Nouveau paradigme

La planète malade de l’homme et le cycle dégénératif de l’oxygène

Une approche selon la clairvoyance éthérique

La race humaine devra quitter la Terre où elle s’auto-étouffe tout en dénaturant un milieu originellement conçu pour l’évolution des espèces non humaines. En s’accrochant à une dimension qui n’est pas la sienne, l’âme humaine se dénature, devient malade et perturbe l’harmonie planétaire.

Il faut donc concevoir une véritable écologie spirituelle, et mettre en place une civilisation qui nous permettrait de retrouver notre nature originelle.

Mais nous allons en sens contraire en nous accrochant au plan physique par oubli de notre origine.


Les défenseurs de la nature sont très gentils, mais leur rêve d’une planète idéale provient de leur ignorance du cycle dégénératif constant. La consommation d’oxygène entraîne l’émission de gaz carbonique qui est ré-assimilé par les autres règnes, qui à leur tour dégagent un oxygène de plus en plus dégradé selon son essence éthérique. Donc, la qualité spirituelle de l’air que notre âme absorbe et dont dépend sa santé est en chute continue.

Ce processus est lent mais irréversible. Il est invisible à l’observation normale qui ne s’alarme que de la pollution chimique, sans voir qu’un auto empoisonnement définitif nous menace à long terme. Bien entendu, il s’agit là d’une position qui semble plus philosophique que scientifique, car l’humanité ne s’est jamais souciée de la qualité spirituelle de l’oxygène quelle respire. Les naturistes et idéalistes voudraient que la nature soit originellement pure et dans un état d’équilibre parfait. Mais c’est ignorer les raisons métaphysiques de la présence de l’être humain ici-bas.

Les mythes racontent que nous avons été déportés de l’Eden initial sous une forme spirituelle d’abord, et que nous avons progressivement cristallisé notre enveloppe matérielle. Qu’importe si l’on rejette l’hypothèse spirituelle de l’origine de l’humanité, mais le fait de la constante dégradation du cycle de l’oxygène demeure.

Les ésotéristes pouvant lire dans la mémoire de la nature, sont seuls capables de détecter la raison métaphysique du problème. L’empoisonnement est de nature éthérique. Il découle directement de la présence anormale de l’humanité sur une dimension qui n’était pas originellement la sienne. L’on peut appeler cela « évolution », mais il s’agit en réalité d’une entropie, d’une chute constante dont la conséquence finale sera l’impossibilité de respirer sur cette dimension.


C’est là l’origine de nos problèmes existentiels, lesquels ne sont pas créés par des prédateurs ou par un esprit mauvais inhérent à notre nature humaine, mais par notre présence anormale sur le plan terrestre. C’est pourquoi, quoi que nous fassions, en bien ou en mal, sur cette terre, nous l’usons et la détruisons. Nous la dégradons par le simple fait de respirer. Comment est-ce possible diront les gentils naturistes si fiers de leur planète bleue ?

Voilà le secret.

L’être humain était à l’origine un être spirituel qui a été déporté dans une zone galactique réservée aux règnes végétaux et animaux pour lesquels la Terre est un paradis. Ce paradis éthérico-organique a accueilli les entités humaines en quête d’un lieu de refuge et leur a fourni des corps extraits de son milieu. Ces organismes corporels sont terrestres mais l’entité spirituelle qui les habite est d’une autre nature. Il y a incompatibilité.

C’est là l’origine de notre malaise existentiel, de notre folie, de notre incapacité de vivre heureux comme les animaux dans le vert paradis des bêtes, des plantes et des fées.

Nous usons lentement notre milieu d’accueil par notre souffle même, et finalement, nous le détruirons par notre science qui est une tentative désespérée pour survivre.

C’est pourquoi, le salut de l’homme et de la planète terre serait que nous retrouvions notre état spirituel afin de ne plus dépendre des conditions physiques, en soulageant ainsi les autres règnes de notre présence incongrue.

La nature retrouverait alors sa qualité éthérique d’harmonie, et le monde retrouverait son état originel de « jardin de plaisance des dieux », alors qu’il en est devenu le dépotoir.

