Divulgation cosmique

Secret des missions Apollo avec William Tompkins

Interview de William Tompkins par Corey Goode et David Wilcock pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 7 épisode 14.

David Wilcock: Bienvenue à « Divulgation Cosmique ». Je suis avec Corey Goode.

Donc, ce par quoi nous allons commencer ici est un segment dans lequel [William] Tompkins explore la très controversée connexion franc-maçonne à tout cela. Jetons un coup d’oeil.

LA CONNEXION FRANC-MAÇONNE

William Tompkins : Si vous m’amenez sur le sujet de mon travail dans le groupe de réflexion secret de Douglas, les deux seules personnes qui savaient que cela avait lieu même là chez Douglas étaient le vice-président de l’ingénierie et le Dr Klemperer.


Lorsque nous avions des réunions avec les amiraux de la Marine sur les programmes, ou lorsque nous avions des réunions avec d’autres hauts fonctionnaires, ou lorsque nous tenions des réunions d’examen de la conception de notre propre personnel ‒ parce que nous avions beaucoup de gens dans ce groupe ‒, le sujet arrivait à un point où il n’y avait pas de réponse.

Et puis j’arrivais avec une réponse.

Le vice-président de l’ingénierie lancerait toujours ça, il disait : « Bill, vous vous approchez de tout… », ce qui veut dire ce sujet et d’autres choses, « …vous regardez ça comme si vous n’étiez pas d’ici du tout. »

J’ai entendu cela des centaines de fois de la part de personnes différentes.


Tout ce que je peux dire, c’est que mon père était un franc-maçon du 33ème degré. D’accord ? Mon oncle Harding était chirurgien en chef de l’hôpital Santa Monica – beaucoup d’argent, une grande maison, il a dépensé chaque centime qu’il avait à creuser à travers l’intérieur des pyramides en essayant de déchiffrer les hiéroglyphes. C’est ce qu’il essayait de faire. Il avait trois filles, mes tantes.

Nous avons vécu dans cette maison pendant presque un an. Et que faisions-nous ?

Il y avait une chaise à côté de la cheminée dans cette maison. La chaise faisait presque cinq pieds de large, une chaise en bois, toute couverte de hiéroglyphes.

Et certains ont dit que c’était la chaise du roi Tut. C’est une bonne façon de la désigner, mais oui, ça vient d’un des rois.

Je ne sais pas comment il l’a faite sortir clandestinement du pays, mais il a fait sortir beaucoup de choses de ce pays. Et il a envoyé tout ça à des chercheurs de pointe américains.

Encore une fois, qui était oncle Harding ? Un franc-maçon du 33ème degré, d’accord ?

Et tout ce que je dis, c’est qu’il y a beaucoup de choses dans lesquelles nous ne sommes pas impliqués, et que nous ne comprenons pas.

* * * * * *

David : Donc, Corey, la première chose qu’il a dite, c’est que tout le monde là-bas [chez Douglas] a agi comme s’il n’était pas d’ici. Ces réponses qu’il proposait pour répondre à des questions apparemment pesantes auxquelles personne ne pouvait répondre suggéraient, il semble, d’après ce qu’il disait, et si vous lisez son livre, qu’il avait une sorte de connaissance télépathique ou une sorte de sagesse plus profonde.

Donc, en ce qui concerne ce concept de lignée extraterrestre ou de conscience extraterrestre, est-ce possible, et pensez-vous que cela pourrait être ce qui se passe avec Tompkins ?

Corey Goode : Cela pourrait être un certain nombre de choses. Il se pourrait qu’il se soit incarné ici tout en étant d’un autre groupe d’âmes extraterrestres, peut-être de ces Nordiques dont il parle.

David : Uh hm.

Corey : Ou bien il est en communication télépathique consciente et inconsciente avec eux.

David : Ce qui est ce qu’il décrit dans son livre…

Corey : En effet.

David : …la communication consciente avec les Nordiques.

Corey : Et j’en ai fait l’expérience moi-même.

David : Alors quand il a décrit cette question de l’oncle Harding comme étant un franc-maçon du 33e degré et aussi le chef de l’hôpital de Santa Monica, prenant tout son argent excédentaire et pillant les artefacts des pyramides, certaines personnes pourraient trouver cela difficile à croire. Ils penseraient qu’il y a des règlements gouvernementaux très stricts sur ces artefacts et où ils vont. N’est-ce pas vrai ?

