Divulgation cosmique

Opérations sous-marines avec Emery Smith

Interview de Emery Smith par George Noory pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 11 épisode 9

George Noory : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis George Noory et avec moi, Emery Smith.

Et s’il y avait une sorte de Zone 51 au plus profond des océans ? On va parler des bases et technologies sous-marines avec Emery Smith.  

C’est un sujet incroyable, Emery.


Emery Smith : Oui, ce sera intéressant. Ravi d’être ici.

George : C’est un plaisir. Parlez-moi des anciennes bases souterraines. Qu’en sait-on ?

Emery : Eh bien, il y a d’anciennes bases qui sont ici depuis bien avant nous. Et je tente d’expliquer aux gens pour qu’ils comprennent le concept. À Albuquerque, je faisais beaucoup d’alpinisme. Je collectais de nombreux artefacts venant de Sandia Crest, qui culmine à 3 255 m d’altitude. Et là, dans la roche, on trouve en fait des trilobites et des algues marines. Ce que je veux dire, c’est qu’ils ont été sous l’eau jadis, et ils sont maintenant à 3 255 m d’altitude.

Renversons la situation et allons dans les profondeurs de la fosse des Mariannes et imaginons ceci : peut-être qu’à une époque – je parle d’il y a des milliards d’années – c’était un endroit sec. Et il y avait des civilisations qui vivaient dans cet endroit, avec des quantités incroyables d’énergie, comme la route de Bimini. Au large de la côte ouest de Cuba, il y a une Atlantide souterraine, avec des pyramides plus grandes qu’à Gizeh.


Et au large du Japon, ils trouvent d’autres artefacts et ruines.

Donc, à une époque, quand le niveau des eaux était moins élevé, il y avait des civilisations sur toute la planète.

Je veux que les gens comprennent que c’est peut-être pour ça que toutes ces constructions sont bâties sur des lignes de Ley et dans des zones énergétiques. Il y avait donc une sorte de corrélation quant à pourquoi ces choses arrivaient et beaucoup de portails découverts sous l’eau, existent dans ces régions.

Donc, les gouvernements et l’armée, les fondations scientifiques et d’autres entreprises se sont clandestinement regroupés pour construire ces installations aquatiques souterraines, ces bases souterraines, près de ces endroits, pour pouvoir les étudier avec les technologies adéquates, bien plus avancées que celles qu’on a pour le moment, et collecter des données, des artefacts et rétro-concevoir ces trucs.

Et cela signifie qu’on a des bases sous-marines près d’anciens sites sacrés partout sur la planète actuellement.

Et ils en construisent toujours plus. Et ils construisent ces trucs de deux façons. L’une d’elles est qu’ils ont… vous savez, on construit les stations spatiales avec des modules. C’est la même chose ici. Ils envoient ces cabines hautement pressurisées là-bas. Et ils les arriment ensemble avec des robots pour créer ces installations géantes.

Ils creusent aussi des tunnels pour faire une vraie base, qui n’est pas faite de compartiments et de modules. Ils forent en fait depuis le continent pour passer sous le fond dans une partie de l’océan, et ils ressortent de là. Et ils ont ces appareils spéciaux qui créent des champs magnétiques – très puissants bien sûr, car on est à 300 m sous la surface – et émis depuis le fond. Et ils forment cette bulle spéciale, comme une sphère. Elle fait le vide. Toute l’eau est repoussée.

Une fois qu’ils ont cette bulle, ils ont un moyen d’ériger cette paroi en métal transparent. Elle fait 1,80 m d’épaisseur et elle est transparente, on voit à travers. Donc, une fois cette structure érigée, alors ils commencent à construire à l’intérieur. Et ces structures peuvent faire entre 20 et 80 mètres carrés.

George : Dans les temps anciens, qui est arrivé en premier? La base ou l’eau?

Emery : La base d’abord. Puis elle a été recouverte d’eau. Dans la fosse des Mariannes, il y a un grand portail qu’ils suivent depuis un bon moment pour évaluer et faire des tests pour voir si ces navettes passent par ce portail. Ils n’engagent rien avec elles. Ils ne tentent rien. Ils observent juste ce qui se passe là. Et il est tout près d’une autre structure ancienne là en bas.

Ils ont installé une base tout près pour surveiller ce portail et ils ont construit aussi une base là-bas, où ils peuvent passer plus de temps pour analyser le portail et cette découverte archéologique.

George : Ces bases sont-elles d’abord là pour surveiller les mouvements des extraterrestres ou pour autre chose?

