Divulgation cosmique

Portails: relier l’autoroute cosmique

Interview de Emery Smith par George Noory pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 11 épisode 7

George Noory : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis votre hôte, George Noory, ici avec Emery Smith.

Les technologies des portails : sont-elles naturelles ou créées?

Emery, bienvenue.


Emery Smith : Ravi d’être là, George.

George : Vous faites un travail d’investigation remarquable sur des choses très étranges et insolites, comme les portails.

Emery : Eh bien, il existe différents types de terminologie et définitions, mais parlons d’abord des différents types de portails.

George : D’accord.


Emery : Car il y en a partout dans le monde et partout sur la planète, même dans les océans, qu’on étudie depuis longtemps. Des portails anciens construits ici par d’anciennes civilisations sont ici depuis bien avant nous.

En fait, ce qui se passe, quand ces projets classifiés trouvent ces signatures énergétiques sur la planète, ils vont vers ces régions et installent des bases tout près pour surveiller comment elles fonctionnent, ce qui y entre et ce qui en sort, si c’est le cas, et pour mesurer pourquoi elles se trouvent là sur la planète. Beaucoup sont sur des lignes telluriques et des sites sacrés que les gens connaissent déjà ici sur Terre.

Donc, ils trouvent une région et vont dans cette région, l’étudient pendant un moment, puis installent une base à proximité. Et s’ils le peuvent, ils tenteront de rétro-concevoir des portails, soit près du même… un de ces portails terrestres, qui existent depuis toujours, construits par d’anciennes civilisations. Ou ils le mettent directement sur le site et construisent une base dessus et collectent cette énergie et la gardent pour eux et l’étudient dans un laboratoire.

George : Y a-t-il des portails qui sont naturels sur la planète, ou sont-ils tous créés par une civilisation ou l’autre ?

Emery : Il y a des régions de la planète où on ne voit pas de pyramide ou un Stonehenge, ou un truc comme ça, mais cette région a la capacité, en fait, de télétransporter des gens et des choses.

Des navettes y entrent et en sortent de temps à autre, et ils ne sont pas actifs tout le temps. La planète doit suivre une certaine rotation et un axe, et toute l’astrologie sous-jacente, et l’univers, tout doit d’abord être aligné pour que ça arrive.

Et donc, ils tentent de trouver ces endroits, les répertorient et les étudient. Ils construisent une réserve indienne dessus, ou une base, pour les protéger, ou ils achètent le terrain et le classent « terrain du gouvernement », des trucs comme ça.

George : Est-il possible d’entrer dans un portail mais de ne pas en sortir ?

Emery : C’est le problème. On a des portails fabriqués, mais la technologie utilisée n’est pas encore parfaite. Ça peut donc arriver. C’est un truc délicat sur lequel travailler. On travaille avec la distorsion du temps…

George : Oui.

Emery : …ou on tente en fait de rompre notre structure atomique, pour la mettre ailleurs très vite, en traversant ces trucs. Il y a un changement de votre corps qu’on ne sent ou ne remarque pas, ce n’est pas comme dans « Contact », où Jodie Foster voit toutes ces lumières, météorites et tout.

C’est instantané. Les films inventent trop de détails. Il n’y a pas de lumière vive. C’est plutôt net. On dirait qu’on regarde à travers du plexiglas. C’est très flou, comme vous dites, un peu ondulé. Il y a parfois une distorsion, mais pas tout le temps, qu’on peut voir, et on passe à travers.

S’il y avait un portail de quelques centimètres de large entre nous, je vous verrais un peu flou, mais on pourrait toujours se voir. Mais si je passais à travers, c’est toute une brèche dans le temps et l’espace. Je serais donc à la sortie de ce portail en particulier.

George : Vous disparaîtriez ?

Emery : Je disparaîtrais là, devant vous. Vous me verriez me fondre dans l’espace autour de vous. Vous verriez une sorte de distorsion pendant que la personne, l’appareil ou le vaisseau, ou peu importe ce que c’est, le traverse. Et c’est instantané. Un peu comme s’il se dissolvait sur lui-même. Je hais cette comparaison, mais c’est comme les avions sur les tours jumelles, ils se sont désintégrés sur un méplat.

Donc voilà, on passe à travers et on disparaît. Il n’y a pas de lumières vives ni rien de tout ça.

