Nouveau paradigme

Le chemin vers notre futur s’inscrit dans le secret du changement climatique

Nous connaissons tous, les deux mouvements célestes qui ont un effet profond sur la vie et la conscience.

Le premier, le mouvement diurne ou rotation de la Terre sur son axe, amène l’humanité à passer de l’état de veille à un état de sommeil subconscient et à revenir toutes les 24 heures. Nos corps se sont tellement bien adaptés à la rotation de la Terre que celle-ci produit ces changements de conscience réguliers sans même que nous trouvions le processus remarquable.

Le deuxième mouvement céleste tel que défini par Copernic – la révolution de la Terre autour du Soleil – a un effet tout aussi important: des trillions de formes de vie surgissent du sol, fleurissent, fructifient et se décomposent pendant que des milliards d’autres espèces hibernent, se multiplient, ou migrer en masse. Notre monde visible jaillit littéralement à la vie, change complètement de couleur et de rythme, puis se renverse à chaque montée et décroissance de ce deuxième mouvement céleste.

Le troisième mouvement céleste, la précession de l’équinoxe, est moins bien compris que les deux premiers, mais si nous en croyons les cultures anciennes du monde entier, il a également un effet de transformation. Ce qui dissimule l’impact de cette motion, c’est son calendrier.


Comme le mayfly qui vit, mais un jour par an et ne sait rien des saisons, de sorte que la durée de vie moyenne d’un être humain comprend juste un 360 e du cycle à peu près précession 25 000 ans. Et comme le puceron né par un temps couvert et sans vent ne peut avoir aucune idée qu’il y a quelque chose d’aussi splendide que le soleil ou une brise, de même pouvons-nous, nés dans une ère de rationalité matérialiste, avoir peu de connaissances d’un âge d’or ou d’états de conscience supérieurs pourtant c’est le message ancestral.

Giorgio de Santillana, ancien professeur d’histoire des sciences au MIT, nous dit que les cultures les plus anciennes croyaient que la conscience et l’histoire n’étaient pas linéaires mais cycliques, ce qui signifie qu’elles allaient et venaient sur de longues périodes.

Dans son ouvrage phare, Hamlet’s Mill , de Santillana et la co-auteure, Hertha von Dechend, ont montré que le mythe et le folklore de plus de 30 cultures anciennes à travers le monde évoquaient un vaste cycle de temps où alternent des âges sombre et doré qui évoluent avec la précession. de l’équinoxe. Platon a appelé cela la grande année.

Bien que l’idée d’un grand cycle lié à la lente précession de l’équinoxe fût commune à de nombreuses cultures avant l’ère chrétienne, on a appris à la plupart d’entre nous qu’il ne s’agissait que d’un conte de fées; il n’y avait pas d’âge d’or.


Cependant, un nombre croissant de nouvelles preuves astronomiques et archéologiques suggèrent que le cycle pourrait avoir une base de fait. Plus important encore, comprendre le cycle pourrait donner un aperçu de la direction que prend actuellement la société et expliquer pourquoi la conscience peut se développer à un rythme exponentiel dans un avenir pas trop lointain. Si tel est le cas, des concepts tels que 2012 pourraient avoir une réelle signification. Comprendre la cause de la précession est essentiel pour comprendre le cycle.

Précession observée

L’observation des trois mouvements de la Terre est vraiment très simple.

Dans la première rotation, nous voyons le soleil et les étoiles se lever à l’est et se coucher à l’ouest toutes les 24 heures. Et si nous examinions les étoiles une fois par jour, nous constaterions un schéma similaire pendant une année: elles se lèvent à l’est et se placent à l’ouest, avec les douze constellations du zodiaque (ces anciens marqueurs du temps qui se trouvent le long du écliptique – la trajectoire du soleil) en passant au dessus de 1 fois par mois environ jusqu’à ce que nous revenions à notre point de départ dans le ciel à la fin de l’année.

Et si nous ne regardions qu’une fois par an, par exemple à l’équinoxe d’automne, nous remarquerions que les étoiles se déplacent rétrogrades (à l’opposé des deux premiers mouvements) au taux d’environ un degré tous les 70 ans.

