Parapsychologie

Effets de la pensée et des énergies subtiles sur la destinée

Les secrets de l'énergie éthérique...

La conscience individuelle existe dans un réseau de causalités subtiles et de variables temporelles. La causalité des évènements paranormaux est l’objet de toutes les interrogations… c’est ce qui les rend « incompréhensibles », si l’on ne prend pas en compte une énergie « formative » – qui pulse « derrière » les situations, derrière la réalité.

C’est cette énergie qu’on utilise en magie, elle opère par « structuration associative plutôt que par mesure quantitative. » Elle produit une « causalité non-locale », qui étonne la science : la cause d’un évènement peut-être très « ancienne », mais l’évènement pourra se produire « maintenant », sans que le lien chronologique ne soit décelable.

Cette perspective ouvre au voyage dans le temps.


L’espace-temps n’est pas une suite linéaire de jour, d’heures… mais c’est une « configuration de relations moléculaires.

Pour voyager dans le temps, la conscience doit « s’extraire » de ce film linéaire. On peut voir alors que la destinée est influencée par des sortes « d’éclairs » de dimensions supérieures, qui changent d’un coup la structure de notre espace-temps.

Ces éclairs produisent des changements brutaux dans nos vies et nous prenons une autre voie… Notre vie est changée soudainement alors que nous nous y attendions le moins.

On appelle cette énergie structurelle ou topologique qui « forme » l’espace-temps une énergie « éthérique ».


Elle « code » et manifeste une situation de notre espace-temps, de notre vie. On peut la comparer au faisceau d’électrons d’un poste de télévision, qui manifeste une image. Néanmoins, il est difficile de comprendre le processus.

On doit comprendre qu’il n’y a pas que des évènements du passé qui influencent « l’ici et maintenant », mais aussi des évènements du futur.

A un autre plan, les informations de notre vie communiquent.

Le futur peut altérer le passé, donnant au présent une autre « signification ». Quand le passé est altéré, la mémoire aussi est altérée.

Les lignes de temps peuvent se « croiser », et certaines « zones » d’espace-temps sont plus favorables que d’autres pour les influencer. Ces « zones » sont des points précis qu’Eugenia Macer-Story explique ainsi :

« Pour influencer le cours d’une destinée individuelle par une action mentale et donc amener un univers parallèle en particulier dans notre continuum quadri-dimensionnel [3 dimensions d’espace + 1 dimension de temps], plutôt qu’un autre univers, latent, il est d’habitude plus efficace de se concentrer sur l’altération de quelques aspects clés du « maintenant » mondain dont l’individu se rappellera avoir fait l’expérience. » (p.5)

Dans les rêves, on peut faire l’expérience de réalités parallèles. Eugenia Macer-Story relate des faits qui se sont produits lorsqu’elle était plus jeune et qu’elle faisait des rêves qui se sont révélés être prémonitoires. Ces rêves l’ont donc « informé » dans le futur et lui ont permis de choisir la « ligne temporelle » qui lui était favorable.

« Peut-être que dans un univers parallèle je n’ai pas fait ce rêve récurrent ou ne l’ai pas compris, et qu’alors je n’ai pas été assez prudente [ce qui aurait provoqué une situation dramatique]. » (p.7)

Eugenia Macer-Story se demande donc, si les intelligences d’un autre univers peuvent être à l’origine de notre destin, en interférant avec notre structure de destinée.

L’intrusion pourrait prendre la forme d’une structure de destinée légèrement différente qui aurait remplacée la notre.

« Que l’évènement inexplicable ou irrationnel « change réellement le futur » ou non du continuum parallèle dans lequel il s’introduit, l’évènement sera perçu comme « bizarre » ou « biaisé » car il ne vient littéralement d’un univers parallèle légèrement mais profondément différent. Parfois, des avertissements peuvent venir d’entités impliquées dans un futur négatif qui se déroulera dans un univers parallèle.

En d’autres termes, un messager du futur pourrait – délibérément ou en proie à une vive inquiétude – retourner dans une zone d’espace-temps significative du passé où une décision été prise – une décision importante modifiant les évènements de la ligne temporelle future négative.

