La réalité historique peut être considérée sous deux aspects. Le premier concerne l’opinion générale qu’on appelle l’opinion publique, répandue auprès de chaque citoyen par les médias. L’autre, par contre, a trait aux événements qui ne sont pas rendus publics.
C’est le mode des agissements des loges secrètes qui entremêlent capital, politique, économie et religion. C’est à ce niveau que naissent les nations, que les guerres sont ourdies (organiser les éléments d’une intrigue, tramer, ourdir une conspiration), que les présidents sont nommés ou éliminés s’ils ne fonctionnent pas.
Pour le citoyen qui forme principalement son opinion et sa conception du monde à partir de ce que véhiculent les médias, tels que les journaux, la télévision, la radio, les connaissances apprises à l’école ou la littérature de monsieur tout le monde, peu des choses dont nous parlerons dans les pages suivantes lui sont familières.
Il est facile de comprendre des pensées du style : Je n’ai encore jamais entendu parler de ça. Évidemment, les agissements secrets n’atteignent leur but que s’ils restent secrets. L’existence à elle seule d’une société secrète montre qu’il y a des choses qui ont une si grande importance aux yeux des élites, que ceux-ci désirent les cacher aux yeux des autres.
Ces personnes ont des secrets qu’elles cachent au public. Elles savent ce que nous ne savons pas et c’est la raison pour laquelle ils détiennent une telle puissance. Leurs secrets sont presque tous en relation avec le passé de notre Planète, avec la genèse et l’origine de l’homme (quand et comment), avec la raison de sa présence sur Terre, avec les OVNIs.
OVNI, telle est la désignation courante pour des engins volants, le plus souvent en forme de soucoupe ou de cigares. Ils possèdent deux champs magnétiques inversement rotatifs et sont d’origine extraterrestre ou parfois terrestre.
Aux Européens on donne volontairement de fausses informations, comme à la plupart des gens sur Terre, quand il s’agit des OVNIs, puisque les élites contrôlent les médias ! Et spécialement en Allemagne.
Je vais vous faire comprendre que le thème des OVNIs a bien un fondement très réel et très terrestre :
En Allemagne, il y avait, outre la « SOCIETE THULE », un autre ordre secret dans le troisième Reich : la « SOCIETE VRIL«. Cette dernière s’occupait presque exclusivement de ce qu’on appelle communément les OVNIs et de leur construction. C’est pour elle qu’ont travaillé Victor Schauberger et le Dr W.0. Schumann, Schriever, Habermohl, Miethe, Epp et Belluzo.
La plupart des pilotes anglais et américains encore vivants se souviennent probablement de leurs réalisations comme des « Foo-Fighters ». Les travaux furent énormément accélérés lorsque, d’après leurs dires, une soucoupe « non terrestre » fit, en 1936, une chute en Forêt-Noire sans pour autant être endommagée. Après avoir étudié attentivement la propulsion et relié ce savoir à celui déjà énorme de la « Société Vril » sur l’implosion et l’antigravitation, on entama la construction de prototypes.
Des réalisations telles que le « Vril 7« , un hélicoptère supersonique en forme de disque (à ne pas confondre avec les V1 et V2 bombes autopropulsées à grand rayon d’action), étaient déjà si stupéfiantes que le « Stealth-Bomber » actuel de l’US AIR FORCE ressemble presque à un jouet. Citons l’exemple du Vril 7, réalisé par Richard Miethe, lequel, équipé de douze turbopropulseurs BMW 028, a atteint lors d’un essai en vol le 14 février 1944 à Peenemünde, après un décollage vertical, la hauteur de 24.200m et en vol horizontal la vitesse de 2.200 km/h.
Dès la fin de l’année 1942, on avait fabriqué plusieurs exemplaires de l’avion circulaire RFZ-6, nommé « Haunebu II« . Son diamètre était d’environ 32 m, sa hauteur au centre de 11m et sa vitesse de 6.000km/h à proximité de la Terre. Il avait une autonomie en vol de 55 heures, décollait à la verticale, il pouvait voler aussi bien à l’horizontale qu’à la verticale et surtout en angle droit (ce qui caractérise la façon de voler des OVNIs aperçus partout dans le monde).
Plus tard, d’autres Vrils furent encore plus performants puisqu’ils permirent, début 1945, de faire le tour de la Terre en quelques heures. Un Haunebu II construit, plus tard, en version grand modèle, avait un diamètre de 120m, dortoirs intégrés. Mais pourquoi avoir fait ces dortoirs puisqu’il ne fallait que quelques heures pour faire le tour de la Terre ?
Beaucoup d’entre vous vont maintenant se poser la question : « Pourquoi Hitler n’a-t-il pas gagné la guerre s’il avait à sa disposition une telle technologie ? »
Une des raisons est qu’un assez grand nombre de disques volants atteignaient des performances fantastiques en vol mais leur utilisation à des fins militaires était presque impossible.
La cause en était la suivante : le champ magnétique créé par le mécanisme de lévitation procurait aux disques volants une sorte de bouclier de protection qui les rendait quasiment invincibles. Ce champ magnétique avait, cependant, l’inconvénient de ne pas permettre l’utilisation d’armes traditionnelles, car les projectiles ne pouvaient pas traverser « sans frottement » ce rideau magnétique.
Les projets dépendaient de la Société Vril et de la SS E IV (bureau d’études secret pour l’énergie alternative des SS). Cela signifie qu’ils n’étaient pas directement sous les ordres d’Hitler et du parti nazi ; en fait, ils n’avaient pas été élaborés à des fins proprement guerrières. Ce n’est que plus tard, quand la situation de l’Allemagne en guerre empira, qu’il fut question de faire entrer en action les disques volants.
La plupart des hommes n’ont pas eu le moindre pressentiment des vrais buts de Hitler, de sa formation, des sociétés secrètes dont il était membre, de l’idéologie qu’il fit sienne. Ils ignoraient qui l’avait promu à cette position, qui le finançait et ne savaient rien des motifs cachés qui sous-tendaient cette Deuxième Guerre mondiale.
L’idéologie d’Hitler n’a rien à voir avec ce que nous désignons du nom de « réalité générale » ni avec ce qui est raconté dans les livres scolaires sur le troisième Reich.
Hitler était un mystique, un occultiste de la pointe des pieds à la racine des cheveux, et il faut se situer dans cette optique pour comprendre ce qui se passa pendant le troisième Reich.
Pour la plupart des historiens « matérialistes », les procès des criminels de guerre à Nuremberg étaient un mélange de contes de Grimm et de contes à dormir debout. Ils ne pouvaient pas se mettre dans la peau des accusés et ils manquaient de connaissances préalables pour saisir ce que ces hommes racontaient.
Dieter Rüggerberg l’expose avec justesse, en disant : « Seul un occultiste peut en reconnaitre un autre ».
Dans les chapitres suivants sur les sociétés de Thulé et de Vril, nous nous pencherons plus sur les idéologies qui les sous-tendaient. Hitler et ces sociétés secrètes en savaient bien plus sur l’origine de l’homme, la constitution de la Terre, sur l’antigravitation, sur « l’énergie libre » que ce que l’on nous a enseigné jusqu’à aujourd’hui.
C’est pourquoi, de crainte que nous puissions découvrir ces secrets, les Alliés nous ont soustrait livres et écrits sur ces sujets ou nous ont même défendu de les lire. Ils s’assuraient ainsi de la possibilité de continuer à manipuler l’humanité. Les Alliés portaient un intérêt capital pour la technologie de la « Société Vril ». Ses découvertes avaient été gardées secrètes par le 3ème Reich.
Ce sont les Russes qui ont eu d’abord en mains les plans de construction. Les scientifiques, tels que Victor Schauberger et Werner von Braun, tombèrent entre les mains des Américains lors de l’opération « PAPERCLIP« .
Le plus grand secret rattaché à la sûreté aux USA concerne, aujourd’hui, les constructions d’engins volants développés selon ces plans. Ils furent, entre autres, un des motifs qui provoqua la mort de J.F. Kennedy.
Il y eut encore différentes expériences menées pendant le troisième Reich.