Emery : La raison principale était de surveiller les portails par où les extraterrestres passaient. Puis ils ont trouvé des artefacts près de ces endroits sur la planète où il y a des portails. Ils savent qu’ils ont affaire à une chaîne : « On a un portail ? Oh, il est près d’un site archéologique. Construisons une base et surveillons ça. »

George : Pourquoi sous l’eau ?

Emery : Eh bien, primo, ils doivent les surveiller 24 heures sur 24. Ils réalisent constamment des relevés des fluctuations dans les champs magnétiques. Ils tentent de les copier. Ils veulent en apprendre plus. Où vont ces trucs ? Et pourquoi ils sont ici dans l’eau ? Ressort-on aussi dans l’eau ailleurs si on retourne dedans ?

Je crois qu’ils forment probablement des équipes pour tester cette théorie. Ils ont déjà envoyé des drones et d’autres choses dedans, mais ça ne marche pas. Ces trucs s’ouvrent juste de temps en temps. Il faut le faire au bon moment. C’est la dernière chose en date que j’ai entendue quant à certaines choses qui se passent dans cette zone.

George : Combien y a-t-il de bases sur Terre ?

Emery : Oh, des dizaines. J’ignore où elles sont toutes. Elles sont courantes.

George : Modernes ?

Emery : Les nouvelles sont très modernes, oui. Elles sont semblables aux bases souterraines où des gens restent jusqu’à un an. Ils construisent donc un centre de recherche très secret pour collecter des informations, pour filmer et tout enregistrer, pour aussi avoir un endroit où ils peuvent contrôler à distance. Ces trucs sous-marins de surveillance vidéo sont constamment comme nos F-16 qui volent au-dessus des côtes américaines tout le temps. À tout instant, il y en a deux qui nous protègent. Il font la même chose là en bas, en les surveillant.

C’est donc un projet permanent très cher. Avec ces dômes en métal transparent sur le fond marin, le seul moyen d’y aller est depuis notre continent, avec un Maglev vous déposant près de la base et vous arrivez depuis en dessous, depuis le continent. Vous êtes sous la croûte, sous l’eau.

George : Mince ! Ça fait des kilomètres.

Emery : Tout à fait. Puis vous remontez dans le tube. Tout le matériel passe par là.

George : Combien de personnes y travaillent ?

Emery : Je ne sais pas.

George : Emery, vous a-t-on affecté à l’une de ces bases sous-marines ?

Emery : Je suis allé dans certaines, mais je n’y étais pas affecté.

George : À quel titre y êtes-vous donc allé, alors ?

Emery : Je n’y suis allé que pour examiner des corps extraterrestres. C’est tout.

George : Médicalement.

Emery : Oui.

George : Comment y êtes-vous allé ?  Par le système des tunnels ?

Emery : Oui, voilà. J’ai déjà emprunté ce système, en travaillant au Nouveau-Mexique, pour de courtes distances entre des lieux souterrains. Souvenez-vous, ce n’est pas dans l’eau. C’est sous terre sous l’eau. Ça a été plutôt court pour aller du Nouveau-Mexique au golfe du Mexique. Et ça n’a pas été beaucoup plus long pour aller du Nouveau-Mexique à l’océan Atlantique, disons. Pas vraiment plus long. Je ne peux pas dire à quelle vitesse ils vont, mais ils vont extrêmement vite. Et beaucoup de gens entraient et sortaient de ces installations. Ça semblait un endroit animé.

George : Que se passerait-il en cas de tremblement de terre sous-marin – et il y en a – là où se trouvent ces structures ?

Emery : D’abord, celles qu’ils descendent dans l’océan et construisent sur une paroi ou sur le fond, sont des modules. Elles ne sont pas ancrées au sol, ils les manipulent donc facilement. Bon, elles sont ancrées et ont des trucs fixes. Mais elles peuvent bouger, comme un bateau amarré à un quai dont l’amarre est lâche, en cas de marée. C’est très similaire.

Pour ce qui est des bulles en métal transparent, elles sont très flexibles. Elles ont beaucoup à offrir. Cela a été abordé lors d’une réunion. J’aimerais en savoir plus sur ce métal. Clairement rétro-conçu et qu’ils ont développé et conçu grâce à des appareils extraterrestres.

George : Et que font-ils là en bas qu’on ne peut pas faire en surface ?

