur une petite plate-forme et regarder par la porte du cockpit.

Et ce qui est si drôle, c’est que la porte elle-même ressemblait à quelque chose d’un vieux sous-marin Captain Nemo avec le cadre en acier et la roue qu’on tournait et les petites goupilles qui allaient sur le cadre pour le verrouiller en position et tout.

Mais il a dit qu’on pouvait regarder à l’intérieur et voir les sièges éjectables.

La colonne centrale traverse le milieu de ce compartiment équipage, qui n’est en fait qu’une grande sphère composite. C’est ce qu’on appelle un vaisseau pultrudé.

La pultrusion est un procédé qui consiste à prendre un filament comme la fibre de verre, le carbone ou le Kevlar et à l’imprégner d’une résine lorsqu’il est filé autour d’une armature, d’une forme, d’un récipient.

Ils font des réservoirs d’oxygène à partir de ce genre de choses maintenant, mais cette sphère entière était une grande sphère pultrudée. Et tout le reste… L’idée est que, pendant que cette fibre imprégnée de résine est enroulée autour de cette forme, elle est soumise à une tension élevée, de sorte que toute la structure est précontrainte avant que la résine ne démarre, elle est catalysée, elle durcit et devient très résistante – plus forte que l’acier.

Et donc, ces choses pourraient aussi entrer dans l’océan, ce qui est une autre histoire.

Mais la vue du cockpit a révélé qu’il était vraiment spartiate à l’intérieur, je veux dire, pas de tableau de bord, pas de jauges, pas de télémétrie. Tout était dans le casque que le pilote portait.

Le côté droit du siège éjectable pour le pilote ressemblait à un gros potentiomètre, comme dans le film « Frankenstein », où l’on contrôle la quantité d’électricité.

Et du côté gauche, il y avait un type de contrôle vraiment inhabituel. C’était une sorte de béquille. Cela ressemblait à un métal ou à un composite – une sorte de poteau en forme de J inversé qui soutenait ce qui ressemblait à une boule qui avait un hémisphère conformal sur la face inférieure.

Et cette chose avait un laser à l’intérieur qui serait réfléchi autour. Et il envoyait des impulsions aux différentes parties de l’appareil qui contrôlaient le lacet, le tangage et ce genre de choses.

Ce qui était intéressant, c’est que lorsque cette chose fonctionnait à faible puissance et qu’elle planait tout simplement toute seule, c’était au moment où le véhicule commençait… Je veux dire, parce qu’ils semblaient être installés sur l’océan, se déplaçant comme au-dessus des courants dans l’eau [le haut du corps de McCandlish oscille légèrement de gauche à droite, comme pour traduire un effet de léger tangage], et quand ils commençaient à s’incliner un peu d’un côté, le bol qui pendait en dessous de la sphère commençait à s’incliner dans cette direction.

La gravité avait juste assez d’influence sur lui pour qu’il commence à l’appuyer, et il se corrigerait lui-même. Il se corrigeait de lui-même, quelle que soit la direction dans laquelle il commençait à se pencher.

L’appareil a été capable d’accomplir des choses comme de voyager plus vite que la vitesse de la lumière – vitesses supraluminiques. « Light speed or better » [à la vitesse de la lumière ou plus rapide encore] était la citation du général qui donnait la présentation.

La question est donc de savoir : comment est-ce possible ? Beaucoup de gens pensent que c’est de la foutaise, que ce n’est pas possible.

Et vous devez revenir en arrière, et vous devez regarder Einstein, ses équations originales, et toutes les choses qu’il a dit sur l’impossibilité totale de jamais dépasser la vitesse de la lumière.

Et ce qu’il a dit était, dans ses équations et dans ses écrits, que lorsqu’un objet accélère à travers l’espace-temps, sa masse commence à augmenter.

Mais la clé de tout cela, la chose dont personne ne parle, est la raison pour laquelle la masse d’un véhicule augmente, c’est parce que l’interaction entre la structure atomique de ce véhicule et l’énergie du point zéro dans l’environnement, cela fait en sorte que les atomes deviennent plus énergisés.

Parce qu’à l’école secondaire de physique, la grande question que j’avais était, eh bien, si la matière ne peut pas être créée, ne peut pas être détruite, les électrons ne ralentissent jamais, ils ne suivent pas la deuxième loi de la thermodynamique, qui est l’entropie, vous vous attendez à ce qu’ils ralentissent au fil du temps, mais ils ne le font pas.

