Nouveau paradigme

Changer l’orbite Terre-Lune: La question piège à l’ordre du jour

Un membre du Congrès propose de changer l’orbite de la Lune pour lutter contre le changement climatique…

Alors que le Plan majeur de la Force Spatiale est de dominer les orbites Terre-Lune pour faire face aux Programmes Spatiaux Secrets rivaux, le Congrès avance timidement une volonté d’avoir accès à la maîtrise de cet orbite Terre-Lune, pour le BIEN de l’humanité et mettre fin à cet hypothétique Changement Climatique. On se demande pourquoi Greta Thunberg n’y avait pas pensé…!

Le 10 août 2020, à l’ère de Trump, la Force spatiale a affirmé qu’elle considérera l’espace extra-atmosphérique comme un domaine de combat dans lequel la force militaire sera projetée dans les environnements orbitaux Terre-Lune pour protéger les intérêts nationaux, et la sécurité des États-Unis, la mettant en concurrence avec les forces aérospatiales rivales établies par la Chine et la Russie, mais aussi et surtout, l’obligeant à un conflit avec des programmes spatiaux secrets gérés par un consortium ténébreux de sociétés transnationales et une «flotte noire» encore plus insaisissable.

Ce SSP secret a été dénoncé par plusieurs initiés comme appartenant à une colonie séparatiste allemande qui a été transférée de l’Antarctique à Mars, entraînant avec elle des millions de personnes recrutées par de fausses incitations ou contraintes à une vie de travail forcé.


Et, tout à coup, alors que les révélations OVNI promises tardent à arriver, voilà que le Congrès veut gérer l’orbite Terre-lune, mettant en avant le fameux changement climatique. Nous avons vu, dans un article précédent, à quel point les révélations OVNI officielles sont dangereuses pour l’État Profond.

En 1962, John F. Kennedy a déclaré suite à la publication Space Capstone :

Les yeux du monde regardent maintenant dans l’espace, la lune et les planètes au-delà, et nous avons juré que nous ne le verrons pas gouverné par un drapeau de conquête hostile, mais par une bannière de liberté et de paix.

Plan de la Force Spatiale pour dominer les orbites Terre-Lune face aux SSP rivaux

Le Congrès veut mettre la Lune au bout d’un lasso

Louie Gohmert, membre du Congrès, a suggéré une approche inhabituelle pour lutter contre le changement climatique au cours d’une récente audition : modifier en quelque sorte l’orbite de la Lune afin de changer le temps qu’il fait ici sur Terre.

Selon NBC News, M. Gohmert, qui s’oppose fermement aux mesures de lutte contre le changement climatique, a interrogé Jennifer Eberlien, chef adjoint associé du service forestier, lors d’une audience de la commission des ressources naturelles de la Chambre des représentants. Et comme vous l’avez probablement deviné, son enquête n’était pas une gaffe sincère mais malencontreuse, mais plutôt une tentative de mauvaise foi de faire dérailler la législation sur le climat – avec toutes les prouesses de troll d’un préadolescent dans une section de commentaires de Facebook.


Gohmert est catégorique sur le fait que l’activité de l’humanité n’est pas responsable de l’évolution de l’environnement, c’est pourquoi il a évoqué les changements naturels de l’orbite lunaire comme bouc émissaire ou comme excuse pour ne pas adopter de législation sur le climat.

« Je comprends, d’après ce qui a été témoigné au Forest Service et au [Bureau of Land Management], que vous souhaitez vivement travailler sur la question du changement climatique », a déclaré M. Gohmert.

« J’ai été informé par le directeur sortant de la NASA qu’ils ont découvert que l’orbite de la Lune change légèrement, tout comme l’orbite de la Terre autour du Soleil », a ajouté Gohmert, en faisant référence à Jim Bridenstine, qui avait également été un négationniste du climat avant son passage à la NASA.

