Conscience

Rencontres dans l’au-delà avec des animaux de compagnie décédés

Selon de nombreuses sources d’expériences de mort éminente, les animaux ont une âme et vont dans l’au-delà exactement comme les humains.

Voici quelques témoignages de personnes qui ont vécu une EMI et ont retrouvé leurs animaux décédés.  Ce qui va vous permettre de découvrir des faits étonnants sur votre animal et sur les animaux en général.

Après la lecture de ces témoignages, vous ne regarderez plus vos animaux de la même manière. Les témoignages fournis ici décrivent les animaux comme ayant un « paradis » particulier dont la visite est autorisée aux humains. Ils révèlent la manière dont la communication avec nos animaux décédés se fait de l’autre côté au moyen de la télépathie.

Tout au long de l’histoire, l’idée que les animaux possédaient une âme a été l’objet de débats, basés sur la fausse supposition que les animaux sont en quelque sorte inférieurs aux humains. Le raisonnement qui soutient ceci est peut-être dû au fait que les humains sont au sommet de la chaîne alimentaire et peuvent tuer et manger une grande variété d’espèces animales.


Pendant des milliers d’années, les humains ont domestiqué de nombreux animaux comme le cheval, en les transformant en esclaves virtuels pour les humains. L’Église chrétienne a nié en permanence la possession d’une âme aux animaux en raison peut-être de la croyance que la mort sacrificielle du Christ sur la croix s’appliquait uniquement aux êtres humains. De nombreuses religions anciennes autour du monde considèrent les animaux comme des êtres divins.

Il y a un témoignage de EMI où la personne qui la vivait posait la question à un être de lumière sur l’apparente injustice des forts tuant les faibles pour les manger. La réponse fut qu’il n’y a pas d’injustice, à un niveau élevé, parce que les dénommés « faibles » se donnent eux-mêmes librement en sacrifice aux dénommés « forts » pour que la vie continue sur la planète.

À cet égard, il vaudrait mieux dire que les soi-disant « faibles » de ce monde sont en réalités les « forts ». Avec ceci en mémoire, ne devrions-nous pas nous considérer comme des animaux « glorifiés » comme le suggèrent les preuves ?

Premier récit : Jan et Maggi

Jan a vécu une NDE en décembre 1993, suite à un arrêt cardiaque. Alors que beaucoup de gens vivant une NDE sont accueillis par un « être de lumière », Jan le fut par Maggi, sa chienne décédée. Leur nouvelle relation pendant qu’elle était de l’autre côté vous étonnera en vous faisant découvrir le « paradis des chiens ». Son expérience vous montrera ce qui se passe pour votre animal aimé quand il passe dans l’autre monde.


Ce qui suit est un extrait de son livre, L’autre côté de la mort.

(…) Comme la densité changeait, devenant plus claire et plus belle, j’ai senti qu’on m’élevait sur un autre plan de conscience – et je me suis retrouvée ensuite dans un environnement qui semblait plus substantiel – et Maggi apparut. Ma magnifique chienne épagneul s’est avancée vers moi. Elle était morte un peu moins d’un mois auparavant et John, mon mari, et moi souffrions toujours de son absence.

J’ai ressenti sa présence, son amour et elle m’apparut comme elle était quand elle était en forme – juste un peu plus jeune, avec plus d’énergie vitale. Elle dit :

« Tu sais que Papa ne peut supporter que nous soyons parties toutes deux à l’heure qu’il est ».

« Oui, j’y retourne », ai-je répondu. « Reviendras-tu bientôt ? »

« Quand ce sera le moment, nous verrons. Pour l’instant je veux te montrer des choses merveilleuses. Faisons ensemble l’exploration ».

Si vous avez des difficultés à accepter l’idée que ma première rencontre de l’autre côté s’est faite avec un chien, vous n’êtes pas le seul. Alors que John trouva cela parfaitement naturel, l’une de nos filles en a été un peu contrariée quand je lui ai raconté. Je pense qu’elle aurait préféré que sa mère soit accueillie par Jésus, un ange ou tout du moins un membre de la famille. J’ai bien rencontré un maître plus tard, mais c’est Maggi qui est venue en premier. Elle avait été après tout un « parent » proche pendant des années et les responsables du comité d’accueil savaient certainement quelle agréable expérience ce serait pour moi d’être accueillie par elle.

Mais j’ai compris la réaction de notre fille. Si Maman allait avoir l’opportunité de visiter l’autre côté du voile, le moins qu’elle puisse faire était de la rendre impressionnante avec des connotations religieuses spectaculaires. Le fait est qu’il n’y a rien de particulièrement « religieux » de l’autre côté. Spirituel, d’accord, mais rien qui soit en rapport avec l’adhésion à une religion.

(…) Ce que j’ai appris, c’est qu’il y a là-bas une connexion d’amour entre les deux mondes – que c’est le flot d’énergie créant un lien de cœur entre deux âmes qui est le plus puissant au moment de la transition. L’amour surgit pour vous accueillir, sous la forme qui sera la plus parlante pour vous sur le moment. Dans mon cas ce fut notre précieuse chienne, et affirmatif, les chiens ont bien une âme. Platon le savait ainsi que bien d’autres sages.