Et quand on marche à travers ce type de portails, on ne sent pas grand-chose, sauf peut-être un changement de pression. J’ai toujours eu des problèmes de sinus. Je sens la pression dans mes yeux et mes oreilles, et mes sinus se débouchent.

George : Quand on passe à travers, Emery, que voit-on ?

Emery : L’un dont je peux parler, une installation souterraine au Nouveau-Mexique, ils avaient construit un cadre, comme un cadre de photo, à partir du sol. Et il mesure entre 4,5 m et 9 m de large. Parfois, il y en a beaucoup. Ce métal mesure 90 cm de large, et remonte très haut, jusqu’à 3 ou 6 m de haut, puis repasse au-dessus et redescend. C’est comme un carré, mais sans partie basse. Juste les côtés, très épais…

George : Comme une porte.

Emery : Voilà, comme une porte géante. Certains sont sous terre, ou dans des hangars, comme des bâtiments géants au-dessus du sol.

 

Ils créent ce champ de flux électromagnétiques, et puis il y a cette ligne. Et c’est un grand édifice, un grand espace, généralement. Tout le monde n’est pas là-bas, d’ailleurs, ils ont des gens plus haut, trois étages plus haut, avec des fenêtres, le centre de contrôle, et tout le personnel de sécurité et tout ça. C’est assez grand pour voler dans ces immeubles, de grands drones, comme une voiture, peuvent y voler.

George : Bien sûr.

Emery : Imaginez donc une très grande installation qui s’étend sur 400 m dedans. Ils peuvent les faire voler dans les portails, et les programmer pour les faire revenir.

Ils peuvent aussi envoyer de petits robots et tout ça. Ils les étudient donc depuis très longtemps. Et ça ne fonctionne pas toujours quand ils y envoient une équipe. Ils prennent donc un grand risque. Comme les astronautes allant dans l’espace, c’est pareil. Ils y restent peu de temps. Ils y sont environ moins de 30 minutes, mais il y a un décalage quand ils reviennent, pour eux.

George : Comment entrent-ils ? Comment reviennent-ils ?

Emery : Ils les font voler dans les portails. Mais ils connaissent leur mission, ce sont des êtres genre forme de vie programmée. Ce n’est pas différent de quand on y entre en marchant. Ces navettes et ces organismes cybernétiques utilisent un matériau très spécial fait de… je crois que c’est du graphène et d’autres métaux spéciaux d’origine extraterrestre qu’ils ont mélangés…

George : La grille.

Emery : …qui le composent…oui, la grille qui se forme autour. Ça forme un petit champ énergétique autour de ces trucs pour les protéger, pour que le champ électromagnétique ne grille pas les circuits et tout ça.

George : Si on envoie un drone avec une caméra, pourrait-on voir de l’autre côté ?

Emery : Oui.

George : Oh, c’est incroyable.

Emery : Oui.

George : Y a-t-il une distorsion du temps dans un portail ?

Emery : Oui, comme je l’ai dit, quand on fait une brèche dans le temps et l’espace pour aller quelque part instantanément, on remarque… On est partis 15 minutes, mais quand on revient, on est partis 45 minutes.

George : Oui, ou une semaine, ou un mois.

Emery : Oui, voilà. C’est donc lié au continuum espace-temps. Mais comment ça fonctionne, je ne suis pas sûr.

Il y a beaucoup de portails différents qui vont à des endroits différents. Ils tentent de comprendre cette autoroute de portails dans l’univers, ils tentent de la cartographier. C’est lié aux lignes telluriques de l’univers. Il y en a beaucoup. Les gens ne comprennent pas qu’il y en a sur Terre, mais qui vont de planète en planète, et de système solaire en système solaire.

Ce sont des autoroutes énergétiques que les extraterrestres utilisent et qu’on utilise… ou tente d’utiliser et de comprendre, pour pouvoir aller dans les étoiles.

Sur Terre, les gens connaissent ces lignes de Ley.

C’est la géométrie sacrée de la Terre, qui semble émettre une énergie significative au niveau des ruines, des sites archéologiques et de l’Antiquité et impliquer des extraterrestres et tout ça.

Ils ont aussi des méthodes pour mesurer ces lignes de Ley autour de la planète, pour voir où ces vortex d’énergie sont.

 

 

Et ils semblent tous rassemblés sur une de ces lignes telluriques. Ils en ont une carte, je crois. Mais les gens ne réalisent pas que l’univers a des lignes telluriques, des lignes de Ley.