Et la raison pour laquelle ils ne le font pas, c’est parce qu’ils absorbent constamment cette énergie du point zéro. Et c’est ce qui fait que toutes les parties de l’atome continuent à fonctionner. C’est pourquoi il ne se désintègre jamais, il ne se désagrège jamais.

Et donc, lorsqu’un objet, vous savez, fait d’atomes, passe par l’espace-temps et accélère de plus en plus vite, il absorbe de plus en plus cette énergie, et toutes les pièces tournent de plus en plus vite, comme un gyroscope qui tourne de plus en plus vite.

Et tout comme un gyroscope, si vous en avez déjà tenu un – comme une toupie ou quelque chose comme ça –, une fois qu’ils se mettent en marche très rapidement, il est difficile de les déplacer. C’est la même chose. C’est un peu comme si cela développait son propre type de gravité, d’une certaine façon.

Et c’est ce que Einstein a dit, que cela ralentirait les choses et rendrait impossible d’avoir jamais assez d’énergie pour monter et dépasser la vitesse de la lumière, parce que votre masse commence littéralement à s’approcher de l’infini alors que vous vous rapprochez de plus en plus de la vitesse de la lumière.

Et donc, ce que les ingénieurs ont compris, c’est que si vous utilisiez la même énergie dans l’environnement qui augmenterait votre masse, mais que vous l’utilisiez comme source d’énergie propulsive pour alimenter votre système, cela signifie que plus vous iriez vite, plus vous devriez propulser votre engin encore plus vite. Vous n’avez pas besoin d’avoir une réserve de carburant, donc vous n’avez pas à vous soucier du poids du véhicule.

Donc plus vous allez vite, plus vous êtes en mesure d’aller vite. Et c’est ainsi que vous brisez la barrière de la vitesse de la lumière, parce que votre masse ne devient jamais vraiment plus grande que celle avec quoi vous avez commencé. Mais vous avez cette quantité d’énergie énorme, presque illimitée, dont vous pouvez tirer une force propulsive.

C’est probablement pour cela que tous les composants électriques de l’appareil sont enfouis dans le quartz comme une sorte d’isolant, parce que nous parlons de millions et de millions de volts d’électricité.

C’est aussi la raison pour laquelle, lorsqu’il est dans l’atmosphère, l’ionisation est si grave qu’elle produit des photons à rayons X, et il faut qu’ils aient un système de vision synthétique juste pour voir où ils vont.

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David : Eh bien, tout ce que je peux dire c’est, wow !

L’une des choses que vous m’avez dites me semble avoir été largement validée ici, alors j’aimerais avoir votre avis.

Et c’est l’idée que certains systèmes de propulsion des OVNIs fonctionnent d’une manière similaire – je pense que c’est vous qui l’avez dit – à celle de presser une graine de citrouille entre vos doigts.

Corey : Il a dit ça, mais je l’ai dit aussi dans le passé.

David : C’est vrai. Je l’ai entendu de votre bouche avant qu’il ne le dise.

Corey : J’ai probablement dit une graine de pastèque. Ha, ha, ha.

David : Graine de pastèque, c’est ça, ha ha.

Corey : Je viens du Sud.

David : Puisque ce dont Mark McCandlish parle ici semble être au moins partiellement spéculatif si l’on se base sur sa propre tentative de comprendre ce qui se passe et ce qu’on lui a dit, vos briefings personnels sur les systèmes de propulsion – par exemple sur des tablettes de verre intelligentes -, comment se comparent-ils avec ce qu’il disait ici ?

Corey : C’est très proche.

Je pense que je l’ai décrit de la même façon, y compris en décrivant comment les moteurs à champ de torsion fonctionnaient dans le navire de recherche, qu’ils créaient une zone où la torsion était plus grande à un bout qu’à l’autre. Et c’était comme presser un rectangle de savon humide d’un côté. Ça se passerait comme ça. Cela tirerait dans l’autre sens. Les descriptions sont donc très proches.

