Conscience

Le temps possède trois dimensions, le Sens, la Densité et le Présent

Maturité perceptive et densité du temps

Le temps est tridimensionnel, fractal et discret (discontinu). Cette connaissance jette un pont entre le monde matériel et le monde spirituel. (Eric Julien La science des extraterrestres).

Eric Julien explique dans ce livre, le concept de la Maturité Perceptive:

Les univers parallèles ne sont rien d’autre quʹun défilement de temps différent car le temps est tridimensionnel ! Lʹespace a trois dimensions : longueur, largeur et hauteur. Ce qui est moins connu c’est que le temps aussi a trois dimensions : le sens, la densité et le présent.

Le sens : il désigne ce que tout le monde conçoit : la trajectoire qui va du passé au futur. Ce que dʹaucun appelle la quatrième dimension. Le passé forme notre mémoire, et notre imagination le futur. La transformation de la matière et des événements décrit la flèche apparente du temps. Mais ici le sens possède une double flèche, ce qui explique la prémonition.


Le mot‐clé à retenir est transformation.

La densité : voilà le rendez‐vous tant attendu avec les prochaines grandes découvertes de la science fondamentale. Quʹest‐ce que la densité du temps ? Cʹest un écoulement du temps qui influence lʹétat de la matière, et dont la perception dilate ou contracte lʹunité de temps admise par convention.

Mot‐clé : vitesse (de transformation).

Le présent : contrairement à une idée répandue, le présent ne va pas de soi car, à chaque instant, le temps, que vous comptiez en nanosecondes ou pas, devient passé proche après avoir été futur immédiat. Le présent est hors du temps classique. Il est en relation avec le sens et la densité de temps sans en avoir la même dimension. Le présent est intangible, incréé et ne dépend ni du passé ni du futur !


Mot‐clé : permanence (qui ne se transforme pas).

Un formalisme plus simple, ne considérant qu’un seul axe de déplacement (x), permet d’écrire la fonction d’onde par deux variables : t et x, c’est‐à‐dire un temps et une position sur la sinusoïde perturbatrice, avec c la vitesse de propagation, t l’instant de la mesure et x le déplacement de l’onde. l’on ne peut connaître t si l’on n’a pas définit x, ou l’on ne peut connaître x si l’on n’a pas définit t.

C’est comme si l’on posait deux questions en même temps alors que la réponse de l’une dépend de la réponse de l’autre. Mais le fait de définir t ou x influence la réponse !

La vitesse de propagation (c) propre est en soi une incertitude puisque l’instrument de mesure va l’influencer. Nous verrons que (c) dépend en fait d’un nombre d’itérations en théorie du dédoublement. Il s’en suit que le concept de trajectoire n’a aucun sens en mécanique quantique!

LʹIntention est une donnée fondamentale de la marche de lʹunivers !

La vitesse c, est dans la mesure ou Taux du Temps. Matrice de Temps.

Le taux du temps T comme vitesse de transformation de la cause vers l’effet est proposé par le professeur N.A. Kozyrev, puis par L.S. Shikhobalov.

La stabilité de la matière que nous connaissons au quotidien provient donc d’une instabilité temporelle !

L’un des principes de la mécanique quantique est celui‐ci : plus la vie d’une particule est brève plus elle possède d’énergie. De même, les courtes distances sont synonymes de hautes énergies.

La question qui suit est alors : qu’est‐ce que la désintégration de laquelle sont issues ces transformations vers plus de stabilité ? Réponse de la Relativité Absolue : il s’agit du transfert de l’information d’une fractale temporelle vers une autre de plus basse densité temporelle.

Ainsi, la réponse à la question « qu’est‐ce que la matière ? » est en fait une autre question : puisque la matière nʹexiste pas, quʹest‐ce que la Réalité ?

Et si nous nous mettions tout à coup à ne comprendre lʹunivers uniquement à travers les variations de temps ?

Un échange est le mouvement qu’une information suit lorsqu’elle est transmise dʹun émetteur vers un récepteur…lorsqu’ils sont différents !

La matière nʹexiste que parce que quelqu’un sʹen sert ! La matière n’existe que parce que le temps passe lentement …

La nature ondulatoire de la matière maintient la mémoire de ses propriétés car une fréquence est précisément ce qui définit l’état d’une particule tandis que lʹintrication agrège les particules entre elles.

Lorsqu’on parle du passé et du futur, il faut commencer par se poser la question : le passé ou le futur de quoi ? En effet, nous voyons les choses qui nous entourent sur un même plan. Nous créons instinctivement une logique fondée sur cette illusion : tout est dans un seul et même ensemble appelé temps. Cet état de fait est dû à notre identification au corps, pièce de matière parmi tant dʹautres.

Nous sommes matérialistes lorsque nous acceptons le point de vue de la matrice, c’est‐à‐dire celui de la causalité qui dépend justement du temps. Il ne sʹagit pas de dire que la matière nʹexiste pas mais de la concevoir comme un ensemble dʹinformations qui circulent.