À ce rythme, l’équinoxe tombe sur une constellation différente environ une fois tous les 2 000 ans, prenant environ 25 000 ans pour achever son cycle à travers les douze constellations. C’est ce qu’on appelle la précession (recul) de l’équinoxe, par rapport aux étoiles fixes.

La théorie standard de la précession dit que c’est principalement la gravité de la Lune agissant sur la Terre oblate qui doit être la cause du changement d’orientation de la Terre vers l’espace inertiel, alias « précession ».

Cependant, cette théorie a été développée à une époque antérieure à la connaissance du Soleil par les astronomes. L’union astronomique internationale a jugé que ce système pouvait évoluer. Il est donc «incompatible avec la théorie dynamique».

L’astronomie orientale antique enseigne que l’observable d’un équinoxe se déplaçant lentement ou «précédant» à travers les douze constellations du zodiaque est simplement dû à la mouvement du Soleil tournant dans l’espace autour d’une autre étoile (ce qui change notre point de vue sur les étoiles de la Terre).

Ici à l’Institut de recherche binaire, nous avons modélisé un système solaire en mouvement et avons constaté qu’il produisait effectivement la précession observable tout en résolvant un certain nombre d’anomalies du système solaire. Cela suggère fortement que l’explication ancienne est peut-être la plus plausible, même si les astronomes n’ont pas encore découvert d’étoile compagnon du Soleil.

Au-delà des considérations techniques, un système solaire en mouvement semble fournir une raison logique pour que nous puissions avoir une grande année en alternant les âges sombre et doré.

Autrement dit, si le système solaire transportant la Terre se déplace réellement sur une énorme orbite, la soumettant au spectre électromagnétique (EM) d’une autre étoile ou d’une autre source EM en cours de route, nous pourrions nous attendre à ce que cela affecte notre magnétosphère, notre ionosphère et indirectement, toute la vie dans un modèle à la hauteur de cette orbite.

Tout comme les plus petits mouvements diurnes et annuels de la Terre produisent les cycles du jour et de la nuit et les saisons de l’année (tous deux dus à la position changeante de la Terre par rapport au spectre EM du soleil), le mouvement céleste plus grand pourrait le faire aussi. s’attendre à produire un cycle qui affecte la vie et la conscience à grande échelle.

Une hypothèse sur la manière dont la conscience pourrait être affectée dans un tel cycle céleste peut être construite sur les travaux de Dr Valerie Hunt, ancienne professeure de physiologie à UCLA.

Dans plusieurs études, elle a constaté que les changements dans le champ électromagnétique ambiant (qui nous entoure tout le temps) peuvent affecter considérablement la cognition et les performances humaines.

En bref, la conscience semble être affectée par des champs de lumière subtils.

Ou, comme dirait le Dr Amit Goswami, physicien quantique, «La conscience préfère la lumière».

Par conséquent, le concept de la Grande Année ou modèle cyclique de l’histoire, conforme au mythe et au folklore, est basé sur le mouvement du Soleil dans l’espace, soumettant la Terre à des champs stellaires décroissants et décroissants (toutes les étoiles sont d’énormes générateurs de spectre EM), entraînant l’ascension et la chute légendaires des siècles au cours de grandes époques.

Perspective historique

Les théories actuelles de l’histoire ignorent généralement les mythes et le folklore et ne prennent en compte aucune influence macro-externe sur la conscience. Pour l’essentiel, la théorie de l’histoire moderne enseigne que la conscience (ou l’histoire) évolue de manière linéaire du primitif au moderne, à quelques exceptions près. Ses principes incluent:

L’humanité a évolué hors d’Afrique.

Les gens étaient des chasseurs-cueilleurs jusqu’à il y a environ 5 000 ans.
Les tribus se sont d’abord regroupées pour se protéger des autres parties belligérantes.
La communication écrite doit précéder toute grande structure artificielle ou civilisation populeuse.

Le problème de ce paradigme largement accepté est qu’il n’est pas conforme à l’interprétation évolutive des cultures anciennes et des artefacts anormaux récemment découverts.

Au cours des cent dernières années, des découvertes majeures ont été réalisées en Mésopotamie, dans la vallée de l’Indus, en Amérique du Sud et dans de nombreuses autres régions qui enfreignent les règles de la théorie de l’histoire et repoussent l’époque du développement humain avancé.