Il y a des lignes de Ley dans notre système solaire, un peu comme sur Terre, que les extraterrestres utilisent, je crois, pour se déplacer dans tout l’univers. On tente de les cartographier en y envoyant des drones et plein d’appareils de types différents.

Ce grand hexagone sur Saturne, est en fait un portail géant que les extraterrestres utilisent inter-dimensionnellement.

Note de Milena: Ce portail sur Saturne devrait être relié au vortex du Mont du Temple à Jérusalem, actuellement bloqué par l’Octogone.

George : Fait-on un voyage instantané dans un portail ?

Emery : Oui, instantané. Donc, quand on pose le pied, puis qu’on le lève, on est toujours là, mais on est ailleurs. Car on a envoyé des cordes et des câbles et plein de trucs par là qui étaient dans les deux dimensions en même temps. On utilisait ça plus pour les équipements et la collecte des données, et tout ça.

Quand on y entre, avec les projets, on est six ou sept personnes, et il y a cette ligne, de 90 cm de large, qui mesure 30, 45 m de long, et qui passe à travers ce cadre de photo.

Et on doit rester sur ce trottoir qui est peint. Car curieusement, si on ne reste pas au centre, bien droit, on peut en fait perdre un membre ou mourir. Car…

George : Vraiment ?

Emery : Car les champs de flux énergétiques entourant ce dispositif sont très puissants. Il y a aussi des radiations qui y sont liées, sur les côtés, mais pas dans le couloir, bizarrement. De petites quantités de radiation pouvant être nocives.

Donc quand vous passez à travers ça, vous vous fondez dans cet espace. Et tous les endroits où je suis allé, quand on y retourne, il y avait en fait un portail ancien, comme une sorte de structure indiquant par où on doit revenir. Ce n’était pas la même structure, mais ils font ça depuis un moment : ils construisent la même structure de l’autre côté de ces portails qui ne s’ouvrent qu’à des moments déterminés.

George : Et ils se ferment à des moments précis.

Emery : Exact.

George : Vous êtes-vous déjà perdu lors d’un retour ?

Emery : Non, je suis déjà entré dans des portails, mais je n’ai jamais eu de problème au retour. On y est juste pour 15 minutes, pour faire des prélèvements. Je ne me suis jamais éloigné du portique en lui-même d’entrée et de sortie du portail.

Il y a eu des équipes qui sont parties pendant des semaines, et qui ont fait d’incroyables recherches, mais je n’en ai pas fait partie.

George : Volontairement ?

Emery : Oui. Mais ils ont, de nombreuses fois… Une équipe n’est pas revenue et leur mort a été confirmée il y a peu de temps. Je l’ai appris en janvier dernier, et ils m’ont en fait appelé pour me demander si je voulais y retourner, et j’ai demandé comment et tout ça. Ils ont dit : « On veut que vous reveniez, on a perdu cette équipe. » Ils le faisaient depuis le début des années 1990. Cette équipe a eu du succès, et a eu un bug dans le système, car c’était une technologie rétro-conçue électrique et mécanique avec de l’IA. Ça ne vaut pas la peine, pour moi, là maintenant, d’occuper un poste où on a 50% de chance de mourir.

George : C’est trop.

Emery : C’est bien trop. Mais ce n’est pas le cas pour les gens qui ont réussi, ils le font depuis des décennies, et puis ça arrive. C’est une tragédie, l’explosion de la navette.

George : Cette équipe, de combien ? Elle passe dans le portail, et ensuite ? Ils n’ont pas pu revenir ?

Emery : Non, je crois que tout allait bien. Ils ont dit qu’ils avaient eu un bug avec cette technologie de portails qu’on avait conçue, et alors qu’ils revenaient, elle les a tués. Ils utilisent des gens de l’armée, surtout en service actif, car… vous pouvez avoir un fils ou une fille qui est médecin militaire ou qui fait partie de la chaîne logistique. Mais ils pouvaient tous être déployés secrètement dans des endroits, et pouvaient mourir, et l’armée écrivait aux proches qu’ils avaient péri en service… Au champ d’honneur… dans l’exercice de leur fonction.

Beaucoup de gens ne réalisent pas que beaucoup de ces techniciens et scientifiques sont en service actif, car ils sont les plus malléables, et leur permettent de garder le secret. Ils peuvent dire qu’ils ont sauté sur un EEI ou…

George : Tout à fait.