Mais qui se soucie de la qualité éthérique des éléments vitaux ? Et pourtant, c’est là où réside la pollution irréversible, celle qui fera qu’un jour l’humanité ne pourra plus se maintenir sur le plan terrestre.

L’homme est semblable à une pile qui assimile et transforme des forces éthériques présentes dans l’atmosphère et dans les quatre éléments chimiques : hydrogène, oxygène, azote et carbone. A chacun de ces éléments correspond une force éthérique.

L’oxygène est une condensation de « l’éther lumineux ». L’âme humaine assimile ces quatre nourritures éthériques correspondant à l’hydrogène, l’oxygène, l’azote et le carbone.

Notre vitalité, notre énergie vitale provient de ces substances éthériques que nous convertissons en forces dans notre organisme.

Prenons l’exemple de la respiration.

La substance que nous inhalons est différente de celle que nous exhalons. Nous exhalons entre autres du gaz carbonique, oxyde de carbone qui est un produit de la combustion, une transformation de son double vital « l’éther chimique ».

Nous connaissons différentes propriétés du gaz carbonique. L’atmosphère en contient naturellement, attendu qu’il se forme par la respiration des hommes et des animaux et par la combustion et la décomposition de matières organiques. Si rien ne l’empêchait, notre atmosphère contiendrait toujours davantage de gaz carbonique, ce qui nous serait funeste ; car une flamme s’éteint immédiatement dans ce gaz. Tout processus de combustion deviendrait donc impossible dans une atmosphère ainsi surchargée et toute vie y serait littéralement étouffée.

Pour parer à cette menace, le règne végétal intervient. Les feuilles de la plante absorbent le gaz carbonique et rejettent de l’oxygène.

Le règne végétal prévient donc notre asphyxie par un produit de notre propre pile humaine !

Des observateurs ont déterminé dans quelle mesure l’atmosphère peut être saturée de gaz carbonique sans entraîner la mort.

Un homme normal peut, dit-on, supporter 5% de gaz carbonique. Or, remarquez que ce gaz est toujours présent dans l’atmosphère, quoiqu’à un degré moindre !

Pensez maintenant à votre maison, à votre chambre, à votre jardin. Vous passez une très grande partie de votre vie dans votre habitation. Vous y respirez et y produisez du gaz carbonique que vos plantes absorbent avidement. C’est une bénédiction pour vous et pour les plantes aussi. Car, sans gaz carbonique, pas de plantes et sans plantes, vous étoufferiez !

Le règne végétal et le soin qu’il exige est donc de nécessité vitale pour tout homme de la nature. Plus il y a de décomposition et de combustion, plus il y a de gaz carbonique ; plus il y a de gaz carbonique, plus il y a de plantes ; et plus il y a de plantes et plus il y a d’assurance- vie pour nous.

Donc, en retour du gaz carbonique qu’elles reçoivent de vous et de votre chat, vos plantes vous fournissent de l’oxygène. Cependant, ce n’est pas un oxygène complet mais un sous-produit.

Sur le plan éthérique, on observe que la qualité de cet oxygène est toujours un éther lumineux, mais plus sombre, de vibration très ralentie. Cet oxygène végétal déficient se mélange de nouveau à l’oxygène de l’atmosphère, après quoi, nous l’inhalons de nouveau et produisons du gaz carbonique…

Considérez cette chaîne de vie et comprenez que vous vivez à la faveur du règne végétal !

Vous découvrirez peut-être également que tout ceci est un processus alarmant et très critique, parce qu’il est dégénératif.

D’autres facteurs interviennent simultanément avec le cycle de l’oxygène. Le sous-produit du carbone rend nécessaire le règne végétal, et cela pour notre salut. Mais les sous-produits de l’azote, de l’hydrogène et de l’oxygène rendent nécessaires, outre le règne végétal et animal, celui des insectes et des microbes, et celui des êtres élémentaux. Et ceci à notre attention ! En effet, ces règnes assimilent tout ce qui nous ferait mourir. Ils vivent, et existent littéralement de nos radiations de mort, et nous donnent en retour le produit de la dissociation de ces radiations.