Plus précisément, ils montrent que l’homme ancien était, à bien des égards, beaucoup plus compétent et civilisé il y a près de 5 000 ans qu’il ne l’était au cours de l’Age des Ténèbres, plus récent il y a tout juste cinq cents à mille ans.

À Caral, un ancien complexe d’origine inconnue situé sur la côte ouest du Pérou, nous trouvons six pyramides datées au carbone 14 de 2700 av. JC,. Cependant, Caral est un océan éloigné du « berceau de la Mésopotamie » et nous ne trouvons aucune preuve d’écriture ou d’armes, deux des soi-disant nécessités de la civilisation.

Ce que nous trouvons, ce sont de beaux instruments de musique, des structures alignées astronomiquement et des preuves de commerce avec des pays lointains, tous signes d’une culture pacifique et prospère.

Gobekli Tepe présente un défi encore plus grand pour les récits actuels de l’histoire. Ce site en Turquie, datant de 9 000 ans avant notre ère, présente une architecture spectaculaire comprenant des piliers sculptés aux proportions énormes.

Trouver quelque chose d’aussi vaste et complexe bien avant les dates acceptées pour l’invention de l’agriculture et de la poterie est une énigme archéologique. Ces sites défient le paradigme historique standard. Mais ce qui est encore étrange, c’est que beaucoup de ces civilisations ont semblé décliner en masse.

Dans l’ancienne Mésopotamie, au Pakistan, à Jiroft et dans les terres adjacentes, nous découvrons des connaissances en astronomie, en géométrie, en techniques de construction avancées, en systèmes de plomberie et d’aqueduc sophistiqués, en art incroyable, en teintures et en tissus, en chirurgie, en médecine et en de nombreux autres raffinements d’une culture civilisée de surgir de nulle part étaient encore complètement perdus au cours des milliers d’années à venir.

À l’époque des âges des ténèbres dans le monde, chacune de ces civilisations, y compris les grandes, l’Égypte et la vallée de l’Indus, s’était largement tournée vers la poussière ou vers des modes de vie nomades. Près des profondeurs de la récession, il y avait des ruines et peu d’autres choses, tandis que la population locale ne savait rien des bâtisseurs si ce n’était par la légende.

Et dans certaines régions où subsistaient des populations importantes, comme dans certaines régions d’Europe, la pauvreté, la peste et la maladie étaient souvent monnaie courante et la capacité de lire, écrire ou reproduire l’un des exploits scientifiques ou techniques antérieurs avait pratiquement disparu. Qu’est-il arrivé?

Bien que les enregistrements de cette période soient encore très inégaux, les preuves archéologiques indiquent que la conscience, reflétée par l’ingéniosité et les capacités de l’homme, a été considérablement réduite.

Nous semblions avoir perdu la capacité de faire les choses que nous faisions auparavant. Ironiquement, c’est exactement ce que de nombreuses cultures anciennes ont prédit.

Le plus grand assyrianologue du monde, Stefan Maul, a mis en lumière ce phénomène dans sa conférence présidentielle à Stanford, dans laquelle il nous dit que les Akkadiens savaient qu’ils vivaient à une époque en déclin; ils révéraient le passé comme un temps plus élevé et tentaient de s’y accrocher, tout en se lamentant et en prédisant l’âge des ténèbres qui s’ensuivrait.

Ses études étymologiques sur les tablettes cunéiformes montrent que les mots anciens pour «passé» sont désormais nos mots pour «avenir», alors que leurs mots pour «avenir» sont désormais ceux pour «passé».

Ce principe de l’époque croissante et décroissante du temps est décrit dans de nombreux bas-reliefs trouvés dans les anciens temples de «l’école du mystère» MithraÏque.

La célèbre scène Tauroctany, ou terrassement de taureaux, est généralement entourée de deux garçons, Cautes et Cautopetes, l’un d’eux tenant une torche sur le côté ascendant du zodiaque, indiquant qu’il s’agit d’un moment de lumière; l’autre porte une lampe de poche sur le côté descendant du zodiaque, indiquant qu’il s’agit d’une heure d’obscurité.