Emery : Il est plus facile pour eux de contrôler à distance leur drone aquatique pour sonder et surveiller les points sensibles de cette zone où toutes les navettes extraterrestres entraient et sortaient par ce portail.

George : C’est en lien avec les extraterrestres ?

Emery : À l’origine, ils l’ont construit pour les surveiller, oui.

George : Les extraterrestres savent-ils qu’on est là ? Et collaborent-ils avec nous ?

Emery : Non, il n’y a pas d’extraterrestres dans ces installations, de ce que je sais. Et ils n’ont pas de contact avec les E.Ts qui entrent et sortent. Ils sont juste là comme des photographes en Afrique qui se cachent pour regarder les lions manger.

George : Les extraterrestres ne se montrent pas hostiles ?

Emery : Non, pas que je sache.

George : Qui a concocté ce plan ? Comme cela a-t-il débuté ?

Emery : Tout cela a commencé parce que la signature énergétique là en bas, ils l’ont détectée avec la technologie des satellites. Ils y ont donc envoyé quelques drones et ont filmé ces navettes entrant et sortant de cet endroit dans la fosse des Mariannes. Je ne sais pas vraiment où.

Ils ont décidé que c’était important et qu’on devait l’étudier. Ils ont donc dépensé des milliards de dollars pour créer ces installations, pour pouvoir surveiller ce que les extraterrestres font et où ils vont. Et pister les navettes dans l’océan aussi. Et ce sont les mêmes qu’ils utilisent pour les voyages intergalactiques.

Cela étant dit, ces navettes créent leur propre champ gravitationnel, même dans l’eau. Elles peuvent aller très vite et faire des virages serrés. On entend toutes ces histoires de sous-marins et d’autres éléments militaires entrant et sortant de l’eau. Et donc, cela a été observé et filmé par l’armée il y a longtemps.

George : On dit que l’Allemagne nazie avait aussi des bases sous-marines. Y a-t-il des preuves?

Emery : Je crois que oui. Mais je ne sais pas vraiment. Je sais juste qu’ils étaient très doués pour s’approprier les nouvelles technologies. Je crois qu’ils étaient parmi les premiers à rencontrer des extraterrestres et à échanger des technologies ou à abattre des navettes pour les rétro-concevoir. Ils avaient une bonne connaissance de la technologie. Assurément. Et ils faisaient des trucs incroyables avec. Je n’ai donc pas de doute qu’ils pourraient avoir quelque chose comme ça.

George : En général, combien de temps les gens y travaillant restent-ils là en-bas ?

Emery : Je ne sais pas. Je n’y ai passé qu’une journée, je n’étais pas affecté là-bas.

George : Pourraient-ils y être des années  ?

Emery : Oui. C’est créé de manière à pouvoir y vivre indéfiniment. Ils ont leur propre alimentation en eau.

George : Y a-t-il des familles ?

Emery : Non, aucune.

George : Pas d’enfants ?

Emery : Non. Tout le monde s’occupe d’une certaine manière. Et tout le monde a une mission. C’est un environnement axé sur le travail, la mission.

George : Peut-on l’utiliser pour des raisons militaires ?

Emery : Ça se pourrait. Mais je ne sais pas pour quoi. On a ce centre de recherche au fond de l’océan. Ils l’utilisent pour collecter des renseignements et des infos sur les signatures énergétiques de la zone. Je ne sais pas ce que l’armée en ferait. Ce n’est pas une base sous-marine d’amarrage pour sous-marins.

George : Ils en possèdent assez.

Emery : Bien vu. Ils ont ce système de grottes et de tunnels au large des côtes de San Diego, où ces sous-marins géants peuvent passer. Il va jusqu’au Nevada. Ils ont des installations souterraines pour ça.

George : Quelle était votre mission là-bas ?

Emery : Quelqu’un était malade.

George : Comment ça ?

Emery : Quelqu’un est tombé malade et ne pouvait faire ce qu’il devait. Curieusement, ils ne pouvaient pas nous amener l’être. Ils m’ont donc envoyé collecter les prélèvements.

George : C’était votre mission ?

Emery : Oui.

George : Pour quel type de prélèvements ?

Emery : De tissus et de muscles d’un être aquapharien.

George : Que vous ont montré ces tissus ?

Emery : Je n’ai pas étudié leur génétique pour ce programme. Je devais juste prélever.

George : Vous avez parlé d’un être aquatique, comme une sirène ?

Emery : Comme une sirène. Ils ont trouvé une civilisation qui vit là en bas et sort rarement.

George : Extraterrestres ou terrestres ?