Corey : Pas à l’époque.

David : D’accord.

Corey : Il était très courant pour les gens de « faire de l’archéologie ». Ils l’appelaient archéologie, mais il s’agissait essentiellement de mettre à jour des sites archéologiques, de les piller pour en obtenir des bibelots qu’ils vendaient ou emportaient chez eux pour les vendre à un musée.

David : Donc vous pensez qu’il pourrait y avoir des artefacts aussi étonnants qu’une chaise de cinq pieds de large recouverte de hiéroglyphes, juste posée dans la maison de quelqu’un ?

Corey : Oh, absolument, oui. Il existe de grandes collections privées d’objets très importants.

David : Pourquoi pensez-vous que les francs-maçons seraient intéressés par ce genre de choses?

Corey : Comme vous le savez ‒ mais beaucoup ne le savent peut-être pas ‒, tout le monde, pour participer au programme spatial civil, devait être franc-maçon. Les francs-maçons sont des « gardiens de la connaissance », et ils obtiennent ces anciens enseignements de sagesse à travers leurs différents enseignements et toutes ces choses qu’ils ont à mémoriser ‒ ce qu’ils ont à mémoriser est tout simplement fou.

Si vous avez prouvé que vous êtes capable de garder ces principes et secrets, alors on vous fait confiance pour beaucoup d’autres.

David : C’est vrai.

Corey : Et vous faites déjà partie d’une organisation gérée.

David : Et au cas où quelqu’un ne le saurait pas, quelles sont les sanctions pour avoir divulgué des secrets maçonniques si vous devenez un initié ?

Corey : La mort.

David : Oui, donc c’est un rite de passage très intense pour pouvoir obtenir la confidentialité de quelqu’un et le sentiment que vous pouvez lui faire confiance en toute confidentialité.

Corey : Ils le prennent très au sérieux.

David : Alors pourquoi pensez-vous qu’il a mentionné son père et cet oncle étant des francs-maçons du 33ème degré quand il a parlé de l’idée qu’il pourrait être une âme extraterrestre ?

Corey : Un grand nombre de ces sociétés remontent à la lignée des non-terrestres qui sont venus sur cette planète il y a des milliers d’années. Et cela aussi, c’est très important pour eux, être capables de retracer cette lignée.

Tout en retraçant la lignée, ils retracent aussi l’histoire de la lignée. Et toutes ces informations, eh bien, une partie de cette information va être disponible pour certains francs-maçons.

Et apparemment, son oncle avait suffisamment entendu parler de cette information pour se sentir obligé de dépenser sa fortune afin d’essayer de répondre à certaines des questions pour lui-même.

David : [se tournant vers les spectateurs] Très bien, maintenant, dans ce prochain segment, ce que nous allons avoir pour vous est une discussion plus approfondie sur la franc-maçonnerie et cela s’applique à quelque chose de très intéressant à quoi vous n’auriez peut-être pas pensé avant. Jetons un coup d’oeil.

* * * * * *

RÉÉCRIRE LA MISSION APOLLO

William Tompkins : J’étais donc à présent chef de la Section du génie chez Douglas pour le programme Apollo, et j’avais 173 ingénieurs, concepteurs et scientifiques, en fait 11 doctorants.

Et j’ai fait une suggestion. Ils l’ont prise et sont partis avec. D’accord ? Le meilleur groupe d’ingénieurs de la planète, les meilleurs.

Et nous avons mis sur pied un tout nouveau programme de la NASA pour la Lune. On a jeté tout ce que la NASA avait fait, et on est arrivés avec un tout nouveau [programme]. D’accord ?

Je le soumets aux chefs de l’ingénierie. Ils le soumettent au marketing, et les gens du marketing discutent avec les gens de la manufacture, et ils essaient de me virer. D’accord ? Parce que ceux de la manufacture veulent fabriquer. Ils ne veulent pas du tout faire ces trucs d’ingénierie. D’accord ?

Je ne me fais pas virer. Je suis autorisé à faire ça. Mais le marketing… ils ne le feraient pas. Alors le vice-président de l’ingénierie a dit : « Secrètement, on va le faire nous-mêmes. »

*************

Alors j’ai fait la maquette. J’ai fait une maquette de six pieds sur six pieds [2 mètres sur 2] du nouveau centre de commandement de mission de la NASA, qui ressemble à un grand théâtre avec des sièges abaissés et des écrans sur le mur.