Cette décision – souvent avec une communication rudimentaire mal comprise dans le présent contingent – s’immiscera soudainement dans le cours normal des évènements, nous laissant dans l’incompréhension. » (p.9) Eugenia Macer-Story – Dark Frontier

« Legacy of Daedalus » est un autre livre d’Eugenia Macer-Story revenant sur le mystère d’Oak Island.

L’auteur explique que lorsqu’on ressent un inconfort, un malaise, c’est potentiellement notre « moi du futur » qui nous communique des informations sur les conséquences négatives de choix présents.

L’auteur mentionne un tel évènement, alors qu’elle était avec des amis et son compagnon dans une fête, mais qu’elle sentit alors qu’elle devint s’en aller. Elle apprit ensuite que le commerce dans lequel ils étaient impliqué a spectaculairement fait faillite. Il peut aussi y avoir des messages positifs du futur.

Mais dans ce cas, il n’y a pas ce même effort de s’immiscer dans le passé pour produire un changement du cours des évènements.

Nous n’avons qu’à nous avancer vers ce futur positif.

La sorcellerie agit en ciblant les zones d’instabilité de la destinée. 

Ce que cherchent à faire les Intelligences perturbatrices, par toutes sortes de subterfuges, c’est nous influencer pour que l’on choisisse un univers parallèle négatif. C’est leur mode d’action principal.

« Les sorciers de toutes confessions savent depuis les temps anciens que certaines zones géographiques où il y a un « temps étrange » facilitent l’usage délibéré du pouvoir mental dans le but d’altérer la destinée, simplement parce que l’esprit peut plus facilement se relier aux énergies naturelles des structures astrales et éthériques quand le corps physique de l’individu se trouve dans ces zones. Il est possible de voyager dans le temps de façon clairvoyante n’importe où, mais il est plus facile de littéralement entrer dans les structures de causalité du passé et futur de l’espace-temps quand on est physiquement dans la structure d’énergie d’un lieu de vortex éthérique à « haute étrangeté ». (p.13)

Cependant, Eugenia Macer-Story indique que l’individu qui cherche à augmenter l’effet de cette intrusion mentale dans le « temps du rêve » en restant physiquement à un endroit trop fréquemment ou trop longtemps peut court-circuiter le flux naturel biologique des biorythmes du corps.

Ces endroits puissants, qui facilitent le transfert d’informations, peuvent être des grottes ou des temples.

Ils ont une caractéristique principale comme nous allons le voir : une densité moléculaire variable pour des raisons anormales.

« Les raisons de ce lien d’information qui survient de façon naturelle peuvent être comprises par une théorie de résonance « microcosme-macrocosme » semblable à la résonance d’un cristal, où la forme globale de la formation cristalline a approximativement la même géométrie que les parties individuelles du cristal.

Si une structure protégée et/ou souterraine est construite dans approximativement le même ratio acoustique que la géométrie moléculaire ou sub-atomique (cristal et/ou pattern de résonance) de la structure minérale basique à certains endroits de la planète, un phénomène de résonance pourrait augmenter les effet ethériques comme les anomalies temporelles et les effets inhabituels sur le tissu biologique. » (p.162)

Eugenia note que certaines zones de l’espace, qu’on appelle lentilles gravitationnelles, sont constituées d’un condensation structurelle de matière. L’effet sur la forme perçue des objets dans les « lieux mystérieux » sur Terre est pour le microcosme ce que les « lentilles gravitationnelles » sont pour l’espace interstellaire.

La pensée est comparable à la gravité.

Elle provoque un changement structurel sur la matière, qui peut être semblable au ré-alignement des arrangements moléculaires d’un cristal liquide. Les anomalies gravitationnelles causeront donc des « réalignements » des facultés de perception dans les zones terrestres où il y a une activité semblable à une « lentille gravitationnelle ». 

Marcel Vogel a étudié ce sujet :

«Depuis le début de ce siècle, il a été reconnu que le quartz est un résonateur et amplificateur d’énergie. Il est un composant essentiel dans de nombreux appareils électroniques.

Ce qui n’est pas connu, c’est que le cristal de quartz est aussi capable d’amplifier « les forces subtiles, » y compris l’énergie pensée.