Mithra et le taureau. Cette fresque du mithraeum de Marino en Italie (IIIe siècle) montre la tauroctonie et la doublure céleste du cap de Mithra. Sur la gauche et la droite de Mithra se trouvent les deux garçons Cautes et Cautopètes, l’un d’eux tenant une torche sur le côté ascendant du zodiaque, indiquant qu’il s’agit d’un temps de lumière; l’autre porte une torche sur le côté descendant du zodiaque, indiquant qu’il s’agit d’une période d’obscurité.

Jarred Diamond, historien anthropologue bien connu et auteur de Guns, Germs and Steel , affirme que ce sont avant tout les avantages géographiques et environnementaux locaux sur la planète Terre qui déterminent quel groupe d’hommes réussit ou échoue. Ceux qui ont l’acier, les armes à feu et les mauvais germes gagnent.

Bien que cela aide à expliquer de nombreuses différences régionales au cours des derniers milliers d’années, il ne résout pas les tendances macro qui semblaient avoir affecté toutes les cultures (y compris la Chine et les Amériques), alors qu’elles passaient collectivement dans le dernier Age Noir.

Le modèle cyclique ou Great Year superpose et augmente les observations de Diamond, ce qui donne une raison pour le ralentissement généralisé. Il suggère qu’il est non seulement la géographie et l’environnement de l’homme sur Terre qui détermine son succès relatif mais aussi la géographie et l’environnement de la Terre dans l’ espace qui affecte l’humanité à une échelle macroscopique. Tout comme de petits mouvements célestes affectent considérablement la vie à court terme, il apparaît que de grands mouvements célestes colorent la vie à long terme, ce qui a pour résultat les saisons de la grande année.

Comprendre que la conscience peut en effet monter et descendre avec les mouvements du ciel donne un sens au mythe et au folklore anciens et place des cultures et des artefacts anormaux (tels que le dispositif d’Anticythère et la batterie de Babylone) dans un contexte historique qui a du sens.

Cela explique pourquoi tant d’anciennes cultures ont été fascinées par les étoiles et nous fournit un paradigme viable pour comprendre l’histoire. Cela pourrait également nous aider à identifier les forces qui ont propulsé la renaissance et qui pourraient accélérer la prise de conscience à l’ère actuelle. Le mythe et le folklore, le langage scientifique d’antan, jettent un regard plus profond sur la conscience à tous les âges.

Un ancien regard sur l’avenir

L’historien grec Hésiode nous parle de la nature merveilleuse du dernier âge d’or où «la paix et l’abondance» abondaient.

Les mythes hopis nous parlent de villes situées au fond de la mer.

Typiquement, les peuples anciens séparaient le grand cycle en une phase ascendante et descendante, chacun comportant quatre périodes.

La culture védique nous dit que lorsque l’équinoxe d’automne se déplace de la Vierge au Bélier, nous passons par l’ascendant Kali, Dwapara, Treta et Satya «Yugas» (ce dernier étant leur âge d’or) avant de décliner lentement dans l’ordre inverse à mesure que l’équinoxe termine son voyage.

Les Grecs et les autres civilisations méditerranéennes anciennes utilisaient comme des époques et les appelaient les âges du fer, du bronze, de l’argent et de l’or. Des cultures plus lointaines telles que les Mayas ou les Hopis utilisaient encore d’autres noms tels que «mondes» ou «soleils» et les numérotaient pour identifier des époques spécifiques.

Quelle que soit la langue utilisée, le concept est le même.

Le sage, Swami Sri Yukteswar, dans son livre The Holy Science(1894) montre que lorsque notre système solaire est à un point le plus éloigné de son étoile compagnon, la conscience humaine est à son point le plus bas (celle-ci se situant autour de 500) et lorsque le Soleil se trouve à son point le plus proche (se produisant ensuite à 12 500), la conscience atteindra son point culminant de ce cycle.

Les points sont vus dans le ciel par où l’équinoxe d’automne coupe l’une des douze constellations du zodiaque (horloge céleste). Lorsque le Soleil AE est en Bélier, qui est presque toujours placé à la position 12 heures du zodiaque, la Terre se trouve dans le meilleur environnement stellaire possible, ce qui permet à de nombreuses personnes de faire l’expérience d’un état de conscience éveillé. Et lorsque le Soleil AE est dans la constellation de la Balance, les conditions sont les pires et un âge sombre, une période de conscience égarée, prévaut.