Citons, par exemple, l’édification de l’État allemand « NEUSCHWABENLAND » (« la nouvelle Souabe ») dans l’Antarctique pendant la Deuxième Guerre mondiale. Pourquoi l’amiral Richard E.Byrd a-t-il eu besoin de 4.000 soldats américains armés, d’un porte-avions et d’un grand soutien militaire quand il alla explorer, en 1947, l’Antarctique ? Comment se fait-il qu’il n’en revint que quelques centaines d’hommes vivants ? Voilà des questions sans réponse.
Pourquoi si peu de personnes n’ont jamais entendu parler ni de ces événements ni des développements de NIKOLA TESLA, dont font partie « les machines à énergie libre », « la transmission d’énergie sans fil », « l’antigravitation » ainsi que « la modification du temps au moyen d’ondes stationnaires ».
Quelles en seraient les conséquences si nous avions accès à la connaissance des formes d’énergie libre, à celle de l’utilisation de soucoupes volantes qui n’ont besoin que d’un champ électromagnétique comme source d’énergie et si nous pouvions les utiliser pour notre propre usage, comme carburant par exemple.
Cela signifierait que nous n’aurions plus besoin de nous servir d’essence. Il n’y aurait plus de déchets, donc plus de pollution. Nous n’aurions plus besoin de centrales nucléaires, les hommes ne pourraient plus être enfermés dans un pays derrière des frontières, et surtout nous aurions beaucoup plus de temps à notre disposition puisqu’il ne serait plus nécessaire de travailler autant pour payer les frais de chauffage, de courant, d’essence (nous pourrions, pendant ce temps, en profiter pour méditer, par ex. sur le sens de la vie).
Ce serait un avenir Star Trek !
Ces formes d’énergie existent au moins depuis quatre-vingt-dix ans et nous sont restées cachées. Pourquoi sont-elles tenues secrètes ?
Parce que par le biais de la main mise sur l’énergie, la nourriture et en occultant des connaissances, il est possible d’exercer un contrôle sur les hommes de notre Terre. Si quiconque venait a découvrir et utiliser ces connaissances, les Illuminati ou d’autres égoïstes ne pourraient plus jouer aux tout-puissants. Les Églises, les sectes, les drogues perdraient également de leur importance. Il est donc important pour ces élites secrètes, que ces choses restent cachées du reste du monde, ainsi leur pouvoir leur permet de continuer à nourrir leur ego avide de puissance.
Ceci n’était qu’un petit aparté pour montrer que le thème des OVNIs est plus explosif et réel que beaucoup ne veulent l’admettre.
La « stratégie moqueuse » de l’establishment anglo-américain a coûté plusieurs milliards de dollars jusqu’ici pour que le sujet des OVNIs soit ridiculisé avec autant de succès par les masses média.
Le but du nazisme ne se cantonnait pas seulement au fait de s’établir en Amérique du Sud, mais aussi de créer des installations en Antarctique avec le lancement d’un projet encore plus secret et mystérieux appelé « Projet Ahnenerbe », mise en exécution avant la 2ème Guerre mondiale, et qui constituer à faire des recherches aux moyens de la voyance et toutes sortes de sciences paranormales sur leurs origines Aryennes.
Tout a été réalisé au Château Wewelsburg, vivant dans un ultra-nationalisme grandissant, ils avaient hâte de connaître l’origine de leur race Aryenne-Germanique. Et en même temps, sans arrêter un seul instant, ils ont organisé des expéditions archéologiques, des recherches anthropologiques et ethnologiques dans divers pays du monde à la recherche de reliques sacrées qui pourraient les relier directement à leurs origines Aryennes qu’ils rêvaient tant.
Ainsi aux moyens de ces processus multiples, ils pratiquaient des rites au sein des sociétés occultistes, Thulé et Vril, afin d’attirer et d’essayer de rentrer en contact avec ceux qui étaient leur soit disant dieux Aryens. Tout ceci était concrétisé à l’aide de cultes étranges accompagnés de certaines pratiques ésotériques et de sciences occultes très secrètes.
À un moment donné une médium a réussi à établir un contact avec certaine entité Alien, celle-ci lui ont dit, à travers l’écriture automatique que c’était leur propre dieu qui s’adressait directement à eux. Mais hormis ces mystérieuses pratiques médiumniques, nécromanciennes, astrologiques et spiritistes, pourquoi les nazis voulaient absolument trouver les origines de leur race aryenne ancestrale, et démontrer la pureté de leur sang germano-teutonique ? Étaient-ils vraiment plongé dans une magie noire puissante et lié à des rites ésotériques étranges pendant la seconde Guerre mondiale ?
La Société Vril
Au premier abord, la Société VRIL est une des sociétés secrètes les plus intéressantes qui ait jamais existé. C’est pourquoi il nous faut absolument la mentionner. Il n’y a pas un seul livre en Allemagne sur cette Société VRIL et tout autre document qui aurait pu renvoyer à ce nom qui ait été bel et bien soustrait par les Alliés. Mais tout n’a pas disparu. En effet, vous allez constater quels sont les milieux influents « non allemands » qui tiennent à cacher la vérité aux Allemands.
Karl Haushofer fonda, avant 1919, un deuxième ordre, les « Frères de la LUMIÈRE » qui prit, plus tard, le nom de Société VRIL. Dans celle-ci se retrouvèrent aussi « Les Maitres de la PIERRE NOIRE » (DHvSS), une nouvelle fondation des templiers, issue de l’ordre Germain en 1917, et les « CHEVALIERS NOIRS » du « SOLEIL NOIR« , élite de la Société Thulé et des SS.
Origine du SSP Allemand. Les « Seigneurs de la Pierre Noire » et la Société Vril
Si nous comparons la Société Vril avec la Société Thulé, la différence peut se résumer ainsi : la Société Thulé s’occupait de choses matérielles et politiques tandis que la Société Vril avait des occupations qui concernaient surtout l’au-delà. Mais elles avaient quand même quelques points communs. Toutes deux étudiaient l’Atlantide, Thulé, l’ « Iles des Bienheureux » de Gilgamesh, les rapports originels entre les Germains et les Mésopotamiens ainsi que les anciens sanctuaires comme Stonehenge avec ses pierres dressées.
En décembre 1919, une maison forestière fut louée dans le Ramsau, près de Berchtesgaden, ou se rencontrèrent quelques personnes des Sociétés Thulé, DHvSS et Vril. Parmi elles, les médiums Maria Orsitsch (Orsic) et Sigrun. Maria avait capté des informations dans une écriture secrète des templiers – une langue tout a fait inconnue pour elle avec des précisions techniques pour construire un engin volant. Ces messages télépathiques étaient transmis, d’après les écrits de la Société Vril, du système solaire d’Aldébaran situé dans la constellation du Taureau.
Voici un résumé des messages qui ont été reçus pendant des années par les télépathes de la Société Vril et qui ont été à la base des actions entreprises par cette dernière.
Le système solaire d’Aldébaran serait à 68 années-lumière de la Terre et deux planètes habitées qui constitueraient le royaume de « SUMERAN » tourneraient autour de son soleil.
Les habitants de ce système solaire, seraient subdivisés en un peuple de maîtres, d’hommes-Dieu blancs (Aryens) et en différentes autres races humaines. Celles-ci se seraient développées à cause de changements climatiques sur les planètes isolées et seraient le résultat d’une dégénérescence de ces « hommes-Dieu ».
Ces mutants auraient eu un développement spirituel inférieur aux « hommes-Dieu ». Plus les races se mélangeaient, plus leur développement spirituel se dégradait. Par conséquent, lorsque le soleil d’Aldébaran se mit à grandir, ils ne purent plus faire des voyages interplanétaires comme leurs ancêtres, il leur était devenu impossible de quitter leurs planètes. C’est ainsi que les races inférieures, totalement dépendantes de la race des maîtres, auraient été évacuées dans des vaisseaux spatiaux et amenées sur d’autres planètes habitables.
Malgré ces différences, le respect était de mise entre ces deux races, elles n’empiétaient pas sur l’espace vital de l’autre. Chaque race respectait le développement de l’autre (contrairement à ce qui se passe chez les terriens).
