Le voyage dans le temps est un, sinon le plus grands, des thèmes de la science fiction.
La notion de se retrouver propulsé dans les couloirs du temps grâce à une machine spécifique et de se mouvoir dans le passé ou bien découvrir le visage du futur serait un rêve humain extrêmement fascinant qui pour l’instant n’appartient qu’à la science fiction.
Pourtant la première spéculation du voyage dans le temps se retrouve dans le cycle Arthurien car parmi les quarante chevaliers il y en avait 12 autour de la table ronde qui exploraient les oracles du passé.
La croyance des Celtes intégrait des passages dans les mondes parallèles, à partir des lieux, de sépultures, des tertres ou de certains sites qu’ils considéraient comme sacrés.
Tout comme les Chevaliers du Temple se disaient « les gardiens d’un autre monde ». Peut-on envisager que les anciens pour ce faire empruntaient des « trous de vers » ? La relativité générale nous indique qu’il existerait des aspects dans lesquelles deux trous noirs sont reliés l’un à l’autre.
Une telle configuration est couramment appelée trou de vers ou plus rarement pont d’Einstein-Rosen. Peut on en fait envisager qu’il existe des sortes de « Stargate » dans le monde et ce depuis la nuit des temps ? Ces portes existeraient bel et bien sinon comment expliquer la croyance des Egyptiens dans le livre des Morts ou dans le même ouvrage des tibétains ? Ces peuples avaient une connaissance parfaite d’autres dimensions comme le prouve dans la vallée du Nil, le Livre des Portes ou Livre de la Douat.
Curieusement ces ouvrages n’étaient pas destinés au défunts, mais au vivants, pour leur apprendre à travers une initiation spécifique à découvrir les chemins qui conduisent à l’Orient Eternel, à la Grande Lumière !
Et si les O.V.N.I. étaient des vaisseaux de croisières?
Stephen Hawking , à qui l’on doit entre autre l’excellent ouvrage « L’univers dans une coquille de noix », pense que le voyage temporel ne se fera pas car selon le physicien on aurait alors eu des visites de nos descendants : une boucle temporelle ne permettrait de remonter dans le temps que jusqu’à sa création, autrement dit, créée en 2300 et utilisée en 3000, elle ne permettrait de revenir qu’en l’an 2300 et pas avant mais l’avenir nous réserve peut être des mystères que l’on ne soupçonne même pas à notre époque ?
Imaginons la théorie suivante : Ce que nous prenons pour des O.V.N.I et que nous assimilons peut-être à tort, pour nombre d’entres eux, à des engins issus de civilisations extraterrestres, seraient en fait des vecteurs spatio-temporels !
Nous ne devons pas oublier que leur présence dans notre espace est plus qu’improbable, car nous sommes sûrement les seuls dans un rayon de plusieurs milliers, voir millions d’années lumières. Est-ce que les O.V.N.I. Pourraient être des vaisseaux arrivants directement de notre futur, croisant notre ciel à divers époques, pour franchir l’aiguillage d’un trou de vers (ou un vortex) de l’espace temps menant bien plus loin dans un passé que nous ne pouvons pas imaginer.
Cela n’expliquerait pas toutes les manifestations observées par de nombreux témoins, mais cependant, elles le suggèrent, car nous n’avons pas la moindre idée de la façon dont le futur se déroulera, et de la manière dont l’humanité évoluera dans les prochains siècles.
Si la technologie va encore bouleverser notre quotidien et permettre aux hommes de vivre dans un monde meilleur. Soyons optimistes !
Imaginons que les O.V.N.I. viennent directement d’une époque future, où les voyages dans le temps pourraient être organisés comme de simples croisières » ayant pour destinations les époques les plus importantes de notre histoire. Nous serions survolées comme on ferait une croisière sans escales sur les mers.
Présumant que les peuples du futur aient imposés une règle d’or selon laquelle tous contacts physiques sont prohibés avec les époques et les gens qu’ils rencontrent afin de ne pas intervenir dans leur l’histoire est une hypothèse plausible… Rien que le fait d’intervenir dans le passé et d’y faire ne serait-ce qu’un pas dans l’herbe entrainerait inexorablement un paradoxe, c’est-à-dire la création d’une nouvelle branche du temps présent !!!