Je l’ai donc mis sur un tout nouveau DC-7 et toute ma documentation, et je me suis dirigé vers l’arsenal secret de Redstone, la station spatiale secrète, où se trouvent tous les Allemands et la NASA.

 

Et j’ai loué un camion. Et je portais un costume trois pièces. Je loue ce camion, et il a tous ces équipements que je n’ai jamais utilisés. Et je conduis ce truc avec une boîte dans cette zone secrète. D’accord ?

Mais ce qui est intéressant, c’est que ma secrétaire m’écrit une lettre qui me mènera à l’homme le plus important de Redstone Arsenal, mais elle me dit que je n’en aurai pas besoin.

Et en montant, elle me dit télépathiquement : « Ne t’inquiète pas, Billy, les portes vont s’ouvrir. »

J’entre donc en voiture, et ces grandes portes s’ouvrent, et je passe devant une immense zone sur le côté avec des douzaines et des dizaines de camions, de voitures, d’automobiles et d’équipement, où tout le monde doit passer par la sécurité pour vérifier tout ce qu’il y a dans le camion, obtenir la permission d’entrer et tout le reste.

Alors je franchis la barrière. La porte s’ouvre.

Je conduis ce truc et je cherche le bureau de von Braun par moi-même. Je traverse le trafic de la base. D’accord.

J’arrive à la base, puis à la tour. Les quatre gardes de sécurité du bâtiment descendent. Ils mettent leurs fusils à côté de la porte du bâtiment.

Ils descendent l’escalier avec un grand et large chariot. Ce chariot a quatre roues. Ils le portent tous en descendant les marches. Ils l’apportent jusqu’à mon camion. Ils enlèvent les barres et les barres latérales, les barres en bois, du côté du camion. Ils prennent ma maquette et la déposent sur le chariot.

D’où vient le chariot ? Pourquoi le chariot était-il là ?

Ils emmènent la maquette sur le grand chariot à travers un tas de bureaux, dans un couloir. La porte de l’ascenseur – une porte d’ascenseur assez grande – s’ouvre avec trois autres ascenseurs sur le côté de celui du centre. Les portes s’ouvrent. Ils poussent ça à l’intérieur.

Je rentre avec ma sacoche pleine de données. On monte au dernier étage. Les portes s’ouvrent.

Sans rien dire, ils poussent ce chariot dans le hall. Ces portes se sont ouvertes.

Nous arrivons dans la première grande zone de bureaux avec tout le personnel de von Braun de ce côté-ci [gauche] et le Dr Debus de l’autre côté.

Les portes de cette grande salle de conférence s’ouvrent. Ils garent le chariot. Ils ouvrent la boîte.

Ils prennent cette maquette… elle est recouverte de ce doux tissu bleu. Ils la mettent, recouverte de ce tissu bleu, dans la salle de conférence.

La secrétaire du Dr Debus et celle du Dr von Braun viennent me voir.

Les quatre gardes prennent ce chariot. Ils le font rouler pour repartir avec. Ils claquent des talons, ils saluent et redescendent.

Maintenant souvenez-vous, je n’ai rien dit à personne. Je suis arrivé dans cette installation sans papier. Je suis rentré. Je n’ai parlé à personne. Et les deux savent déjà que je suis là.

Donc, la secrétaire de Debus a dit que le Dr Debus serait là dans un instant, et le Dr von Braun serait là aussi.

Debus sortit de sa salle de conférence et se présenta à moi. Et von Braun sortit de l’autre salle de conférence, et il se présenta à moi aussi.

À présent, ils avaient cette grande chose bleue au milieu de leur luisante table de conférence.

J’ai dit : « Je suis William Tompkins. Je viens de Douglas, et j’ai une proposition à vous faire sur certains changements que nous estimons nécessaires pour qu’Apollo parvienne à la Lune. »

Personne ne m’arrête. Plusieurs personnes de von Braun viennent s’asseoir derrière lui sur sa table. Les gens de Debus s’assoient avec lui. Les deux secrétaires s’assoient et je commence à parler.

Et au bon moment, j’enlève cette étoffe et je leur montre ce que vous et tous les autres sur la planète avez vu, c’est-à-dire le système de commande de lancement du Complex 39, où vous avez vu le Dr von Braun assis en haut de l’écran, avec tous les ingénieurs et tous les téléspectateurs.