Marcel Vogel supposa à juste titre que la signature énergétique du quartz était très semblable à celle de l’eau pure, et que, comme le corps humain est fait de plus de 70% d’eau, le quartz pouvait être utilisé pour le charger et l’influencer. »

L’énergie subtile agit sur la matière de façon très réelle, comme l’a prouvé Jack Hauck étudiant le phénomène de « cuillères tordues ». La structure moléculaire du métal est altérée. On peut comparer la concentration d’énergie subtile à la chaleur, qui peut faire éclater un bol en céramique, ou à l’air, qui sous pression dans un ballon le fait gonfler.

Eugenia indique que le mot « angle » est très proche de « angel » (ange).

Eugenia note qu’un certain « Dr. Grad » a examiné l’absorption infrarouge de l’eau normale et de l’eau tenue par des guérisseurs. Il a découvert que l’eau qui n’était pas tenue par des guérisseurs montrait un taux d’absorption de 20% dans la zone des 2,7 microns, tandis que l’eau qui recevait une attention positive des guérisseurs affichait un taux d’absorption de 37%.

Les angles de la molécule d’eau sont donc importants, la molécule d’eau changeant sous l’effet de l’influx d’énergie pranique/ethérique..

Cela pourrait expliquer les effets des pyramides sur les substances biologiques.

Déjà en 1846, John Dudley discutait de la possibilité que les pyramides font appel à la même logique que les constructions mégalithiques. Est-ce que certaines constructions facilitent ou « causent » des évènements surnaturels ?

Dans ce contexte, il est significatif d’indiquer à nouveau que la molécule de H2O (eau) a une configuration tétrahédrale, et l’angle H-O-H est de 105 degrés. C’est approximativement la même angularité que la structure tétrahédrale utilisée au sein de la Grande Pyramide de Chéops. (…)

L’influx éthérique (pranique) change la densité électronique.

Cela peut changer la densité électronique des « liens chimiques » entre les molécules, augmentant ou bien diminuant la densité de la structure totale.

Quand un lien chimique ne se forme pas, la densité électronique est plus faible. Le ralentissement du pourrissement et la préservation des lames de rasoir indique que les liens chimiques normaux ne se réalisent pas sur le plan moléculaire. Cela pourrait signifier que la densité électronique est inférieure dans la chambre du roi où il y a cet angle à 105°. » (p.171)

Dans les « Mammoth Cave » également, on a retrouvé des indiens d’Amérique et des chauve-souris momifiées.

L’eau, depuis l’Antiquité, semble faciliter à la fois les aspects bizarres physiques et inspirationnels des évènements « surnaturels » et de la perception clairvoyante.

Il est possible que l’angle de la molécule d’H2O, qui est le seul arrangement moléculaire fluide à s’étendre en gelant, a quelque chose à voir avec la facilitation des aperçus praniques/éthériques et les anomalies de hantise ou guérisons près de l’eau. » (p.171)

Note : Il est curieux qu’en franc-maçonnerie on apprenne à « discuter avec l’eau« , comme si c’était une « liaison » téléphonique avec ces intelligences interdimensionnelles. La molécule d’eau est en effet empreinte d’un « feu invisible » :

« Pour connaître l’eau, il faut être capable de la « ressentir ». L’eau est le Tout, nous ignorons l’eau. Tous les jours, nous la sentons sous la douche, et nous la buvons, mais l’eau n’est pas ce que nous croyons. Elle donne et emporte tout, mais surtout donne. »

En réalité, puisque les entités spirituelles sont des constructions mentales qui peuvent avoir un effet matériel, elles sont le mieux abordées par les nombres (entiers et complexes) qui n’ont pas d’existence matérielle absolue mais peuvent se manifester matériellement comme dans l’acte de compter ou mesurer.

Cela fait partie, bien sûr, de l’ancienne mystique maçonnique.

C’est par un processus de traduction matérielle que les ratios numériques deviennent des plans de diagrammes et ultimement (si les matériaux de constructions corrects sont choisis) des structures solides, tridimensionnelles. Mais les calculs numériques eux-mêmes (même à l’ère du stockage de données numériques) n’ont pas d’existence matérielle réelle, exceptés s’ils sont utilisés pour la construction.