Emery : …qu’un accident est arrivé, sans donner d’explication. Ils pourraient dire : « Voici vos 150 000 dollars. On est désolés pour votre fils. » On ne saura jamais qu’il était dans un projet spatial, ou dans des installations souterraines, ou dans un groupe sur les portails, travaillant sur des choses vraiment incroyables. Ils le cachent comme ça.

George : A-t-on une équipe qui passe dans les portails, spécifiquement pour rechercher les disparus?

Emery : Non, comme j’ai dit, tout ce qui se passe, c’est pourquoi ils sont six ou sept dans l’équipe. Au retour, si quelqu’un a eu un accident, un autre fera un rapport dessus. Ils ne laissent personne derrière. C’est le travail d’une équipe très soudée, aux connaissances d’experts, même consciemment et scientifiquement, sur des quantités énormes de renseignements, des gens au QI élevé et qui sont très en forme, et des êtres humains vraiment équilibrés qui sont des pionniers dans les découvertes faites. Et ça rend accro, aussi.

George : Emery, ce que vous avez dit avant me fascine, sur ces portails et lignes de Ley universels. Et je suis convaincu que les navettes extraterrestres passent par ces portails ou trous de ver pour venir ici.

Emery : Oui, ils utilisent ces autoroutes énergétiques. Mais ça dépend du type d’extraterrestres, et de la conscience qu’ils ont, de leur niveau de technologie scientifique. Car certains extraterrestres sont ici depuis des milliards d’années et ont déjà conquis les voyages inter-dimensionnels, juste avec leurs corps.

Ils ont construit ces navettes, qu’ils occupent. Pendant qu’ils voyagent, la navette crée un champ de flux électromagnétiques devant elle et peut en fait créer son propre portail. Ils maîtrisent les portails portables.

Le champ gravitationnel fait le tour de la navette. Grâce à ça, ils peuvent faire des virages à 140 000 km/heure, et personne n’en est éjecté, car ils sont dans leur champ. Avec ce type de technologie, ils peuvent ouvrir l’espace-temps, y entrer et être ailleurs immédiatement. Il se peut qu’ils utilisent ces lignes telluriques pour le faire.

George : Peut-on utiliser ces lignes de Ley ou portails pour aller à des endroits spécifiques de l’univers? Pourrait-on aller de la Terre à Jupiter, comme ça?

Emery : Les seuls que je connaisse sont ceux allant à certains endroits uni-directionnellement, de là à là. Ils tentent de construire la DeLorean pour la programmer, genre : « Je veux aller à cet endroit dans l’univers à ce moment-là. » Et elle y va, vous voyez. Ces portails s’ouvrent pourtant, mais ils doivent perfectionner ça.

Mais il y a un moyen de le faire. Quand on travaillait sur les appareils à énergie surnuméraire, un champ énergétique se formait autour de nous, et on voyait des choses. On voyait différents moments…des zones temporelles différentes. Il existe donc un moyen, je crois, qu’ils découvriront bientôt, genre : « OK, on veut retourner à ce moment-là à cet endroit de Jupiter. » Et ils le feront.

George : Y a-t-il des monuments ou structures sur cette planète qui sont construits près de lignes de Ley ou de portails pour certaines raisons ?

Emery : Oui, je crois que toutes ces ruines antiques et ces portails sur la planète étaient là pour soigner la Terre. Ce sont des composants énergétiques de la Terre que les extraterrestres ont bâtis, ou nous ont aidés à bâtir, pour protéger la Terre, à différentes périodes de chaos qui ont eu lieu dans la Terre. Comme notre corps qui tente d’atteindre l’homéostasie, la Terre tente constamment d’atteindre son homéostasie. Et je crois que tous ces sites antiques, ces sites sacrés, ont un lien avec l’équilibre de tout ça.

George : L’armée est-elle impliquée, Emery ? Utilise-t-elle ce genre de technologie ?

Emery : L’armée, d’habitude, a pour mission la sécurité de ces endroits, et de renforcer la sécurité, surtout. Ils ont engagé un groupe de sécurité rapprochée pour aller avec l’équipe pour sa sécurité et des trucs comme ça. Donc… Ils ont toujours besoin d’un secouriste, d’un agent de sécurité et les autres sont souvent des scientifiques. Et beaucoup de ces gens manient tous les armes et connaissent les premiers soins, et c’est… ce que vous êtes.

