Secrets révélés

Financer le terrorisme et faire semblant de rien

Les liens secrets entre l’UNRWA, le Hamas et le Jihad islamique.

Les révélations d’UN WATCH dévoilent Les liens troublants entre l’UNRWA et les organisations terroristes. Un rapport explosif publié par l’organisation met en lumière des connexions inédites entre l’UNRWA (l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés palestiniens) et des organisations terroristes comme le Hamas et le Jihad islamique palestinien.

Ces révélations questionnent la neutralité proclamée de cette agence onusienne, qui gère un budget colossal de 1,5 milliard de dollars financé principalement par des pays occidentaux.

Une « coopération » inquiétante

Selon le rapport, l’UNRWA aurait maintenu une relation étroite avec des représentants d’organisations terroristes au Liban et dans la bande de Gaza. Des réunions régulières entre des responsables de l’agence et ces groupes ont été documentées, durant lesquelles des termes comme « coopération » et « partenariat » ont été utilisés.


Les organisations terroristes, selon le rapport, influenceraient directement certaines décisions de l’UNRWA, notamment sur des questions sensibles comme l’introduction de cartes biométriques pour les bénéficiaires d’aide ou la suspension d’employés liés à des activités terroristes.

Des cas concrets de compromission

Un exemple frappant concerne Fathi al-Sharif, un cadre du Hamas qui occupait également des postes de direction à l’UNRWA, notamment en tant que directeur d’école.

Malgré des preuves accablantes de son soutien aux activités terroristes, Al-Sharif a continué d’exercer ses fonctions jusqu’à ce qu’une plainte officielle mène à une suspension temporaire en 2024.

Peu après, le Hamas a organisé des manifestations massives, forçant l’UNRWA à trouver un compromis. Trois mois plus tard, Al-Sharif a été tué dans une frappe israélienne, confirmant son rôle en tant que chef du Hamas au Liban.


Un problème systémique

Le rapport d’UN WATCH ne se limite pas à des cas isolés. Il met également en lumière des décennies de coopération tacite entre l’UNRWA et des groupes terroristes.

L’ancien commissaire général de l’agence, Pierre Krähenbühl, avait déjà été critiqué pour ses relations étroites avec le Hamas. Il avait encouragé les dirigeants terroristes à faire appel en secret de certaines décisions de l’agence, afin de les modifier discrètement.

Son successeur, Philip Lazzarini, n’est pas en reste. En 2024, il aurait conclu un accord avec des organisations terroristes lors d’une réunion à Beyrouth, permettant au Hamas de continuer à exercer une influence significative au sein de l’agence.

Des implications politiques majeures

Ces révélations soulèvent de nombreuses interrogations sur l’utilisation des fonds destinés à l’UNRWA.

Des pays donateurs, dont les États-Unis et plusieurs membres de l’Union européenne, pourraient reconsidérer leur soutien financier à une agence accusée d’entretenir des relations avec des groupes terroristes.

La députée israélienne Yulia Malinovski, à l’origine d’une loi visant à couper tout lien entre Israël et l’UNRWA, a qualifié l’agence de « branche terroriste déguisée ». Elle a déclaré que ce rapport constitue une preuve supplémentaire de la nécessité de mettre fin à la coopération avec une organisation qui, selon elle, légitime et soutient indirectement le terrorisme.

Vers une réforme ou une dissolution ?

Alors que l’UNRWA continue de clamer son attachement à la neutralité, ces révélations fragilisent davantage sa crédibilité.

Le rapport d’UN WATCH plaide pour une réforme structurelle de l’agence ou, à défaut, pour sa dissolution. Face à des accusations aussi graves, la communauté internationale devra décider si l’UNRWA peut encore être considérée comme un acteur humanitaire légitime ou si ses liens avec le terrorisme la disqualifient définitivement.


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