Conscience

Ce que pensent les partisans de Trump

A partir d'un article de Susan D. Harris sur Le Penseur Américain

Encore une fois, je veux porter l’attention des lecteurs sur la méconnaissance totale de la volonté réelle de Trump et de ses partisans, que nous présente aujourd’hui Alexis Cossette de Radio-Québec qui outre, qu’il bégaie intensément lors de ses webjournaux depuis le 7 octobre 2023, raconte n’importe quoi sur un sujet qu’il ne connaît définitivement pas.

Alexis Cossette que j’écoutais passionnément autrefois sur des sujets que je ne maîtrisait pas, a perdu toute crédibilité aujourd’hui, car en dépit du fait qu’il veut démontrer que nous allons vers une paix mondiale, ce que je conçoit, il présente des faits réellement dramatique (j’en suis témoin), comme étant de la propagande mensongère.

Sa prestation est non seulement hors de propos, elle démontre tout simplement qu’il a peur de perdre la plus grande partie de son audience qui, nous le savons, est prompte à qualifier Israël et les juifs, comme responsables de tous les maux qui sévissent sur notre planète.


Nous sommes réellement dans une guerre des Fils de la Lumière contre les Fils des ténèbres et ceux qui se trouvent au milieu sans comprendre vraiment ce qui se passe sont dans un leurre total.

Susan D. Harris écrit  dans American Thinker Oct 2023 :

« J’en ai assez d’entendre dire qu’un soutien passionné à l’ancien président Donald Trump signifie qu’on le vénère comme son sauveur et qu’on le salue comme son roi. Personnellement, j’interprète de telles accusations comme une attaque contre ma foi. De plus, accuser un chrétien de violer un commandement biblique est un coup facile et peu coûteux porté à son talon d’Achille, et cela doit être dénoncé comme un sale combat.

Voulez-vous savoir pourquoi les partisans de Trump se sentent aussi forts qu’ils le sont ? Parce qu’au fond d’eux-mêmes, ils croient que si Trump était resté le 45e président des États-Unis jusqu’à aujourd’hui, ce qui suit ne se serait pas produit :

  • Un retrait tragique de l’Afghanistan, avec 9 000 Américains qui seraient restés sur place, ainsi que des milliards de dollars d’équipement qui semblent avoir été acheminés vers…
  • Le Hamas à Gaza, qui a ensuite perpétré un massacre historique et des attaques ultérieures en Israël avec l’aide de l’Iran.
  • L’Iran, qui a récemment reçu des milliards de dollars via des actifs gelés grâce à l’administration Biden. (Comme l’a écrit le représentant Cory Mills, R-Fla, sur X : « Ce schéma est clair : chaque fois que des fonds sont débloqués pour l’Iran, le plus grand État soutenant le terrorisme, des milices mandataires dans la région lancent des attaques persistantes, visant à déstabiliser et à cibler les alliés occidentaux et les Américains ».
  • Et bien sûr, il y a l’invasion russe de l’Ukraine qui a fait à ce jour plus de 500 000 morts et, en septembre 2023, plus de 75 milliards de dollars du contribuable américain envoyés à un régime corrompu.
  • N’oublions pas les décès records dus aux opioïdes aux États-Unis, probablement impactés par…
  • L’immigration incontrôlée (y compris les cartels de la drogue) aux frontières de l’Amérique qui contribue à une…
  • L’augmentation de la criminalité due à l’afflux de millions d’étrangers en situation irrégulière à la frontière entre les États-Unis et le Mexique. Cela conduit également à…
  • L’augmentation des coûts pour les contribuables, qui ont déjà du mal à payer les maisons, l’assurance maladie, la nourriture, le gaz et le chauffage au mazout dans le nord-est. Les gens se débattent financièrement dans tous les domaines, certains ayant à peine les moyens d’acheter une voiture pour se rendre au travail qui leur permet de se nourrir et de garder un toit au-dessus de leur tête.

Il est temps de rappeler certaines des origines de l’Europe.

En 2017, l’écrivain Rod Dreher a écrit « Les chrétiens tentés par l’idolâtrie de Trump ». Il s’agissait d’une réprimande cinglante des chrétiens qui soutenaient Trump et ce serait le premier de nombreux articles et billets de blog de Dreher attaquant le président et ses partisans. Il y cite son livre The Benedict Option (L’option bénédictine) :

Bien que Donald Trump ait remporté la présidence en partie grâce au soutien important des catholiques et des évangéliques, l’idée que le robuste vulgaire, férocement combatif et moralement compromis comme Trump sera un avatar pour la restauration de la morale chrétienne et de l’unité sociale est au-delà du délire. Il n’est pas une solution au déclin culturel de l’Amérique, mais un symptôme de celui-ci.