Quand on fait partie d’une mission, qu’on va dans l’espace, ils choisiront des gens pour aller sur Mars, chaque personne… Ce n’est pas une seule personne qui sait comment réparer un moteur, je vous le dis. Tous les membres de l’équipe sont experts en plein de choses fantastiques. Car c’est ce qu’ils recherchent. Ils cherchent des scientifiques qui sont plus qu’aventureux, qui n’ont pas qu’une spécialité, mais qui étudient tout. Car une équipe a besoin de ça pour survivre aux visites extra-planétaires ou aux voyages spatiaux.

George : Que pourrait faire une nation qui comprend l’utilité des portails, pour manipuler le reste de cette planète ?

Emery : Eh bien, je crois que ce qui se passe est que les quelques endroits comme ça sur la planète sont en fait la propriété des grandes entreprises.

Elles craignent cette technologie qui est mal maîtrisée. Donc, pour le moment, elles utilisent ces portails pour aller là-bas et ramener des spécimens de plantes et de minéraux, pour faire des produits ici, faire avancer nos technologies, et, bien sûr, se remplir les poches.

George : On peut donc aller dans un autre lieu physique en passant par un portail, pour prendre des choses, si ce lieu est au bon endroit ?

Emery : Exact, on peut y aller et ramener des choses. Peu importe la mission, on collectait des plantes, par exemple. Je crois en avoir déjà parlé, mais les feuilles d’une plante étaient à l’épreuve des balles. Ils tentaient donc de découvrir l’exosquelette de cette plante en disant : « Comment reproduire ça dans nos combinaisons ? ». Nos combis spéciales et tout ça. Beaucoup de technologies actuelles viennent non seulement de navettes extraterrestres abattues rétro-conçues et d’extraterrestres, mais aussi de missions qu’ils menaient dans les portails.

George : Ces portails donnent-ils sur d’autres univers ou sur d’autres endroits de notre univers?

Emery : Eh bien, ils mènent partout. Ceux que je connais directement menaient à une location spécifique de l’univers. Mais je ne sais pas où exactement. Je sais que je pouvais y respirer, les températures étaient similaires, tout y était semblable, sauf la terre battue, la vie végétale. Certains petits marsupiaux et petits insectes. Je n’ai jamais vu d’être, en fait.

Mais j’ai vu des vidéos de passages de portail, chacun porte une caméra, au fait. J’ai vu des vidéos de gens rencontrant des êtres sur d’autres planètes. En fait, ils les attendaient, quand des équipes y sont allées il y a 15 ou 20 ans. Ils l’utilisent donc pour quelque chose, mais je n’avais pas l’habilitation de sécurité pour le savoir ou poser des questions, car il faut suivre une formation.

C’est comme avant… Quand les gens en service actif sont déployés, on a un jour ou deux pour apprendre les coutumes du pays où on va, ou ce que ça peut impliquer, c’est la même chose. On apprend ce qu’on recherche, tel type de roches, tel type de plantes. « Voici comment on les collecte. Voici les espèces présentes là, ne vous inquiétez pas. » On a pu voir de nombreuses missions différentes, bien avant d’y aller, qui avaient été menées au même endroit.

George : Comment a-t-on découvert les portails, à la base, et que recherchait-on?

Emery : Le mieux que je… Mon avis là-dessus, d’après tout ce que j’ai lu et vu, est qu’ils avaient, au début, ces types spéciaux de satellites qui repéraient les fluctuations subtiles de l’énergie et de nombreux types d’énergie différents. Et ils ont remarqué des points sur la planète, et ils sont allés inspecter ces points : ils ont envoyé des équipes, des avions et des bateaux militaires, pour voir ce qui se passait et découvrir pourquoi ces zones ont ces énormes champs de flux électromagnétiques et tous ces vortex d’énergie. Et ils utilisent différentes technologies que je ne connais pas. Donc ils les localisaient, allaient enquêter, et c’est ainsi qu’ils en ont trouvé qu’ils ne connaissaient pas, comme les pyramides et Stonehenge.

George : Étaient-ils choqués de les trouver ?

