Divulgation cosmique

Les extraterrestres qui aident l’humanité

Interview de Emery Smith par George Noory pour l’émission Cosmic Disclosure Saison 12 épisode 2

George Noory : Bienvenue dans « Divulgation Cosmique ». Je suis George Noory et avec moi, Emery Smith.

Le sujet d’aujourd’hui : les humains ont-ils déjà travaillé aux côtés d’extraterrestres?

Emery, bienvenue.


Emery Smith : Merci, George, ravi d’être là.

George : Dans les projets où vous avez travaillé, vous avez côtoyé des extraterrestres.  Parlez-moi de cette camaraderie.

Emery : Dans les projets, surtout ceux auxquels j’ai participé, et laissez-moi d’abord dire qu’il y a des milliers d’extraterrestres travaillant parmi nous dans des sociétés sur toute la planète, et ils nous ressemblent physiquement. Voyez-vous, on ne pourrait pas savoir si on en croisait un dans la rue, si c’est un extraterrestre ou non.

Et la plupart de ceux avec qui j’ai travaillé nous ressemblent, avec quelques différences, peut-être dans les yeux, dans les parties cartilagineuses du corps souvent, comme le nez, les oreilles, ils peuvent être un peu différents. Je veux que tout le monde le sache d’entrée.


Ces extraterrestres ont beaucoup de compassion. Certains sont ici volontairement. D’autres se sont écrasés ou ont été abattus. Certains, à un moment donné, ont dû être retenus contre leur gré. Ils ont peut-être décidé qu’il était plus sûr pour eux de rester dans les projets pour nous aider à développer des technologies et à nous en apprendre plus sur leurs civilisations, leurs manière de vivre, et leurs systèmes de croyances.

Et l’une des meilleures choses quand on travaille avec des extraterrestres, et dont je parle beaucoup, est la communication par télépathie. Car c’est une nouveauté qui arrivera ici bientôt, je crois, dans la décennie à venir, la capacité de communiquer juste en regardant la personne, ce qu’on a commencé à faire. Les gens sont plus sensibles et peuvent mieux cerner d’autres personnes. Les gens savent comment détecter si quelqu’un est malhonnête ou non.

Ils ressentent aussi la joie et le bonheur quand quelqu’un entre dans une pièce et est très heureux et joyeux. On peut regarder une personne, surtout si on passe du temps avec, comme nos proches. Simplement en regardant dans la pièce, je sais de suite si j’ai fait quelque chose de mal. C’est le même sentiment.

La télépathie n’est pas vraiment ce qu’on voit dans les films, où vous entendez ma voix dans votre tête : « Salut George. » C’est un langage plus basé sur les émotions. Et une chose que j’ai relevée dans les projets, en travaillant aux côtés de ces extraterrestres spécialisés qui sont comme des scientifiques, comme on a des scientifiques, des médecins, comme nos médecins, et j’ai noté qu’ils nous ressemblent beaucoup quelque part. Ils ont beaucoup d’humour et un côté très humble aussi. Ils savent qu’on a été eux à un moment donné, ils ont donc de la compassion pour nous.

La première chose à faire, quand je sais que je vais être dans la même pièce qu’un extraterrestre, est de vraiment éliminer toute mon énergie négative. On doit éliminer en soi la dispute qu’on a eue la nuit d’avant avec son enfant ou sa compagne. On doit entrer là les pieds sur terre, centré et prêt à travailler.

George : Pourquoi ?

Emery : Car si j’y vais en étant contrarié, c’est un peu comme si je vous disais : « Salut George » en criant, de façon plus ou moins agressive. C’est un peu pareil avec les E.Ts. Ils vous sentent déjà émotionnel. Donc, en disant « bonjour », l’émotion qui l’accompagne, même si ce n’était pas voulu, ils la captent : ils captent vos émotions profondes, intérieures. Ils savent qu’une chose vous préoccupe, et ça peut créer un malentendu avec ces êtres, surtout s’ils ne sont pas assez évolués.

George : Pourquoi sont-ils ici, Emery ? Pourquoi ne retournent-ils pas chez eux ?

Emery : Je ne sais pas si on leur permet d’y retourner, en premier lieu.

George : Oh, je vois.

Emery : Je n’en suis pas sûr. Je sais juste que ceux avec qui je travaillais étaient heureux d’être là, de travailler avec nous, et de nous aider à évoluer.