La race des maîtres, les « hommes-Dieu blancs », aurait commencé à coloniser d’autres planètes similaires à la Terre il y a quelques 500 millions d’années, suite à l’expansion du soleil d’Aldébaran et de la chaleur grandissante qui en résulta et qui rendit les planètes inhabitables.
On dit qu’ils auraient colonisé dans notre système solaire d’abord la planète Mallona (nommée aussi Maldek, Marduk ou bien Phaeton chez les Russes) qui aurait existé, à l’époque, entre Mars et Jupiter, là où se trouvent les astéroïdes aujourd’hui.
Ce fut, après, au tour de Mars dont les grandes villes pyramidales et le visage martien bien connu, photographiés en 1976 par la sonde Viking, témoignent du haut niveau de développement de ses habitants.
D’où la supposition que les hommes-Dieu de Sumeran-Aldébaran vinrent à cette époque-là pour la première fois sur Terre.
De vieilles traces d’un soulier fossilisé remontant à environ 500 millions d’années en témoignent, ainsi qu’un trilobite fossilisé piétiné avec le talon de ce soulier. Cette écrevisse primitive vivait alors sur Terre et a disparu il y a 400 millions d’années.
Les membres de la Société Vril pensaient que les Aldébariens atterrirent, plus tard, lorsque la Terre devint peu à peu habitable, en Mésopotamie et qu’ils formèrent la caste dominante des SUMERIENS. On appela ces Aldébariens « hommes-Dieu blancs ».
De plus, les télépathes de Vril reçurent l’information suivante : la langue des Sumériens était non seulement identique à celle des Aldébariens, mais elle avait aussi des sonorités semblables à l’allemand et la fréquence de ces deux langues était presque identique.
Cela correspond-il à la réalité ? Disons simplement que les plans de construction et les renseignements techniques reçus par les médiums – d’où qu’ils viennent – étaient si précis que naquit l’idée la plus fantastique jamais conçue par l’homme : la construction de la « machine vers l’au-delà » !
Le concept d’une « autre science » mûrit dans les esprits (on emploierait, de nos jours, le terme de « formes d’énergies alternatives »). Il fallut trois ans pour que le projet soit mis en place. Dans cette première phase d’une « autre technique » ou d’une « autre science », le Dr W. O. Schumann, membre des Sociétés Thulé et Vril, fit un exposé à la Faculté des sciences de Munich.
En voici un extrait :
« Dans tous les domaines, il y a deux principes qui déterminent les événements : la lumière et l’ombre, le bien et le mal, la création et la destruction, comme le plus et le moins en électricité. Il s’agit toujours de : d’une façon ou d’une autre ! »
Ces deux derniers principes – désignons-les concrètement comme les principes créateurs et destructeurs – déterminent aussi nos moyens techniques. ( … ) Le principe destructeur qui est l’œuvre du diable, le principe créateur l’œuvre de Dieu. (…) Toute technique basée sur le principe de l’explosion ou de la combustion peut être cataloguée de technique satanique. La nouvelle ère qui arrive sera l’ère d’une technique nouvelle, positive et divine ! » (…) (extrait des archives secrètes des SS).

À la même période, le scientifique Viktor Schauberger travaillait à un projet similaire. Il avait fait sien l’enseignement de Johannes Kepler qui était en possession de la doctrine secrète des pythagoriciens, reprise et tenue secrète par les Templiers. Cela concernait le savoir sur l’ « IMPLOSION » (dans ce cas, cela signifie l’utilisation du potentiel des mondes intérieurs dans le monde extérieur).
Hitler et tous les autres membres des Sociétés Thulé et Vril savaient que le principe divin est toujours créateur, c.-à-d. constructif. Une, technologie qui, par contre, repose sur l’explosion est donc, de ce fait, destructeur, opposée au principe divin. On voulut alors créer une technologie reposant sur l’implosion.
La doctrine de l’oscillation de Schauberger (le principe de la série des harmoniques = monocorde) part du savoir sur l’implosion. Disons plus simplement : l’IMPLOSION à la place de l’EXPLOSION ! Au moyen des trajectoires de l’énergie du monocorde et de la technique de l’implosion, on pénètre dans le domaine de l’antimatière et on dissout, ainsi, la pesanteur.
Le premier vaisseau en forme de soucoupe fut construit l’été 1922, sa propulsion était basée sur la technique de l’implosion (la machine vers l’au-delà). Il comprenait un disque de 8m de diamètre, surhaussé d’un disque parallèle de 6,5m de diamètre et flanqué en dessous d’un autre disque de 6m de diamètre. Ces trois disques avaient dans leur centre un orifice de 1.80m de diamètre où l’on monta le propulseur de 2.40m de haut. En bas, le corps central se terminait en forme de cône. Dans ce cône se trouvait une sorte de pendule qui avait pour effet de stabiliser l’appareil. Les disques inférieur et supérieur tournaient en sens inverse pour créer un champ de rotation électromagnétique. On ne connaît pas les performances de ce premier disque volant. Il fut expérimenté pendant deux ans avant d’être démonté et entreposé dans les ateliers de Messerschmidt à Augsbourg.
On retrouve des aides de financements pour ce projet dans les comptabilités de plusieurs entreprises industrielles, mentionnées sous le code « JFM ».
Il est certain que le mécanisme Vril est issu de la « machine vers l’au-delà » mais il a été répertorié comme le « lévitateur Schumann SM ». En principe, la machine vers l’au-delà devait engendrer un champ extrêmement fort autour d’elle et dans son proche voisinage qui faisait de tout l’espace environnant, y compris celui de la machine et des occupants, un microcosme tout à fait indépendant de notre cosmos. A sa puissance maximale, ce champ serait totalement indépendant de toutes les forces et influences de notre Univers, telles que la gravitation, l’électromagnétisme, le rayonnement ou n’importe quelle matière. Il pourrait se mouvoir à volonté dans tous les champs gravitationnels sans qu’on y détecte ou qu’on y sente des forces d’accélération.
En juin 1934, Viktor Schauberger fut invité par Hitler et les plus grands représentants des sociétés Vril et Thulé, et travailla, désormais, en collaboration avec eux.
Le premier OVNI allemand vit le jour en juin 1934. C’est sous la direction de Dr W. 0. Schumann que naquit le premier avion circulaire expérimental sur le terrain, de la fabrique d’avions Arado à Brandebourg : il s’agissait du RFZ-1. Lors de son premier vol qui fut aussi le dernier, il s’éleva à la verticale d’une hauteur d’environ 60m mais se mit alors à tournoyer et à danser dans l’air pendant plusieurs minutes. L’empennage Arado 196 qui devait guider l’appareil s’avéra complètement inefficace. C’est avec grand-peine que le pilote Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s’en échapper et à s’éloigner en courant, car l’appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d’être complètement mis en pièces. C’était la fin du RFZ-1, mais le début des engins volants VRIL.
Le RFZ-2 fut terminé avant la fin de l’année 1934, il avait une propulsion Vril et un « pilotage à impulsion magnétique ». Son diamètre était de 5m et ses caractéristiques étaient les suivantes : les contours de l’appareil s’estompaient quand il prenait de la vitesse, et il s’illuminait de différentes couleurs, ce qui est bien caractéristique des ovnis. Selon la force de propulsion, il devenait rouge, orange, jaune, vert, blanc, bleu ou violet. Plans et légendes reconstruits à partir de fragments tirés des archives secrètes des SS.
Il put donc fonctionner et l’année 1941 lui réserva un destin remarquable. Il fut utilisé comme avion de reconnaissance à grande distance pendant la « bataille d’Angleterre », car il s’avéra que les chasseurs allemands standards ME109 étaient inaptes à des vols de reconnaissance transatlantiques à cause de leur petit rayon d’action. On le photographia fin 1941 au dessus du sud de l’Atlantique alors qu’il se dirigeait vers le croiseur auxiliaire Atlantis se trouvant dans les eaux de l’Antarctique, il ne pouvait pas être utilisé comme avion de chasse pour la raison suivante : à cause de son pilotage à impulsion, le RFZ-2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22.5°.

C’est incroyable! vont penser certains d’entre vous, mais ce sont précisément ces changements de vol en angle droit qui sont caractéristiques des ovnis.