 

 

 

J’ai donc une maquette de ceci, et ce qui s’est passé, c’est qu’ils ont tous les deux entendu mon discours. Cela m’a pris environ 40 minutes, et von Braun m’a serré la main et m’a dit : « Nous devons nous réunir. »

Et Debus m’a serré la main, a mis ses bras autour de moi, il m’a emmené à tous les meilleurs gars de la NASA là-bas, et m’a présenté comme une sorte de génie.

* * * * * *

David : Donc, encore une fois, ce que nous voyons ici, c’est un document historique extrêmement précieux qui nous montre comment l’une des images les plus appréciées et aimées, associées aux missions Apollo et à nos voyages sur la Lune, ce qu’il appelle le Complexe 39, et ce que la plupart des gens considéreraient simplement comme le contrôle de mission, était en fait quelque chose qu’il avait lui-même conçu, allant à l’encontre de la volonté de l’équipe de la production, qui voulait fabriquer.

Alors, pourquoi pensez-vous qu’il a dit qu’il obtiendrait un tel contrecoup et que le secteur manufacturier ne ferait que fabriquer ?

Qu’avez-vous compris quand il décrit cette juxtaposition de ping-pong entre l’ingénierie et la fabrication ?

Corey : Beaucoup de ces ingénieurs n’aiment pas qu’on les retire de ce qu’ils faisaient ou de ce sur quoi ils travaillaient depuis une longue période et qu’on les mette sur un projet spécial. Beaucoup d’entre eux vont protester.

Ils signalent maintenant aux gens qu’ils n’ont rien déclaré à l’extérieur de leur groupe principal. Ils préféreraient simplement le statu quo. Et les ingénieurs sont comme ça.

Vous ne voulez pas trop bousculer les choses avec eux, ou cela affectera leur travail.

David : Donc, les gens qui étaient dans ce qu’il appelle la « fabrication » étaient des ingénieurs, mais ils étaient des spécialistes dans une catégorie particulière.

Corey : C’est ça, vous aurez des ingénieurs, puis des techniciens, qui sont fondamentalement des ingénieurs et tout aussi intelligents que les ingénieurs, qui mettent en pratique ce que les ingénieurs ont conçu.

David : Est-il possible qu’il y ait certains cas dans une installation militaire hautement sécurisée où quelqu’un obtiendrait l’autorisation de contourner les points de contrôle de sécurité normaux, comme il le décrit ?

Corey : Dans de très rares circonstances. Dans les années 40, des choses semblables se sont produites avec la livraison du nucléaire… le transport des armes nucléaires.

Ils entraient par une porte latérale ou par l’entrée principale. Les sentinelles se faisaient dire à l’avance : « Ce véhicule arrive à peu près au même moment. Faites-les passer. »

David : La dernière fois, nous avons vu un segment dans lequel il décrivait le développement réel des fusées allemandes V-2 [Voir ICI]. Je veux dire qu’il ne les appelait pas comme ça à l’époque, mais qu’il y avait une capacité de type nucléaire, c’est ce qu’il insinuait, qu’ils travaillaient là-dessus, et que ces missiles ont ensuite directement été mis en œuvre dans le développement du programme Apollo, cette même technologie allemande – von Braun, bien sûr, étant allemand.

Corey : Oui. Ce n’était pas les V-2. Il s’agissait de véritables ICBM multi-étapes qu’ils développaient déjà,…

David : Oh, vraiment ?

Corey : …que le Conseil développait à ce moment-là. Donc von Braun est venu avec cette connaissance. Il avait déjà consacré beaucoup de temps et d’efforts à l’ingénierie pour fabriquer des fusées à plusieurs étages.

David : Très bien, donc le prochain segment que nous avons pour vous est un autre segment très intéressant dans lequel cet homme vraiment étonnant décrit qu’il y avait beaucoup plus de choses qui se passaient avec les missions Apollo que juste atterrir sur un vieux morceau de roches mortes et sèches sans rien à voir. Jetons un coup d’oeil.

 

* * * * * *

UN PETIT PAS

William Tompkins : La première phase était d’y monter, de ramasser des rochers, de prendre des photos et de revenir, d’accord ?