« Nous savons qu’il y a eu une importante activité d’éruptions solaires. Et donc, y a-t-il quelque chose que le National Forest Service ou le BLM puisse faire pour changer le cours de l’orbite de la lune ou de l’orbite de la Terre autour du soleil ? De toute évidence, cela aurait des effets profonds sur notre climat. »

Repousser les limites

La NASA a riposté à Gohmert, en fournissant une déclaration à NBC qui déboulonne les affirmations du représentant américain.

« Les changements climatiques passés induits par de petites variations de la position de la Terre par rapport au Soleil, connus sous le nom de cycles orbitaux ou de Milankovitch, se déroulent sur des dizaines de milliers d’années », a déclaré l’agence.

« Ces cycles orbitaux ne produisent pas les changements que nous observons dans nos enregistrements climatiques par satellite et en surface, notamment un réchauffement rapide et des niveaux de CO2 sans précédent depuis des millions d’années. »

« Les preuves scientifiques montrent que les émissions humaines de gaz à effet de serre », poursuit le communiqué, « principalement par la combustion de combustibles fossiles et l’utilisation des terres, sont à l’origine du changement climatique actuel. »

Si la question du représentant républicain a été moquée sur les réseaux sociaux, notamment par l’un de ses collègues démocrates qui a tweeté que seul le personnage de Captain Marvel était capable de modifier les orbites planétaires «avec ses super-pouvoirs», certains ont mis en doute ses intentions. Malgré son air sérieux, il se pourrait en effet que la proposition de Louie Gohmert soit sarcastique, ou cache carrément un autre objectif secret…

L’Assistance gravitationnelle

L’assistance gravitationnelle ou appui gravitationnel ou fronde gravitationnelle, dans le domaine de la mécanique spatiale, est l’utilisation volontaire de l’attraction d’un corps céleste (planète, lune) pour modifier en direction et en vitesse la trajectoire d’un engin spatial (sonde spatiale, satellite artificiel…).

L’objectif est d’utiliser ce phénomène pour économiser le carburant qui aurait dû être consommé par le moteur-fusée du véhicule pour obtenir le même résultat. Toutes les sondes spatiales à destination des corps célestes éloignés de la Terre ont recours à cette méthode.

Il existe donc, une stratégie pour voyager d’une planète à une autre en économisant du carburant, elle consiste à faire entrer une sonde dans ce que l’on appelle la sphère de Hill. La Terre possède une sphère de Hill par rapport au Soleil dans laquelle se trouve la Lune, et il en est de même pour la Lune elle-même par rapport à la Terre et au Soleil, ainsi que pour les autres planètes comme Jupiter et Vénus.

Lorsqu’une sonde entre dans une sphère de Hill avec une vitesse suffisante pour ne pas y rester, sa vitesse augmente comme le ferait une bille tombant dans une cuvette, avant de diminuer à la sortie de la cuvette. On pourrait croire que le bilan est nul, mais du fait du mouvement de la planète possédant une sphère de Hill, il devient possible d’emprunter une partie du moment cinétique orbitale de la planète pour doter la sonde d’une impulsion supplémentaire si l’on s’y prend bien. En passant de planète en planète, une sonde peut donc accélérer pour atteindre des vitesses considérables sans utiliser de carburant et parcourir des distances beaucoup plus rapidement.

Partant du fait que notre planète est comme un vaisseau spatial, il doit certainement y avoir un moyen de modifier l’orbite Terre-Lune…

Ne me demandez surtout pas comment !…

Est-ce que l’activité du vivant sur Terre influe sur l’orbite Terre-Lune?

Je suis incapable de le confirmer, mais si c’est le cas, nous aurions bien une corrélation entre cet orbite et un éventuel changement climatique.

Nous sommes en train d’assister au tout début de révélations surprenantes dont nous ne sommes pas encore capables d’évaluer ou même de comprendre la portée.

Mais ce que nous sentons, intuitivement, c’est qu’à force de guerres secrètes, nous allons finir par découvrir le pot aux roses du jardin des dieux de l’Olympe mondialiste.

Miléna


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