Exemples de sceaux dessinés par Eliphas Levi. A comparer avec mes remarques sur l’action des symboles,

Les « anges », comme les calculs d’ingénierie, sont des idées opératives, vitales.

Une intelligence avancée n’ayant pas de forme matérielle dans une seule ligne d’espace-temps particulière, n’opère pas depuis la limitation de notre plan séquentiel, et est de toute évidence la mieux représentée par un sceau (sigil) semblable à une notation mathématique.

Le diagramme du nom d’un « ange » indique un type basique d’identité transdimensionnelle qui peut se manifester matériellement dans des contextes différents. » (p.172)

« Les aborigènes d’Australie, avec leurs anciennes traditions du « temps du rêve », et leur contact avec des individus qui venaient d’une autre planète ou système solaire, sont en réalité racialement différents de la majorité des êtres humains vivant sur cette planète actuellement. Peut-être que ce sont en effet les survivants d’une très ancienne culture, séparée du reste du monde civilisé il y a des milliers d’années par une catastrophe mondiale majeure. L’Australie a été « découverte » et colonisée par le Royaume-Uni que relativement récemment dans l’histoire connue. » (p.169)

De ce fait les personnes qui ont laissées leurs empreintes de main à Cosquer étaient peut-être aussi les survivants d’une catastrophe qui les a séparés du reste du monde.

L’auteure change ensuite de sujet, et relate une anecdote.

Une personne était venue la voir pour un problème d’esprit attaché, et lui parlait d’une secte cubaine appelée « Palos Macumbres », employant la magie talismatique. Eugenia Macer-Story relia cette occurrence à ses recherches sur Oak Island, car il est possible que les mêmes pirates qui auraient été à Oak Island auraient pu se retrouver à Cuba, introduisant au 17/18ème siècle une magique puissante « celtique » (utilisant des brindilles).

Oak Island,

Citant Curt Sutherly, qui a photographié des phénomènes paranormaux avec des appareils sensibles aux UV, Eugenia Macer-Story affirme que :

« Il est possible que nous co-existions sur cette planète avec des Intelligences qui sont constituées d’énergie étant ou ressemblant à une émission ultra violette. Ces Intelligences habitent dans une « zone sombre » de la vision et sont donc invisibles pour les humains. » (p.16)

Cette énergie, qui a la capacité d’interférer avec les lampes se retrouve dans le témoignage de Rosemary Ellen Guiley. (The Vengeful Djinn: Unveiling the Hidden Agenda of Genies)

Une telle énergie pourrait ainsi « animer » un corps et/ou un appareil électronique, de manière non-ordinaire. Puis Eugenia tente d’expliquer pourquoi le corps du vampire dont parle Rosemary Ellen Guiley est « tombé en poussière » quand un pieu a été planté dans son coeur.

« Si un corps était anormalement animé par la stimulation forcée du système vival des chakras, un « pieu dans le coeur » détruirait la connexion permettant cette animation, car il passerait au travers du chakra du plexus solaire et ferait revenir à son état de pourriture la matière biologique dont la forme réaliste est artificiellement maintenue. Comme le corps du vampire ne peut pas fonctionner normalement en traitant de manière interne les aliments – car il n’a pas de sécrétions endocrines naturelles – et qu’il ne peut plus utiliser les autres processus nutritifs subtils au sein d’un corps biologique sans vie, le vrai vampire aurait besoin de sang et d’autres fluides vitaux d’organismes vivants pour maintenir artificiellement sa cohésion cellulaire fondamentale. » (p.17)

Eugenia Macer-Story mentionne alors Colin Wilson et Dion Fortune qui ont une vision assez « civilisée » des vampires.

Par exemple, des personnes qui ont supprimé des désirs humains dans le but de devenir surhumain pourraient devenir au niveau astral des « vampires ». Mais ce qu’il faut comprendre c’est que cette énergie a un effet bien réel sur les humains, un potentiel « technique » actif. C’est pourquoi les corps de saints sont « momifiés ».