Il est temps de se rappeler que Trump est pro-israélien comme tous les évangélistes, et les chrétiens croyants. Pour eux, Israël est la Terre Promise au peuple Juif et lors de la seconde venue du Christ et, (pas avant) tous les juifs le reconnaîtront comme le messie.

Voici une parenthèse importante qu’il est difficile de négliger !


Susan D. Harris continue en précisant :

« Il a ensuite accusé les chrétiens de faire de la politique une « fausse idole », puis les chrétiens de la génération précédente de s’être trop concentrés sur la politique en croyant à tort que « la culture s’occuperait d’elle-même ».

Pourtant, The Benedict Option a connu, selon moi, un succès largement dû au fait qu’il a été adopté par diverses factions chrétiennes qui ont estimé que le livre justifiait leur silence de plusieurs décennies alors qu’elles s’accrochaient aux périphéries d’une société troublée – même si elles avaient vu la « majorité morale » avoir un impact positif sur la culture.

Bien que l’organisation créée par le révérend Jerry Falwell n’ait duré que dix ans, l’impact de ce mouvement protestant dominant a été perpétué par les actions civiles de millions d’Américains de diverses confessions, dont les effets sont encore visibles aujourd’hui. Il a indéniablement réussi à promouvoir des valeurs sociales conservatrices, une défense nationale forte, une voie pro-américaine qui a conduit à l’élection de Ronald Reagan, et des politiques anticommunistes qui ont conduit à la chute du mur de Berlin, ayant un impact sur des millions de vies au-delà de nos frontières.

Elle a également cimenté une politique étrangère qui n’a jamais quitté le camp d’Israël.

Malgré tout cela, Dreher a choisi de blâmer cette époque et ces Américains comme étant « l’une des raisons pour lesquelles l’église contemporaine a tant de problèmes ». Il n’a fallu que quelques pages du livre de Dreher pour résumer le credo des anti-Trump, car il a créé un précédent pour que toutes les attaques « j’accuse » soient formulées dans le contexte du culte des idoles, donnant ainsi aux chrétiens qui détestent Trump la permission légale de jeter leurs frères qui aiment Trump sous les roues des chars romains.

En 2021, l’auteur et théologien noir Esau McCauley a écrit un article accusant les « chrétiens blancs et conservateurs » d’affaiblir l’Église parce qu’ils ont osé remettre en question les résultats des élections. Utilisant une stratégie similaire à celle de Dreher, McCauley a comparé les personnes présentes au Capitole le 6 janvier 2021 aux légions contrôlées par Ponce Pilate, l’homme qui a finalement ordonné la crucifixion de Jésus.

Plus récemment, une exégèse du Washington Post a déclaré : « Trump comme Jésus ? Pourquoi il se présente comme un martyr et pourquoi les fans le suivent ».

L’auteur s’est moqué d’une caricature montrant Jésus-Christ assis à côté de Trump dans une salle d’audience (le Post a omis de mentionner que le partisan de Trump qui a posté le dessin était Dom Lucre, alias Dominick McGee, un Noir américain, entrepreneur et influenceur conservateur). La légende du dessin disait : « C’est le portrait-robot le plus précis de tous les temps. Parce que personne n’aurait pu aller aussi loin tout seul ».

Reconnaissant publiquement et de manière touchante que sa foi lui donnait de la force, M. Trump a réaffiché le dessin.

Il est important de comprendre que le rôle de Trump dans la stratégie du Moyen-Orient est de suivre les commandements bibliques, et, il faut le préciser, ceux du Coran qui dit bien que cette terre d’Israël a été donnée à Isaac et non pas à Ismael. Cette Terre, comme le dit le Coran « a été donné par Allah aux enfants d’israël ».

Coran, sourate 17/104:
« Et qu’avant les temps derniers, Il ramènera les Enfants d’Israël pour reprendre possession de leur Terre, les rassemblant de tous les différents pays et nations » … « Et nous disons ensuite aux Enfants d’Israël « Demeure en sécurité dans le pays (de la promesse): mais quand le second des avertissements viendra à passer, nous vous rassemblerons ensemble en une foule mélangée »…. « Et après lui, Nous dîmes aux fils d’Israël : « Habitez la terre, et lorsque s’accomplira la promesse de la vie future, Nous vous ferons revenir en foule »
Versets 20 et 21 de la sourate 5:
« Oh mon peuple, entre la terre sainte (Israël) qu’Allah a décrété pour toi, et ne te rebelle pas à moins que tu ne deviennes perdant ».
Sourate 2 intitulée la Vache, Al-Baqarah, verset 47: 
« Ô Enfants d’Israël, rappelez-vous Mon bienfait dont Je vous ai comblés, que Je vous ai préférés à tous les peuples ».