On y est donc arrivés. Nous avions tous ces véhicules tout autour de la jante, et l’un d’entre eux nous a presque poussés hors de l’orbite pour arriver jusqu’à la moitié de la Lune. Il est venu juste à côté de nous. D’accord ?

Et donc le public n’a pas entendu la conversation : « Ce satané truc va presque nous frapper ! »

Communication, contrôle de mission en dehors du véhicule. Vous y arrivez, mais vous avez fait le tour [de la Lune] plusieurs fois. Vous avez pris toutes vos photos de tout ce qui est déjà là. Vous savez où vous voulez aller.

Et puis, au fur et à mesure que vous faites votre première descente, voici tous ces véhicules qui arrivent – de grandes choses énormes et massives.

 

Et ils vont se garer autour du bord de l’endroit où vous devez atterrir ! Bon sang !

Alors vous atterrissez. Vous faites votre… On doit faire notre truc.

Et puis le gars dit : « D’accord, allez-y, allez chercher d’autres pierres. Et je sais que vous avez un problème, alors faites deux ou trois de vos autres missions et ne revenez pas. » Fichtre !

* * * * * *

David : Qu’est-ce qui se passait, à votre avis ? Tompkins le présente du point de vue d’un témoin oculaire. Quel est le point de vue de l’initié sur cette histoire que nous venons d’entendre ?

Corey : L’équipage d’Apollo a atterri dans une zone sous influence des Reptiliens. Ils sont sortis et ont encerclé le bord du…

David : « Ils »… les Reptiliens sont sortis ?

Corey : Les Reptiliens sont sortis avec un certain nombre de grands vaisseaux pour intimider.

David : Je vois.

Corey : Et quand les astronautes ont rassemblé les roches, fait quelques-unes de leurs expériences et qu’ils sont repartis pour quitter l’orbite lunaire, un de ces vaisseaux les a escortés.

David : Alors quand Tompkins dit : « Le gars nous a dit de ne pas revenir. Prenez juste quelques échantillons et partez », qui pensez-vous qu’il veut dire par « le type » ? Parle-t-il du Contrôle des Missions, ou parle-t-il d’extraterrestres, ou à quoi pensez-vous qu’il voulait en venir ?

Corey : Apparemment, l’un de ces non-terrestres, reptilien ou non, leur a dit qu’ils devaient partir et ne pas revenir. Il se peut très bien que ce soit même un Nordique qui leur ait dit : « Hé, vous devez partir d’ici ! Faites ce que vous avez à faire et ensuite ne revenez plus ! »

David : Certaines personnes qui ne sont pas très familières avec ce type de divulgations pourraient vivre ce que nous appellerions en psychologie la dissonance cognitive [rire], à propos de l’idée que quelque chose d’aussi important aurait pu se produire à l’atterrissage d’Apollo, où Neil Armstrong semblait plutôt heureux lorsqu’il a dit : « Un petit pas pour l’homme, un pas de géant pour l’humanité. »

Vous savez, on a des films. On a des photos de ce qui se passe là-bas.

Corey : Il était probablement très heureux à ce moment-là [rires de Corey et David]. C’était le cas… Et puis un peu plus tard, tout d’un coup, vous avez ces embarcations intimidantes – énormes ‒ qui entourent le cratère dans lequel vous êtes. Ça va probablement changer un peu votre ton.

David : Beaucoup de sceptiques supposeraient que c’est complètement ridicule – l’idée que : « Oh, bien sûr que les astronautes auraient parlé. Bien sûr, nous l’aurions su. Bien sûr, ils auraient filmé ça, ou quelqu’un aurait crié, ou quelque chose aurait fuité. » Comment répondez-vous à cette question ?

Corey : C’est à ça que sert le processus d’ardoise blanche [c’est-à-dire le procédé technologique d’effacement de la mémoire]. J’ai entendu beaucoup d’histoires d’astronautes qui n’ont aucun souvenir de leur mission, ou très peu de souvenirs de leurs missions. Et donc, beaucoup d’entre eux se font manipuler la mémoire.

David : Bob Masters, qui était le mari de Jean Houston, la célèbre célébrité féminine, a en fait essayé d’hypnotiser Edgar Mitchell après ses missions sur la Lune et a passé 40 heures à essayer d’hypnotiser Edgar Mitchell. Et Edgar Mitchell n’a jamais pu se souvenir d’une seule chose qui lui soit arrivée quand il était sur la surface lunaire.

C’est ce qui a pu arriver à Edgar Mitchell ?


