Développement spirituel

L’ADN transmet les traces d’événements passés aux générations futures

Une vie de misère, de pauvreté et de stress affecte les générations futures

Les défauts génétiques provoqués par des traumas peuvent passer dans l’ADN des futures générations. C’est ce qu’a révélé les recherches scientifiques de l’Université de Cambridge.

Auparavant, de grandes études avaient montré que les événements dévastateurs comme la famine peuvent laisser des cicatrices aux futures générations, qui les prédisposent à l’obésité et au diabète.

Cependant, ce n’est pas la première fois que l’effet sur le mécanisme biologique a été constaté.


Bien que les mêmes gènes sont passés sur plusieurs générations, les scientifiques savent désormais que notre ADN est tout le temps altéré par l’environnement, le style de vie et les événements traumatisants.

On pense que ces changements provoquent des maladies, un vieillissement prématuré et une mort prématurée.

Toutefois, il a été estimé que ces défauts n’auraient pas pu être transmis aux générations futures, sans avoir totalement effacé l’ardoise au préalable. Mais désormais, des scientifiques de l’Université de Cambridge ont découvert que certains défauts persistaient dans certaines zones de l’ADN, dont celles liées aux maladies mentales et à l’obésité.

En fait, près de 5% de notre code génétique porte en lui des événements passés, c’est à dire des traumas, une mauvaise alimentation et de mauvais choix quant au style de vie, laissant derrière eux un héritage dévastateur pour les enfants et petits enfants.


Le professeur Azim Surani, du Wellcome Trust/Cancer Research UK Gurdon Institute à l’Université de Cambridge, a dit: « L’information doit être remise à zéro dans chaque génération avant que de plus amples informations ne soient ajoutées pour réguler le développement d’un ovule nouvellement fécondé. C’est comme formater les informations d’un ordinateur avant d’ajouter de nouvelles données. »

Entre la deuxième et la cinquième semaine du développement de l’embryon, le code génétique est réécrit pour supprimer des altérations génétiques de ses parents. Cependant, les chercheurs ont découvert que les processus n’effacent pas tous les changements.

Environ 5% de l’ADN apparaît être résistants à la reprogrammation. 

Les traumatismes peuvent se transmettre de génération en génération.

On sait qu’un père ou une mère peut le transmettre à son enfant, en évitant le sujet, ou en détournant le regard quand il est abordé. C’est le stade du non-dit. Il ne faut pas s’arrêter là car nos souffrances ne datent pas forcément de nos parents, mais d’un temps bien plus lointain.

Il semblerait que le traumatisme soit souvent lié à un événement historique marquant : la Seconde Guerre mondiale, la Révolution, toutes les guerres amènent leur lot de traumatismes.

Une étude menée par une équipe de l’hôpital new-yorkais Mont-Sinaï a ainsi affirmé que le traumatisme de l’Holocauste avait été transmis à la génération suivante.

Les résultats de l’étude ont montré que chez les personnes juives qui avaient été enfermées dans des camps ou qui avaient dû fuir durant la Seconde Guerre mondiale, le taux de cortisol, l’hormone qui permet de réguler le stress, était particulièrement bas. Caractéristique que l’on retrouve aussi chez leurs enfants, mais pas chez les juifs n’ayant pas vécu cette expérience traumatisante, ni chez leur descendance.

« S’il y a un effet de transmission d’un traumatisme, il se trouve dans un gène lié au stress qui façonne la manière dont nous faisons face à notre environnement », explique Rachel Yehuda, qui a dirigé l’équipe des chercheurs.

Les scientifiques se penchent de plus en plus sur le phénomène de transmission génétique des traumatismes. On appelle cela l’hérédité génétique. Certaines expériences pourraient modifier la façon dont nos gènes s’expriment.

Comment guérit-on de ce mal ?

Sommes-nous condamnés à subir les expériences traumatiques de nos ancêtres ?

Si leur transmission génétique était avérée, de nouvelles thérapies basées sur la déprogrammation des gènes, déjà en marche.

Des solutions visent à traiter l’aspect psychologique de ce fâcheux héritage.

Anne Ancelin Schützenberger a par exemple développé un outil appelé le génosociogramme. Il s’agit d’une sorte d’arbre généalogique agrémenté de liens de couleurs qui unissent les membres de la famille et permet d’indiquer les pertes, les deuils, les changements de vie, les accidents, les réussites professionnelles, etc. Avoir sous les yeux toute son histoire familiale pourrait provoquer un choc émotionnel libératoire.

Francine Shapiro, psychologue américaine, a développé de son côté la thérapie EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing). Elle consiste en la réactivation d’un souvenir, réel ou imaginé, pour créer ensuite de nouvelles connexions afin de relocaliser ce souvenir dans un tiroir où il n’est plus chargé de la même émotion.

Guérir grâce aux mémoires akashiques

Linda Howe propose un parcours de guérison spirituelle grâce aux Mémoires akashiques, un champ informationnel contenant la mémoire vibratoire de toutes les âmes du monde et de leur parcours. Cette pratique concrète nous montre comment nous libérer nous-mêmes, connaître la perfection de notre propre âme, et commencer à vivre la vie que nous avons toujours rêvée.


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