Pour en revenir à l’action de ces Intelligences négatives, Eugenia Macer-Story livre ici une explication très pointue et très utile :

« L’intelligence », de quelque ordre que ce soit, innove. Quand il y a des répétitions dans un modèle de comportement qui limite les décisions, comme quand l’action est limitée dans une partie d’échec uniquement à certains déplacements futurs – comme si seuls ces déplacements pré-anticipés étaient possibles – il pourrait y avoir une « intelligence avancée » impliquée dans ces stratégies de limitation.

Mais quelle est l’intention de ces « intelligences avancées » ?

Il est possible que l’intention d’une intelligence orientée vers le contrôle pourrait être d’intéresser des individus à la supériorité supposée de certains systèmes analytiques ((les jeux d’exégèse que nous jouons avec les données brutes d’observation)) afin de limiter plutôt que d’étendre la compréhension tactique de certaines situations politiques et/ou sociales actuellement en cours.

Par exemple, un individu qui croit sincèrement que « dieu » ou bien « le sexe » est responsable de toutes les manifestations sociales « en temps réel », pourrait échouer à anticiper le comportement futur d’un athée épicène.

Si une « intelligence avancée » peut convaincre n’importe quel individu à voir la réalité au-travers d’un filtre interprétatif pré-déterminé, alors cette intelligence a effectivement contrôlé le processus de prise de décision de l’individu qui accepte ce système interprétatif.

Réseaux de pouvoir

Si, dans la situation d’une famille ou d’une petit entreprise, une intelligence désincarnée orientée vers le pouvoir peut entrer par télépathie dans les esprits des personnes qui tiennent l’autorité, cette intelligence peut « gouverner » le groupe restreint de membres d’une famille et/ou employés avec une énergie dictatoriale, créant des situations de stress interpersonnel et de souffrance psychologique strictement à l’intérieur de ce groupe limité.

Cette Intelligence désincarnée manipulatrice peut alors « utiliser » la famille ou la petite entreprise comme des « pions physiques » avec lesquels pénétrer dans une arène matérielle plus large pour obtenir un pouvoir de domination sur les évènements.

Si c’est le cas dans la situation d’une famille ou d’une petit entreprise, alors le pouvoir obtenu par une intelligence désincarnée constitue un simple « pion » sur le jeu d’échec matériel.

Un directeur d’une plus grosse compagnie ou un membre d’une famille avec un statut héréditaire aristocratique et/ou économique, lorsque dominé par une intelligence désincarnée orientée vers le pouvoir, constitue un « Cheval », « Fou », « Roi, ou une « Reine » sur le jeu d’échec matériel.

Les symptômes d’une prise de pouvoir par une intelligence négative désincarnée doivent donc être surveillée au sein des situations politiques impliquant la monarchie, la dictature et/ou un pouvoir financier héréditaire significatif. » (p.-20-21)

Cette domination par une intelligence interdimensionnelle ressemble à une infection par un parasite qui se nourrit d’un hôte avant de passer au suivant.

Ces intelligences détruisent la société en érigeant des structures hiérarchiques de pouvoir, alors qu’à l’inverse des intelligences interdimensionnelles positives vont renforcer ou guérir certains individus dans le but d’un accomplissement créatif lié à une évolution positive.

Eugenia Macer-Story mentionne un type d’attaque possible sur un groupe d’individus. Il s’agit d’introduire une personne attirante et idéaliste mais qui est impliquée dans des activités nuisibles et/ou illégales. Lorsque certaines personnes ou le groupe accepte l’individu psychologiquement instable, ils acceptent également toute cette face obscure. C’est aussi une technique d’espionnage.

Ce type d’attaque ressemble également – sous une autre forme – aux poltergeists, qui ne sont pas juste une « expression d’énergie sexuelle frustrée », mais qui peuvent aussi être des attaques pour induire la colère ou la frustration chez des individus ciblés.

Eugenia Macer-Story relate ensuite sa visite chez le Dr. Elizabeth Rauscher qui étudiait la théorie du chaos et l’aspect miroir microcosme/macrocosme de la réalité. Le Dr. Rauscher lui a donné un morceau de métal, qu’Eugenia par psychométrie a détecté comme lié à une explosion atmosphérique.