David : Le « LASER », « Light Amplification by Stimulated Emission of Radiation » [amplification de la lumière par émission stimulée de rayonnement], est censé être une invention de l’après Seconde Guerre mondiale. Il a souvent été associé, dans le monde des initiés, à ce qui a été découvert dans l’épave Roswell, et serait l’une des technologies de rétro-ingénierie qui ont été originellement réalisées.

Alors qu’ici, nous le décrivons comme appartenant très probablement à l’un des premiers vaisseaux allemands, et donc datant probablement de la fin des années 1930.

Pourtant, il dit qu’une coupole laser sur laquelle vous mettez la main était essentielle à tout le système de navigation de l’embarcation.

Pensez-vous que les Dracos avaient donné aux nazis la capacité de fabriquer des lasers avant qu’ils ne soient officiellement dévoilés en tant que technologie ?

Corey : Il faut aussi se rappeler que les Allemands avaient leur propre Roswell. Ils avaient un engin qui s’était écrasé bien avant Roswell, dans les années 30. Je pense que c’était dans… qu’est-ce que c’est, la Forêt Noire ou Obscure…

David : Oui.

Corey : …quelque chose comme ça ? Ils avaient donc en Allemagne des ingénieurs beaucoup plus brillants que nous à l’époque. Et ils avaient la technologie au moins dix ans avant que nous ne l’ayons eue. Ils ont donc probablement pu inverser ce qu’ils ont récupéré.

David : Quand j’ai vu cette illustration de McCandlish pour la première fois, l’une des choses qui me semblaient vraiment mystérieuses, c’était pourquoi ça avait l’air si nunuche ? Pourquoi avoir cette porte à l’ancienne qui ressemble à un sous-marin mécanique ?

Maintenant que vous avez introduit l’idée que cela venait de la technologie allemande, cela semble plus logique. Pensez-vous qu’avec l’expérience des Allemands dans la construction de sous-marins, c’est pour cela qu’il y a une telle similitude dans son apparence, d’une certaine façon ?

Corey : Absolument. Ouais, c’est exactement ce que j’allais dire. Et cette porte du type « Capitaine Nemo » vient probablement d’un sous-marin allemand.

David : Donc McCandlish décrit aussi un moyen technique par lequel le vaisseau peut accélérer jusqu’à la vitesse de la lumière. Que pensez-vous de sa réinterprétation du phénomène d’augmentation de masse, qu’au lieu de l’augmentation de masse rendant impossible de voyager à la vitesse de la lumière, que c’est en fait votre meilleur ami ?

Corey : C’est exactement ce que j’avais lu sur la tablette de verre intelligente, et c’est aussi la raison pour laquelle la classe dirigeante a gardé le modèle de physique de l’univers électro-plasmique hors du courant dominant, parce que c’est la base de la science qu’ils ont utilisée pour construire ces vaisseaux et pour les faire fonctionner [au sein des Programmes Spatiaux Secrets, donc].

David : Très bien. Eh bien, nous avons une dernière vidéo à vous montrer.

Et cela va clôturer notre discussion pour cet épisode de rétro-ingénierie et tous ces sujets intéressants. Jetons un coup d’oeil.

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ESPACE-TEMPS TRANSVERSAL

Mark McCandlish : Eh bien, au début, lorsque j’ai vu cette énorme batterie de condensateurs au fond de l’embarcation, j’ai supposé qu’elle reposait entièrement sur l’effet Biefeld-Brown.

Quel est l’effet Biefeld-Brown ?

Dans les années 1930 ou 1940, il y avait un étudiant à l’université – je crois que c’était quelque part dans l’Ohio –, Thomas Townsend Brown, et il avait un professeur, Alfred Biefeld.

Et il avait décidé d’expérimenter avec des condensateurs à plaques, des condensateurs à plaques parallèles, qui étaient chargés d’électricité, et il avait une sorte d’isolant entre eux. Il a constaté que lorsqu’il mettait la bonne fréquence d’électricité, les bonnes tensions – généralement du courant continu –, que cette chose flottait réellement. Cela commencerait à léviter.

Et donc il y a beaucoup de controverse à ce sujet parce que vous voyez ces vidéos sur YouTube et d’autres choses, les gens qui fabriquent des élévateurs, et les gens ont obtenu ces petits appareils de type cloche-boîte que vous trouvez dans certains laboratoires pour créer une sorte de vide semi-dur où vous évacuez tout l’air de la chambre.