George : Mais on ne dirait pas des extraterrestres captifs, s’ils sont heureux ici et si les choses vont bien pour eux ?

Emery : Comme les volontaires les plus extraordinaires du monde et de la croix Rouge, on se sacrifie pour aller dans un pays du tiers-monde qui souffre de la guerre et de la famine…

George : Oui, mais on le décide nous-mêmes. Mais vous dites que ces E.Ts ont été capturés. C’est la différence.

Emery : Certains seulement ont été capturés, d’après ce que je sais. Et ils ont pris leur propre décision de rester ici, de nous aider et de faire des choses. Et je crois que ça montre la quantité d’amour, de conscience et de compassion qu’ils ont et qu’on n’a pas encore.

George : Peuvent-ils repartir s’ils le veulent ?

Emery : Je n’en suis pas certain. S’ils le voulaient vraiment, oui, mais ils ne nous le disent pas. Mais je ne faisais pas partie de la sécurité de ces projets. Je raconte juste ce que j’ai entendu en communiquant avec les extraterrestres par télépathie. Car je pose des questions. La première est : « Comment êtes-vous arrivé ici ? » « Êtes-vous heureux, ici ? » Ils ne sont pas autorisés à vraiment en parler, non plus. Il y a une limite à ce qu’ils peuvent et ne peuvent pas dire.

George : Donc, on les limite aussi.

Emery; Oui, mais je crois qu’ils s’imposent eux-mêmes cette restriction, pour ne pas lâcher trop d’informations. Car, en tant qu’humains, on apprendra des informations, comme ce qu’on dit ici. Et vous les assimilerez positivement ou négativement. C’est un concept difficile à comprendre, quand on écoute ces émissions, car tout le monde n’est pas d’accord.

George : Y a-t-il des navettes cachées ici quelque part ?

Emery : Oh, oui. Il y a des navettes extraterrestres et leurs occupants partout. Pour beaucoup d’extraterrestres aussi, comme ce dont on parlait dans l’épisode précédent, les océans sont l’endroit parfait pour qu’ils s’y cachent. Et bien sûr que ça l’est. C’est un endroit tellement vaste.

Mais une navette peut avoir la taille d’une bille, une bille illuminée. Vu qu’ils ont maîtrisé la physique relative au changement des structures atomiques, on pourrait avoir un équipage de 500 personnes dans ce petit truc brillant.

Ou s’ils veulent les manifester sous la forme d’une vraie navette, on a alors des vaisseaux géants comme dans les films, ou comme celui qui apparaît en ce moment avec la fonte de l’Antarctique, ce vaisseau de trois kilomètres de long.

Il y a donc les aspects tridimensionnels de la matérialisation de ces navettes, des plus légères jusqu’aux vaisseaux géants. Mais il faut aussi comprendre que la science explique aussi comment tout cela fonctionne.

George : Quel type de navettes trouve-t-on ici ? Est-ce comme un vaisseau-mère volant autour de la planète ?

Emery : En effet. Il y a des vaisseaux autour de la Terre, comme autour des planètes les plus proches, et d’autres au large des côtes de Saturne qui sont là et mesurent 53 kilomètres de long.

Il y a beaucoup de vaisseaux qui restent à distance et qui nous surveillent pour s’assurer qu’on ne détruise pas la planète ni rien. Aucune mauvaise intention n’est à attribuer à ces ovnis que les gens voient de par le monde et dans les océans. Rien n’a été démontré.

En fait, ça démontre qu’ils ne veulent pas qu’on utilise des bombes nucléaires, qu’on fasse tout ça.

Cela dit, je pense qu’il y a plusieurs vaisseaux et navettes sur toute la planète tout le temps. Il peut y en avoir une au-dessus de nous à 12 000 mètres, et on ne la voit pas, elle est invisible. Car ils ont la capacité de le faire. On voit souvent ces nuages lenticulaires, mais le vaisseau peut aussi ressembler à un Boeing 747. Et on ne le sait pas. Ils le font pour pouvoir se déplacer, surveiller et aussi se montrer sans risque.

George : Sur quels projets ces extraterrestres travaillent-ils ici ? Que font-ils ici ?

Emery : Oh mon Dieu. Ils s’impliquent vraiment dans la rétro-conception, pour nous aider à rétro-concevoir des navettes, des appareils. Bien sûr, ils sont très présents dans les programmes génétiques. Il y en avait dans mes programmes de collecte de choses extraterrestres.