A mesure que le nombre dʹinformations augmente, la matière se fait de plus en plus subtile et complexe, de plus en plus malléable et mutable, de plus en plus véloce et furtive.

Et l’échange, c’est la Vie ! Cʹest cette circulation qui crée le temps qui passe, la densité temporelle, sa viscosité.

Il se trouve que nous sommes, comme dʹautres créatures ici et ailleurs, constitués de plusieurs temps‐qui‐passent ! Depuis notre squelette jusqu’à nos pensées les plus élevées, il existe des temps‐qui‐passent innombrables, dans une même créature.

Toutes les créatures nʹont pas le même nombre de temps‐qui‐passent, ni les mêmes rythmes.

Cela explique tant de différences de perceptions, tant dʹincompréhensions, de jalousies et de peurs ! Et pourtant, autant de temps‐qui‐passent en nous, autant dʹidentités !

Pourquoi se battre quand on a le choix de lʹidentité ? Envisagés depuis ce nouveau point de vue, du passé ou du futur de quoi parlons‐nous alors ?

L’échange, c’est la Vie ! Cʹest cette circulation qui crée le temps qui passe. C’est l’échange qui détermine le monde… Alors qu’est ce qui détermine l’échange ????

PEUR : le rejet immunologique

Le hasard est fondamentalement un problème dʹéchelle spatio‐temporelle dans le cadre de la Relativité Absolue, à savoir ʺplus il y a dʹespace, moins il y a de temps, et inversementʺ. Le hasard est la traduction de la place du temps dans la phénoménologie . Il faudra nécessairement que la science explique en quoi les probabilités ont une nature causale. Elles sont même le meilleur avocat du temps 3D.

Observer est la science en soi, mais il existe de multiples façons d’observer ! Y compris avec ce qu’on a coutume d’appeler, de façon maladroite, le sixième sens.

Nous nous sommes éloignés du ressenti, forme la plus élaborée de l’observation, et du signifié, état cognitif le plus élevé de l’observateur.

Lorsque nous aurons compris que nous pouvons tendre vers une plus grande maîtrise des informations physiques et psychiques qui nous parviennent, l’écoulement du temps de nos expériences va considérablement devenir plus homogène et durable par la concentration. C’est ce que nous appelons la maturité perceptive.

Plus il y a de densité temporelle moins il y a de densité matérielle.

Les OVNI maîtrisent la variation des densités temporelles.
Ils ont ce que nous appelons une bulle temporelle. Elle les entoure avec une densité variable et leur permet les prodiges les plus insensés.

La différence fondamentale entre passé et futur est la capacité de choisir.

Un phénomène OVNI, c’est du paranormal techniquement maîtrisé, un phénomène parapsychologique c’est du paranormal psychiquement manifesté.

Notre conscience oscille frénétiquement (quand on a peu de concentration) entre plusieurs fractales de temps. Le temps prioritaire sera la fractale dont la conscience se servira dans des circonstances déterminées. Puisqu’elle change souvent de temps prioritaire au cours d’une journée, elle accédera donc à une quantité moyenne d’informations, variable selon les individus et leurs centres d’intérêt.

Le sens de notre évolution est d’accroître ces informations.

Plus une créature a de degrés de liberté moins elle est contrainte, et plus le petit pourcentage dʹincertitude grandit.

La synchronicité des phénomènes est directement liée, par démonstration expérimentale, à lʹintention.La prédominance de lʹintention croit comme lʹincertitude scientifique.

La maturité Perceptive

Si la Réalité est indescriptible ce nʹest pas parce que nous manquons de mots mais parce qu’il faut justement sʹen passer !

Les savants savent ‐ c’est en cela qu’ils sont a priori des savants ‐ que l’épreuve de l’expérience est le coeur des découvertes. Et c’est bien parce que rien n’existe hors de l’expérience !

Nous sommes passés dans notre éducation centenaire complètement à côté de cette précieuse connaissance : la maîtrise des formes‐pensées.

La création vient à la fois de la puissance, donc de lʹénergie, et de la précision du schème. la Réalité est transcendantale, au‐delà du descriptif.

La nature supérieure de lʹêtre vient de la transcendance acquise à force de visualiser dans une intention pure et, si possible, expurgée de lʹego qui perturbe la clarté du vrai.

La maturité perceptive relève-t-elle avant tout d’une dynamique d’efforts conscients vers plus de sincérité et de vérité intérieures ?

Densité du temps et maturité perceptive

Plus nous montons, plus le sablier s’évase et plus il y a de grains de sable à chaque graduation.

La densité du temps est équivalente à la hauteur du sablier ! Elle est une vitesse d’écoulement du sable. (…)

Dans l’exemple du sablier, toutes les densités s’écoulent en même temps ! On parlera alors de temps fractal. Cette notion est essentielle à l’entendement de l’univers « .

