Cas de conscience

Tout ce qui était enfoui remonte à la surface et pose des questions essentielles

Serons-nous, nous aussi, décapités par les barbares importés dans notre pays ? - PAR ROSALY LE 18 NOVEMBRE 2023

Les pogroms horribles perpétrés par les assassins du Hamas le 7 octobre dernier en Israël ont saisi l’Occident d’effroi. L’émotion passée, les soutiens au peuple juif chancellent déjà, et dans l’esprit de nombreuses personnes, les monstres agresseurs deviennent les victimes, et les victimes des agresseurs, les responsables des atrocités infligées par les tueurs du Hamas. Terrible inversion de la réalité, dont les conséquences sont déjà tragiques pour les Israéliens.

L’héroïne palestinienne, Ahed Tamini, portée aux nues par tous les ennemis d’Israël et du peuple juif, invoque Hitler comme modèle palestinien. Elle menace non seulement les Israéliens, mais tous les Juifs de la planète. Elle a déclaré :

«Ce que Hitler a fait aux Juifs n’était qu’une blague, comparé à ce que nous les Palestiniens allons vous faire : «nous boirons votre sang et mangerons vos crânes.»

Qui sont les barbares ?


C’est cette fille qui est présentée comme un modèle à imiter pour les autres Palestiniens. Pensez-y. Réfléchissez à ce que signifie une solution à deux Etats pour Israël et son peuple.

En Allemagne, les nombreuses manifestations anti-Israël, anti-juifs d’une violence inouïe ont révélé le véritable visage des invités de Mutti Merkel, majoritairement adeptes de l’idéologie islamique.

De nombreux Allemands de souche semblent enfin réaliser que leurs gouvernements successifs, sous de faux prétextes humanitaires, ont délibérément ouvert les portes de leur pays aux barbares.

J’ai traduit et adapté l’article lucide de M. Sattler publié dans PI.News.


« Choqué par la violence haineuse des «invités», l’auteur de cet article trouve légitime de se poser la question suivante :

“un jour dans un avenir plus ou moins proche, serons-nous aussi décapités par ces barbares ? Subirons-nous les mêmes atrocités, les mêmes horreurs, la même inhumanité, que celles infligées par les terroristes islamistes du Hamas aux civils israéliens le 7 octobre 2023 ?“

Question en effet bien légitime, car les barbares sont déjà dans le pays, et chaque jour notre gouvernement en accueille davantage. Nous venons de voir en Israël de quoi ces barbares sont capables.

Parmi les personnes assassinées figure la jeune juive allemande Shani Louk, cruellement décapitée après avoir subi les pires sévices. Non satisfaits de l’avoir trucidée sans pitié, ils ont aussi profané son pauvre corps meurtri.

Ne nous faisons pas d’illusions : même accueillis avec bienveillance et générosité, les barbares ne se débarrassent pas de cet état d’esprit, qui consiste à tuer des personnes de manière cruelle, atroce, sanguinaire.

Franchir les limites extrêmes de la sauvagerie, justifiée par leur idéologie mortifère, ne les dérange pas, bien au contraire, cela les fait jouir. C’est le summum de leur djihad offensif, présenté comme un djihad défensif à l’encontre d’ennemis imaginaires, car les seuls qui soient animés par un esprit de conquête, de revanche, sont les soldats d’Allah déguisés en réfugiés.

Dans leur pays d’accueil, les barbares continuent à cultiver leur haine viscérale à l’égard des koufars et à semer la violence mortelle intrinsèque à leur idéologie de conquête pseudo-religieuse.

Actuellement, la haine et la violence des barbares visent surtout nos concitoyens de confession juive. Mais les non-juifs chrétiens et athées ne doivent pas se sentir rassurés, car ils sont également dans le viseur des sectaires d’Allah, importés par millions en Occident, grâce à l’esprit ouvert, tolérant, inclusif, humaniste de nos gouvernements. Ces derniers s’imaginent béatement que l’islam est une «religion» d’amour, de tolérance et de paix, à l’instar du judaïsme et du christianisme. Peu importe la violence et les crimes commis au nom d’Allahou akbar, ils demeurent dans leur aveuglement angélique. Quand les écailles tomberont de leurs yeux, il sera sans doute trop tard, et les dhimmis de l’islamisation de l’Occident en cours subiront aussi le sort tragique réservé aux koufars.

L’islamo-fascisme dirige sa haine et sa violence de manière universelle contre toutes les personnes qui ne partagent pas les idées religieuses de l’idéologie islamo-nazie. Et cela s’applique également aux frères et sœurs en Allah, comme le prouve la situation actuelle en Afghanistan dirigée par les pieux talibans.

Face aux millions de barbares importés, nous les «kafirs» allemands, les «sous-humains» à leurs yeux, sommes donc en droit de nous demander si les massacres atroces perpétrés le 7 octobre dernier en Israël par les terroristes islamistes du Hamas, pourraient se reproduire dans notre pays dans un avenir plus ou moins proche ?

Pour nous rassurer, nous pourrions bien sûr prétexter que nous les Allemands ne sommes pas en conflit avec un autre peuple qui prétend être l’occupant légitime de notre terre. Pauvres naïfs que nous sommes ! L’invasion de l’Allemagne par des musulmans venus d’Orient et d’Afrique s’accompagne également de revendications territoriales, dès qu’ils deviendront majoritaires.

Là où vivent des musulmans, cela devient terre de l’islam ; là où s’érigent les mosquées, devient terre musulmane. Dès lors, la loi islamique du nombre s’appliquera. Les envahisseurs musulmans ne rêvent que de s’approprier leur pays d’accueil et en faire une terre sacrée de l’islam. C’est leur mission : le djihad de conquête par la démographie.