George : Sans leur contribution, pourrait-on faire ce qu’on fait ?

Emery : Non, ce serait impossible. On passe du cheval à poser le pied sur la lune. Je crois donc qu’on nous a aidés tout le temps. Et qu’on rétro-conçoive quelque chose, ou qu’ils partagent une technologie avec nous, en rencontrant différents leaders mondiaux, ou je ne sais quoi, on a définitivement reçu de l’aide dans le domaine technologique de la science ici sur Terre.

George : Quel type de technologie nous ont-ils donné qu’on utilise dans notre vie quotidienne ?

Emery : Regardez juste ici : les caméras, les objectifs, la technologie infrarouge, la thermographie… tout ça est rétro-conçu. Tout ce qu’on voit d’électronique aujourd’hui contient un élément qu’on n’a pas trouvé par nous-mêmes.

C’est incroyable qu’on puisse premièrement rétro-concevoir quelque chose à partir de ce qu’on ne connaît pas. Mais c’est aussi incroyable que maintenant, avec les avancées des extraterrestres qui travaillent avec les entreprises, les ingénieurs et dans les projets clandestins, que des nouvelles technologies apparaissent tout le temps.

Et on a ceci, si vous avez remarqué, dans les magazines scientifiques : la rapidité avec laquelle cela arrive, du jour au lendemain, avec les technologies ; avec son téléphone, scanner une pièce et imprimer toute la pièce en 3D. Il y a ces trucs incroyables qui apparaissent, surtout dans les technologies médicales. Maintenant, on a des tables qui peuvent scanner holographiquement votre corps, puis le chirurgien peut le manipuler…

George : Cela a à voir avec les extraterrestres ?

Emery : Oui, tout à fait.

George : Mangent-ils ? Dorment-ils ? Les paie-t-on ?

Emery : Ha ha ha ! C’est une bonne question, les salaires. Je l’ai posée il y a longtemps. Ils ont des compensations, mais j’ignore lesquelles, car ils n’utilisent pas notre argent, sauf s’ils travaillent en surface, comme on dit.

Et pour ce qui est de manger, certains d’entre eux mangent. Pour certains, manger a plus un côté social. S’ils veulent manger, ils le peuvent. Mais ils n’y sont pas obligés, car les êtres supérieurs ont la capacité de transmuter un aliment dans leur système et d’utiliser ses meilleurs éléments.

George : Sans manger ?

Emery : Sans manger, oui. On voit donc beaucoup d’extraterrestres avec ces petites bouches, ces petites fentes, car ils ont abandonné ça il y a longtemps. Leurs corps devient plus petit, leur tête plus grande.

George : Dorment-ils ?

Emery : Oui, ils dorment, comme nous. Ils n’en ont pas besoin. Ça dépend juste de comment cet extraterrestre veut être… C’est comme ici : voulez-vous être une personne qui mange vraiment sainement ou qui mange pas sain du tout ? Les extraterrestres n’ont pas besoin de tout ça. Mais ils le font car beaucoup tentent aussi de vivre ce qu’on nomme « l’expérience humaine ». Ils veulent ressentir, et c’est un honneur pour eux d’être ici, de vivre l’expérience humaine : « humaine » voulant dire à cette époque, George. Et de jouer ce rôle, pour eux, est aussi un honneur et un plaisir. Car ça se perd en chemin. En quelque sorte, les sens commencent à faiblir un peu. Il ne s’agit pas de : « Mince, cette odeur de rose à mon réveil », ça a été remplacé par d’autres choses, on évolue d’une manière différente.

George : Où vivent-ils ici ?

Emery : Les extraterrestres vivent dans ces installations souterraines qu’on a là. Elles sont jolies. Ça dépend en fait d’où l’extraterrestre vient, pour ce qui est de leur esthétique. Ils tentent de les faire aux besoins de cet extraterrestre, surtout peut-être s’il mesure 2,40 m de haut ! On ne peut donc pas les mettre dans des quartiers normaux. Ils ont besoin d’avoir les leurs.

George : Ont-ils modifié génétiquement les humains ou toute espèce ayant été sur la planète il y a longtemps ? Sommes-nous eux ?

Emery : Mes croyances à ce propos sont que les extraterrestres travaillant avec nous ne nous ont rien fait génétiquement. Mais je crois qu’il y a une race ancienne qui nous a assurément créés.

George : Ce sont des dieux, non ?

Emery : Certains les appellent les Nephilims, les Annunakis.