Dès lors, trouvez-vous étrange que ces règnes naturels qui vivent des exhalaisons de mort de notre existence coupée de la source originelle, s’épient, se chassent, s’entre-dévorent, se mutilent et se souillent mutuellement dans la lutte pour la survie ? Comment est-il possible d’y voir de la beauté et la main de Dieu ? Comment est-il possible d’en espérer une perfection ? Voyez-vous clairement la tragédie de cette loi naturelle inexorable ? Vous qui cherchez la « santé » sur le plan matériel, ne réalisez-vous pas qu’il s’agit d’un enfer qui ne produit que de la souffrance ?

Avez-vous compris que votre état actuel provient d’une « chute », une rupture avec la loi universelle, et que cet état vous oblige à contribuer à cette dégénérescence ?

Combien réalisent que l’humanité est entraînée à une vitesse vertigineuse dans une abomination lorsqu’elle produit de l’énergie en dissociant l’atome d’hydrogène qui est sur le plan spirituel le milieu de naissance de l’âme ?

Si les écologistes pouvaient comprendre la véritable écologie spirituelle, ils cesseraient de protester pour ce qui semble des broutilles en comparaison du drame fondamental.

Comprendrons-nous à temps que nous collaborons à une catastrophe cosmique ?

L’homme originel reçut le souffle de vie, mais il exhale à présent un souffle de mort.

Un enfant pourrait comprendre que les règnes naturels qui sont là pour nous protéger, ne peuvent suffire à la tâche. L’homme consomme de la nourriture synthétique; des contrées toujours plus étendues sont déboisées et défrichées ; le danger microbien et le venin des insectes, combattus de façon de plus en plus massive ; les maladies sont refoulées par les vaccins et les médicaments ; les animaux des campagnes remplacés par des machines…que ne fait l’homme dans sa rage d’assurer son existence conservatrice ?

Il combat les dangers en en déchaînant d’autres. C’est la mer à boire ! Les forces génératrices de mort engendrées par ces piles vitales que sont les humains, ces forces dégradées que les règnes protecteurs de la nature ne peuvent plus absorber entièrement, s’étendent et se multiplient. Sans cesse, le souffle de mort gagne du terrain et le résultat ne peut être qu’une explosion atomique sous forme d’une crise : une « révolte cosmique ».

Toutes les maladies qui accablent l’humanité sont occasionnées par l’un des règnes naturels sous-humains ; ces règnes étant nécessaires à l’absorption des dangereux produits de nos piles vitales.

Prenons par exemple, le moustique qui n’est rien qu’un bout de venin piquant, et qui est la cause de maladies dans de nombreux pays. Cet insecte vit à partir des produits atomiques de notre pile vitale. Il nous recherche et nous pique par réaction aveugle, car pour se maintenir, toute créature se tourne vers son créateur. (Nous ne développerons pas ici comment les pensées humaines finissent par se matérialiser au fil de longues périodes, sous formes de monstres qui reviennent vers la source de leur existence, nous-mêmes…)

Que faire pour contrer les moustiques ?

Ils sont exterminés et cela est compréhensible. D’autres insectes qui succèdent à cette tâche sont également combattus. Les microbes et virus qui, pour les mêmes raisons reviennent vers nous et rongent nos corps, sont combattus. Nous devons le faire, parce que nous ne pouvons pas faire autrement !

Mais quand nous réussissons à exterminer ces agents d‘infection, alors, c’est du super venin que nous produisons nous-mêmes, et dont nous devenons entièrement la proie, tandis que, jusqu’ici, grâce aux fonctions biologiques de ces règnes sous-humains, nous n’en subissions, sous forme de maladies, qu’une réaction ralentie, donc affaiblie !

Peut-on imaginer tragédie plus profonde ? Combattre des maladies, rechercher la santé et, par là même, inhaler à larges traits nos propres miasmes de mort.

Celui qui comprend clairement tout ceci et l’éprouve en pleine conscience : celui qui parvient à cette connaissance, commence à se connaître lui-même. Il s’engage alors dans une recherche sérieuse sur l’origine et la destination de l’humanité.