Après le succès du RFZ-2 comme avion de reconnaissance à grande distance, la société Vril disposa d’un terrain d’expérimentation à Brandebourg. Le « chasseur VRIL I« , disque volant équipé d’armes légères, volait à la fin de l’année 1942. Il avait 11.5m de diamètre, possédait un siège et une « propulsion à lévitation Schumann » et un « pilotage par impulsion à champ magnétique ». Il atteignait des vitesses de 2.900 à 12.000km/h, pouvait accomplir en pleine vitesse des changements de vol à angle droit sans préjudice pour le pilote, il n’était pas soumis aux conditions atmosphériques et était parfaitement apte à voler dans l’espace.
On construisit 17 exemplaires du Vril I, il y eut aussi plusieurs variantes à deux sièges, munies d’un dôme de verre. Au même moment, un projet V-7 vit le jour. Plusieurs disques volants portèrent ce nom mais ils avaient une propulsion par réacteurs conventionnels. C’est grâce à Andreas EPP que le RFZ-7 fut créé, il combinait un disque volant à lévitation avec cette propulsion à réaction. L’équipe de Schriever, Habermhol et celle de Miethe-Belluzo participèrent à son élaboration. Il avait 42m de diamètre mais se fracassa lors d’un atterrissage à Spitzbergen. Aux alentours de Prague, plus tard, on prit cependant une photo d’un RFZ-7 construit de la même façon. D’après Andreas EPP, il devait être équipé d’ogives nucléaires et il devait bombarder New York.
En juillet 1941, SCHRIEVER et HABERMHOL, construisirent un avion circulaire qui décollait à la verticale, mû par une propulsion à réaction mais qui avait, cependant, de graves défaillances. On développa pourtant une autre « toupie volante à électro-gravitation » avec une propulsion à tachyons qui eut plus de réussite.
Puis ce fut au tour du RFZ-7T, construit par Schriever, Habermhol et Belluzo, qui fonctionna à merveille lui aussi. Mais comparés aux disques Vril et Haunebu, les disques volants V7 étaient plutôt des jouets d’enfants. Au sein même des SS se trouvait un groupe qui travaillait à la production d’énergie alternative : le Bureau d’étude IV du soleil noir = SS-E-IV, dont le but principal était de rendre l’Allemagne indépendante du pétrole brut étranger. Le SS-E-IV développa le « mécanisme Thulé », appelé, plus tard, Tachyonateur Thulé, à partir du mécanisme Vril et du convertisseur de tachyons du commandant Hans Coler.
En août 1939 décolla le premier RFZ-5. C’était une toupie volante équipée d’armes moyennement lourdes du nom étrange de HAUNEBU I. Elle avait un équipage composé de huit hommes, avait 25m de diamètre, sa vitesse au départ était de 4.800km/h pour atteindre, plus tard, jusqu’à 17.000km/h. Elle était équipée de deux canons à rayons forts (KSK) de 60mm, montés sur tourelles rotatives, et de quatre MK106 et avait une aptitude moyenne à voler dans l’espace.


Fin 1942, le HAUNEBU II était également fin prêt. Son diamètre variait de 26 à 32m, sa hauteur était de 9 à 11m. Il pouvait transporter un équipage de 9 à 20 personnes, propulsé par un tachyonateur Thulé, il atteignait dans la périphérie terrestre 6.000km/h. Il était apte à se déplacer dans l’espace et avait une autonomie de 55 heures de vol. Il existait alors déjà des projets pour le grand vaisseau spatial VRIL7 de 120m de diamètre qui devait transporter des compagnies entières. Peu après, on construisit le HAUNEBU III, exemplaire absolument prestigieux entre tous avec ses 71m de diamètre. Il vola et fut même filmé : il pouvait transporter 32 personnes, son autonomie en vol était de plus de huit semaines et il atteignait une vitesse d’au moins 7.000km/h (et d’après des documents d’archives secrètes des SS, il pouvait atteindre 40.000km/h).

Virgil Armstrong, ex-membre de la CIA et retraité de Green Beret, déclare que les engins volants allemands pendant la Deuxième Guerre pouvaient atterrir et décoller à la verticale et voler en angle droit. Ils atteignaient 3.000km/h et étaient armés de canons laser (probablement le KSK, « canon à rayons forts ») qui pouvait traverser une épaisseur de 10 cm de blindage.
Le professeur J.J. Hurtak, ufologue et auteur de « Die Schlüssel des Enoch » (« Les clefs d’Hénoch »), dit que les allemands étaient en train de construire ce que les Alliés désignaient de « système d’armes miracles ». J.J. Hurtak eut entre ses mains des documents mentionnant :
- 1. la construction de Peenemünde, ville d’expérimentation d’engins téléguidés vers l’espace
- 2. la venue des meilleurs techniciens et scientifiques d’Allemagne
Ces documents mentionnaient aussi l’existence de ce qu’on appelait les « Foo-Fighters » (les boules de feu).
La CIA et les services secrets britanniques étaient déjà au courant en 1942, de la construction et de l’emploi de tels objets volants mais ils ne les apprécièrent pas à leur juste valeur. Les Alliés désignaient, en fait, sous le nom de Foo-fighters toutes les sortes d’appareils volants lumineux allemands.
Deux inventions correspondaient particulièrement à ce qu’on appelait les Foo-fighters : les tortues volantes et les bulles de savon. Les deux n’avaient rien à voir entre elles mais les Alliés les associaient à tort. La « Tortue Volante » fut conçue par le bureau d’études SS-E-IV à Wiener Neustadt. Sa forme rappelait celle d’une carapace de tortue. C’était une sonde volante sans équipage qui devait perturber le système d’allumage électrique du matériel militaire ennemi. Cette sonde était aussi équipée d’armes sophistiquées, de tubes à Klystron appelés rayons de la mort par les SS. Mais le sabotage par coupure de contact ne fonctionna pas parfaitement au début.
On continua, plus tard, à développer cette technique. Quiconque a déjà vu des ovnis pourra confirmer que cette « coupure de contact », c.-à-d. l’arrêt des installations électriques, est une des caractéristiques typiques des ovnis quand ils apparaissent.
Wendell C. Stevens, pilote de l’US Air Force pendant le Deuxième Guerre mondiale, dit que les Foo-fighters étaient parfois gris vert ou rouge orange, qu’ils s’approchaient jusqu’à 5m des avions et qu’ils restaient dans cette position. Il n’était pas possible de se débarrasser d’eux, même lorsqu’on leur tirait dessus, et ils obligeaient parfois les escadrilles à faire demi-tour ou à atterrir. Quant aux bulles de savon désignées souvent comme Foo-fighters, c’étaient, en fait, de simples ballons à l’intérieur desquels se trouvaient de fines spirales en métal pour brouiller les radars des avions ennemis. Leur efficacité fut probablement minime, mis à part l’effet d’intimidation psychologique.
Au début de l’année 1943, on lança même le projet d’un astronef en forme de cigare qui devait être construit dans les chantiers de Zeppelin, c’était l’Appareil ANDROMEDA (long de 139m). Il devait transporter plusieurs vaisseaux spatiaux en forme de soucoupes pour des vols (interstellaires) de longue durée.
Une réunion importante de la Société VRIL eut lieu aux environs de Noël 1943 à Kolberg, station balnéaire en mer du Nord, à laquelle assistèrent les médiums Maria et Sigrum. Le sujet principal concernait l’Entreprise Aldébaran. Les médiums avaient reçu des renseignements précis sur les planètes habitées, situées autour du soleil d’Aldébaran, et un voyage fut programmé pour s’y rendre.
Le 2 janvier 1944, Hitler, Himmler, Künkel et Schumann (tous deux de la Société Vril) se rencontrèrent pour parler de ce « Projet VRIL ». Ils voulaient se diriger à l’aide d’un gros astronef, le Vril 7, vers Aldébaran par un canal dimensionnel. D’après Ratthofer, le premier essai en vol dans un canal dimensionnel aurait eu lieu l’hiver 1944. L’appareil aurait évité de justesse un désastre : d’après les photos du Vril 7 prises après son retour, on aurait dit « qu’il avait voyagé pendant un siècle ». Le revêtement extérieur des cabines paraissait très usagé et il était abîmé en maints endroits.