George : Les extraterrestres ici maintenant, vous dites qu’il y en a des milliers. Combien y a-t-il de races différentes ici ?

Emery : Je ne sais pas. Je ne pourrais pas le dire. Je sais juste qu’il y a 10 à 20 races différentes. Il doit y en avoir bien plus, de tous les systèmes. Vous devez comprendre que c’est un peu un effort conjoint de nombreuses civilisations qui oeuvrent ensemble.

Quel est votre lignage, votre passé ? Je vous donne 10 éléments différents. Pour un extraterrestre, là, c’est la même chose : quel est votre lignage ? Êtes-vous Arcturien ou Pléiadien ? Ça ne marche pas comme ça. La plupart des gens ont déjà été croisés. Et il y a de nombreux extraterrestres différents au point de vue des lignages.

C’est intéressant, tous les extraterrestres sur qui j’ai travaillé avaient de l’ADN humain en eux. D’une certaine manière, ils étaient en partie humains à un moment donné de leur lignage génétique.

George : Peut-on leur faire confiance ?

Emery : La seule façon pour que le public comprenne est : voyons ce qu’ils ont démontré jusqu’à présent. Pour moi, c’est : « Je vous fais confiance, car vous me démontrez quelque chose au fil du temps. » C’est ainsi qu’on gagne la confiance, en démontrant ce qu’on a fait pour montrer son amour et sa compassion pour cette société et la planète. Je n’aime pas le mot « juger », mais c’est ainsi que je vois les choses. Cette personne ou cet être est ainsi. Ils sont juste comme ça, et on doit les accepter tels quels. Et ils doivent démontrer comment ils vont s’intégrer et comment ils seront des membres productifs de la société, en fait.

George : Les spectateurs de « Divulgation Cosmique » sont au diapason. Ils comprennent tout ça. Mais si on devait expliquer à quelqu’un d’autre qu’il y a des milliers d’extraterrestres ici, qu’ils travaillent avec nous, comment les convaincre de ça ? Que fait-on ?

Emery :  Eh bien, je ne suis pas ici pour convaincre les gens. Je suis ici pour vous raconter mon expérience du mieux que je peux, et rien de plus. Et beaucoup de gens veulent inspecter les ovnis, mais ça ne marche pas comme ça. Ne croyez simplement pas tout ce qu’on entend, voit, lit, regarde, car tout peut être manipulé.

George : Bien sûr.

Emery : Ce que vous devez faire, c’est mener votre propre enquête, comme moi et comme bien d’autres, et interviewer plein d’autres personnes, pour voir comment les histoires s’entremêlent, vous voyez, et devenir un enquêteur. Enquêtez et utilisez votre cœur, pas votre tête. Et ne soyez pas ignorant, et envisagez la possibilité qu’il y ait une vie en dehors de la Terre. Et je pense que la plupart de la population va dans cette direction. Je crois vraiment que les gens sont plus intelligents. Ils mènent leur propre enquête et trouvent eux-mêmes des informations, pour eux-mêmes, pour le moins, ce qui est le plus important qu’on puisse faire pour soi-même.

George : Vous avez travaillé aux côtés de ces extraterrestres. Avez-vous établi une amitié avec l’un d’eux ?

Emery : Oui, bien sûr.

George : Avez-vous socialisé avec eux ?

Emery : Non, je n’ai jamais été en surface avec des extraterrestres des projets. On n’est autorisé à fraterniser avec personne au sein des projets, une fois que vous en sortez. On ne peut contacter personne qu’on a connu. On ne peut rien faire dans le genre.

Beaucoup restent sous terre dans les installations. Je n’en ai jamais vu en surface qui avaient été en bas. Ils ont un endroit où ils les emmènent. Je n’y suis jamais allé. Je sais juste qu’ils avaient leur propre endroit. Juste comme je dois sauter dans ces différents appareils pour aller sur mon lieu de travail, ils vont aussi dans un autre endroit.

George : Portent-ils un nom ?

Emery : Oui, ils ont un nom. Ils portent aussi un numéro. Ils préfèrent les appeler par un numéro. On n’avait pas de badges, comme vous le savez, dans les projets. On a ces bracelets qui contiennent beaucoup d’informations sur nous et notre location, à tout moment. Et quand on rencontre un extraterrestre, sans vouloir faire de l’humour, c’est comme rencontrer un artiste. Ils trouvent un nom anglais normal.