Aujourd’hui, nous ne sommes qu’à quelques centaines d’années de l’âge ascendant, passant de ce que les Grecs appellent l’âge de l’homme (fer) à l’âge du héros (bronze), mais encore très loin de l’âge des démi-dieux (argent) ou de l’âge des dieux (or), qui nous sont totalement inconcevables en ce temps.

Cela signifie que nous sommes en train de nous réveiller d’un moment où la conscience individuelle se perçoit comme une forme purement physique vivant dans un univers strictement physique, à un moment où nous commençons à nous voir et à l’univers comme plus transparent, composé principalement d’une énergie subtile.

Cela a commencé avec les découvertes de la Renaissance (principes de l’électricité, lois de la gravitation, microscopes, télescopes et autres inventions qui élargissent notre conscience) et s’est accéléré depuis avec la physique quantique qui nous enseigne que la matière et l’énergie sont interchangeables, et les concepts d’Einstein selon lesquels même le temps et l’espace sont relatifs.

En bref, nous sommes de retour dans la phase ascendante qui commence tout juste à nous «ré-appartenir» à nous-mêmes en tant que pure conscience vivant dans un monde de possibilités insoupçonnées.

Selon Paramahansa Yogananda, l’auteur de Autobiography of a Yogi , d’ici l’an 4100 de notre ère (lorsque nous entrons dans la Treta yuga proprement dite), « la télépathie et la clairvoyance seront de nouveau connues du grand public ».

Cela peut sembler tiré par les cheveux mais selon le mythe. et le folklore il y avait une telle époque sur Terre avant, vers 3100 avant notre ère, la dernière Treta yuga. C’est ce que la Genèse appellerait l’âge pré-Babel, quand l’homme communiquait librement avec la nature avant que Dieu «confonde les langues».

Les gens oublient souvent à quoi ressemblait le monde il y a tout juste 500 ans, lorsque chaque nation était en guerre, les fléaux et la pauvreté décimaient régulièrement de grandes populations de la Terre, leur durée de vie était réduite de moitié par rapport à aujourd’hui, les droits individuels inexistants et la justice rendue. par la torture, l’inquisition ou le bûcher.

Oui, le monde a encore des problèmes, mais la conscience est en pleine expansion.

Selon le magazine Time , plus de 17 millions de personnes méditent maintenant uniquement aux États-Unis.

La prise de conscience croissante se manifeste à bien des égards, de manière plus visible sous forme de technologie, beaucoup pensant que nous approchons maintenant d’un point de singularité, mais c’est beaucoup plus.

Peut-on douter que nos améliorations dans tous les domaines de la société au cours des 500 prochaines années seront hors du commun par rapport aux 500 dernières?

Le Secret le mieux gardé de la NASA

Tous les 72 ans, les étoiles bougent d’un degré. Et ce depuis longtemps. Cela fait partie d’une série d’événements et nous savons que la vraie raison est notre orbite autour d’une autre étoile. Walter Cruttenden en a fait la découverte, prouvant que notre système solaire est binaire. Son livre « Lost Star » parle d’un Soleil Noir, comme l’ont appelé certaines personnes, mais c’est peut-être une naine brune, et nous gravitons autour de lui, et la vitesse change dans le temps.

Le nombre d’étoiles est de 72, une étoile à 5 branches, et si vous les multipliez, vous obtenez 360 branches. Multiplions ce résultat par le nombre d’étoiles, on obtient encore le nombre magique 25 920, qui correspond à la secousse dans l’axe terrestre, ce grand cycle que nous faisons autour du Soleil Noir.

Les changements climatiques interplanétaires

2012 est la fin du calendrier maya, et c’est là que tout commence. 

Le changement climatique interplanétaire est la preuve irréfutable de la fin du calendrier maya en 2012. Nous avons dépassé cette date, et c’est justement très important.

Je vais vous faire une visite guidée des études de la NASA. Souvenez-vous, la NASA a été créée comme une agence de défense du gouvernement américain. Regardez leur charte, elle peut classer top secret tout ce qu’elle trouve pour des raisons de sécurité nationale s’il y a danger. Traduction : si les secrets des Francs-maçons infiltrés au gouvernement, risquent d’âtre compromis. Vous êtes en train de regarder un symbole maçonnique.