Le 14 févier 1944, le pilote d’essai Joachim Roehike testa à Peenemünde l’hélicoptère supersonique construit par Schriever et Habelmohl sous le nom du projet V-7, qui était équipé de douze turbopropulseurs BMW 028. Sa vitesse de montée à la verticale était de 800m à la minute, il atteignait une hauteur de 24.200m et sa vitesse en vol horizontal était de 2.200km/h. Il pouvait être propulsé aussi par une énergie non conventionnelle. Il ne put, cependant, jamais intervenir car Peenemünde fut bombardé en 1944 et son transfert à Prague s’avéra inutile puisque cette ville fut occupée par les Américains et les Russes bien avant qu’on ne puisse utiliser les disques volants.
Lorsqu’ils occupèrent l’Allemagne début 1945, les Britanniques et les Américains découvrirent, entre autres, dans les archives secrètes des SS des photos du Haunebu II et du Vril I ainsi que de l’appareil Andromeda.
En mars 1946, le président Truman fit en sorte que le comité de la flotte de guerre des USA donna la permission de rassembler le matériel allemand pour qu’ils puissent expérimenter cette haute technologie. Des savants allemands travaillant en secret furent emmenés aux États-Unis dans le cadre de l’opération « PAPERCLIP« . Il s’y trouvait, entre autres, Viktor Schauberger et Werner von Braun.
Résumons brièvement ici les constructions qui devaient être produites en série : le premier projet fut conduit sous la direction du professeur Dr W. 0. Schumann de la Faculté des sciences de Munich, c’est dans ce cadre qu’auraient été construits, jusqu’au début de 1945, 17 disques spatiaux volants de 11.5m de diamètre qui auraient accompli 84 essais en vol, c’étaient ceux qu’on appelait les « Chasseurs VRIL 1« . Un VRIL-7 et un VRIL-7 grand modèle du nom de « ODIN » auraient, pour le moins, décollé de Brandebourg vers Aldébaran, en avril 1945, après avoir fait sauter tout le terrain d’essais et en emmenant une partie des scientifiques de Vril et des membres de la loge Vril.
Le deuxième projet était mené par le bureau d’étude IV des SS qui fit construire, jusqu’au début 1945, trois types de toupies spatiales de différentes grandeurs en forme de cloche: le Haunebu I, 25m de diamètre, en deux exemplaires, testé 50 fois (vitesse en vol d’environ 4.800km/h). Le Hauneba II, 32m de diamètre, en 7 exemplaires, testé 100 fois (vitesse en vol d’environ 6.000km/h). Il était, en fait, prévu de construire des Haunebu II en série.
Une offre aurait été lancée auprès des firmes d’avions Dornier et Junkers. Fin mars 1945, Dornier décrocha le contrat. L’appellation officielle de ces lourdes toupies volantes allait être DO-STRA (avions STRAtosphère Dornier). Le Haunebu III, 71m de diamètre, construit en un seul exemplaire, vola au moins 19 fois (vitesse en vol d’environ 7.000km/h).
L’ « Appareil Andromeda », astronef de 139m qui pouvait recevoir un Haunebu II, deux VRIL I et deux VRIL II, resta à l’état de projet. Il y a, de plus, des documents attestant que le VRIL-7, version grand modèle, fut terminé à la fin 1944 et qu’après des essais, il fit quelques vols qui ne dépassèrent pas l’orbite terrestre, qui furent tenus secrets :
- 1. Atterrissage près du lac « Mondsee » dans le Salzkammergut avec des essais de plongée pour vérifier la résistance à la pression du fuselage.
- 2. Le Vril-7 a probablement stationné dans la « Forteresse des Alpes » de mars à avril 1945 pour des raisons de sécurité et des motifs stratégique. De là-bas, il s’envola vers l’Espagne où s’étaient réfugiées des personnalités importantes du Reich pour les emmener vers l’Amérique du Sud et vers le « NEUSCHWABENLAND » et les mettre en sécurité dans les bases secrètes que les Allemands avaient construites là-bas pendant la guerre.
- 3. Aussitôt après, le Vril-7 aurait décollé secrètement vers le Japon, mais nous n’en savons pas plus.
Qu’advint-il des vaisseaux spatiaux après la guerre ?
On ne peut exclure une production en une très petite série du Haunebu II. Les différentes photos d’ovnis qui, après 1945, montrent des constructions typiquement allemandes nous le laissent à penser. Certains disent qu’une partie des engins avait été coulée dans le lac « Mondsee » en Haute-Autriche, d’autres pensent qu’ils auraient été emmenés en Amérique du Sud ou qu’ils y furent transportés en pièces détachées. Il est certain que même s’ils n’ont pas forcément atteint l’Amérique du Sud, on y fabriqua, à l’aide de plans de construction, de nouveaux appareils.
On les fit voler, et une part importante de cette technologie fut utilisée en 1983 dans à cadre de l’ « expérience Phoenix », projet précédé par l’ « expérience Philadelphia » de 1943. (Il s’agit d’expériences de téléportation, de matérialisation et de voyages dans le temps de la US Navy qui furent plus couronnées de succès qu’on ne l’aurait imaginé dans les rêves les plus téméraires.
En 1938 eut lieu une expédition allemande en Antarctique menée par le porte-avions Schwabenland.
Les Allemands s’attribuèrent 600.000km carrés de terrain qu’ils baptisèrent « NEUSCHWABENLAND » (Nouvelle Souabe). C’était une région sans glace avec des montagnes et des lacs. Des flottes entières de sous-marins du type 21 et 23 prirent, plus tard, la route vers le Neuschwabenland. Jusqu’à ce jour, plus de cent sous-marins allemands y disparurent. Ils étaient équipés du tuba Walter qui leur permettait de rester plusieurs semaines sous l’eau. On peut penser qu’ils se sont enfuis vers le Neuschwabenland avec les soucoupes volantes en pièces détachées ou qu’ils ont, au moins, emporté les plans de construction.
On peut supposer aussi, puisque les essais en vol furent couronnés de succès, qu’à la fin de la guerre, les soucoupes volantes s’y sont rendues directement. Cette supposition peut paraître osée à plus d’un mais beaucoup d’indices importants permettent, cependant, d’imaginer que cela s’est passé ainsi.
On peut alors se poser la question : « Pourquoi les Alliés ont-ils envahi l’Antarctique sous les ordres de l’Amiral Richard E. BYRD, en 1947 ? ».
Si ce n’était que pour une expédition, pourquoi Byrd avait-il à sa disposition 4.000 soldats, un bateau de guerre, un porte-avions tout équipé et tout un système complet de ravitaillement ? Il disposait de 8 mois et il fut, cependant, obligé déjà au bout de 8 semaines de tout interrompre après avoir subi d’énormes pertes d’avions. Le nombre exact ne fut jamais communiqué publiquement : qu’arriva-t-il ?
L’amiral Byrd expliqua, plus tard, à la presse : « C’est dur à entendre mais dans le cas d’une nouvelle guerre il faudra s’attendre à des attaques d’avions qui peuvent voler d’un pôle à l’autre« .
Il laissa aussi entendre qu’il y avait là-bas une civilisation avancée qui se servait, en accord avec les SS, d’une technologie supérieure.
Dans son livre « Zeitmaschinen » (Machines à remonter le temps) ou il se demande, entre autres, ce que sont devenus les Haunebu, Norbert Jürgen-Ratthofer écrit :
« Depuis mai 1945, les toupies spatiales Haunebu I, II et III et même les disques volants spatiaux Vril-1 ont disparut, d’abord, sans laisser de traces. (…) Dans ce contexte, il est extrêmement intéressant de savoir que le Haunebau III du Reich allemand, après son 19ème essai en vol, se serait envolé vers Mars pour une expédition spatiale le 20 avril 1945 en décollant du « Neuschwabenland » qui était alors officiellement un immense territoire du Reich allemand en Antarctique de l’est. Ce qui en est réalisé, nous ne le savons pas. (…)
Un an plus tard, en 1946, d’innombrables objets lumineux d’origine inconnue mais fabriqués indéniablement de façon artificielle furent vus au-dessus de la Scandinavie et provoquèrent un grand émoi chez les Alliés à l’Est comme à l’Ouest.