Au bout de son enquête, il ferme ses livres et ses oreilles aux élucubrations des spécialistes et des réformateurs. Il n’y a plus en lui qu’une aspiration : retourner à la source de la Vie. Mais, il doit d’abord abandonner ses croyances idéalistes, philosophiques, scientifiques et religieuses pour parvenir à une totale lucidité.

Ce travail de déconditionnement des idées reçues est une tâche que bien peu veulent effectuer car notre culture ne nous apprend pas à aller au fond des choses. Il y a toujours une restriction, un préjugé, une crainte pour nous détourner de la lucidité. Et lorsque nous commençons à comprendre, alors, les marchands d’espoir rappliquent avec leurs évasions, leurs fausses solutions et leurs bricolages messianiques.

Or, il y a une espérance. Il y a une issue, mais elle implique une profonde connaissance de soi et un profond désir de libération.

Heureusement, l’humanité n’est pas abandonnée à son ignorance et aux mauvais bergers qui lui font miroiter un bonheur artificiel dans leur camp de concentration planétaire.

Les lois universelles corrigent les situations déviantes qui mettent en péril les systèmes planétaires sur toutes les dimensions.

Une telle correction est à l’oeuvre dans le système solaire. Ce qui nous paraît infiniment long à cause de notre dimension ralentie est l’effet d’un règlement cosmique immédiat.

C’est pourquoi les hiérarchies conservatrices terrestres et d’autres races parasitaires sont très actives aujourd’hui.

Se sentant menacés, ces groupes tentent de plaquer l’humanité au sol par la violence politique ou à l’aide d’illusions diverses. Mais, peut-on tricher avec les lois universelles ?

Le jugement tombera inéluctablement car il a été prononcé dès le tout début de la déviation.

L’univers enregistre parfois des expériences négatives du point de vue de l’harmonie divine, expériences se déroulant sur des dimensions éloignées de la Source. Mais la correction est inéluctable, sauf qu’elle est enregistrée sur une dimension de vibration ralentie, telle cette longue période qui est l’histoire du monde.

Ainsi, le risque n’est pas de manquer le salut ultime, mais plutôt de chercher à l’anticiper par toutes sortes d’artifices. Ces tentatives spéculatives nées de la douleur et de l’espoir qui en découle, sont plus pernicieuses que le mal qu’elles tentent de combattre. Ne prenant pas en compte le Plan divin, ces expériences politiques et scientifiques « humanistes » aggravent la situation planétaire.

L’on peut dire que la grande trahison provient de la théologie qui a interprété à rebours les textes sacrés. C’est la racine de l’illusion dans notre culture. Nous avons été manipulés à croire le contraire de la vérité, et quoique nous commencions à ouvrir les yeux, ces croyances enracinées forment notre structure mentale.

Il faut donc remettre en question ce que l’on a voulu nous faire croire dans le but de nous maintenir plaqués au sol.

Dans l’état actuel de notre conscience, dépendante de son support physique programmé pour une survie aveugle, il est difficile de VOIR la situation avec lucidité.

Cela est même impossible si l’on réalise combien notre conscience est tributaire de la forme. Cette forme physique capte toute notre énergie pour son entretien et sa survie. Lorsque nous nous « spiritualisons », ce désir de survie prend un caractère plus noble mais tout au fond, c’est la peur sécuritaire qui parle.

Cette peur enracinée dans le subconscient nous sollicite afin que nos efforts soient détournés vers une spiritualisation de la matière, telle la politique des loges occultes, mais pas vers une émancipation réelle.

Les lois universelles en ont décidé autrement et la vérité va faire craquer le système. Ceux qui ne pourront pas s’ouvrir aux rayonnements cosmiques qui corrigent la situation, seront toujours plus malades et deviendront quasi déments. On ne peut exister contre l’univers.

Il y a un salut pour la race humaine si elle accepte de se défaire de ses fausses croyances. Alors, les processus de redressement s’accélèrent et l’homme retrouve sa puissance originelle.

Il se délivre et délivre la création « malade de l’homme » en même temps.

Auteur : Yasmine ROONEY – LE PROJET PLEIADIEN – l’Assistance pléiadienne dans la vie humaine.


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