Le Dr. Rauscher lui a dit que ce morceau de métal venait d’un crash d’OVNI. Juste avant cette rencontre, l’imprimante d’Eugenia avait imprimé toute seule une adresse en gros sur des pages blanches, ce qui rappela à Eugenia un évènement de son passé. Ce phénomène inhabituel semble donc avoir voulu faire le lien entre deux épisodes de la vie d’Eugenia.

Elle relate également divers phénomènes inhabituels comme une rencontre avec un homme portant une bague avec une chouette, peut-être liés au fait qu’Eugenia enquêtait sur des évènements étranges dans le Missouri près de Springfield, comme le passage d’hélicoptères noirs au-dessus d’une propriété privée. Elle mentionne également la présence d’un homme habillé en noir, avec un chapeau noir, comme lors d’une conférence donnée sur la religion par Robert Anton Wilson en 1987.

« Dark Frontier » étant écrit comme un journal, différents sujets sont traités en continu.

Après l’utilisation des « sorts », elle aborde la question du sang en démonologie. Elle mentionne le livre de Juan Carlos Orofino parlant des sacrifices, ainsi que les recherches de Joe Koster. A cette époque, Eugenia reçut un appel téléphonique intimidant d’une voix grave disant qu’il « aurait son sang ».

Puis il est question du zoroastrisme

Eugenia mentionne un livre sur la religion dualiste écrit par un philosophe parsi sur le fait que la lutte cosmique entre les forces bonnes et mauvaises était comme un « jeu d’échec » où les entités spirituelles sont représentées par des diagrammes sous forme de sigils (sceaux), comme dans la littérature occulte.

« Dans la philosophie Parsi, le pouvoir des entités sombres et lumineuses est potentiellement égale et le combat des « Intelligences » est un conflit hautement complexe entre des adversaires ayant des pouvoirs similaires, ayant la capacité d’animer par télépathie des êtres humains pour qu’ils fassent partie de cette guerre interdimensionnelle. » (p.32)

Contrairement au manichéisme, qui associe le mal à la matière et le bien à l’esprit, le zoroastrisme considérait les forces opposées (Spenta Mainyu, la force créatrice, et Ahriman, la force destructrice, temporelle) comme égales – un peu comme le yin et le yang du taoïsme, engagées dans un combat éternel.

« Je suggère que ce combat archétypal est littéral, pas juste philosophique, et que les êtres humains subissent régulièrement des intrusions dans leurs affaires domestiques et politiques, d’entités « spirituelles » interdimensionnelles puissantes qui ont un ordre du jour et un appétit de pouvoir qui peut souvent être déroutant. » (p.33)

Eugenia évoque ensuite les « Chefs Secrets » dont a parlé MacGregor Mathers, qui ont la capacité d’apparaître à volonté où ils veulent. Mais ces interférences ne sont pas sans conséquences dans le temps, leur impact pouvant être positif ou négatif selon, pour une bonne part, la réaction de ou des observateurs. Ces interférences qui dans ce cas sont physiques, sont réelles, et pas simplement des « projections psychologiques » comme certains voudraient le croire.

Ces entités ont bien la possibilité d’intervenir physiquement dans ce niveau matériel, comme le prouvent les témoignages sur des Men in Black. Comment est-ce possible ?

« Il y a une façon différente de s’approcher d’une compréhension de l’interpénétration de l’énergie subtile dans le continuum moléculaire, électromagnétique. Au lieu d’utiliser un modèle qui suppose un constituant cellulaire, géométrique, il est possible de penser le nexus matériel comme un tissu interpénétré par diverses densités d’énergie subtile de la même façon que la mer et/ou l’atmosphère planétaire peuvent être considérés comme des tissus vivants, auto-correcteurs, plutôt que comme des systèmes non-vivants, électro-chimiques, d’eau, de gaz et de sels » (p.38)

Les Monts Ozarks, aux Etats-Unis sont réputés pour la haute étrangeté de leurs bois. Il semble y avoir des « anomalies temporelles » dans cette zone.

Eugenia signale alors une expérience sur des grenouilles et insectes soumis à des champs magnétiques importants, qui les faisait léviter. Cette expérience démontre la différence qu’il y a entre les champs électromagnétiques cohérents des atomes du corps d’une grenouille, et la matière non-vivante qui l’entoure. La grenouille flotte alors comme si l’atmosphère était liquide et qu’elle remontait vers la surface.