Une fractale est un objet naturel ou mathématique dont les parties ont la même structure que le tout, mais à des échelles différentes. (…)

Nous pourrions appeler la densité de temps le temps discret – nombre entier de valeurs, d’où les grains de sable pour le représenter – s’inscrivant dans le temps fractal (reproduction à l’identique d’un objet mais de valeurs croissantes ou décroissantes).

En fait, le temps est discret au sein de fractales temporelles.

Pour saisir cette notion de densité, il suffit d’imaginer un film en accéléré de l’éclosion d’une fleur et nous aurons une meilleure perception de ce qu’elle vit pour elle-même (dans sa propre densité de temps différente de la notre).

Pour faire court, nous pourrions dire qu’une densité supérieure à la convention  » seconde  » (fractale particulière) serait une fraction de seconde (autre fractale) pendant laquelle se produiraient autant de choses. (…) Ces actions sont traduisibles en termes d’informations « .

» Dans une densité temporelle supérieure, il existe plus d’informations .

Pour se fixer les idées, il existe un immeuble où chaque étage possède son propre écoulement de temps. Plus on grimpe haut avec l’ascenseur, plus le temps s’écoule lentement. (…)

Notre corps physique est le rez-de-chaussée de cet immeuble appelé  » conscience « .

A l’état de veille, dans notre quotidien, nous sommes accaparés par l’Espace-Temps physique. Le temps physique est alors notre temps prioritaire pour évoluer dans notre monde matériel « .

Les premières heures de sommeil sont l’occasion de changer d’étage. Soudain, nous débarquons dans un rêve. Là, tout va très vite pour celui qui mesure cette phase paradoxale.

La conscience du dormeur, elle, se trouve deux étages plus haut. Celui qui n’a pas pris l’ascenseur l’ignore et se contente de dire que cette phase n’a duré qu’une ou deux secondes en observant l’horloge de l’encéphalogramme. Ce dernier ne fait qu’observer un corps physique se trouvant au même étage temporel que lui. Mais pour le locataire temporaire du deuxième étage, il se passe des quantités de choses, voire plusieurs heures. Et ce qu’il vit est prioritaire. Ce deuxième étage est celui des rêves.

Considérons les règnes de la vie que nous connaissons aujourd’hui : le minéral, le végétal, l’animal et l’humain. (…) La vitesse de transformation de chacun des règnes est radicalement différente, toutes conditions étant identiques : les modifications des végétaux sont bien plus rapides que celle des minéraux, et il en va de même pour les animaux par rapport aux végétaux.

De même, l’humain se transforme bien plus vite que les animaux grâce à la notion de conscience de soi. C’est cette vitesse de transformation relative qui fonde la densité du temps « .

Une vraie seconde du règne minéral, dans sa réalité, correspondra à une heure du temps végétal, dans sa réalité, qui représentera un mois du temps animal, dans sa réalité, et une année pour nous, observateur humain, dans notre réalité. (…)

Chaque catégorie de créature naturelle est un ensemble fractal temporel en soi. L’évolution consiste pour chaque créature à se connecter à une densité supérieure du temps de sa propre structure aux multiples fractales.

Pour l’homme, nous pouvons affirmer que la densité de temps varie selon les degrés d’évolution.

Lorsque nous avons compris que nous pouvons tendre vers une plus grande maîtrise des informations physiques et psychiques qui nous parviennent, l’écoulement du temps de nos expériences va considérablement devenir plus homogène et durable par la concentration. C’est ce que nous appelons la maturité perceptive.

Ceci a pour conséquence de grandes incompréhensions entre les groupes humains ou les individus, notamment en matière d’intuition et d’accès à des plans d’existence immatériels. (…)

Les perceptions psychiques, diverses et variées, sont vécues à des niveaux fort différents selon le degré d’évolution et les circonstances que connaissent des consciences individuelles.

Ce que l’on peut concevoir de ces règnes vaut pour les densités supérieures de temps, à savoir pour les ExtraTemporels . (…)

La description de ces différences de densité va de pair avec la matérialité de la matière, donc de sa densité.

En d’autres termes, plus il y a de densité temporelle, moins il y a de densité matérielle. (…)

La densité de temps est inversement proportionnelle au carré de la densité matérielle.

Pour les règnes inférieurs, nous ne sommes qu’un mouvement furtif. Pour les plantes, nous n’existons pas, à moins d’être un jardinier. Il nous faut donc apprendre à percevoir nos jardiniers. (…)

De manière générale, il faut comprendre que dans un millionième de seconde (de notre point de vue physique) il peut se trouver des millions de fois plus d’informations qu’en trois heures de temps (de notre point de vue physique), pourvu que notre conscience soit dans la bonne densité de temps pour en bénéficier. (…)

Le temps prioritaire sera la fractale dont la conscience se servira dans des circonstances déterminées.

Puisqu’elle change souvent de temps prioritaire au cours d’une journée, elle accédera donc à une quantité moyenne d’informations, variable selon les individus et leurs centres d’intérêt.

Le sens de notre évolution est d’accroître ces informations .

D’après le livre d’Eric Julien : La science des Extraterrestres


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