De nouveau un an plus tard, en 1947, et jusque dans les années 50, des objets volants lumineux surgirent au-dessus de l’Amérique du Nord en un nombre sans cesse croissant. Ils étaient pilotés, c’est certain, par des êtres intelligents, ils étaient, le plus souvent, ronds, en forme de disque ou de cloche, c’était aussi parfois des « Objets Volants Non Identifiés » en forme de cigares qu’on appelle ovnis ».
Il y a des auteurs qui disent que ces ovnis ne ressemblaient pas, en règle générale, à ceux fabriqués par le Reich allemand. Du matériel photo bien documenté prouve que spécialement la version Haunebu II a été vue, et même très souvent, depuis 1945.
Si vous vous êtes intéressés au monde technique des ovnis, vous avez pu constater que parmi les cas ou il y a eu des contacts personnels avec les occupants des ovnis, il y a un pourcentage particulièrement élevé de très beaux êtres de l’espèce « aryenne », blonds aux yeux bleus et que ceux-ci parlaient soit couramment l’allemand soit couramment une autre langue avec un accent allemand (pour les initiés mentionnons le cas d’Adamski, en 1952, le cas de Cedric Allingham, en 1954, celui de Billy Meier en 1942, et celui de Howard Menger, en 1956).
L’affaire Adamski ou La manipulation par la Flotte Noire pour couvrir l’État Profond
Billy MEIER le « contacté » du Programme spatial Secret Allemand
On raconte aussi qu’existent des photos en couleur d’un disque volant qui a atterri avec des hommes pour repartir aussitôt et sur lequel étaient dressées deux croix, une « Balkenkreuz » et une croix gammée. Ces photos furent prises dans les années 70 par un veilleur de nuit en RDA. Il existe à propos des engins volants mentionnés ci-dessus un très bon dossier de photos et de films comme, par ex., la documentation en 60mm « UFO-Geheimnisse des 3 Reiches » (Les secrets des OVNIs du 3ème Reich) (MGA Austria/ Royal Atlantis-Film GmbH).
Citons aussi le dossier de l’Américain Vladimir Terziski qui, lors de la conférence sur les ovnis en septembre 1991 à Phoenix, en Arizona, a projeté des diapositives pendant 3 heures et montré des photos de soucoupes allemandes, de plans de construction et de bases souterraines allemandes.
Le livre du commandant de l’armée de l’air italienne Renato Vesco est aussi très intéressant ainsi que celui de Rudolf Lusar : « Die Deutschen Waffen und Geheimwaffen des Zweiten Weltkrieges und ihre Weiterentwicklung » (Les armes allemandes et les armes secrètes allemandes de la Deuxième Guerre mondiale et leur mise au point ultérieure), J. E Lehmanns Verlag, München, 1971.
Comprenez-vous maintenant pourquoi tout ce qui a trait aux ovnis passe pour de la fumisterie dans les masses média, et ceci particulièrement en Allemagne ?
Compte tenu de cet arrière-plan allemand, le monde de la presse et des médias qui est contrôlé par les élites secrètes est prêt à investir des sommes énormes pour empêcher le citoyen allemand de faire des investigations en ce domaine. La question qu’on peut se poser maintenant est la suivante :
D’où les sociétés secrètes allemandes Thulé et Vril tenaient-elles les connaissances indispensables à la construction de ces engins volants ?
Et d’où leur venait le savoir concernant le génie génétique, domaine ou les allemands étaient également fort en avance par rapport aux autres nations ?
D’après les dires de Herbert G. Dorsey et d’autres chercheurs, ils ont été non seulement par les contacts télépathiques avec des extra-terrestres leur fournissant les plans de construction, mais aussi par l’étude de la propulsion intacte d’une soucoupe non terrestre qui s’était abattue en Forêt Noire en 1936. Mais il n’y a pratiquement aucune preuve de cet événement ni des témoins oculaires encore vivants.
Cependant, ces preuves existent aux USA, et même en grand nombre. À la même époque, les Américains enregistraient une série d’objets qui s’écrasaient au sol, ce qui ne put être tenu complètement caché.
Revenons à la politique.
Pendant que l’I.G. Farben soutenait Hitler, son partenaire de cartel, la « Standard Oil » (de Rockefeller) montait le peuple contre les Nazis. De même, la « Ford, Motor Company » fabriquait des armements militaires pour l’armée américaine mais produisait en même temps en Allemagne des véhicules militaires pour les nazis. Ford et Opel (filiale de General Motors qui est contrôlée par J. P. Morgan) étaient les deux plus grands fabricants de chars dans l’Allemagne d’Hitler.
Qu’importe le vainqueur, les multinationales étaient, depuis le début, gagnantes. C’est selon ce même principe que beaucoup d’entreprises travaillèrent pendant la Deuxième Guerre mondiale. Pourquoi n’y a-t-il rien de tout cela dans les livres des écoliers ou dans les encyclopédies ? Et particulièrement en Allemagne où règne apparemment la liberté de la presse et où l’on enseigne la vérité ?
Une des raisons en est la suivante : la fondation Rockefeller a distribué, en 1946, 139.000 dollars pour qu’on présente au public une version officielle de la Deuxième Guerre mondiale qui dissimule toute l’aide des banquiers américains pour l’édification du régime nazi et qui passe aussi sous silence l’idéologie mystique et occulte de ce régime. Un des principaux donateurs était la Standard Oil Corp, de Rockefeller.
Qu’est ce que la Société Vril ?
L’un des principaux groupes de conseillers des dirigeants nazis était une société secrète connue sous le nom de Vril. Elle doit son nom à un livre du XIXe siècle écrit par Edward Bulwer-Lytton, appelé « la race à venir ». Bulwer-Lytton y décrit une puissante race de maîtres et une ancienne forme d’énergie mystique connue sous le nom de Vril pouvant être exploitée et contrôlée.
La société de Vril en Allemagne a pris son nom de cette force, cette force universelle qui, en sanscrit, est connue sous le nom de Prahna.
La Société Vril, connue sous le nom de « Société Allemande pour la Métaphysique », a été créée officiellement en 1921 pour explorer les origines de la race aryenne. La Société aurait enseigné des exercices de concentration conçus pour éveiller les forces de Vril, une force d’énergie sexuelle Shaakti, plus forte chez les femmes aux cheveux longs, qui alimentait l’énergie magnétique de la Terre vers le cerveau.
Leur objectif principal était d’atteindre « Raumflug », le vol spatial inter-dimensionnel basée sur les révélations psychiques d’extraterrestres aryens vivant sur Alpha Centauri, dans le système d’Aldébaran. Le mot Vril a été formé à partir de l’ancien mot sumérien « Vri-Il » (« comme dieu » ou « semblable à Dieu »).
Les membres masculins de la Société Vril auraient inclus Adolf Hitler, Alfred Rosenberg, le commandant SS Heinrich Himmler, le commandant de l’armée de l’air Hermann Goering, le médecin personnel de Hitler, le Dr Theodor Morell et le chef du parti nazi Martin Bormann. Ils étaient les membres originaux de la société de Thulé qui a prétendument rejoint Vril en 1919.
Le NSDAP (NationalSozialistische Deutsche ArbeiterPartei, c’est-à-dire le Parti nazi) a été créé par Thulé en 1920, un an plus tard. Le Dr Krohn, qui a créé le drapeau nazi, était également thuliste.
Les principes métaphysiques de la société Vril
Dr Schumann (tiré des archives SS) : En tout, nous reconnaissons deux principes qui déterminent les événements : la lumière et l’obscurité, le bien et le mal, la création et la destruction – comme en électricité, nous avons le plus et le moins, c’est toujours ainsi : + ou – . Ces deux principes – le créatif et le destructeur – déterminent aussi nos moyens techniques … Tout ce qui est destructeur est d’origine satanique, tout ce qui est créateur est divin … Toute technologie basée sur l’explosion ou la combustion doit donc s’appeler Satanique. Le nouvel âge à venir sera l’âge d’une nouvelle technologie divine et positive !
Quoi de plus clair que les écrits du tristement célèbre docteur Schumann ? Ça pose tout de suite le cadre.