Univers Parallèles, paradoxes et particules subatomiques
L’idée des univers parallèles est originaire de l’étude des particules subatomiques.
Car, selon le physicien David Deutsch, « une particule subatomique peut se transformer en une autre ou en deux autres, plusieurs particules peuvent fusionner pour n’en devenir qu’une seule. Parfois une particule subatomique en déplacement change de direction sans raison observable. L’univers que nous voyons n’est qu’une partie de la réalité physique. Il existe des univers parallèles et chaque particule de notre univers, possède un homologue dans les univers parallèles, et dans certaines conditions ces homologues affectent les particules que nous voyons. Les univers interagissent en permanence les uns avec les autres.
Alors pour l’instant les voyages dans le temps avec le manque de sagesse dont font preuve les hommes, et en admettant qu’ils en aient la capacité technologique et morale ne sont que des rêves sans lendemain !
En supposant avec beaucoup d’imagination, que le voyage dans le temps soit réalisable. Nous aurions nécessairement besoin des données de la Mécanique Quantique pour comprendre par exemple ce qui se passerait si nous remontions dans le passé. En effet, l’explication est : que le voyageur du temps se retrouverait dans le passé d’un autre univers…
Au cours les années 1940, l’ingénieur astronome Emile Drouet écrivit dans son manuscrit « Notes sur le voyage dans le temps » l’équation qui selon lui rendait possible les voyages spatio-temporels mais hélas le manuscrit ne fut jamais publié ! (Seul Robert Charroux en avait un exemplaire).
Il avait imaginé une capsule astronomique qu’il avait appelée, le « Tore », cette dernière était propulsée de l’équateur par la force centrifuge de la terre (à sa même vitesse de rotation, c’est à dire 108 000 Km/heure) « le Tore » serait un engin parfaitement réalisable, infiniment plus rationnel, plus intelligent, plus scientifique que l’ont été les spoutniks russes et que le sont les vecteurs spatiaux américains.
Il pensait qu’en plaçant sur la capsule un radar à modulation de fréquence la mettant en accord avec la longueur d’onde temps définie (à l’instar des particules subatomiques, les neutrinos, qui sont des traces fantômes nous traversant de part en part) sur le trajet que décrit la terre autour du soleil, l’ensemble tournant en spirale dans le cosmos, de sorte que le temps devient une chaîne vibratoire de successions d’images qui naissent et meuvent sans relâche (à la manière d’une bande magnétique sans fin sur laquelle se trouvent une multitude de pistes cryptées et que la terre agisse comme une tête de lecture diffusant toutes les pistes en même temps afin que notre cerveau agisse comme un récepteur capable de décoder et d’en lire qu’une seule à la fois.
D’après le physicien et écrivain Michio Kaku, de l’Université de New York, dans moins d’une centaine d’année, les hommes seront capables de fabriquer des fusées à même de nous transporter à la vitesse de la lumière, là où le temps commence à ralentir. Ceci, grâce à des moteurs à ions (atomiques) ou à des photons (électromagnétiques)
Mais il faut être logique, le corps humain ne sera pas capable de supporter la vitesse lumière car celui-ci serait carbonisé et désagrégé bien avant d’atteindre les 300.000,00 kilomètres seconde en tenant compte également, entre autres du problème de la théorie gravitation quantique selon laquelle : la matière, l’espace et le temps sont incertains.
Nous n’avons plus qu’à construire un module indépendant dans une fusée et il faudra également que ce module n’ait aucun contact avec la fusée ; qu’il y ait une sorte de champs électromagnétique pour le stabiliser et empêcher tout frottement avec celle-ci mais la route sera très, très longue avant que nous parvenions à une telle technologie…
Lumière et relativité
« La théorie de la relativité ne s’applique pas seulement à la lumière, puisqu’il faut inclure une loi fondamentale qui est la gravitation et les mouvements des corps célestes. »
L’explication de cette théorie et ces fondements mathématiques ont été repris par Einstein sur d’autres savants : Kepler, Newton, etc…
La notion d’espace-temps qui fut développée par de nombreux scientifiques, était déjà connue depuis fort longtemps et ouvertement relayée par la physique quantique.