Emery : De type humain, avec des nageoires. J’en ai parlé dans d’autres épisodes.

Ils ont des mains palmées. Ils ont des nageoires le long des bras, des jambes et du corps, comme une seiche. Ils sont d’une couleur blanc bleuté, je dirais. Leur tête est plus ronde. Ils ont des branchies. Ils ne respirent que dans l’eau. Ils détestent la lumière. Ils ont de très grands yeux. Ils voient clairement sous l’eau.

George : Une espèce qu’on ne connaît probablement pas.

Emery : Oui, c’est une espèce qu’ils tentent d’étudier. Bon nombre de ces espèces sont découvertes maintenant. Et de plus en plus apparaîtront dans le futur, de ces espèces vivant là en bas, dans les cavernes de la Terre Creuse de la fosse des Mariannes et capables de supporter tant de pression. Même s’ils ont une apparence très humaine et ont l’air fragiles, une chose que j’ai remarquée chez ces espèces est qu’ils ont des os spongieux. C’est un peu comme du cartilage. Ils peuvent, je crois, se dilater et se rétracter.

George : Ils ont l’air plus terrestres qu’extraterrestres. Ai-je raison ?

Emery : Ils ont été implantés ici, comme nous. Mais ils sont ici depuis bien plus longtemps que nous.

George : Sont-ils amicaux ?

Emery : Je n’ai pas eu de contact direct avec eux ou vu de vidéos. J’entend beaucoup d’histoires dans les projets comme quoi ils ont été remarqués dans ces installations, mais qu’on n’a rien fait pour leur faire du mal ou les menacer. Mais les installations ont de nombreuses vidéos et images de ces êtres. Car j’ai vu beaucoup d’enregistrements de ces êtres pris par des drones sous l’eau.

George : Comment sont ces centres sous-marins, comparés aux labos ici en haut ?

Emery : Oh, ils sont très similaires. La différence est que beaucoup sont un peu archaïques, car ils ont commencé avec une petite base. Et plus on descend, plus elles se modernisent, car elles continuent à se développer. C’est un peu l’opposé de ces nouvelles bases qui se développent rapidement dans les océans. Ce sont des technologies ultramodernes et c’est différent visuellement.

George : Quelles technologies y avez-vous vues ?

Emery : Un truc plutôt cool que j’ai vu est qu’ils avaient une chose qu’on a ici en haut, mais qui est sous terre. Nos installations souterraines ont ces salles d’op’ comme des aquariums géants.

Pour beaucoup d’extraterrestres sur lesquels on travaille, on doit les conserver dans une eau spéciale salée pendant qu’on fait les prélèvements, sinon les tissus se dégraderont et se dissoudront s’ils sont en contact avec l’air riche en oxygène.

Dans la base sous-marine, ils avaient donc deux de ces salles d’opération, qui étaient des aquariums, bien sûr, ce qui me semblait génial, car je pensais : « Ils ont peut-être tiré l’idée de là, et on a donc les mêmes dans nos centres. »

George : Avez-vous dû travailler dans l’eau avec un appareil respiratoire ou autre ?

Emery : Eh bien, comme je le disais, les prélèvements des espèces sur lesquelles j’ai travaillé devaient se faire dans ces salles d’opération aquariums, à cause des corps : ceux-ci devaient avoir une certaine salinité et un certain pH pour ne pas se dissoudre. On avait donc des combinaisons. Pas comme un plongeur, car je devais avoir ma propre atmosphère et ma combinaison complètement étanche avec des aimants pour les chaussures. On entre… C’est la même chose. Il y a une table d’op’. Tous les ordinateurs. Tous les instruments. La même chose, mais sous l’eau.

George : Mais vous travaillez dessus dans l’eau ?

Emery : Oui, voilà.

George : Obligé ?

Emery :  Oui, on devait travailler dans l’eau, prélever les échantillons et les collecter de la même manière. Tout se faisait sous l’eau.

George : C’est incroyable ce qui se passe sur cette planète. Et peu de gens le savent.

Emery : Oui. C’est surréel.

George : Combien coûte tout ça ?

Emery : Ils ne peuvent pas le chiffrer. On crée de nouvelles civilisations, quoi, dans des régions qu’on pensait inhospitalières à la vie. Là, on fait des découvertes majeures qui, j’espère, seront bientôt révélées. Car on ne doit pas toujours vivre en surface. Il y a d’autres endroits, dans la Terre et dans l’océan où l’on peut exercer notre autonomie.