Et ces choses court-circuitent, et ça ne marche pas. Ils ne peuvent donc jamais travailler dans l’espace.

Mais si vous regardez vraiment la façon dont le Véhicule de Reproduction Alien est conçu, toutes ces plaques de condensateurs ne sont pas en plein air. Elles sont fortement, fortement isolées. Et c’est là que réside la différence.

C’est pourquoi il est capable d’opérer dans l’espace extra-atmosphérique, c’est parce que ces composants n’ont pas la possibilité d’être court-circuités.

En fait, l’une des choses qui ont été remarquées au sujet de ce quartz qui entoure ces plaques était qu’il était optiquement clair. C’était comme du verre optique transparent – pas d’occlusions, pas de petites particules de saleté, pas de bulles d’air, rien.

Cela m’a semblé logique, au début, quand j’ai vu tous ces condensateurs à plaques parallèles qui étaient segmentés et divisés en 48 sections à orientation radiale, comme de longs et minces coins de tarte à pizza d’une grande pizza.

Il y avait huit plaques empilées dans chacun de ces coins, ce qui signifierait que, si vous parlez de l’effet Biefeld-Brown, vous parlez d’une alternance de positif, négatif, positif, négatif, la plaque positive étant sur le haut de la pile, et la dernière plaque négative étant sur le bas.

Il m’est venu à l’esprit que c’était la base du système de propulsion, mais il y avait tous ces gens qui disaient : « Non, non. L’effet Beifeld-Brown n’est pas si puissant. Tu ne peux pas faire autant. »

Mais tous ceux qui parlaient de cela n’ont jamais parlé d’un système qui était en fait encastré dans une dialectique ou dans un matériau isolant comme le quartz.

Or, l’une des choses que le témoin a également dites, c’est qu’ils n’utilisaient pas seulement le quartz pur. En fait, ils dopaient le quartz avec des éléments lourds, comme l’uranium et d’autres éléments, et ils ont découvert dans leurs expériences au fil des ans que lorsque l’on dope le quartz avec des éléments lourds et que la masse de départ du véhicule est élevée au début, cela améliore l’efficacité de la poussée du système quand il fonctionne.

Mais avec le temps, j’ai commencé à me rendre compte que, parce que la chose utilisait l’énergie du point zéro comme source d’énergie, ce qui se produit dans la colonne centrale du véhicule, cette chose créait un tel potentiel d’énergie stockée sur l’ensemble des condensateurs qu’elle commençait à déformer l’espace-temps.

Maintenant, il s’avère qu’aux alentours de 1994 – Mars, je crois que c’était –, il y avait un scientifique, Miguel Alcubierre, qui a écrit un article sur une commande de distorsion, un type spatial – une commande spatiale d’ingénierie métrique.

Et il parlait justement de faire cela, qu’en contrôlant les champs électromagnétiques et électrostatiques, on pouvait créer une compression de l’espace-temps devant le véhicule, comme ce qu’on trouverait avec un trou noir, comme une singularité.

Et ensuite, derrière le véhicule, vous créeriez une expansion de l’espace-temps.

Et c’est tout un processus de polarisation, comme le décrit Puthoff. Et il a beaucoup écrit à ce sujet.

Et ce processus de polarisation vous permet de créer ce qui équivaut à un système qui est un peu comme surfer sur une vague, où vous avez une dépression devant vous et une crête derrière vous, et où vous glissez essentiellement le long de cette déformation de l’espace-temps.

Et c’est ce qui crée le vecteur qui vous permet d’avancer.

Mais l’intéressant… L’aspect fascinant de ce concept, ce principe de création de ce qu’on appelle une ingénierie spatio-temporelle ou métrique locale dynamique, est que vous prenez une bulle d’espace-temps qui entoure le véhicule, qui est créée et influencée par le système à l’intérieur du véhicule lui-même, mais quand cette chose commence à se déplacer dans l’espace-temps, elle se déplace uniformément, où une partie de l’espace-temps – le véhicule, l’équipage, les composants, tout ce qu’il y a – se déplace…

Et c’est un mouvement en tant qu’unité qui n’est pas influencé par d’autres choses que ce que le vaisseau fait à l’espace-temps autour de lui. Il crée donc une expansion de l’espace-temps derrière lui, et une compression de l’espace-temps en avant. Mais tout se déplace uniformément, donc il n’y a pas de force G du tout. Aucune.