D’autre part, comble de coïncidence, la guematria du nom Donald Trump est égale à celle de Mashia’h Ben David, ce qui révèle une vérité que nul ne peut contester, sauf à se foutre totalement des écritures.

Susan D. Harris continue son exposé :

« La liste des accusations incontestées et des moqueries au vitriol à l’encontre de Trump est sans fin. Mais je peux vous assurer d’une chose : des millions de personnes à travers l’Amérique… celles qui ont encore « Trump 2020 » peint sur le côté de leur grange et des panneaux « Trump 2024 » scotchés aux fenêtres de leur appartement… savent faire la différence entre la personne pour laquelle ils votent et celle qu’ils vénèrent.

Ils voulaient Trump parce qu’ils ne voulaient pas voir à quoi ressemblait le monde sans le leadership d’une Amérique forte. Ils voulaient Trump parce qu’ils tenaient à notre armée et à nos vétérans, à la Constitution, à la liberté d’expression, à la souveraineté américaine et à des frontières solides. Ils tenaient à préserver des vies en Afghanistan, en Ukraine et en Israël.

Et, aussi égoïste que cela puisse paraître, ils voulaient une économie forte qui puisse soutenir leurs familles et peut-être même les aider à prospérer.

Ils ne voulaient pas voir la souffrance de l’humanité que nous voyons aujourd’hui – des rues de New York et de Los Angeles au kibboutz Be’eri et à Mariupol, l’histoire montrera que les partisans de Trump espéraient empêcher, ou au moins retarder, la descente du monde dans la folie.

Mes parents m’ont appris qu’il était de ma responsabilité de chrétien de m’impliquer dans la culture, et non de m’en cacher. Par la suite, cela a signifié être politiquement actif, même si ce n’était que pour voter en connaissance de cause, que ce soit au niveau local ou fédéral. Pourtant, personne ne sera jamais plus haut placé à mes yeux que mon Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.

Peut-être qu’au lieu de continuer à accuser les chrétiens d’adorer Trump, les critiques devraient se repentir en pensant aux vies perdues dans un monde en feu – et réfléchir au rôle que leur voix a joué dans le carnage qui en a résulté.

Trump a été encore plus loin dans ses propos. En réponse à l’attaque du Hamas en Israël, l’ancien président américain a annoncé vouloir interdire l’entrée de ressortissants de pays arabes et de Gaza, s’il est réélu.

Lors d’une visite dans l’Iowa, lundi, il a mis l’accent sur l’immigration et l’insécurité, alors que l’Europe, comme Israël, est aujourd’hui victime d’attaques terroristes. Il a proposé de revenir sur les visas d’étudiants antisémites, en réaction aux polémiques sur les campus américains.

En effet, qu’avons-nous entendu lors des manifestations pro-palestiniennes dans les campus : « Palestine libre de la mer au Jourdain » ! Ce qui veut dire disparition totale d’Israël et des juifs sur leur terre ancestrale. Et Trump ne peut pas accepter cela.

Trump a annoncé de futures restrictions à l’entrée du territoire pour les étrangers venus de pays arabes qui voudraient « faire exploser notre pays ».

« Nous n’autoriserons plus des fous, des bigots, des tarés dangereux à résider dans le pays ».

« Nous implémenterons un filtrage idéologique fort sur tous les immigrés », a-t-il déclaré.

Autrement dit, seront repoussés à la frontière ceux qui ont des liens avec des terroristes islamistes, veulent abolir Israël ou bien encore supportent le Hamas.

Quant à ceux qui, d’après lui, sont déjà présents sur le territoire ou dans le gouvernement de Joe Biden : « J’aimerais les expulser eux aussi », a-t-il plaisanté.

Nous sommes devant des faits que personne ne peut nier. Trump défend Israël de toutes ses forces, et personne ne peut dire le contraire….. Mais il semble que Radio-Québec, dans son hypocrite présentation de la vérité, a omis de mentionner les allégations anti-Hamas de Trump et sa volonté d’interdire aux partisans de ces groupes terroristes, l’entrée sur le territoire américain.

Vous en tirerez vos conclusions…

Miléna

PS : Donald Trump: « Quand je serai de retour dans le Bureau ovale, nous supprimerons chaque centime que nous envoyons aux Palestiniens »


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ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

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