Emery : Quel que soit l’apprentissage, il y a toujours une découverte. On découvre des choses tous les jours ici et dans les projets secrets. Ça doit être hallucinant pour les scientifiques et pour les corporations de trouver quelque chose et de comprendre ce qui se passe. Car on ne sait pas grand-chose, car on utilise nos cinq sens ici sur Terre, et il y a bien plus que les cinq sens tout autour de la planète et dans l’univers.

George : Quelles est la différence entre les portails naturels, et ceux faits par l’homme ou par une race extraterrestre?

Emery : Les portails naturels utilisent l’énergie de la planète, et de toutes les planètes, et de ces lignes telluriques dont je parlais. Quand on crée un portail artificiel et rétro-conçu, ils l’alimentent avec leur propre énergie. Parfois, ils le construisent près de ces lignes de Ley pour puiser dedans, ou sur un portail naturel, vous voyez ? Ils tentent de reproduire ces champs de flux énergétiques à une certaine fréquence, pour créer la même chose. L’un est créé par l’homme et l’autre complètement naturel.

George : Est-ce facile d’en faire, avec notre technologie actuelle ?

Emery : Pas du tout. C’est très dur.

George : C’était mon avis.

Emery : On est une bande… On n’en est pas à ce niveau d’intelligence.

George : Quelle est la différence avec une stargate ?

Emery : Eh bien, stargate est plutôt un terme populaire qu’on entend dans les films et à la télé. C’est un autre terme pour « portail », « autoroute inter-dimensionnelle », ou « ruine antique trans-dimensionnelle » qui peut mener quelque part. C’est un terme pour ça, mais on ne l’utilise pas.

George : Ils signifient tous la même chose.

Emery : Voilà.

George : Utilise-t-on des portails actuellement ?

Emery : D’après le dernier débriefing, ils utilisent les portails pour collecter des données de différentes zones de la planète et d’autres planètes, et pour ramener des échantillons à rétro-concevoir, de différents types de métaux, de vies végétales et d’ADN génétique. Ils ramènent plein de choses.

George : Y a-t-il une raison malveillante, aussi ?

Emery : Pas que je sache. Comme je disais, c’est plus pour la rétro-conception, l’amélioration de produits à vendre, la création de meilleurs médicaments. Avec ça, je m’attends toujours à ce qu’il y ait un aspect négatif. Si on fait le bien, on fait aussi le mal, ou on protège une chose qui ne devrait pas l’être. Je suis donc sûr que… Ça va dans les deux sens. Un équilibre entre le bien et le mal de différentes technologies en ressort.

George : Qui cartographie les portails et comment ?

Emery : Une série d’institutions et d’organisations et des corporations contrôlent des portails tout autour du globe.

Et ils utilisent des drones et d’autres choses pour observer les étoiles, dans ces différentes zones et pour cartographier d’où ils viennent. Ils peuvent donc, disons, aller par un portail sur une autre planète, voir le ciel, voir les différents systèmes stellaires, localiser les nôtres, et tracer une ligne de là à là. C’est un peu archaïque, mais c’est, d’après moi, leur façon de faire.

George : Y a-t-il des cartographes de portails ?

Emery : Non, je crois que ça fait partie du projet. Peu importe où on va, on cartographie, on fait des lectures, et des trucs comme ça.

George : Emery, il doit y avoir d’autres portails sur la Terre qui ont été utilisés, j’imagine, par des races extraterrestres ou d’autres civilisations à leurs propres fins, non ?

Emery : Bien sûr. Beaucoup de ces fluctuations énergétiques qu’ils ont détectées par satellite, et quand ils vont enquêter, ils s’installent à deux ou trois kilomètres, voire plus près, et visualisent, même en 3D, ces navettes qui passent et mesurent toutes sortes de types d’énergies. Donc, oui, absolument. Il y a bien des navettes qui passent qu’ils surveillent, pour voir ce qui se passe et pour tenter de suivre ces navettes. Mais ils ne les abattent pas. À ce que je sais, il n’y a eu aucun type d’attaques d’une de ces navettes. On ne serait pas capables, je crois, de détruire une de ces navettes, car ils maîtrisent déjà les voyages inter-dimensionnels. Elles pourraient quitter cette fréquence quand ils passent le portail, et nos torpilles passeraient au travers.

George : Y a-t-il des créatures, disons, sur Zeta Reticuli, qui regardent le portail et disent : « C’est le chemin de la Terre, allons-y. »

Emery : Je crois aux autres installations souterraines et aux bases extraterrestres situées dans la Terre, où ils utilisent ce type de technologies pour entrer et sortir. Ils n’utiliseraient pas une navette spatiale.