Alors qu’Albert Einstein n’admettait pas celle-ci, avec ses collègues « Podolvskyet Rosen», ils ont inventés un paradoxe qui porte leurs noms : la trajectoire d’une particule ne peut être définie à l’avance. C’est l’observation qui identifie la traçabilité, mais attention cette particule existe bien sur dans l’espace en dehors de toutes considérations humaines.
De même pour la lumière qui voyage dans l’univers sans se préoccuper de l’épisodique présence éphémère d’une entité. Dans l’univers le temps n’existe pas mais des temps intrinsèquement liés au système de coordonnées du lieu observé. A défaut de ne pouvoir imaginer « le voyage dans le temps ».
La première machine à voyager dans le temps
On sait par contre que le temps n’existe plus à l’intérieur d’un trou noir et c’est dans ce sens que le professeur Ronald Mallett est en train de chercher un stratagème susceptible de transcender l’ « impossible ». Ce scientifique est convaincu d’aboutir à la mise au point d’une machine à voyager dans le temps, fonctionnant réellement. Le point culminant, de toute une vie, qui fut bouleversé par le décès de son père à la suite duquel, il trouva refuge dans le monde de la science fiction. Il décida de construire une machine à voyager dans le temps, pour lui permettre de remonter le passé et sauver la vie de son père. Telle fut l’unique motivation du jeune garçon.
Selon le professeur Mallett, avec les techniques actuelles, il est possible d’envoyer des particules Subatomiques dans le passé. Ses fondements, furent exposés dans la presse scientifique, qui lui réserva un accueil enthousiaste. Renvoyer des informations depuis le futur permettrait de gagner au loto ou de connaître les résultats du tiercé. Et le plus saisissant, serait d’envoyer des connaissances scientifiques depuis le futur !
La subjectivité du temps est la chose la plus étrange qui soit, mais on sait depuis longtemps qu’en théorie que « le voyage dans celui-ci est possible ».
Pourtant, on ignorait comment ? Ce que Mallett propose, c’est un moyen de construire une machine à voyager dans la durée. Il espère ainsi, pouvoir créer un appareil qui utilisera le principe de la variabilité du temps pour envoyer des particules dans le passé.
Selon certains physiciens, « le fait est qu’une particule voyage plus vite que la lumière, tourne sans fin en boucle fermée dans le temps et l’espace. »
Mais hélas, la mise en évidence des physiciens sur le phénomène ne repose sur aucune observation réaliste dans le temps. Les accélérateurs de particules et autres Synchrotrons ne sont pas capables d’observer cela à la demande du chercheur et pour cause, il n’y a pas de modèles théoriques.
Pas plus qu’on ne peut définir le temps d’une boucle fermée car le temps de la particule est toujours différent du notre, et cela reste au niveau corpusculaire comme pour les autres systèmes de coordonnées, le calcul de Redshift par exemple ne prend pas en compte l’épuisement de la vitesse lumière, qui d’après Fred Hoyle joue sur le décalage dans le rouge et l’estimation de l’âge de l’univers. Et suivant cette logique beaucoup de chose sont à revoir.
La deuxième machine à voyager dans le temps
Des chercheurs israéliens auraient mis au point une machine expérimentale qui reproduit un espace-temps. La machine pourrait permettre dans l’avenir les voyages dans le passé et le futur. Le principe même de cette machine c’est qu’elle devient elle-même « un espace-temps ».
En créant une telle machine aujourd’hui, le retour serait réalisable dans notre temps aux générations futures. Mais il serait impossible d’aller dans notre passé, parce que nos prédécesseurs n’ont pas créé ce type d’infrastructure pour nous et c’est bien là le ce qu’explique le professeur Ronald Mallett.
Si machine il y a, dans le futur il ne sera possible de revenir qu’au moment du passé ou la machine aura été mise en route…
Guy Tarade et Christophe Villa-Mélé
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