Secrets révélés

Le génome humain héberge de l’ARN viral depuis des millénaires

Depuis quelques années, on s’exalte, à propos du microbiote, autrefois nommée flore intestinale. Des bactéries vivent dans nos intestins et nous permettent de digérer certains aliments. Elles sont indispensables, malgré l’action déjà efficace des sucs gastriques.

Les chercheurs les plus enthousiastes considèrent le microbiote comme un deuxième cerveau, puisqu’il sécrète des substances essentielles, comme la sérotonine, tout comme le fait notre système cérébral.

Depuis 2020, les médias nous parlent de virus… Parmi les scientifiques les plus opposés à la vaccination massive, face à la Covid, je n’ai pas entendu mentionner la présence, dans notre génome, de matériel génétique viral. Et pourtant, entre les portions codantes de notre génome, un pourcentage important de séquences provient de virus!

Les mutations d’une psychose

La famille des Coronavirus est connue depuis les années 1930. D’abord, elle n’infectait que la volaille. Ce n’est que bien plus tard qu’on découvrit son pouvoir d’infection humaine. Même alors, on ne considérait pas cette forme de grippe plus dangereuse que l’influenza, pour les gens en bonne santé.


Chaque fois que nos cellules s’auto-divisent, le risque d’erreurs de recopiage augmente. Elles s’accumulent donc avec les années. Les virus n’échappent pas à cet affaiblissement. Les délétions de séquences codantes les amoindrissent. Muter fréquemment est typique des microorganismes. Il est presque impossible de prévoir une mutation et la forme qu’elle prendra.

On nous annonce l’arrivée d’Omicron, un nouveau variant. Il aurait déjà envahi plus de 80 pays, alors que de nombreuses frontières sont fermées et les aéroports peu achalandés.

La famille des Coronavirus se caractérise par une enveloppe très hérissée. Les vaccins actuels synthétisent la protéine qui code la capsule virale. Les variants de cette famille présentent aussi ce type d’enveloppe. Si ce n’était pas le cas, on ne pourrait utiliser les mêmes vaccins. Encore moins en concocter un, assez tôt, efficace et suffisamment testé pour enrayer un mutant.

De même, qu’un virus puisse traverser la barrière physiologique persistant entre un animal et un humain, ce n’est parfois possible que par manipulations volontaires en laboratoire. Ce fut le cas de la grippe aviaire, H5N1, que le biologiste néerlandais Ron Fouchier rendit capable de nous infecter. Ce que le virus d’origine ne parvenait pas à réaliser avant son doigté fatal.


Le virus de la covid et celui de la grippe aviaire n’appartiennent pas à la même famille. Cependant, des années avant qu’elle soit en mesure de nous contaminer, la souche des Coronavirus n’était connue que pour infecter la volaille…

Que des microorganismes augmentent leur virulence pourrait s’avérer possible, s’ils se recombinaient, en s’alliant, entre virus à l’ADN ou virus à l’ARN. Cela n’arrive presque jamais en milieu naturel. Cette éventualité pourrait survenir en laboratoire, ou entre virus échangeant du matériel génétique de manière inhabituelle. Par exemple, lorsqu’une personne reçoit une injection à l’ARNm, tout en couvant un mutant.

Certains vaccins, au lieu d’inciter les cellules de notre système immunitaire à neutraliser un virus, provoquent une réaction contraire: sans que nous sachions pourquoi, nos globules blancs s’attaquent à nos propres constituants.

Les éléments voyageurs

(si la biologie vous ennuie, sautez à la conclusion de cet article!)

À l’intérieur de notre génome, ce que l’on nomme éléments transposables proviennent de virus composés d’ADN. Ils représentent environ 3% des séquences virales immiscées dans notre génome.

Les rétrotransposons, eux, originent des virus constitués d’ARN.

Ce matériel viral se subdivise entre virus endogènes et exogènes. Parmi les endogènes, les rétrotransposons LTR se retrouvent généralement aux deux extrémités de nos séquences codantes. Ils possèdent des zones capables de promouvoir leur transcription dans notre génome et donc de s’y maintenir, sans pour autant modifier quoi que ce soit de notre matériel génétique humain.

D’autres rétrovirus endogènes s’avèrent aptes à coder deux protéines. Elles se lient à l’ARN, pour former un ensemble capable de transcription inverse : l’ARN antérieurement non codant peut alors retourner vers le noyau d’une cellule, se convertir en ADN et s’intégrer à nos chromosomes… Encore là, les incidences sur notre génome sont habituellement inhibées par des régulations internes.

