Cas de conscience

La réalité du trafic d’enfants à la frontière entre les États-Unis et le Mexique

Le trafic sexuel des enfants est un fléau que les Démocrates refusent de combattre !

Les douanes et la police des frontières des États-Unis ont tiré la sonnette d’alarme concernant le grand nombre de victimes de trafic sexuel d’enfants qui, selon eux, sont droguées et introduites clandestinement aux États-Unis pour le compte de pédophiles d’élite.

Il y a eu au moins deux cas distincts en quelques jours seulement où la police des frontières a identifié des passeurs transportant des certificats de naissance de plusieurs enfants avec lesquels ils n’avaient aucun lien de parenté.

Les agents affirment qu’ils constatent une augmentation du nombre de ces adultes suspects qui font cela, car les mules « recyclent » les enfants à des fins de trafic sexuel.


Naturalnews.com rapporte :

« Il y a quelques années, quand ils arrivent en masse, nous devions laisser entrer les familles », a déclaré un agent de la police des frontières à ce sujet.

« Les gens continuaient à arriver et après un certain temps, nous avons remarqué que les enfants étaient les mêmes, mais que les parents étaient différents. Ils recyclaient les enfants. »

« Je déteste y penser, car il y avait des milliers d’enfants et je ne sais pas où ils ont tous fini. »

Des passeurs ont drogué un garçon avec des somnifères pour « l’empêcher de parler »

Les autorités disent qu’elles ne savent pas à quel point cette pratique horrible est répandue alors qu’elles luttent pour faire face aux hordes de migrants étrangers qui inondent les points d’entrée à la frontière sud.

« Parfois, nous sommes confrontés à des actes criminels si horribles qu’ils défient la décence humaine », explique Gregory Bovino, chef de la patrouille frontale du secteur El Centro, à la frontière sud de la Californie.

Dans un de ces cas, les agents de la police des frontières ont récupéré un enfant à la frontière californienne qui avait été « fortement dosé en somnifères pour l’empêcher de parler », a révélé Bovino.


Le 29 août, quelques semaines avant cet incident, des agents de la police des frontières en poste à San Luis, en Arizona, ont arrêté Marlen Contreras-Lopez, une citoyenne américaine de 28 ans résidant en Arizona, qui transportait dans sa voiture deux enfants qui avaient été drogués avec des somnifères.

Contreras-Lopez a d’abord affirmé qu’elle était apparentée aux enfants, mais cette histoire s’est effondrée après que les agents ont constaté que l’un des enfants devait être sorti de la voiture parce qu’il « avait du mal à marcher » à cause de la drogue.

« La femme a eu du mal à réveiller les enfants », a tweeté Diane J. Sabatino, adjointe exécutive du Bureau des opérations sur le terrain, à propos de cet incident.

« Les policiers ont constaté que les enfants étaient extrêmement somnolents. En interrogeant les enfants, les policiers ont rapidement découvert qu’il n’y avait aucun lien de parenté entre la femme et les deux mineurs, âgés de 11 et 8 ans. »

Bien que les certificats de naissance que Contreras-Lopez a remis aux policiers soient valables pour les enfants, ces derniers n’appartiennent pas réellement à Contreras-Lopez, qui les trafiquaient apparemment pour le compte de quelqu’un d’autre.

La petite fille a déclaré que le petit garçon qui l’accompagnait était son frère et que les deux surviennent de l’État du Michoacan, au sud du Mexique. De leur ville natale, les deux enfants ont été transportés en bus jusqu’à la ville frontalière mexicaine de San Luis Rio Colorado, où Contreras-Lopez était prêt à venir les chercher pour un autre transfert.

L’un des enfants a révélé que leur mère se trouve toujours au Mexique et qu’ils seraient en route vers la maison du petit ami de leur mère, quelque part aux États-Unis. Contreras-Lopez a depuis été accusé de contrebande et les deux enfants ont été remis aux autorités mexicaines.

En mai 2024, quelque 291 000 enfants migrants non accompagnés ont été remis par les autorités frontales à des parrains, pour ne plus jamais comparer devant un tribunal.

Cela signifie que les autorités fédérales ont complètement perdu le contact avec tous ces enfants et n’ont aucune idée de l’endroit où ils se trouvent actuellement.

Source : La Voix du Peuple Septembre 2024


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