Et oui, ils peuvent communiquer de manière audible dans notre langue dans cet autre monde. Ils le font aussi dans le royaume physique à leur manière.

De retour chez moi après ma convalescence, j’ai découvert dans les écrits de Joseph Campbell que :

« Les animaux sont au minimum nos égaux et ils sont parfois supérieurs à nous. L’animal a des pouvoirs que l’humain n’a pas. Le chamane, par exemple, aura souvent un animal familier, c’est à dire l’esprit d’une espèce animale qui sera son support et son enseignant. »

J’ai aussi découvert que les animaux étaient sujet de vénération dans l’antiquité et d’anciens textes de sagesse nous disent que « Le chien, en raison de sa fidélité, est le symbole de la relation qui devrait exister entre le disciple et le maître ou entre l’initié et son dieu. La capacité du chien à sentir et à suivre des personnes invisibles sur des kilomètres symbolise le pouvoir transcendantal avec lequel le philosophe suit le fil de la vérité dans le labyrinthe de l’erreur matérielle. Le chien est aussi le symbole de Mercure (Mercure était le messager des dieux dans la mythologie romaine).


(…) Maggi et moi interagissions donc sur une longueur d’onde plus subtile et bien qu’ayant quitté notre véhicule physique, nos corps étaient rendus visibles aux sens par l’image mentale projetée de notre forme – et elle était aussi réelle à voir et toucher qu’elle l’était quand je la tenais dans mes bras dans le monde physique.

Mon amie Maggi et moi marchions côte à côte comme nous l’avions fait si souvent dans l’autre plan d’existence. Nous nous mouvions sans aucun effort dans un royaume de couleurs extatiques. Les couleurs pulsantes indescriptibles étaient fluides – une énergie en attente de création.

Nous jouâmes, Maggi et moi, dans le champ de couleurs, traversant diverses tonalités et ressentant leur vibration particulière.

Maggi voulait me montrer le lieu elle vivait, qui selon ce qu’elle me dit, était copié sur les souvenirs de maisons où elle avait vécu avec nous. Elle avait gardé les images dans son esprit et créé un endroit pour vivre. Pendant qu’elle me parlait de sa maison, nous y arrivâmes, ce qui ne m’a pas du tout paru étrange à ce moment-là. J’ai réalisé plus tard que c’était une expérience plutôt bizarre – non seulement de se retrouver là instantanément en l’espace d’une pensée mais aussi l’idée que notre chienne avait en fait une belle maison de l’autre côté.

En me tenant dans la demeure de Maggi, je ressentis une grande joie. Il y avait un feu dans la cheminée, répandant une lumière chaude et amicale. Un mur de livres – bien sûr ! De beaux tableaux et des tapis d’Orient. Tout un côté de la pièce était en verre et on pouvait avoir vue sur des collines, des ruisseaux et de nombreux arbres.

Nous nous assîmes confortablement sur l’un des sièges garni de doux velours, contente d’être simplement ensemble. Je caressais sa belle tête et elle allongea ses pattes sur mes jambes. La toucher de nouveau était si précieux, car il circulait tellement d’amour entre nous. Sans l’aide de mots, nous partageâmes des souvenirs et de profondes sensations. Presque toute la conversation était silencieuse, bien que nous parlions parfois simplement parce que c’était si agréable. Mon cœur débordait de gratitude pour l’opportunité de cette réunion – et pour la vision de ma chienne aimée si joyeuse, si vibrante de vie dans ce qu’on peut vraiment appeler un paradis. Nous quittâmes à contre-cœur la jolie maison de Maggi, car je me sentais encouragée intérieurement à bouger.

Nous allâmes ensuite dans un lieu qu’elle appela poste d’observation. Cela ressemblait à une simple falaise en surplomb, et je pouvais voir le monde que j’avais abandonné comme si je le regardais agrandi sur un écran, si je choisissais de le faire. Personne ne passe beaucoup de temps ici, me dit Maggi, mais certains s’arrêtent de temps en temps pour observer ce qui se passe dans le royaume terrestre. Je décidais de ne pas le faire ; je voulais continuer à parcourir ce monde d’exquise béatitude. »

Deuxième récit : Lynn, Mimi et Sam

Récit d’une enfant nommée Lynn, qui vécut à l’âge de 13 ans une EMI pendant laquelle elle put revoir ses chiens aimés. Lynn subit une chirurgie à cœur ouvert pour corriger une maladie de naissance. Elle était incapable de courir et de jouer avec les autres enfants et parfois elle devenait bleue et tombait.

« La dernière chose dont je me souviens de l’intervention, ce fut une voix d’homme disant de manière très pragmatique, « Ho ho, nous avons un problème ici ».