George : Spirituellement, ces portails dont on a entendu parler, dans l’Antiquité, sont les mêmes dont on parle aujourd’hui ?

Emery : Oui, quand on analyse les textes anciens et tout ça, il y a une forte corrélation avec les histoires derrière les technologies des portails et autres, où des gens ou des navettes apparaissaient tout d’un coup. Ils assistaient probablement à ce type de technologie.

George : Comment les anciens passaient-ils les portails ? Ils ne les ont pas créés, n’avaient pas la technologie. Qui l’avait ?

Emery : Par « anciens », je veux dire les anciennes civilisations extraterrestres qui ont aussi aidé les humains à un moment donné. Mais bien avant ça, certaines de leurs navettes se sont crashées puis ont émergé de la glace, et dans des cavernes, et dans la Terre elle-même. Et ils ont, comme j’ai dit, ces portails portables toujours dans la navette depuis des milliers d’années, jusqu’à aujourd’hui.

George : Ils les utilisent depuis tout ce temps.

Emery : Tout à fait.

George : Si on vous demandait maintenant de passer dans un portail lors d’une mission, iriez-vous ?

Emery : Probablement pas, car je suis toujours… Ce serait un bon moyen de se débarrasser de moi. J’ai refusé un grand nombre de contrats à cause de ça.

George : Ils pourraient faire ça ?

Emery : Eh bien, un accident est vite arrivé. Et là maintenant, je dois rester sur Terre.

Je dois aider les gens à comprendre ce qui se passe, partager mes connaissances avec des gens comme vous pour les diffuser.

Car si je quitte la planète, ça ne l’aidera pas, et je dois aider la planète, et je dois aider les gens ici d’abord.

George : Je ne vous ai jamais vu avoir peur. Mais j’ai l’impression que quelqu’un est après vous.

Emery : C’est toujours en toile de fond. Ça arrive toujours quand on témoigne. Les menaces ont fortement diminué depuis que je parle. Je ne parle plus autant des sujets sensibles : l’énergie surnuméraire et la médecine régénératrice. C’est ce qui provoque vraiment les menaces.

L’État se fiche que je parle des extraterrestres, car ils n’en tirent pas d’argent. Mais quand j’enseigne la physique de l’énergie surnuméraire, ou que je parle de biologie cellulaire qui peut aider à soigner sans utiliser de médicaments, alors, je marche sur des œufs.

Il faut faire attention avec ces choses. Et ma vie n’était que menaces, depuis que je me suis impliqué dans le CSETI, et après ça, avec le labo d’énergie surnuméraire que j’avais, puis ces deux dernières années ont été vraiment horribles.

Mais ma vie s’améliore. De merveilleuses organisations et corporations me contactent et veulent bien agir, l’argent et contrôler des gens ne les intéressent pas. Je crois que le monde et tous ceux qui m’entendent ont un très bon impact sur la planète en parlant de ça plus librement, et en découvrant les remèdes de là-bas, dont j’ai parlé, et en faisant des recherches sur tout ça.

Bien sûr, j’aimerais reprendre la prochaine navette en partance. Je veux retourner dans les étoiles.

Je veux retourner aux sources et explorer tous ces endroits, mais je ne crois pas qu’il soit juste d’abandonner… Vous savez, j’aime vraiment cette planète, et elle mérite une opportunité. Je vais faire de mon mieux pour révéler ces technologies pour aider à nettoyer la planète.

Avec l’aide de tous mes auditeurs et des gens qui m’appuient et me soutiennent, je crois que ça arrivera très rapidement. Car les gens vont écouter toujours plus, et des pays veulent s’impliquer aussi. Rassembler tout le monde et mettre de côté tous les egos de la religion, des guerres et du racisme et tout ça, ce sera un catalyseur important pour nous mener dans la bonne direction pour aider la planète. Puis on pourra s’entraider.

Une fois que tout le monde aura atteint un état d’homéostasie, y compris la Terre, eh bien oui, je retournerai sûrement vers ce portail, ha ha ha !

George : Mais restez loin des portails, là !

Emery : Oui, pour l’instant.

George : Merci, Emery, d’être venu. C’était « Divulgation Cosmique », merci de nous suivre.


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