Ces endogènes de types LTR composent plus de 40% du matériel génétique viral immiscé en nous. En général, ces séquences ont tellement muté et perdu de propriétés qu’elles demeurent inactives, sans influence sur notre santé ou le bon fonctionnement de nos gènes.

Les rétrovirus exogènes, par contre, sont le plus souvent des agents infectieux, en provenance de l’environnement. Ce sont eux les principaux responsables de nos troubles de santé. Il est important de se rappeler que les rares rétrovirus endogènes susceptibles de nous infecter sont d’anciens virus exogènes. Par réaction, par adaptation, nos cellules sont parvenues à neutraliser des virus exogènes. Elles les ont intégrés à notre génome et la plupart sont devenus inoffensifs.

Il existe des virus en cours d’endogénisation, tel que celui du koala (KoRV). Cette intégration d’un exogène en virus endogène pourrait même devenir possible, dans le cas de l’immunodéficience humaine (VIH). 5

Les maladies auto-immunes

Les virus, qu’ils soient composés d’ADN ou d’ARN, ne possèdent pas de ribosomes. Pour reproduire leur matériel génétique, ils doivent parasiter une cellule et s’accaparer de ces organites. Sinon, il leur est impossible de se multiplier.

Les rétrovirus endogènes ayant conservé l’aptitude de coder des protéines sont rares. Il arrive cependant que des séquences virales soient réactivées. Lorsqu’elles parviennent à fabriquer des protéines fonctionnelles, cela peut entraîner chez l’humain des troubles neurodégénératifs, des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques, et même, des syndromes neuropsychiatriques comme certaines formes de schizophrénie et la maladie bipolaire.

Conclusion…

Lorsque nous sommes en bonne santé, notre système immunitaire est capable de neutraliser une souche virale. Actuellement, les seuls victimes réelles de grippes sont, comme c’est le cas depuis des siècles, des gens déjà atteints de faiblesse respiratoire et de maladies chroniques.

Un test déclaré positif ne signifie pas que l’on souffrira d’une grippe sévère. Comme les gens sont vaccinés dès l’annonce d’un test positif, nous n’avons pas la possibilité de démontrer que ces individus n’auront majoritairement pas de grippe. Et que ceux qui en couvent une n’en mourront pas, s’ils ne souffrent pas déjà de troubles de santé graves.

Qu’on ne nous plonge donc pas dans une anxiété permanente, nuisant à notre système immunitaire, en nous annonçant une cinquième ou sixième vague virale, chaque fois pire que les antérieures, toujours plus mortelles. Ce n’est pas le mode de fonctionnement des virus naturels.

On parle du variant de Wuhan. C’est le nom d’un laboratoire chinois, érigé en collaboration avec l’Institut Pasteur de France. Un laboratoire de niveau P4, parmi la cinquantaine financés dans le monde.

On nous y prépare des pandémies et des variants infinis, satisfaisant à l’avidité des entreprises pharmaceutiques, puisqu’on y entretient les pires virus.

Aucun État ne trouve urgent de fermer ces laboratoires.

Bill Gates finance l’Organisation Mondiale de la Santé. Anthony Fauci dirige l’Institut national des allergies et maladies infectieuses (NIAID), en plus d’être conseiller en chef pour la santé publique aux États-Unis. Ses liens avec le laboratoire de Wuhan sont avérés.

Yves Lévy fut président de l’Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale. Il dut renoncer, suite à une dénonciation de favoritisme, son épouse, Agnès Buzyn, étant alors Ministre de la Santé. C’est elle qui rendit obligatoire l’injection de onze vaccins aux jeunes Français.

Que devient Yves Lévy? Conseiller d’État en service extraordinaire…

Donald Trump viola la loi anti-népotisme en nommant son beau-fils, en faveur des vaccins, conseiller spécial.

Jim Smith, PDG de Thomson Reuters Corporation, la plus importante agence de presse, est membre du Comité d’administration de Pfizer.

Tous ces promoteurs de vaccins sont en conflits d’intérêts. Ils sont libres et traités de philanthropes. Ce sont les gens non vaccinés que l’on harcèle.

Par Maryse Laurence Lewis via Mondialisation.ca


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