Les esprits démoniaques païens continuent de vivre librement dans notre société, car de nombreuses personnes continuent de vivre selon leurs lois. Les dieux païens semblent morts, mais en quelque sorte, ils sont toujours là.
Le Christ en mentionne un – Mammon. C’est le dieu des biens terrestres, de la richesse et, évidemment, beaucoup le servent. Toute une caste de prêtres vit autour de ce « dieu », comparable aux financiers, certains milliardaires etc…
Ils transforment l’air en argent et les valeurs réelles en bulles de savon, s’enrichissant ainsi. Ils ont des connaissances particulières et ils ont leur propre langue. Lorsqu’ils commencent à publier des chiffres, la personne moyenne a réellement mal à la tête.
Belzébuth, ou plutôt Baal Zebub, le roi des mouches ou le dieu de la terre, est également mentionné dans le Nouveau Testament. C’est un prince démoniaque qui aime la saleté morale et règne au milieu d’elle.
Il y a aussi Moloch, qui aime le sang des enfants. Tout le thème de l’avortement au delà de 3 mois est un service continu rendu à Moloch, où les « gens en blouse blanche » sont une caste de prêtres sanglants, et les femmes sont l’analogue d’une tombe vivante, permettant à leur ventre de se transformer en une chambre de mort douloureuse.
Ainsi, le panthéon païen n’est pas mort et n’a pas disparu. Il a changé de nom et s’est caché.
C’est seulement si cela est compris que la haine mystique des prophètes pour les cultes païens devient compréhensible. Là où se trouve une idole, il y a du sang, des possessions démoniaques, de la folie, des rassemblements orgiaques, etc. Et là où il y a fornication, orgies, satanisme, pédophilie exercée secrètement, ces mêmes esprits démoniques initiateurs de tout péché sont présents.
Les cortèges et les dénatureurs ne sont pas quelque chose de nouveau. Ce sont les mêmes processions en l’honneur d’Astarté, ou Inanna, pour lesquelles l’Orient ancien était « célèbre ».
Les flûtes criaient, les gens se tortillaient dans la danse, d’autres regardaient en ouvrant leurs mitaines et dansaient. Et puis les gens se dispersaient dans les bosquets sacrés. Aujourd’hui, c’est pareil, mais sans le nom d’Astarté, d’Inanna ou de Cybèle.
Parallèlement au culte de la dépravation, il existe un culte de la magie et de la sorcellerie. Ici aussi, la femme sera la principale victime. Elle doit être corrompue, retirée de la famille et rendue démoniaquement fière. En substance, une pente glissante vers les profondeurs des pratiques occultes, dont la famille et les enfants en sont les principales victimes. il faut incliner progressivement les cœurs humains vers le culte de la prostituée de Babylone.
Il reste à attendre le jour où même les activistes commenceront à prier l’esprit de la forêt et l’esprit de la mer, l’esprit des alpages et l’esprit des roches suisses. C’est déjà là, mais l’ampleur est modeste. L’activisme se fera aussi ouvertement, sans cacher les ragots, avec des pratiques païennes. Et les noms anciens ou nouveaux des dieux exilés et revenus résonneront à nouveau.
Les nations qui se permettront de le faire seront dans une situation pire que Sodome et Gomorrhe. « Les sept plus mauvais » viendront à eux, et eux-mêmes ne seront pas seulement trompés par les sacrifices des démons, mais aussi par ceux qui ont rejeté la grâce salvatrice.
L’Obscur initiera la dissolution prodigue des femmes, la pornographie de l’espace informationnel, le meurtre d’enfants et la destruction de la famille, la renaissance du paganisme et du culte des esprits de la nature, la soif insatiable d’argent et de plaisir.
C’est la pratique habituelle et constante dans la guerre contre la grâce. Ce sont les visages du paganisme haïs par les prophètes, éternels compagnons de l’idolâtrie. La lutte contre cette horreur est la raison sous-jacente et le sens secret de l’histoire du monde.
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