On va aborder le Nouvel Ordre Mondial et les technologies sataniques. Mais bien plus encore, la Société Vril est une société occulte qui enrôle des médiums pour communiquer avec les extraterrestres aryens vivant sur Alpha Centauri, dans le système d’Aldébaran. Le but est de fabriquer une technologie qui utiliserait le vol anti-gravitationnel à la place des moteurs à explosion. C’est le début des armes secrètes des SS.
Tout comme un ingénieur peut utiliser l’électricité pour chauffer ou pour rafraîchir une pièce, produire un son ou bien d’autres choses, Vril est une énergie, mais elle peut se manifester de différentes manières. La société Vril croyait que cette puissance Vril pouvait alimenter des machines et des appareils et souhaitait l’utiliser pour des soucoupes volantes et des engins aéronautiques. Selon leurs croyances, les Vril pourraient puiser dans cette énergie car ils étaient les descendants directs des extraterrestres du système solaire d’Aldébaran, qui étaient venus sur Terre dans un passé lointain.
Maria Orsic dirige la Vril Gesellschaft
Maria Orsic, dont le nom est également orthographié sous différentes formes : Oršić, Ortisch, Orschitsch, Marija Orsitsch, est née le 31 octobre 1895 à Vienne en Autriche. Elle était une médium occulte célèbre qui est devenu plus tard le chef de la Vril Society.
Elle a disparu de la circulation en 1945. Son père était un immigrant croate de Zagreb, sa mère était de Vienne. Maria suivit bientôt le mouvement populaire nationaliste allemand qui était très en vogue à cette époque. Le but principal du mouvement était d’annexer l’Autriche au Reich allemand (Anschluss).
Lors d’un voyage à Vienne en 1894, Tomislav a rencontré une jeune ballerine exceptionnellement belle du nom de Sabine. Ils tombèrent amoureux et se marièrent peu après, et le 31 octobre 1895 à Zagreb, Sabine Orsic donna naissance à une superbe blonde qu’elle nomma Maria. Plus tard Tomislav changea son prénom en Thomas.
Dans sa jeunesse, Maria Orsic était plus belle que n’importe quelle star d’Hollywood d’aujourd’hui. Elle était professeur de ballet autrichienne et possédant soi-disant des pouvoirs extra-sensoriels. Ce qui est certain c’est qu’elle soutenait le mouvement nationaliste et était proche des nazis.
Maria Orsic fréquentait des sociétés secrètes à Vienne et s’intéressait à l’occultisme. Elle prétendait être une médium. On sait qu’en 1917 une rencontre a eu lieu au café Schopenhauer à Vienne. Il y avait Maria Orsic, l’occultiste Karl Haushofer, le baron Rudolf von Sebottendorf, l’as de l’aviation de la première guerre mondiale Lothar Waiz, le prélat Gernot de la société secrète « Societas Templi Marcioni ». Toutes ses personnes étaient impliquées dans différentes sociétés occultes telles que la Golden Dawn et les loges secrètes asiatiques.
C’est à Munich que Maria fut en contact avec la Thule Gesellschaft et allait bientôt créer son propre cercle avec Traute A. de Munich et d’autres partenaires. L’ Alldeutsche Gesellschaft für Metaphysik était le nom officiel de la Vril Society dont elle est la fondatrice.
Toutes étaient des jeunes femmes éduquées, très opiniâtres sur la politique, qui, entre autres choses, étaient contre la mode croissante du style de cheveux courts chez les femmes. Maria et Traute étaient particulièrement belles et portaient une très longue queue de cheval, une coiffure très inhabituelle à cette époque. Cela est devenu un trait distinctif chez toutes les femmes qui ont rejoint la Société, qui a existait jusqu’en mai 1945. Maria était blonde et Traute A. Blom était une brune. Elles croyaient que leurs cheveux longs agissaient comme un récepteur cosmique recevant une communication extraterrestre. Cependant, elles n’exposaient pas leurs cheveux en public. Pour s’identifier, les membres de la Vril Society, aussi appelée Vrilerinnen, portaient un médaillon qui représentait les deux médiums Maria Orsic et Sigrun Kuenheim.
Les deux personnes qui étaient à la tête de la société Vril étaient bien entendu sa fondatrice, Maria Orsic, qui prétendait être une médium, et une autre médium qui n’était connu que sous le pseudonyme de Sigrun, un nom étymologiquement apparenté à Sigrune, une Valkyrie et l’une des neuf filles de Wotan dans les légendes nordiques.
Maria Orsic et Sigrun vivaient en permanence avec leurs amies. Elles se comportaient comme des grandes prêtresses et dans la communauté les filles dormaient souvent ensemble. On les voit parfois sur des photos en petite tenues ou même totalement nues. Parfois elle s’étendaient la nuit exposant leur corps nu face aux étoiles, leurs longs cheveux déployés. De toute évidence les adeptes de cette société secrète étaient homosexuelles ou bi-sexuelles. Ou bien elles étaient tellement secouées qu’elles se prenaient pour des amazones vivant sur une lointaine île où il n’y avait que des filles.
La très longue chevelure de ces dernières vient des représentations originales faites d’Isais. Isais enseigna que la principale partie vibratoire du corps des femmes sont les cheveux, et que plus ils sont longs, mieux les vibrations sont captées.
Maria fût en assez grande partie initiée par la « Societas Templi Marcioni » qui avait hérité du savoir des Seigneurs de la Pierre Noire.
Mais les croyances de la Société Vril ne s’arrêtent pas là, on ne peut pas dire qu’une religion à part entière fût adoptée.
La spiritualité des Vrilerinnen était composée de croyances venant de diverses sources, notamment de chez les germains, les hindouistes, les perses, les sumériens, les assyriens, et dans une moindre mesure, dans le mysticisme chrétien.
L’influence des mythes de l’Inde et du Tibet
Sebottendorf et Haushofer étaient des voyageurs expérimentés de l’Inde et du Tibet et très influencés par les enseignements et les mythes de ces pays. Au cours de la Première Guerre mondiale, Karl Haushofer avait établi des contacts avec l’une des sociétés secrètes les plus influentes d’Asie, les « chapeaux jaunes » tibétains. Les contacts entre Haushofer et les Yellow Hats ont conduit dans les années vingt à la formation de colonies tibétaines en Allemagne.
Les quatre jeunes espéraient que lors de ces rencontres à Vienne, ils apprendraient quelque chose sur les textes révélateurs secrets des Chevaliers Templiers et aussi sur la fraternité secrète Die Herren vom schwarzen Stein (« Les Seigneurs de la Pierre Noire »).
Le prélat Gernot était l’un des « héritiers des Templiers », qui sont la seule véritable société templière. Ils sont les descendants des Templiers de 1307 qui ont transmis leurs secrets de père en fils jusqu’à aujourd’hui.
Le prélat Gernot leur a apparemment parlé de l’avènement d’un nouvel âge : le passage de l’âge des Poissons à l’ère du Verseau.
L’histoire de Thulé
« ULTIMA THULE » aurait été la capitale du premier continent colonisé par les Aryens. Celui-ci s’appelait « HYPERBORÉE » et aurait été plus vieux que la Lémurie et l’Atlantide (continents engloutis, habités jadis par de grandes civilisations).
En Scandinavie il y a une légende autour de l’ « Ultima Thule », ce pays merveilleux dans le Grand Nord ou le soleil ne se coucherait jamais et ou vivraient les ancêtres de la race aryenne. Le continent « Hyperborée » aurait été situé dans la mer du Nord et aurait été englouti lors d’une époque glaciaire.
On suppose que ses habitants vinrent jadis du système solaire d’Aldébaran qui est l’astre principal dans la constellation du Taureau :
ils mesuraient environ 4 mètres, avaient la peau blanche et étaient blonds aux yeux bleus. Ils ne connaissaient pas les guerres et ils étaient végétariens (Hitler aussi, d’ailleurs).
D’après les prétendus textes de Thulé, les Hyperboréens étaient très en avance dans leur technologie et ils se seraient servis des « Vril-ya », engins volants que nous désignons aujourd’hui du nom d’ « OVNI ».