L’observation de tous les échantillons de noyaux des calottes glacières de la Terre nous montre que l’activité solaire n’a jamais été si forte depuis 8000 ans.

C’est incroyable. Comment en est-on arrivés là? Le Soleil est si gros qu’il va avoir un effet sur toutes les planètes à mesure qu’il se réchauffe, et c’est ce qui se passe.

On a eu beaucoup de mal avec Mercure pendant des années, mais en 2008, la sonde MESSENGER arriva près de Mercure et trouva une pression magnétique.

La planète a créé un champ magnétique qu’elle n’avait pas dans les années 70, quand des sondes comme MARINER 10 la frôlèrent.

Ce champ exerce une pression importante à certains endroits, comme vous le voyez.

Un an après, la sonde revient et découvre des tornades magnétiques qui n’existaient même pas en 2008 : c’est un changement significatif, et toutes ces tâches bleues que vous voyez sont les changements magnétiques de Mercure : elles n’étaient pas là lors du passage de MARINER 10.

Maintenant, Vénus. Voici les grandes lignes d’un dossier beaucoup plus complet.

La lumière cendrée de Vénus a eu une hausse de 2 500% entre 1978 et 1999. C’est une lueur verte qu’on voit sur le coté sombre. Une étude de la SRI international, basée sur des dossiers de la NASA. La lumière verdâtre est de l’oxygène. L’atmosphère change et contient plus d’oxygène, ce qui fait briller sur la face sombre.

Mars n’a pas toujours eu de nuages, mais maintenant, elle en a, avec en plus de l’ozone entre 1975 et 1997, apparus de nulle part.

Mars se réchauffe également : ses calottes glacières fondent de plus en plus, et la NASA appelle bien ça un réchauffement climatique.

Mais il n’y a pas de 4X4 sur Mars, très chers abonnés, enfin, ce n’est pas admis au public, à ce que je sache. Mais qui sait? S’ils avaient des voitures là-bas, elles ne rouleraient pas à l’essence. Mais passons.

D’énormes tempêtes de sable sont aussi apparues sur Mars : regardez ça. Sur Terre, ce serait la fin de la vie telle qu’on la connaît.

C’était du 26 juin au 4 septembre 2001.

Et de quoi cette date se rapproche? Le 11 septembre. Il apparaît que la planète de la guerre a un conduit télépathique avec notre Terre. Cela porte à débat. David Wilcock le prouve dans son livre « La Clé de la Synchronicité ».

Nous pouvons étendre notre conscience vers le passé. Le temps n’est pas linéaire, les événement d’un cycle en affecte un autre.

Ici, on dirait que nous avons un peu remonté le temps : tous les humains paniquent et cela affecte directement Mars.

Jupiter a créé ce « donut » d’énergie autour d’elle, qu’on appelle un tore de plasma, et qui n’existait pas avant 1974.

Puis entre 1979 et 1995, la densité de ce tore s’agrandit de 200% et avec une indifférence typiquement universitaire, la NASA a dit, qu’effectivement, il était plus fort que prévu. Mais c’est quand même énorme.

Un accroissement de 200%? C’est incroyable. Une hausse de 50% de la densité de chaque particule?

La NASA dit simplement que c’est un peu plus que prévu. Rien de bien fantastique. Mais ça l’est. Jupiter est énorme et en quelques années, elle s’est créée un gigantesque tube d’énergie. Il n’existait pas.

Il y avait des cheminées volcaniques a la surface de Jupiter. Elles ont disparu. Il y en avait trois. Elles ont fusionné en trois ans, et le Dr Phillip Marcus pensait que ça ferait augmenter de 18 degrés le réchauffement climatique de Jupiter en 10 ans. Et il avait raison.

Il a publié l’article en 2000. Et en 2008, on remarque de violents orages qu’on appelle un bouleversement global de Jupiter. On n’avait jamais rien vu de tel. Un bouleversement global.

Les scientifiques n’ont toujours pas trouvé la cause, et pour ce faire, il faudrait alors augmenter de plus de 300% la quantité de vapeur d’eau qu’avait mesuré la sonde GALILEO en 1995.

Ces tempêtes rouges sont le signe d’un grand changement dans le climat et dans cet article, il est dit que la température pourrait augmenter de 20° Fahrenheit. C’est une transition importante.

La lune la plus proche de Jupiter est lo, et sa ionosphère est faite de particules chargées dans l’atmosphère. Cette ionosphère s’est éloignée de 1000% de la surface entre 1973 et 1996. Impossible à prévoir, comme dirait la NASA… La surface de lo devient plus chaude de 200% que la lune entière. Plus de 200%? C’est de la folie.

C’est arrivé entre 1979 et 1998. La NASA est surprise et n’a pas d’explication. Enfin, nous avons des réactions authentiques de la part de ces scientifiques…!

Quand Hubble a capturée lune Europe on a constaté qu’elle brille intensément. Quand à Ganymede, elle est devenue plus brillante d’environ 200% entre 1979 et 1995. Il n’a fallu que 16 ans.

Quelque chose se prépare.

Le système solaire devient fou, la densité de son atmosphère a augmenté de 1000% pendant cette période. Vous comprenez? Tout ça appartient à la NASA.

Saturne a créé un tore de plasma : un anneau rouge. Il n’était pas aussi dense en 1981. Mais 12 ans plus tard, en 1993, il devient alors 1000 fois plus dense. C’est fou. Et un autre tore a été découvert, encore plus gros. Il n’était pas là avant.

En 2004, on remarque une énorme explosion de rayons X qui surgit de l’équateur de Saturne. C’est une grosse éruption sur le point magique, à 19,5 degrés, un point géométrique dont  david Wilcock parle dans ses conférences.

Donc Saturne a une tempête colossale qui a débuté quelques années plus tôt.

Et puis nous avons eu cette incroyable perturbation qui commence et s’étend rapidement sur les deux-tiers de l’Hémisphère nord de la planète. Tous les médias en parlaient.

La NASA n’a pas d’explications. Mais quelque chose est en train de se produire.

Saturne subit un phénomène très intéressant.

Nous avons depuis longtemps observé Saturne avec des télescopes. Tout le monde veut l’observer. Vous voyez les anneaux et vous pensez directement à Saturne. Personne n’a jamais vu autant de changement.. Si c’était le cas, on l’aurait su. Du jamais vu. La NASA appelle ça une grosse tempête, mais il y a des tonnes de données, partout dans le monde. Lisons ça : « Le pic de température est tellement extrême, que c’en est presque incroyable, surtout dans cette zone de l’atmosphère qui est d’habitude très stable. »

Pour un même changement sur Terre, il faudrait passer du fin fond de l’hiver en Alaska au plus chaud de l’été dans le désert des Mojaves. Le 5 décembre 2010, la tempête était si grosse que la même sur Terre aurait recouvert toute l’Amérique du nord et se serait enroulée plusieurs fois autour de la planète. C’est extrêmement intéressant.

Quelque chose se passe dans le système solaire. C’est juste à coté de chez nous. Vous vivez dedans.

Ce n’est pas que les affaires de la NASA. C’est votre vie. C’est ma vie. Il y a quelque chose dans l’énergie. Quelque chose nous transforme de manière fondamentale.

Saturne a aussi 100 fois plus de gaz éthylène qu’avant, mais nous savons que respirer de l’éthylène élève le plan de conscience.

Voilà une information de CBS News. « L’énorme tempête de Saturne continue d’étonner les scientifiques. » C’est tout nouveau. C’est très important et pourtant les médias n’en ont presque pas parlé.

Et la sonde VOYAGER, en frôlant Uranus en 1986, montra une petite bille de la même taille qu’un petit pois. Ce qui a amené le Dr Erich Karkoschka à dire : »D’énormes changements frappés par de colossale tempêtes. » C’est fou.

Et Neptune, entre 1996 et 2002, on a constaté une très grande hausse de la luminosité. Comme si on avait enlevé l’abat-jour de la lampe. Cela commence en 1989, puis en 1996, avant d’arriver en 1998 et de retour en 2002.

C’est incroyable. Pourquoi n’en parle-t-on pas? A cause du Deep State?

Et enfin, Pluton la planète la plus éloignée du système s’écarte peu à peu du Soleil et qui, pourtant, a eu une hausse de 300% de sa pression atmosphérique entre 1989 et 2002.

Les changements terrestres ne sont donc pas isolés.

Il y a une augmentation des tremblements de terre, avec une hausse de 400% entre 1973 et 1998, une hausse de 500% de l’activité volcanique entre 1875 et 1993.

Le gaz à effet de serre n’est pas la seule cause du réchauffement climatique.

Mais nous observons aussi l’augmentation de la poussière cosmique. 

C’est peut-être le résultat de notre orbite autour de l’étoile compagnon : plus on s’en approche, plus on a d’énergie, plus on accélère, plus il y a d’énergie qui recharge le système solaire. Et elle s’amuse avec notre ADN, nous améliorant de notre état humain….

Walter Cruttenden a écrit un livre dans lequel il avance que nous vivons dans un système solaire binaire.

Nous ne sommes pas dans un système solaire solitaire. C’est un système solaire binaire. Il avance que 85% de toutes les étoiles identifiées dans notre galaxie, cela vient de la NASA, ont été confirmées comme binaires. Et notre compagnon binaire pourrait bien être un soleil noir, aussi appelé une naine brune.

Walter Cruttenden en parle dans son documentaire pour PBS, appelé « La Grande Année » qui est narré par personne d’autre que James Earl Jones qui était la voix de Dark Vador, « Luke, je suis ton père. » Vous pouvez imaginer à quel point il est intense de regarder ce documentaire avec la voix de Dark Vador comme narrateur.

La théorie de base qui est développée est que notre soleil est en orbite autour d’une autre étoile, et que cette étoile secondaire est un soleil noir.

Il nous faut 25 920 ans pour parcourir l’orbite autour de ce soleil noir.

Une fois qu’on se rend compte que c’est ce dont il s’agit, il est logique qu’ils appellent ce cycle de 25 000 ans « La Grande Année ». Nous parlons d’une orbite, un an. Simplement, en années terrestres, cela prend 25 920 ans pour s’effectuer.

Les ères zodiacales sont en fait des régions de l’espace galactique à travers lesquelles nous voyageons et qui pourraient avoir une influence énergétique sur nous.

Nous atteignons actuellement notre vitesse maximale, et que nous dit Einstein de la nature de l’espace-temps? Il a dit qu’alors qu’on se déplace dans l’espace, on se déplace dans le temps. Plus nous allons vite, plus nous traversons d’énergie, ce qui accélère l’horloge du temps. C’est intéressant, car Einstein au cours de ses dernières années, disait qu’il devait exister un intermédiaire énergétique physique que nous traversons dans l’espace pour que cela se produise et qu’on a appelé historiquement l’éther. Ils appellent à présent cela, l’énergie noire, la matière noire, il y a un tas de noms pour cela, l’énergie du point zéro, la mousse quantique ou les particules virtuelles. En tous les cas, plus on bouge vite dans l’espace, plus on gagne d’énergie qui s’accumule.

Nous sommes entourés de ces lignes de force enchevêtrées qui composent l’ADN. Et la concentration de ces structures énergétiques augmente en fonction de votre vitesse de déplacement dans l’espace, cela les fait augmenter. Il y a plus de densité, plus d’énergie. Cela va élever notre niveau d’évolution.

Walter Cruttenden et d’autres chercheurs avancent, que lorsque nous bougeons moins vite, nous entrons dans un Moyen-Âge. Il y a moins de gens sur Terre, la société humaine est plus primitive, notre civilisation est moins avancée et c’est en prenant de la vitesse dans cette orbite binaire et en nous approchant de cette conjonction au milieu que nous connaissons cette augmentation d’énergie du champ source.

Tous les mythes parlent de l’arrivée de l’Âge d’or. 

Chaque fin d’ère amène une période mondiale, un crépuscule des dieux, les grandes structures s’effondrent, les piliers qui soutiennent le grand édifice tombent, des inondations et des cataclysmes annoncent un monde nouveau. Ces changement terrestres font partie de ce dont nous sommes témoins à présent. Tout s’assemble maintenant. Les prophéties se réalisent.

Conclusion :

Le « Réchauffement Climatique » de Greta Thunberg , c’est un énorme FAKE … Un truc pour vous taxer, oblitérer vos libertés et accentuer leur contrôle…. Rien de plus…

Sources

  • 1 – WALTER CRUTTENDEN
  • 2 – DAVID WILCOCK

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ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde

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