Ce qui vint ensuite à ma conscience était de flotter au plafond en train de regarder mon corps en dessous. Mon thorax était grand ouvert et je pouvais voir mes organes à l’intérieur. Je me souviens avoir pensé qu’il était étrange que mes organes soient d’un beau gris perle, pas du tout comme la chair d’un rouge brillant des films d’horreur que j’aimais regarder. J’ai aussi remarqué qu’il y avait un médecin noir et un de race orientale dans l’équipe opératoire. Cela me frappa parce que j’avais grandi dans un environnement de blancs de classe moyenne et j’avais vu des instituteurs noirs mais jamais de médecin de couleur. J’avais fait connaissance de l’équipe la veille, mais ils étaient tous blancs.

Tout d’un coup, il fallait que je bouge, je me mis donc à flotter vers la salle d’attente où se trouvaient mes parents. Mon père, agenouillé aux pieds de ma mère, avait passé ses bras autour de sa taille et il sanglotait. Ma mère lui caressait la tête en chuchotant. Cette scène me choqua, car mon père n’était pas porté à montrer ses émotions. Après avoir compris qu’ils tiendraient le coup, je me sentis poussée vers un tunnel horizontal. Le circuit dans le tunnel ne ressemblait à rien d’autre.

Je me souviens avoir pensé, « c’est donc ça la mort ».

Le tunnel était obscur et de temps à autre quelque chose qui ressemblait à un éclair brillait sur mon trajet. Ces éclairs étaient de couleur brillante et ne m’effrayaient pas. Au bout du tunnel il y avait une lumière radieuse.

De la lumière sortirent deux de mes chiens. L’un était le colley nommé Mimi qui était mort d’infection trois ans auparavant et l’autre le boxer du nom de Sam qui était mort deux ans avant après avoir été renversé par une voiture. Les chiens arrivèrent en galopant et sautèrent sur moi et me donnèrent des coups de langue pour m’embrasser. Leur langue n’était pas mouillée et je ne sentis aucun poids quand ils sautèrent sur moi. Les chiens semblaient briller d’une lumière intérieure.

Je me rappelle avoir dit, « Merci mon Dieu d’avoir laissé mes chiens en vie ».

Je leur fis autant de câlins que je pouvais.

Je les appelai ensuite et ensemble nous nous mîmes en route vers la lumière. Toutes les couleurs existaient dans la lumière et elle était chaude, une chose vivante et il y avait des gens à perte de vue et ils brillaient d’une lumière intérieure, tout comme mes chiens. Je pouvais apercevoir dans le lointain des champs, des collines et le ciel.

La lumière parla et elle dit, « Lynn, ce n’est encore le moment pour toi. Rentre, mon enfant. »

Je soulevai la main pour toucher le haut de la lumière. Je sus alors que j’avais touché le visage de Dieu. Je dis à Dieu que je l’aimais et que je voulais rester avec lui.

De nouveau, la lumière dit, « Lynn, repars. Ce n’est pas ton heure. Tu as du travail à faire pour moi. Repars. »

Je sais que cela semble absurde, mais je demandai à la lumière, « Si je pars, puis-je revenir et mes chiens m’attendront-ils toujours ici ? »

La lumière répondit oui, et me dit ensuite qu’il y avait des gens qui voulaient me voir avant que je ne reparte. De la lumière surgit mes grand-parents maternels. Je courus vers eux et les embrassai. Ils venaient pour accompagner une partie de mon chemin de retour. Juste au moment ou je me tournais pour repartir, un homme sortit de la lumière. Il portait un uniforme de l’US Navy. Il était très grand et très blond avec des yeux bleus. Je n’avais jamais vu cet homme avant, mais il me connaissait et me sourit.

« Je suis ton oncle Franklin. Dis à Dorothée que je vais bien et que le bébé est avec moi. Dis-lui que je n’ai jamais cessé de l’aimer et que je suis heureux qu’elle ait repris goût à la vie. Dis-lui que quand son heure viendra, je viendrai l’accueillir. N’oublie pas de lui dire que je l’aime. »

Pendant que je faisais demi-tour, l’homme cria, « Dis à Dorothée, dis-lui que tu as vu Franklin et que je vais bien ainsi que le bébé ».

Mes grand-parents me dirent que si je restais plus longtemps il se pourrait que je ne puisse rentrer. Mais je voulais parler avec Jésus. J’avais une question très importante à lui poser. Un faisceau de lumière, différent mais ressemblant quand même au premier me recouvrit. Je savais que cette lumière était Christ. Je m’inclinai vers elle pendant un moment et posai ensuite ma question.

« Cher Jésus, est-il vrai que tu m’as donné cette maladie de cœur pour que j’ai une croix à porter comme tu l’as fait ? » (Sœur Agnès, mon professeur de 6ème, m’avait dit que mon problème cardiaque était ma croix du Christ à porter.)

J’entendis la voix du Christ vibrer à travers moi quand il dit, « Non, ce problème de cœur n’est pas une croix à porter. C’est un défi à relever pour t’aider à grandir et rester compatissante. Maintenant, tu peux repartir. »


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