Si rien n’est décidé pour arrêter ce tsunami migratoire islamique, dans 20 ou 30 ans, nous serons dans la situation des Arméniens autrefois en Turquie. Nous deviendrons les autochtones d’un pays dans lequel une population étrangère immigrée, majoritairement musulmane, constituera la majorité démographique et sera donc au pouvoir.

Dès que le changement de peuple aura progressé au point que nous aurons perdu non seulement le pouvoir dans notre propre pays, mais aussi la protection qui va de pair avec ce pouvoir, nous les Allemands historiques, nous nous retrouverons alors, comme les Arméniens en Turquie, dans la situation désavantageuse d’une minorité sans protection politique, face à une majorité qui peut à tout moment recourir à la violence la plus cruelle pour des raisons pseudo-religieuses.

Pogrom contre les communautés grecques de Turquie dans la nuit du 6 au 7 septembre 1955

Dans ce contexte, il convient également de rappeler le pogrom perpétré par les Turcs contre les communautés grecques de Turquie dans la nuit du 6 au 7 septembre 1955. La folie collective engloba rapidement les autres minorités chrétiennes, juives et arméniennes, installées depuis des années à Istanbul et à Izmir. Sur près de 130 000 Grecs vivant en Turquie, 50 000 quittèrent le pays à la suite de ce pogrom. De nos jours, la communauté grecque n’est plus que l’ombre d’elle-même.

Jusqu’au début des années 50, les Grecs représentaient environ 40% de la population d’Istanbul. Ce pourcentage correspond plus ou moins au pourcentage actuel d’Allemands de souche à Frankfurt am Main.

Pogroms contre les Arméniens à Bakou du 12 au 18 janvier 1990

Le 12 janvier 1990, des pogroms de la population arménienne commencèrent à Bakou, avec leur cortège de violences de masse, pillages, meurtres, incendies et destruction de biens. La zone autour du quartier arménien devint une arène de massacres. Les gens furent jetés des balcons des étages supérieurs, battus à mort. De nombreuses victimes succombèrent suite aux coups, aux blessures par arme blanche et par balles. Des membres des minorités russes, juives, grecques et géorgiennes furent également les cibles de la foule en colère.

Après 6 jours d’atrocités contre les Arméniens, toute la population arménienne de la ville quitta Bakou, soit environ 250 000 personnes.

Le viol, le meurtre et l’assassinat sont des méthodes extrêmement efficaces utilisées par les barbares pour obtenir le plus rapidement possible une domination démographique et politique de sa propre ethnie au détriment de la population indigène massacrée.

A la lumière de ces réflexions, il ne semble donc pas totalement inimaginable que la population allemande de Berlin, qui représente actuellement environ 50 %, puisse connaître dans quelques années le même sort que les Grecs dans leur Constantinople il n’y a pas si longtemps, et les Arméniens à Bakou, également victimes de pogroms sanglants.

Ou ne serait-ce à ce stade qu’une pure spéculation ?

La question posée dans le titre de cet article ne serait-elle aussi que le fruit d’une imagination morbide ?

A mon avis, non !

La décapitation rituelle a été présente dans la prétendue «religion» de paix dès le début de son expansion guerrière. Et tout récemment, nous avons été témoins à plusieurs reprises de cette manière rituelle particulière de tuer les koufars, considérés comme les ennemis de l’islam. Les décapitations, les égorgements, les lapidations perpétrés par les islamo-fascistes à travers la planète sont aujourd’hui retransmis par vidéo à des fins de propagande macabre.

Sous une forme plus «civile», l’incision de la carotide est l’un des sujets des conversations quotidiennes entre Turcs en Allemagne, tout en savourant un délicieux café turc, car selon ces «nouveaux Allemands», les Allemands autochtones seront de toute façon «massacrés» un jour.

Quelle gratitude bien islamique envers l’accueil généreux du pays hôte ! Le mot «kesmek» (couper), toujours utilisé dans ce genre de conversation, fait directement référence à l’égorgement pratiqué chaque année des millions de fois sur les moutons lors de la «sanglante fête du sacrifice» par tous les musulmans du monde. Ils s’exercent à ce «rituel religieux» dès l’enfance. D’où leur amour inconditionnel pour l’arme blanche, un «accessoire» qui ne les quitte jamais.

Ces coucous malfaisants s’installent, se multiplient, occupent des postes importants, infiltrent tous les arcanes du pouvoir et finissent par le prendre. Alors, le malheur s’abat sur le peuple de souche, devenu minoritaire dans son propre pays, car il subira toutes les affres de la barbarie islamique, comme l’atteste l’histoire de grandes civilisations, aujourd’hui disparues sous le joug de l’islam.

La décapitation de Shani Louk n’est pas seulement un avertissement contre les barbaries de l’islamo-fascisme en général, mais aussi un avertissement spécialement adressé à nous, Allemands, pour que nous ne sous-estimions pas le danger de l’invasion massive de l’Allemagne par les barbares.

Nous les Allemands, devrions prendre au sérieux cet avertissement que nous adresse la défunte. »

© Rosaly pour Dreuz.info.


Que pensez-vous de cet article ? Partagez autant que possible. L'info doit circuler.



Aidez Elishean à survivre. Merci


ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

(Vu 154 fois, 1 visites aujourd'hui)

Laisser un commentaire

Bouton retour en haut de la page

En savoir plus sur Elishean 777

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading