Résonance

Les êtres galactiques et leur lien chromatique avec les terriens

À la demande des Maîtres ascensionnés, des Guides et des Hiérarchies en charge de notre évolution, des êtres sont accourus de lointains systèmes planétaires pour nous assister et nous permettre de mener le processus d’ascension à son terme.

Les missions des peuples qui ont accepté de voyager vers la Terre pour venir nous aider varient selon les qualités vibratoires spécifiques à leurs systèmes stellaires d’origine.

Certaines constellations, comme le système d’Orion, sont constituées de plusieurs infra-systèmes de densités vibratoires différentes, et peuplées de nombreuses espèces intelligentes dont certaines ont un aspect souvent éloigné du nôtre ; il y a des Géants blonds, des Humains qui nous ressemblent mais dont la chevelure est parfois rouge ou bleue, et aussi des Reptiliens, des Félins, des Hommes-oiseaux, des grands et des petits Gris.


Les êtres évolués d’Orion ont l’habitude de travailler sur des énergies dissonantes et ont réussi à maîtriser les forces chaotiques qui circulent à travers cette constellation. Ils sont capables de s’adapter facilement à notre environnement 3D et de rétablir l’harmonie dans les zones conflictuelles à l’intérieur desquelles les Terriens ont pris l’habitude de s’affronter et de se déchirer. Pour le moment, ils ne le font pas, car ils respectent notre libre-arbitre. Mais ils ont créé des algorithmes adaptés à notre humanité et numérisé l’ensemble des informations dont ils disposent et qui nous seront utiles au terme du processus ascensionnel, lorsqu’il nous faudra nous adapter à un nouvel espace-temps multidimensionnel.

Chaque civilisation des étoiles est liée à notre humanité par le biais d’une couleur du spectre chromatique.

C’est pour cette raison qu’il est écrit dans le Livre sacré du Zohar : « Sept Lumières il y a dans le Très-Haut. » Ces sept « Lumières » correspondent aux sept couleurs fondamentales qui entrent dans la composition de la Lumière Blanche : le Rouge, le Orange, le Jaune, le Vert, le Bleu, l’Indigo et le Violet. Ceci explique que les vaisseaux de la Grande Communauté soient connus sous le nom de « vaisseaux arc-en-ciel » et reconnaissables aux magnifiques couleurs qu’ils irradient dans le ciel lorsqu’ils se matérialisent dans l’espace-temps 3D.

Les êtres d’Orion travaillent principalement à l’aide de la couleur Jaune et utilisent sa bande de fréquences pour transmettre de l’information concrète sur l’énergie aux âmes humaines incarnées sur notre planète. D’autres peuples sont liés à d’autres fréquences.


Ainsi, les Alpha Centauriens et les Andromédiens travaillent plutôt sur les fréquences du Violet. Ce sont eux qui, dans notre univers, détiennent le plus haut niveau de Connaissance métaphysique et spirituelle. Ils sont considérés comme les « théoriciens de notre univers local » et ils sont venus jusqu’à nous afin d’élever les consciences humaines jusqu’à la dimension de la Lumière.

Ils transfèrent par télépathie des connaissances et des paradigmes à ceux de nos chercheurs qui refusent de se laisser guider par l’intérêt personnel et vibrent déjà en en harmonie avec les courants ascendants de l’évolution. La fréquence du Violet est la plus haute fréquence vibratoire du spectre chromatique ; le Violet permet à l’homme d’entrer en communication directe avec son Moi Supérieur et d’accéder aux informations disponibles sur les hyperfréquences.

C’est grâce à son lien avec la Flamme Violette que Nikola Tesla a accompli au siècle dernier l’essentiel de ses travaux et découvert l’existence de l’énergie dite « libre » qui est liée au rayonnement Ultra-Violet de la Matrice Solaire Universelle.

Les êtres de Sirius travaillent en liaison avec les Alpha Centauriens ; ils sont ici pour transférer les niveaux théoriques abstraits des concepts importés sur la Terre par les Alpha Centauriens et les Andromédiens vers des applications technologiques. Ils sont venus pour faciliter l’accès à la Connaissance et la rendre utilisable par le plus grand nombre possible d’habitants de notre planète.

Ce sont également de grands constructeurs. Les civilisations de l’ancienne Égypte furent édifiées grâce à Thot qui était lui-même originaire de Sirius. Thot et les Sirusiens qui l’accompagnaient avaient colonisé la région de l’actuel delta du Nil où ils étaient considérés comme des demi-dieux. Ils furent les guides des bâtisseurs des plus grandes pyramides et ce sont eux qui permirent à l’homme d’atteindre les plus hauts niveaux de Connaissance jamais enregistrés dans les annales historiques de la planète. Ils firent creuser des tunnels vers les mondes intérieurs et installèrent des portes vers les étoiles, ce qui leur permettait de communiquer aussi bien avec les civilisations stellaires qu’avec les habitants des cités de l’Agartha.

Ce sont ces même êtres de Sirius, liés à l’Esprit de la couleur Orange, qui sont de retour aujourd’hui pour aider à l’ascension de l’humanité et à l’avènement de la civilisation de l’Âge d’Or. Bientôt les secrets de la Grande Pyramide, dont certains sont déjà connus mais restent dissimulés au grand public par les égyptologues mafieux aux ordres des Fils de Bélial, seront révélés et accessibles à tous.

D’une manière générale, l’assistance des peuples des étoiles à l’humanité est d’ores et déjà massive, même si elle ne se voit pas encore. Elle est appelée à devenir bien plus importante qu’elle ne le fut jamais au cours des ères précédentes.

D’autres êtres sont venus de l‘Hydre. Ils sont liés au Rouge. Ce sont les artisans de notre galaxie. En hébreu, « Adom » signifie « Rouge » ; étymologiquement, Adam est l’homme rouge qui vient d’Adama (La Terre mère, l’Eden). Dans notre lointain passé originel, des colons de l’Hydre visitaient déjà la Terre. On les appelait « le Peuple de l’Argile ». Ils ont toujours excellé dans la transformation de l’énergie de la Terre en de nouvelles formes harmonieuses et adaptées à différents écosystèmes.

De nombreux Arcturiens figurent également au nombre de nos visiteurs. Ils sont liés au Vert. Ce sont des experts en agronomie. Ils se sentent proches de la Terre et des êtres humains et savent comment agir bénéfiquement sur la nature. Ils inspirent aussi les esthètes et les grands artistes, et poussent l’homme à aimer la terre et l’écologie. Ce sont eux qui sont à l’origine des extraordinaires cercles de cultures (crop circles) qui se sont multipliés au cours des dernières années, d’abord en Angleterre puis sur toute la planète.

Ces formes élaborées apparaissent désormais mystérieusement à chaque printemps en de nombreuses régions de la Terre dans les tiges des céréales, de telle manière qu’elles soient recourbées suivant des lignes de formes géométriques, mais jamais coupées ni détruites. Au cours des dix dernières années, plus de 5000 de ces cercles se sont matérialisés dans au moins trente pays différents. Les médias ont d’abord essayé de les faire passer pour des impostures, des œuvres fabriquées la nuit par un petit réseau de farceurs. Bien sûr, il y a eu de fausses versions, mais toutes celles réalisées de la main de l’homme sont incroyablement grossières en comparaison des merveilleuses œuvres d’art que l’on peut aujourd’hui admirer chaque année dans le sud de l’Angleterre.

Quant aux êtres de la Lyre par lesquels fut contacté le regretté Pierre Monnet, ils sont les ancêtres originaux de notre lignée d’évolution. Les Lyriens ont insufflé aux membres de notre humanité leur goût du mouvement, de l’aventure et de la liberté. Depuis la nuit des temps, les habitants de Véga ont accumulé les voyages et les expéditions vers les destinations les plus lointaines, et la plupart d’entre eux habitent en permanence à bord d’immenses vaisseaux. Ils ne connaissent pas « le mal du pays » et n’ont jamais ressenti d’attachement ni de nostalgie de leurs planètes d’origine. Ils sont en quelque sorte « les caméléons des étoiles » et s’adaptent parfaitement aux conditions de tout nouvel environnement.

De ce fait, ils ne sont pas liés à une fréquence chromatique particulière, ce qui ne les empêche pas de rayonner une lumière à la fois extrêmement vive et apaisante. Leur bande de fréquences est multicolore, ce qui en fait des champions de l’adaptation et donc des experts en multidimensionnalité. Leur objectif est de restaurer la liberté des peuples sur notre planète. C’est sous leur influence que les Terriens ont commencé à comprendre que les restrictions dans lesquelles nous sommes aujourd’hui confinés, proviennent non pas de ceux qui nous gouvernent mais de nos propres peurs et des limitations que nous nous sommes nous-mêmes créées.

Il faut également mentionner les Pléiadiens : ils vibrent principalement sur la bande du spectre qui s’étend du Bleu à l’Indigo léger. Ceci signifie qu’ils apportent la vérité et viennent pour débarrasser les hommes et les femmes de notre planète des illusions qui leur voilent la réalité et les empêchent de s’élever dans la Lumière.

Quand on parle des Pléiadiens et de leur rôle actuel dans notre transition vers la quatrième puis la cinquième dimension, on fait généralement référence aux êtres originaires de l’amas M 45, c’est-à-dire des « lointains » systèmes d’Alcyone, d’Astérope, de Mérope, de Taygète, de Maya, d’Électre ou de Sélène, mais on pourrait tout aussi bien parler des Terriens, puisque notre planète fait partie non seulement du système solaire mais d’un système bien plus vaste orbitant autour de son étoile-mère, qui n’est autre qu’Alcyone.

Nous en avons perdu la mémoire, et nous ne nous en rendons pas compte, parce que le mouvement de notre Soleil autour d’Alcyone est extrêmement lent : alors qu’il faut 365 jours à la Terre pour accomplir sa révolution autour du Soleil, il faut 26.000 années terrestres au Soleil pour accomplir la sienne autour d’Alcyone. Et ce n’est pas une théorie New-Age ; c’est un fait connu et accepté par les scientifiques, un fait astronomique. Ce qui veut dire qu’en réalité, notre Soleil est connecté aux Pléiades et que par conséquent nous sommes nous aussi d’une certaine manière des Pléiadiens !

Même si cela peut sembler ridicule, c’est une réalité absolument véridique que toutes les tribus amérindiennes connaissent depuis toujours : nous sommes liés aux Pléiades ! Les Amérindiens ont toujours eu la conscience de ce lien particulier qui unit l’humanité terrestre aux Pléiadiens. Ils contribuent également à changer le rythme de la planète en y introduisant de nouvelles formes de musique que nous commençons à expérimenter.

D’autres peuples des étoiles figurent également au nombre de nos visiteurs.

Mais ceux-là ne font pas partie de notre Famille Arc-en-ciel ; ils se sont plutôt manifestés jusqu’à présent en tant que prédateurs, nous considérant au mieux comme des esclaves dont ils seraient les propriétaires, au pire comme du bétail.

Ce sont généralement des races dominatrices, mais ils ne s’intéressent pas tant aux êtres humains qu’aux richesses de notre planète. Dans cette catégorie figurent les grands et les petits Gris, les Reptiliens, les Draconiens, ou encore les Anunnaki.

Les Gris ont de grandes capacités psychiques ; ce sont des conquérants, pour ainsi dire obsédés par leur incessante quête de nouvelles découvertes ; ils aimeraient tout connaître et tout contrôler, Ils savent induire psychiquement des pensées, nous manipuler, et en rejoignant notre système solaire, la plupart d’entre eux avaient initialement comme but, plus ou moins avoué, de nous réduire en esclavage et à plus long terme, de se coupler génétiquement à nous pour créer une nouvelle race.

Ils se sont longtemps livrés à des abductions, et ils l’ont fait sans état d’âme, parce qu’ils nous considéraient au départ comme de simples spécimens d’étude, ni plus ni moins que des cobayes de laboratoire. Mais c’est aussi une race influençable. Au contact de notre humanité, les plus évolués d’entre eux, les grands Gris d’Orion ont commencé à prendre conscience de la vanité des objectifs qu’ils s’étaient fixés jadis. Ils ont réalisé que l’on ne peut pas évoluer uniquement grâce à la technologie et envisagent à présent de réaliser des échanges constructifs avec les humains.

Les grands abductés comme Jim Sparks ont ainsi eu l’occasion de vérifier au cours de leurs enlèvements successifs que non seulement leur attitude envers nous était en train de changer, mais que certains utilisaient désormais leur remarquable intelligence pour nous aider, même s’il le font essentiellement par intérêt personnel. Ils ont en effet compris qu’ils n’avaient aucun intérêt à ce que l’homme détruise sa planète, et ils essayent désormais de nous présenter des solutions pour nous tirer de notre bourbier.

Jim Sparks s’est retrouvé plusieurs centaines de fois embarqué contre son gré à bord d’un vaisseau alien. Mais peu à peu, une forme de coopération s’est installée. Il a notamment réalisé que ces enlèvements à répétition qu’il avait subis n’avaient été possibles que parce qu’il les avait lui-même acceptés, en tant qu’âme, avant de venir s’incarner sur notre planète. Les Gris d’Orion lui ont expliqué que l’humanité se trouvait actuellement dans une impasse, et qu’elle n’avait à sa disposition que deux moyens pour s’en sortir :

PARDONNER AUX ILLUMINATI ET SAUVER LA FORÊT AMAZONIENNE

Cela peut sembler surprenant, incongru même, mais une interview accordée en 2007 par Jim Sparks à Bill Ryan permet de mieux comprendre la pertinence de cette recommandation.

EXTRAIT DE L’INTERVIEW DE JIM SPARKS

Jim Sparks : « Ce que je vais vous dire à présent n’est pas mon idée. Cette idée m’a été transmise par ces êtres (Gris d’Orion) avec lesquels j’ai été en contact pendant de nombreuses années.

Il y a aujourd’hui deux choses importantes à faire. La première est une amnistie. Une amnistie qui concernerait l’ensemble des personnes qui travaillent dans ou pour le compte des agences, qu’elles aient pignon sur rue ou non, comme celles qu’on appelle habituellement les « Black Ops », c’est-à-dire les organismes qui exécutent les opérations clandestines, parce qu’il y a les gouvernements secrets, les clubs secrets – appelez-les comme vous voulez – tous ceux qui ont des relations contractuelles, entre humains et espèces ou groupes à intelligence non-humaine et qui, avec l’aide de ces créatures, ont mis au point des technologies comme l’énergie libre.

Je veux être aussi pragmatique que possible. Il n’y a rien de mal à croire que tous nos problèmes finiront par s’arranger comme par enchantement, mais moi j’ai choisi d’être pragmatique. Il existe réellement des technologies qui peuvent changer la face de la planète, telle que nous la connaissons. Et si nous nous donnons les moyens de les utiliser, pour la première fois de l’histoire de l’humanité, nous deviendrons des êtres libres et capables d’évoluer.

Le problème de notre espèce, c’est que nous comptons trop sur une influence ou des sources extérieures pour nous sauver. En tant qu’espèce, nous avons beaucoup de difficulté à regarder à l’intérieur de nous-mêmes et à nous dire : « Ne comptons pas sur Dieu pour le faire à notre place. » Je ne veux pas dire que Dieu n’existe pas, ni qu’il n’existe aucun Grand Esprit capable de le faire à notre place. Mais c’est nous-mêmes qui devons le faire. Et il faut que nous le fassions.

Il existe ici des technologies secrètes, de l’énergie libre, qui nous permettraient de préserver davantage et même de sauver notre environnement. Mais ces techniques sont entre les mains de ces organisations secrètes, de ces « Black Ops » qui refusent d’en révéler l’existence sous prétexte de défense et de sécurité.

Il faut que ces choses se sachent, et pas seulement à cause du réchauffement climatique. Nous avons d’abord de sérieux problèmes avec la forêt tropicale, et aussi avec la pollution océanique. Et je pourrais continuer des heures à vous énumérer la liste de nos problèmes environnementaux. Elle est malheureusement longue ! Donc, il faut que toutes ces choses apparaissent au grand jour.

Aux yeux de ces êtres extrêmement intelligents et expérimentés qui m’ont « accueilli » dans leurs vaisseaux et avec lesquels je suis en contact, c’est très clair : la meilleure solution, c’est de créer la possibilité d’une amnistie, parce que dans ces « Black Ops », ces gouvernements secrets et autres, il existe une majorité grandissante de gens qui veulent mettre ces informations et ces techniques sur la place publique. Mais très franchement, et on peut les comprendre, ils n’ont pas envie de le faire si c’est en risquant d’y laisser leur peau. Ils ne veulent pas être exécutés, passer devant les tribunaux, comme malheureusement tous ces gens qui ont été discrédités, assassinés, mutilés, au nom de la sécurité nationale. La plupart du temps, il s’agissait d’ailleurs de citoyens innocents et respectueux de la loi, spécialement au cours des années 1950 et 1960.

S’ils décidaient maintenant de tout révéler, voilà ce qu’on leur dirait : « Oh, c’est vous le responsable de la mort de mon père ? », « Oh, c’est vous le responsable du décès de ma tante ? », « Oh, vous êtes responsable de ceci ou cela », parce que cela fera partie des révélations ! Il ne faut pas toucher à ces gens-là. Il faudra qu’ils aient la possibilité de tout divulguer à 100 % sans courir de risque. J’ai encore du mal à utiliser le mot « pardonner », mais il faudra qu’on leur pardonne et qu’on oublie leurs crimes, pour que ces techniques puissent être divulguées, qu’elles puissent nous sauver et contribuer à nous empêcher de continuer à faire ce que nous faisons à cette planète.

Parallèlement, il y a une mission que je considère comme particulièrement importante et qui concerne la forêt tropicale. Pourquoi la forêt tropicale ? Parce que ce sont les poumons de la planète. C’est ce qui lui permet de se nettoyer et de se recycler. Nous lui avons fait beaucoup de mal. Et maintenant, cela a des répercussions sur ses organes internes, et aussi sur le réchauffement climatique. La forêt tropicale est extrêmement importante, et nous ne devons plus accepter de la voir continuer à être agressée et à régresser.

Ce qu’il faut faire, c’est accomplir un projet concret, au niveau mondial, auquel le monde entier participe et dont nous puissions constater les résultats concrets : il faut inverser la tendance et permettre à la forêt de retrouver sa santé et de rejouer son rôle.

Une fois ceci accompli, nous saurons que nous sommes capables de faire quelque chose en tant qu’espèce, tous ensemble, les 7,5 milliards (en 2017), ou du moins que beaucoup peuvent s’impliquer dans des changements aussi extrêmes que celui d’infléchir la direction prise par notre avenir. Ce qui rendra plus facile de s’attaquer aux autres défis.

Quand ces êtres (les Gris d’Orion) nous survolent et nous regardent en tant qu’espèce, ils voient un nid de frelons. Les frelons vivent peu de temps, ils se mangent, ils se battent et se massacrent entre eux. Ils sont incapables d’accomplir quelque chose ensemble. Alors ils ne comprennent pas.

N’oubliez pas que ces êtres interviennent de toutes les manières possibles depuis des dizaines de milliers, sinon des centaines de milliers d’années pour nous faire évoluer. Tout ce qui était possible a été essayé, tout ce qui existait sous le Soleil, sous les étoiles. Mais nous sommes restés toujours les mêmes ; c’est notre nature. Et nous resterons les mêmes aussi longtemps que nous refuserons d’agir ensemble.