George : Pour eux-mêmes ?

Emery : Oui, pour eux. Vous savez, comme Ted, Jack, Jill. Ils se donnent ces noms pour que ce soit plus facile pour nous, car je crois que ça n’a pas à voir avec la sécurité. C’est plutôt ! « Eh, je suis comme vous, en fait, ne me traitez pas de façon spéciale. Et en même temps, si vous avez des questions, je serai ravi de vous aider. » Ils sont donc cordiaux. Ils sont très corrects.

George : Vous avez dit qu’ils communiquaient par télépathie. Parlent-ils aussi ?

Emery : Oui, la plupart des extraterrestres avec lesquels j’ai travaillé parlaient tous parfaitement anglais et bien d’autres langues. C’est un peu bizarre d’entendre quelqu’un parler autant de langues. Leurs capacités cérébrales et leur QI sont bien supérieurs aux nôtres.

George : Immenses, non ?

Emery : On se sent un peu comme un enfant en leur présence.

George : Mais leur tête ressemble à la nôtre ?

Emery : Tout à fait. Certains oui.

George : Ils sont donc venus. Sommes-nous allés là-bas pour les aider ?

Emery : Il y a des rumeurs à ce propos. Je n’en sais pas plus. On m’a raconté qu’il y a eu des gens qui sont allés visiter d’autres civilisations. Mais ce sont des informations indirectes que je n’ai pu vérifier.

George : Emery, en travaillant avec eux, qu’avez-vous appris d’eux ? Que vous ont-ils appris ?

Emery : Ils m’ont appris beaucoup de choses. Je parle aussi pour les autres dans les projets, on apprend tant de choses, car on a affaire à quelqu’un d’un autre monde, et on apprend tout de leurs coutumes, ce qu’ils aiment et leurs passe-temps. Et en même temps, c’est aussi une leçon d’amour et de compassion.

Et souvent, les bavardages ne sont pas tolérés, on ne peut pas papoter du genre : « Comment ça a été aujourd’hui ? Quel film as-tu vu hier soir, et comment vont les enfants ? » C’était plus : « On travaille sur ça aujourdhui. » On se limite à ça. Et c’est marrant, car ils vous disent quand même, parfois : « Désolé pour ce qui vous est arrivé hier soir. ».

George : Ils savent.

Emery : Ils savent déjà tout, il n’y a pas de secrets. Et c’est sûrement le plus grand présent que de travailler avec des gens avec qui on peut être soi-même et avec qui on ne doit pas être quelqu’un d’autre, ou embellir les choses. On pouvait être soi, et ils nous acceptaient comme ça. Parce que tout le monde a des secrets. Tout le monde a du bon et du mauvais en soi. Et ils savent immédiatement tout sur vous, surtout si vous y pensez dans votre tête, comme un souvenir, comme dans l’enfance. Une situation fâcheuse ou heureuse. Ils le savent tout de suite.

Et c’est marrant, car si, par exemple, vous travaillez tard un vendredi soir, et que vous avez un rendez-vous plus tard, et vous avez hâte d’y être, cela les fait rire. Ils gloussent. Je n’ai pourtant rien dit. Mais ils rient, gloussent et disent : « J’espère que tout ira bien ce soir. » C’est vraiment une acceptation douce, drôle, marrante de l’autre.

George : Les avez-vous vus en colère ?

Emery : Jamais.

George : Ils n’ont jamais été hors d’eux ?

Emery : Non, jamais.

George : Que recherchent-ils ?

Emery : Je pense que ceux qui sont ici veulent vraiment aider. Ils veulent vraiment faire partie de l’histoire du lignage humain. Ces gens ont un rapport avec notre futur, à vrai dire. Je crois qu’ils sont ici pour qu’on garde le cap, et pour s’assurer qu’on ne fait rien pour détruire la planète ou nous entre-tuer.

George : Sont-ils étonnés qu’on soit si belliqueux, comme espèce ? On est toujours en guerre.

Emery : Oui, on est belliqueux et toujours en guerre, et très peureux aussi. D’où ils viennent, rien n’est fondé sur la peur. A leur niveau, on n’est pas inquiété par la guerre, par l’argent, par les maladies. Si on se débarrasse de tout ça, ce qui sera le cas bientôt, on sera une race plus productive. Et ça peut entraîner des choses merveilleuses. Et beaucoup de tout ça arrivera bientôt, une grande avancée pour nous tous ici d’ici quelques années.

George : De quel système planétaire sont-ils ?

Emery : Je ne sais pas exactement. Ils ne disent pas vraiment d’où ils viennent. Je présume juste qu’ils sont de quelque part dans les systèmes des Pléiades ou d’Arcturus, dans la constellation du Bouvier. C’est la seule chose avec laquelle je peux vraiment établir un lien. Ils ne disaient jamais : « Je viens de cet endroit. » Car un système stellaire, ça revient à dire : « Je viens de… »…

George : Troisième étoile…

Emery : Oui, vous voyez, quoi. Ça ne marche pas comme ça. Je n’ai jamais eu de conversation où ils m’ont regardé en disant : « Je suis untel et viens de cet endroit. » Jamais. C’étaient plus des conversations informelles, courantes et des choses comme ça.

George : Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez rencontré un extraterrestre ?

Emery : Oui, très bien.

George : Comment était-ce ?

Emery : Je ne savais pas que cette personne de l’équipe était un extraterrestre jusqu’à ce qu’il communique télépathiquement avec moi. Et il n’avait pas l’air différent de nous. J’ai dû croire un officier sur parole. Et on a fini le projet.

George : L’avez-vous cru ?

Emery : Oui, car lors des présentations, c’était, en gros : « Ravi de vous rencontrer. » C’est ce que j’ai ressenti au fond de mon cœur. Je lui ai répondu : « Ravi de vous connaître », mais je l’ai dit… en moi.

George : Dans votre tête.

Emery : Oui.

George : Et il vous a compris.

Emery : Immédiatement. La seule chose dont j’étais jaloux est qu’ils savent tout de moi, mais je n’ai pas la formation pour tout savoir sur eux. Ils ont donc une sorte de barrage qu’ils peuvent fermer ou ouvrir, pour pouvoir ne transmettre que certains aspects de la communication pour un bavardage courant, rien ne me permettant d’établir une connexion, de voir ce qu’ils voient.

George : Si le monde savait ce que vous savez, et c’est petit à petit le cas avec cette émission, à quel point seraient-ils choqués ?

Emery : Je crois que le jour où ça arrivera, quand il y aura peut-être quelque chose de tangible comme l’arrivée de navettes et d’êtres…

George : Quelque chose de visible…

Emery : Oui, de vraiment flagrant, que les médias ne pourront cacher. Je crois que les gens seront sous le choc pendant un temps. Et je crois qu’ils l’accepteront aussi. Il y aura, bien sûr, des gens négatifs et des fanatiques, et des « c’est mal », « ce sont des démons de Satan » et blablabla. Ce ne sera pas un problème. Car, comme je disais, pour établir la vérité, il faut observer ce qu’ils font. Il faut voir qui est cette nouvelle race qu’on rencontre, leur donner une chance, et voir ce qu’ils nous montrent, leurs vraies intentions.

George : Et vous avez bon espoir ?

Emery : J’ai très bon espoir, tout à fait, que lorsque ça arrivera, ça sera un événement positif, et ça nous aidera aussi à pousser notre civilisation technologiquement avancée à en finir avec la faim, avec le sans-abrisme, avec les maladies, avec la contamination des océans, et tout ça.

Du jour au lendemain, je crois qu’il y aura cette lente transition de la technologie et vers « Comment peut-on vous aider ? Comment peut-on aider votre planète ? ». Ça ne sera pas du genre : « Je veux tout votre or, votre sperme et vos ovules. » Non, ils en ont assez et peuvent en faire sous toutes les formes.

George : Quand ils veulent.

Emery : Oui, donc je ne vois pas à quoi ça servirait.

George : À un moment donné, il doit y avoir un accord entre les gouvernements et les extraterrestres pour que ça ait lieu. Comment cela s’est-il passé ?

Emery : Je ne crois pas que les extraterrestres aient besoin d’un accord pour être ici. Ils sont tellement avancés technologiquement et spirituellement. Ils n’ont pas besoin de dire qu’ils sont ici. Il pourrait y avoir un extraterrestre maintenant dans l’équipe de production, on ne le saurait pas.

George : Mais quelqu’un a dû organiser les rapports professionnels avec eux.

Emery : Comment pourraient-ils savoir qu’il y en a ?

George : Mais comment sont-ils engagés ?

Emery : Dans ces projets ?

George : Oui.

Emery : Comme je disais, ils se sont intégrés dans toutes les sociétés ici, observent juste ce qui se passe, et travaillent comme des individus normaux. Vraiment des individus normaux.

George : Ils ne disent pas qu’ils sont extraterrestres ?

Emery : Pas du tout. Personne ne le sait.

George : Mais attendez ! Tout ceux qui travaillent avec eux, personne ne sait qu’ils le sont ?

Emery : Je parle des extraterrestres en surface qui travaillent dans les grandes corporations et dans les gouvernements.

George : Personne ne le sait ?

Emery : Personne.

George : Ils se sont infiltrés, donc ?

Emery : Ils se sont infiltrés, dans le bon sens.

George : Pourquoi dans le bon sens, s’ils ne disent pas qui ils sont ?

Emery : Vous savez, c’est comme avec des parents surveillant leurs enfants. Est-il sinistre qu’ils les pistent sur leur téléphone ? Car ils…

George : Oui !!!

Emery : Ha ha ha ! …car ils doivent les protéger, et s’assurer qu’ils ne font rien de mal. Ils collectent donc des informations, et les niveaux de conscience et d’énergie de la société. Et de nombreux extraterrestres sont parmi nous de différentes manières, ce qui veut dire que ce n’est pas comme s’ils étaient tous des milliardaires à la tête des grandes entreprises. Je veux dire qu’il y en a qui sont plongeurs dans des restaurants, et d’autres, dirigeants de grandes entreprises. Ils sont partout, intégrés et qui nous observent.

George : Vous dites que certains vivent sous terre. Ça me semble être un système organisé. Qu’a-t-on là ?

Emery : Comme je disais, ces extraterrestres ont été capturés, se sont écrasés ici ou portés volontaires pour venir aider. Et ils se sentent plus en sécurité en travaillant au sein des projets sous terre, plutôt qu’en surface. Je veux dire que si on visitait une autre planète, avec des troubles en surface, et que votre visage avait été vu par le gouvernement et l’armée, quand on est un extraterrestre, c’est dangereux pour eux à la surface une fois qu’ils ont été exposés.

Le plan est qu’ils veulent rester là en bas. Ils veulent nous aider avec ces technologies. Ils veulent renforcer notre durée de vie et nettoyer la planète.

George : Avez-vous capté quelque chose quant à leur spiritualité, leur croyance en un dieu, ce qu’ils font ?

Emery : Oui, j’ai appris plusieurs sciences que je ne connaissais pas. J’avais déjà ce système de croyances. Pour mieux l’expliquer… c’est qu’on est éternels, et il n’y a pas vraiment de mort. La mort est physique, mais on ne meurt jamais vraiment. Une partie de nous est énergétique, qu’on l’appelle âme ou esprit, et qui perdure toujours. Et on a un peu de contrôle là-dessus, sur où on choisit d’aller dans la vie suivante.

Ils croient donc à cette éternité. Et ils croient aussi en la longévité. Si vous voulez vivre deux mille ans, vous le pouvez. Ils ont cette opportunité. Nous pas car on est sous cet horrible programme de contrôle de nos maladies et ils ne veulent pas que personne ne vive au-delà de 135 ans sur Terre, alors qu’on pourrait vivre quelques siècles de plus avec les technologies qu’on a aussi au niveau médical et qui ont été étouffées.

George : Les appréciez-vous, à titre personnel ?

Emery : Oui, je n’en connais pas un que je n’apprécie pas.

George : Comment arrivent-ils à certains postes pour travailler sur ces incroyables technologies ? Ils ne sont pas apparus, comme ça.

Emery : Peu importe leur origine, leur arrivée dans les projets et leurs contacts avec des leaders, ils savent… « Oh, il est doué en ingénierie, avec les groupes propulseurs. » « Il est doué en anti-gravité. » « Il est doué en biologie. » « Il est doué en génétique. » Ils ont une prédisposition et beaucoup d’entraînements, ces extraterrestres, et sont polyvalents et peuvent donc occuper différents postes. Ils peuvent aider à rétro-concevoir une navette un jour, et le lendemain, ils sont dans une salle d’opération.

C’est une dynamique très intéressante. Ils ont de nombreuses aptitudes. Je n’ai jamais appris, d’aucun d’eux, comment ils sont arrivés ici, depuis le début jusqu’à travailler avec moi. Mais je sais qu’ils avaient de nombreuses fonctions différentes qu’ils pouvaient exercer.

George : Emery, merci pour ces informations.

Emery : Avec plaisir, George.


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