Corey : On dirait que c’est exactement ce qui lui est arrivé.

Astronaute Dr Edgar Mitchell (1930-2016) : « Les extraterrestres sont réels et nous observent. »

David : Les sceptiques pourraient dire : « Allez, mec ! Il y a eu une vidéo en direct de l’atterrissage sur la Lune. Comment ces vaisseaux n’auraient-ils pas pu être vus ? »

Corey : Vous avez au moins deux minutes de décalage, et vous avez aussi le canal médical auquel ils s’adressent pour discuter de sujets qui ne sont pas destinés au public.

David : Donc, en d’autres termes, si nous avions des Allemands qui ont été amenés ici pour construire la NASA et qui ont prêté serment de garder et maintenir le secret, ils auraient conçu cela dès le début en sachant qu’il y aurait des choses qu’ils ne voulaient pas que nous voyions, et qu’ils voulaient absolument que nous ne voyions que la version de la réalité qu’ils voulaient que nous obtenions. Êtes-vous d’accord avec moi ?

Corey : Je suis d’accord.

David : Très bien, ce que nous allons voir maintenant dans ce segment suivant est un autre document historique très intéressant qui suggère que Tompkins a peut-être joué un rôle central dans l’élaboration du modèle économique du Programme Spatial Secret auquel Corey a participé, en tant qu’entreprise fonctionnelle à but lucratif dans notre système solaire. Jetons un coup d’œil.

* * * * * *

LE CONGLOMÉRAT D’ENTREPRISES INTERPLANÉTAIRE

William Tompkins : Je me suis fait virer de Douglas pour être allé m’occuper d’Apollo et von Braun et avoir changé le programme. Je me suis fait virer un vendredi.

Et le samedi soir, ma secrétaire m’appelle et me dit : « Ok, Billy, j’ai parlé au Dr Debus, et il veut que tu parles au Dr untel au bureau du siège social de North American à LAX. »

J’appelle donc le Dr Debus, et il avait pris des dispositions pour que j’occupe un poste au siège social de North American, en Amérique du Nord, dans le domaine des programmes spatiaux avancés, des véhicules et des systèmes de propulsion assistée chez [le constructeur] Rocketdyne.

 

Bref, ce sont eux qui construisent ces grandes navettes spatiales, et tout le monde les voit. Maintenant, je suis un conseiller pour ces types. J’apporte mes affaires avec moi, beaucoup d’entre elles, de Douglas à mes bureaux en Amérique du Nord.

J’ai mis au point un plan sommaire concernant la conception et la construction de vaisseaux spatiaux commerciaux qui pourraient aller dans le système solaire et installer des installations sur les planètes du système solaire local, pour apprendre à extraire des minéraux particuliers ici sur les planètes comme un programme d’apprentissage afin d’aller dans la galaxie pour les affaires et le commerce, et opérer à partir des planètes d’un autre système stellaire avec de grandes sociétés, toutes privées, non militaires, pour aller non seulement faire de l’exploitation minière, mais pratiquement s’occuper de n’importe quels autres sujets que nous pouvons trouver : commerce, interface commerciale…

Mais ils avaient des choses beaucoup plus importantes à faire, et nous n’avons donc pas été impliqués… Je n’ai pas été impliqué dans ce développement. Mais d’autres personnes l’ont repris plus tard et ont mis en œuvre le programme.

En 2003, leurs installations étaient exploitées à deux endroits différents, l’un sur Mars et l’autre sur une autre planète au large de la deuxième étoile, l’étoile la plus proche.

Ils font de l’exploitation minière maintenant. Ils exploitent des mines, et ils font de l’exploitation commerciale – en Amérique du Nord, une compagnie ici à Los Angeles, d’accord, toujours la même compagnie qui faisait des moteurs de fusée, des navettes spatiales et tout le reste [la compagnie Aerojet Rocketdyne].

Ils ont donc pris ce concept et l’ont utilisé, ils l’ont utilisé pour des opérations commerciales, ce que nous voulions faire il y a bien longtemps, lorsque nous essayions de lancer le projet. D’accord ?

Mais ils ont pris le temps. Ils ont fait venir les gens, ils ont eu cette activité commerciale et ils l’ont maintenant. Ils fonctionnent avec succès.

Ce que j’essaie de dire, c’est qu’il y a peut-être jusqu’à 25 ou 28 entreprises sur cette planète qui exploitent des activités commerciales dans la galaxie.

* * * * * *

David : Très bien, Corey, ce que nous voyons ici est vraiment fascinant, l’idée que Tompkins a peut-être été la première personne, du moins en Occident – nous ne connaissons pas le côté allemand –, à avoir envisagé la possibilité d’utiliser cette force pas seulement comme une « force d’invasion reptilienne » [ton d’ironie], mais aussi pour développer une industrie minière commerciale et une industrie de production dans l’espace.

Corey : Eh bien, oui, les Allemands en exploitaient déjà l’aspect militaire pour voler aux côtés des Dracos.

La Marine américaine et certaines parties du gouvernement américain mettaient au point un contrepoids contre la flotte allemande qui se préparait à combattre aux côtés des Dracos.

En gros, nous allions faire la même chose avec ces Nordiques, en combattant à leurs côtés, en combattant les Dracos. Donc ça…

David : Donc, pensez-vous qu’il est possible que son rôle historique puisse être confirmé par ceci, que peut-être jusqu’au moment où il a eu cette idée, personne n’avait pensé à cela comme à une entreprise potentielle qui pourrait rapporter de l’argent ou faire du profit sous une autre forme ?

Corey : Dès qu’ils développent ces technologies, ils créent différents groupes de réflexion pour trouver des moyens de les exploiter à des fins commerciales et militaires. Il était donc probablement relié à un groupe de réflexion.

David : Et il a dit qu’il y avait 23 à 28 industries, je crois que c’est ce qu’il a dit…

Corey : Entreprises.

David : …des entreprises, ici sur Terre, qui étaient toutes impliquées dans cette fabrication industrielle dans notre système solaire et en dehors de notre système solaire. Comment ce chiffre concorde-t-il avec ce que vous avez entendu ?

Corey : C’est beaucoup plus important que cela, mais ce pourrait être probablement les entreprises de base qui ont lancé ce que nous appelons le Conglomérat d’Entreprises Interplanétaire  [ICC en anglais : Interplanetary Corporate Conglomerate]. Elles auraient pu être les premières entreprises à lancer ce programme.

David : Une autre chose que nous devons couvrir ici est qu’il a mentionné qu’en 2003 il y avait une installation minière sur Mars et une autre dans l’une des deux étoiles les plus proches de notre système solaire. C’est certainement beaucoup plus petit que ce dont nous avons parlé avec vous dans l’émission, donc…

Corey : Oui, c’est beaucoup plus petit, en terme d’échelle, par rapport à ce que nous faisons actuellement en dehors de cette planète. Nous exploitons la ceinture d’astéroïdes. Nous exploitons diverses planètes à la recherche de minéraux et nous exploitons un certain nombre de mines sur Mars.

David : Que savez-vous du nombre de sites où des adaptations de produits ont lieu à l’extérieur de notre système solaire ?

Corey : Il y en a un certain nombre. Ce sont généralement des mondes contrôlés par les Dracos, où ils nous ont accordé des « permis d’exploitation », diriez-vous sans doute.

Nous sommes entrés dans d’autres systèmes stellaires de notre amas d’étoiles local pour chercher des minéraux, et quand nous sommes arrivés là-bas, les habitants nous ont repoussés.

David : Probablement violemment, je suppose [rire].

Corey : Eh bien, vous savez, nous n’avons pas vraiment une bonne réputation, à circuler partout avec les Reptiliens tout autour du cosmos, causant des problèmes.

David : C’est vrai. D’accord, eh bien, ceci a été un autre aperçu fascinant à travers les pages de l’histoire.

William Tompkins, un véritable héros américain, issu des origines du dispositif du Programme Spatial Secret du plus haut niveau du complexe militaro-industriel militaire de la Seconde Guerre mondiale.

Et maintenant, nous avons l’occasion de relier les points.

Et j’espère que vous voyez, tout comme moi, à quel point tous ces fils s’alignent admirablement, et que nous parlons en fait de quelque chose de vrai, qui avec le temps deviendra une connaissance publique, et qui transformera radicalement tous les aspects de la vie sur Terre et dans notre galaxie telle que nous la connaissons.

Je suis David Wilcock, avec Corey Goode et notre invité spécial, William Tompkins. C’est « Divulgation Cosmique » sur Gaia, et je vous remercie d’avoir regardé.


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