Bill Ryan : Est-ce que l’avenir est fixé, ou bien parlons-nous seulement de probabilités ?

Jim Sparks : Si vous laissez un fleuve couler, il va suivre son cours et tout est fixé. Si vous décidez que le temps est symbolisé par ce fleuve, s’il est représenté par un long fleuve qui coule, il faut, pour modifier le cours de ce grand et puissant fleuve, inflexible et prévisible, déployer une énergie considérable pour le dévier un tant soit peu. Donc si vous laissez le fleuve suivre son cours naturel, le temps continuera à s’écouler comme avant et la situation continuera à empirer.

Bill Ryan : Où va le fleuve en ce moment même ?

Jim Sparks : Eh bien, pas en ligne droite ! Si rien n’est fait, seule une poignée de gens, par rapport à la population actuelle de la planète, survivra à tous les dégâts environnementaux. Juste une poignée ! Et après bien sûr, l’évolution reprendra son cours et nous nous repeuplerons. Oui, nous réussirons, mais tout le monde ne réussira pas à franchir le cap.

Or, que voulons-nous voir ? Nous voudrions nous voir tous franchir ce cap. Mais ce n’est pas du tout facile à faire, parce qu’il est difficile de changer le cours du fleuve du temps. Il est fort, il est réactif, il veut reprendre son cours d’avant. Le temps, une fois fixé, veut rester comme il est. On peut le modifier. Mais, malheureusement, nous sommes sur une voie plutôt pourrie, celle de la destruction de notre planète !

Bill Ryan : Est-ce qu’on vous a présenté un avenir possible ou probable en guise d’avertissement ? Du genre : « Voilà où nous allons si nous ne changeons pas le cours de ce fleuve. » Est-ce qu’on vous a montré quelque chose comme ça ?

Jim Sparks : Sans entrer dans les détails… Lorsque nous aurons évolué, nous nous repeuplerons. L’objectif, c’est que la plupart d’entre nous, sinon tous, y arrivions.

Bill Ryan : Les choses vont-elles aller plus mal avant d’aller mieux, et faut-il nous montrer dignes du défi ?

Jim Sparks : Oui, absolument. Quand et comment les choses vont se dégrader ? Pas besoin de beaucoup d’imagination. Vous le savez dès que vous commencez à regarder le niveau de CO2 ou à quoi ressemble la forêt tropicale… Je pourrais vous parler des heures de l’environnement. Nous pouvons nous en sortir parce que nous avons l’intelligence, les ressources brutes, les technologies qu’on nous cache. Mais à notre stade actuel, il faut que ces choses sortent, et qu’elles changent la face de la Terre, telle que nous la connaissons.

Bill Ryan : Quel message aimeriez-vous laisser à ceux qui nous regardent, si vous étiez en position de dire quelque chose dont tout le monde se souviendrait, ou qui pourrait servir de base d’action ? Qu’est-ce que ce serait ?

Jim Sparks : Regardez en vous et voyez, voyez bien où nous en sommes. Visualisez la Lumière dans votre esprit, visualisez-la dans votre cœur, visualisez-la dans votre âme. Imaginez-nous tous en train d’y travailler, voyez-nous comme une espèce qui a évolué. Passez en esprit de l’endroit où vous êtes actuellement à celui où vous nous voyez évoluer, dans un environnement merveilleux. Par quelles étapes passer pour que nous y arrivions, ou pour que j’y arrive, et comment je peux aider à nous faire y arriver en tant qu’espèce ? »

Jim Sparks
Interview de Bill Ryan

À partir du moment où nous aurons réellement compris cette nécessité de pardonner aux autres et de nous pardonner à nous-mêmes, nous commencerons à intégrer la vibration de la quatrième et surtout de la cinquième dimension. Nos peurs disparaîtront. Nos comportements changeront. La sagesse s’installera. Nous trouverons le moyen de sauver notre planète et sa forêt. Et nous vérifierons que le meilleur nous est promis et destiné depuis toujours. Olivier de Rouvroy


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