Ainsi, lorsque les gens parlent de voir un objet se déplacer dans le ciel à 9 000 mi/h (milles à l’heure) [près de 15 000 km/h], filer à toute allure au-dessus de la terre et faire des virages à angle droit à ces vitesses incroyables, ceux qui n’ont jamais vu cela disent : « Eh bien, c’est impossible. Le pilote serait transformé en hamburger et écrasé à l’intérieur du véhicule. »

Mais si vous éliminez la masse, il n’y a pas d’inertie.

Et si vous parlez de l’accélération uniforme d’un espace-temps conçu métriquement – le véhicule, son contenu et tout le reste –, l’ensemble se déplace de façon à ce qu’il n’y ait aucun sentiment de force G, car il n’y a aucune inertie à l’intérieur de cet espace-temps local conçu métriquement.

Ce serait comme prendre un poisson rouge dans un bol à poisson rouge sphérique, et on bouge tout ça très vite. Et l’eau, le poisson et tout le reste se déplacent avec le bol à poissons rouges, mais le poisson ne sent rien, ils ne sent pas les forces du tout.

Il peut remarquer que l’eau glisse un peu avec le temps. Mais si vous le remplissez complètement pour qu’il n’y ait pas de bulles d’air qui permettent à l’eau de bouger, tout se déplace à l’unisson.

Et c’est ce que signifie l’accélération uniforme.

* * * * * *

David : Eh bien, c’est certainement un ensemble de données très intéressant ici !

Avez-vous entendu parler, tout d’abord, de composants électrochargés recouverts d’un quartz clair ? Avez-vous déjà vu quelque chose comme ça ?

Corey : Oui. La plupart du temps, ils auront comme un quartz fait par l’homme qui est versé comme du verre qu’ils peuvent imprégner avec différents autres types de matériaux.

C’est donc une chose que j’ai déjà entendue auparavant, et cela ferait un excellent isolant.

David : Maintenant, j’ai remarqué qu’il s’appuyait beaucoup sur des trucs de physique que je connaissais bien dans les années 1990, c’est la méthode de propulsion Miguel Alcubierre qui a été avancée par Hal Puthoff.

Mais Puthoff et Alcubierre ont été ceux qui ont parlé de cette idée d’espace-temps lui-même se déplaçant avec le vaisseau.

Et puisque c’est là l’essentiel de ce que nous avons entendu ici, comment cela correspond-il aux méthodes de propulsion dont vous avez été mis au courant ?

Corey : Il a exactement raison. Le vaisseau crée une bulle spatio-temporelle locale qui est isolée de l’inertie ou de toute autre force en dehors de cette bulle.

Il n’y a donc absolument aucun effet sur l’intérieur de la bulle, et il est possible de changer de direction et de faire un virage à 90 degrés à Mach 12.

David : Il semble bien que Hal Puthoff soit un initié et qu’il a été chargé de libérer les choses. Je suis curieux de savoir si quelqu’un comme Alcubierre… Il a trouvé ça tout seul ? Ou les scientifiques comme lui sont-ils parfois habitués à prétendre théoriser quelque chose qu’ils savent déjà être vrai ?

Corey : Beaucoup de ces gars essaient d’élaborer ces concepts seuls, en dehors des programmes [des programmes spatiaux secrets].

David : C’est vrai.

Corey : Donc, il y a encore beaucoup de brillants esprits qui pensent à l’extérieur de la boîte. Ils essaient de garder les gens à l’intérieur de la boîte, la boîte du modèle physique, et de travailler à l’intérieur de cette boîte. Mais il y a toujours des gens innovateurs qui sortent de l’ordinaire et qui présentent des théories qu’ils ne sont pas censés présenter dans le courant dominant.

David : Très bien.

Donc, comme vous l’avez vu ici, nous avons des choses très fascinantes de Mark McCandlish, des détails beaucoup plus techniques que vous n’auriez jamais pu le croire au sujet de la technologie allemande originale qui a lancé le Programme spatial secret à la fin des années 1930.

C’est « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, David Wilcock, avec Corey Goode et notre invité spécial, Mark McCandlish. Merci d’avoir regardé.


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