Grâce à l’existence de deux champs magnétiques inversement rotatifs, ces disques volants auraient été capables de lévitation, ils auraient atteint des vitesses énormes et accompli des manœuvres en vol, performances que nous observons également chez les ovnis. Ils auraient utilisé la force Vril comme potentiel énergétique, c’est-à-dire comme carburant (Vril = éther, ou prana, chi, force cosmique, orgon… mais ce mot est dérivé aussi du « Vri-Il » akkadien qui signifie « semblable à la plus grande divinité » ou « égal à Dieu ».) Ils soustrayaient donc de l’énergie (qui ne coûtait rien) au champ magnétique terrestre, comme le font les convertisseurs à tachyons du commandant Hans Coler ou le moteur à « espace quanta » développé par Oliver Crane.
Lorsque le continent Hyperborée commença à s’enfoncer, les habitants se seraient mis à creuser des tunnels gigantesques dans la croûte terrestre avec de grosses machines et ils se seraient établis sous la région de l’Himalaya.
Ce royaume souterrain a le nom d’ « AGARTHA » ou « AGARTHI », et sa capitale s’appellerait « SHAMBALLAH ». Les Perses appelèrent ce royaume souterrain « Ariana » ou « Arianne », le pays d’origine des Aryens.
Karl Haushofer affirma que Thulé était en fait, l’Atlantide et disait, contrairement à tous les autres chercheurs du Tibet et de I’Inde, que les survivants de Thulé-Atlantide s’étaient partagés en deux groupes, un bon et un méchant.
Les bons qui, d’après leur oracle, prirent le nom d’Agarthi s’installèrent dans la région de l’Himalaya, les méchants qui s’appelaient, d’après Haushofer les Shamballah et qui voulaient réduire les hommes à l’esclavage se dirigèrent vers l’Ouest.
Haushofer affirmait qu’un combat durait depuis des d’années entre ceux d’Agarthi et ceux de Shamballah.
Ce combat que reprit à son compte la Société de Thulé avec le troisième Reich représentant ceux d’Agarthi contre ceux de Shamballah, les francs-maçons et les sionistes. Donc les juifs seraient finalement des Atlantes de Shamballah ????
De nombreux mythes étrangers ont proliféré autour de la légende de Shamballah. Deux camps se manifestèrent parmi les versions occultes.
L’un considérait Shamballah comme un paradis utopique dont les habitants sauveraient le monde….
Ce n’était pas le cas des Nazis semble-t-il !
Haushofer était persuadé que ce royaume souterrain d’Agarthi sous l’Himalaya était le lieu d’origine de la race aryenne.
Il en aurait soi-disant eu la preuve lors de ses nombreux voyages au Tibet et en Inde. Le signe distinctif de Thulé aurait été la svastika aux branches tournées vers la gauche. Selon les dires de lamas tibétains et du dalaï-lama en personne, les gens d’Agarthi existent encore aujourd’hui.
Le royaume souterrain, qui est bien ancré dans presque tous les enseignements orientaux, se serait répandu au long des millénaires sous toute là surface de la Terre avec des centres immenses sous le Sahara, sous la montagne du Matto Grosso et sous la montagne Santa Catarina au Brésil, sous le Yucatan au Mexique, sous le mont Shasta en Californie, en Angleterre, en Égypte et en Tchécoslovaquie…
Hitler aurait eu particulièrement à cœur de trouver les entrées du royaume souterrain d’Agartha et d’entrer en contact avec les descendants des « hommes-Dieu » aryens d’Aldébaran-Hyperborée.
Dans les légendes et les traditions de ce royaume souterrain, on rapporte, entre autres, qu’il y aura sur notre globe une méchante guerre mondiale (la troisième) qui prendra fin à cause de tremblements de terre et d’autres catastrophes naturelles y compris le renversement des pôles qui entraîneront la mort des deux tiers de l’humanité.
Après cette « dernière » guerre, les différentes races de l’intérieur de la Terre se réuniront de nouveau avec les survivants de la surface du globe et introduiront l’ « AGE D’OR » millénaire (l’ère du Verseau).
Hitler voulait créer un « Agartha » ou l’ « Ariana » à la surface de la Terre avec la race des maîtres aryens, et ce lieu devait être l’Allemagne.
Durant le Troisième Reich, il y eut deux grandes expéditions de SS dans l’Himalayas pour trouver les entrées du royaume souterrain. D’autres expéditions eurent lieu dans les Andes, dans les montagnes du Matto Grosso et de Santa Catarina au Brésil, en Tchécoslovaquie et en Angleterre. Et puis certains auteurs affirment que les gens de Thulé croyaient qu’indépendamment du système de tunnels et de villes souterraines, la Terre était creuse, avec deux grandes entrées, l’une au pôle Nord et l’autre au pôle Sud.
On s’en référa aux lois de la nature : « tel le microcosme, tel le macrocosme ». Qu’il s’agisse d’une cellule du sang, d’une cellule du corps ou d’un ovule, d’une comète ou d’un atome, ils ont tous un noyau et une cavité entourée d’une enveloppe, la « corona radiata«, la vie propre se passe donc à l’intérieur. Les gens de Thulé en avaient conclu que la Terre devait être constituée selon le même principe. Même les russes confirmaient ce fait, car se sont des cavités rocheuses dont la vie propre, c.-à-d. les minéraux et cristaux, se trouve à l’intérieur.
La Terre devrait, par conséquent, être creuse aussi – ce qui correspondrait, d’ailleurs, aux dires des lamas tibétains et du Dalai-Lama – et elle devrait avoir un noyau, c.-à-d. un soleil central qui confère à son intérieur un climat régulier et une lumière solaire permanente.
La vraie vie de notre planète se passerait à l’intérieur de celle-ci, la race des maîtres vivrait au-dedans et les mutants à la surface. Ce serait la raison qui explique pourquoi nous ne pouvons découvrir aucune vie sur les autres planètes de notre système solaire puisque les habitants y vivraient aussi à l’intérieur. Les entrées principales seraient au pôle Nord et au pôle Sud, pôles traversés par la lumière du soleil central qui crée les « aurores boréales », les prétendues lumières des pôles.
La masse solide occuperait plus de volume à l’intérieur de notre planète que la masse des eaux.
D’après l’explorateur des pôles Olaf Jansen et d’autres explorateurs, l’eau à l’intérieur serait de l’eau douce, ce qui expliquerait que la glace de l’Arctique et de l’Antarctique n’est pas constituée d’eau salée mais d’eau douce. Cette thèse sur la constitution de notre Terre est étayée par les témoignages des explorateurs des pôles Cook, Peary, Amundsen, Nansen, Kane et aussi par l’amiral E. Byrd. Ils eurent tous les mêmes expériences étranges qui ne concordent pas avec les théories « scientifiques » établies :
Tous constataient que le vent s’échauffait au-dessus du 76ème degré de latitude, que les oiseaux volaient au-dessus de la glace en direction du Nord et que des animaux, tels que les renards, se dirigeaient dans la même direction, qu’on trouvait de la neige colorée et grise qui, en fondant, livrait un pollen de fleurs multicolores ou de la cendre volcanique.
La question qui se pose : D’où vient la pollen de fleurs qui se trouve au pôle Nord ? D’où vient la poussière volcanique puisque aucun volcan n’est signalé sur les cartes officielles disponibles ?
De plus, il arrivait à certains des chercheurs de se trouver parfois dans une mer d’eau douce, et tous relatent avoir aperçu deux soleils à un certain moment du voyage. En outre, ils trouvèrent des mammouths à la chair encore fraîche et dont l’estomac contenait, parfois, de l’herbe fraîche.
La Société Thulé voulait imposer par la force la résurrection de l’Atlantide et l’Empire de 1000 ans prédit par le Christ, aussi utilisaient-ils le signe de la chute dans l’Âge des Ténèbres.
Adolf Hitler était vénéré comme un sauveur par 50 groupes ésotériques et porté au pouvoir. personne n’aurait imaginé qu’il était l’un des derniers maîtres de la Fraternité des Ténèbres Atlante, qui allait les mener vers le côté obscure de l’occultisme.
La vieille guerre entre Shamballah et l’Agartha, représentant les Fraternités ennemies atlantes, atteignit son paroxysme extérieur dans la Seconde Guerre mondiale.
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