George : Sans la présence des extraterrestres, serait-on dans ces bases sous-marines ?

Emery : Je ne crois pas. Ils ont besoin d’une raison avant d’investir des milliards de dollars pour trouver une chose.

George : Il y a une base sous-marine au plein désert du Nevada. Elle s’appelle Hawthorne. Pourquoi diable là-bas ? Il n’y a pas d’eau.

Emery : Ça me fait toujours rire, car il n’y a même pas de lac, au Nevada.

George : Que s’y passe-t-il ?

Emery : Il y a un centre. Ce système souterrain passe directement par là. J’ai vu les cartes souterraines de ça. Ils peuvent déplacer très facilement les sous-marins d’une côte à l’autre. Ce sont des systèmes énormes de cavernes. Ça doit être serré à certains endroits.

George : Comment qualifiez-vous ces bases souterraines et sous-marines en termes de complexité ?

Emery : C’est une grande entreprise, assurément. Mais comprenez bien : ils n’utilisent pas de tractopelles. Ils utilisent des technologies que les gens ne connaissent pas pour créer ces villes autosuffisantes et les laboratoires-modules, ce qui facilite les choses. Je crois que si on met en perspective toutes les technologies utilisées pour faire ces trucs, et que les gens ignorent, alors ça facilite votre compréhension de leur façon de faire.

George : Ces objets sous-marins non identifiés, que font-ils là, en premier lieu ?

Emery : Ils utilisent la Terre pour aller d’un point A à un point B. Je crois donc que c’est juste une zone de transition, où ils vont d’un portail peut-être à un autre portail. Je crois qu’ils sont juste là. Cet endroit est un vrai point sensible. Et je ne crois pas qu’il y ait d’autres intentions que celle de cette utilisation du portail.

Il semble y avoir aussi quelque chose incrusté dans la roche qui peut être une base qu’ils tentent de comprendre, qui est extraterrestre. Je crois que c’est juste une plaque tournante, comme avec nos aéroports et tout ça, qui est un point très sensible.

George : Où sont ces bases sous-marines, Emery ? Sont-elles partout sur la planète ou juste aux Etats-Unis ?

Emery : Je ne connais pas l’emplacement exact de toutes les bases. Je sais juste qu’il y a des bases souterraines dans tous les océans du monde que les hommes ont placées là. Il y a une incertitude quand au système de déplacement souterrain. Sous les Etats-Unis, il y a d’énormes cavernes par où ces sous-marins peuvent passer et remplies d’eau.

George : Mais il y en a partout ?

Emery : Oui, toute la Terre. On peut aller partout par ces cavernes. Tout à fait.

George : Pour qui sont ces bases ? Pour surveiller l’activité extraterrestre ? Pour l’humanité ? Pour ces êtres aquatiques ? À quoi servent-elles ?

Emery : Pour surveiller tout ça, je crois. Chaque fois qu’ils trouvent quelque chose de nouveau, ils veulent l’infiltrer, savoir ce que c’est, savoir pourquoi ces systèmes énergétiques ou ces portails sont là. Je crois donc que c’est tout ça. Ils observent, surveillent, contrôlent ces points sensibles.

George : Ces navettes sous-marines, d’où viennent-elles ? Sont-elles à nous ?

Emery : Celles qui sortent des portails sont extraterrestres. On a nos propres engins anti-gravité submersibles et on a rétro-conçu beaucoup de ces trucs pour voler dans l’atmosphère. On a la même chose. Ces navettes extraterrestres vont dans l’atmosphère, sous l’eau, n’importe où. On a aussi les nôtres.

George : Vous avez vu ces cuves où les médecins mettent leurs mains dans des gants, puis ils opèrent dans la cuve. Mais ils sont physiquement en dehors. Vous, vous êtes dedans. Pourquoi ?

Emery : L’être ne peut pas quitter cette zone. Et cette salle d’opération-aquarium est composée de nombreuses autres pièces pour tester les tissus. Ils ont tout un laboratoire sous l’eau. Tout reste avec l’être sous l’eau. Tout reste ensemble, y compris nous.

George : Ces bases sous-marines sont-elles faites par des extraterrestres ?

Emery : On a fait nos bases, comme je l’ai déjà décrit, dans ces zones sensibles. Et il y a des bases extraterrestres à proximité, construites dans la roche, qu’ils étudient maintenant.

George : Qui les a bâties ?

Emery : Les extraterrestres.

George : Emery, encore merci d’être venu nous parler de tout cela.


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