Puis, changeant de sujet, Eugenia évoque Robert Ernst Dickhoff, qui a écrit plusieurs livres sur le lien entre les OVNIs et le mysticisme oriental.

Ce fut l’un des premiers à parler d’une invasion de la terre par des entités reptiliennes surnaturelles qui se nourrissent de chair humaine.

Il publia ces informations dans un livre sur le « Guruda Vénusien » au début des années 70. Ce qu’il décrit est similaire à la bataille entre Ahura Mazda et Ahriman.

Dickhoff parle ensuite de vastes cités souterraines construites par une civilisation antédiluvienne avec l’aide d’une Intelligence extraterrestre et en particulier une « ville arc-en-ciel » construite sous l’Antarctique en matériaux translucides.

Dickhoff était conscient du phénomène de « temps manquant » bien avant les recherches sur les abductions et se réfère aux recherches de Charles Fort sur les disparitions d’humains et les chutes de détritus.

Eugenia passe ensuite à un livre des années 20 de W.B. Seabrook, L’île magique, dans lequel il y a un chapitre sur le « culte des morts » et la magie noire à Haïti. Les « prêtresses » du culte des morts utilisaient des corps fraîchement enterrés dans leurs rituels.

Une autre partie du livre concerne les « zombies », et le fait que les autorités haïtiennes savaient déjà il y a un siècle comment utiliser des toxines de coquillages pour créer des zombies à l’esprit contrôlé.

La CIA étudia cette technique dans les années 50 dans le cadre du projet MKNAOMI.

Le livre de Seabrook démontre qu’à tous les niveaux de la société, il se passe des choses étranges qui ne sont jamais mis en lumière, et qui sont totalement monstrueuses. On ne penserait jamais qu’à notre époque, de telles choses, comme des sacrifices humains, soient encore d’actualités.

Eugenia évoque ensuite un exorcisme effectuée par elle sur un individu parasité par une « amibe », une sorte d’orbe astrale. Elle utilisa des techniques soufies pour enfermer la créature dans une bouteille.

Les « orbes » sont souvent liées au phénomène OVNI comme Eugenia l’a indiqué dans son livre Sorcery and the Ufo experience. De telles orbes peuvent être la manifestation sur notre plan d’une Intelligence qui existe en divers endroits d’espace/temps.

Eugenia note que tout exorcisme doit être considéré dans le temps, pour que le destin soit positivement influencé et que l’entité ne puisse pas se réimplanter en profitant d’une situation négative.

« Les tentatives d’une entité négative visant à appliquer une telle stratégie doivent être prises en considération par le sorcier au cas où des « mémoires » bizarres ou des fantasmes émergent – qui, s’ils sont pris pour réels – peuvent provoquer un retour de la source négative de « pouvoir » dans une situation présente. » (p.51)

Les orbes ont été étudiées par Trevor James Constable, qui a écrit The Cosmic Pulse of Life, et Michael Theroux a également poursuivi ces recherches.

Constable croyait que les OVNIs étaient des organismes biologiques, qu’il nommait « créatures ».

Inspiré par Wilhelm Reich, Ruth Drown, Charles Fort et Arthur Conan Doyle, Constable pensait que les créatures se déplaçaient à l’aide de l’énergie orgone et passaient la majeure partie de leur temps dans un état invisible de faible-densité qui ne reflétait que les ondes infrarouges. Dans les années 70, Luciano Boccone a répété les mêmes expériences et a publié un livre rempli d’images de ces créatures.

« Parfois, elles apparaissent comme des sphères noires, seule ou en essaim.

D’autres ont l’apparence d’amibe ou d’organismes unicellulaires. Elles sont quelque peu transparent, de forme sphérique, avec un noyau défini et un champ qui les entoure. » (p.56) [

Il m’a été relaté à plusieurs reprises des « combats » entre des orbes noires et des orbes blanches, autour d’une personne, chez elle. Ce phénomène est très intriguant, car il a été recoupé.]

Plus loin, évoquant l’efficacité de la sorcellerie traditionnelle, et son usage possible en association à de la haute technologie par des groupes au pouvoir, Eugenia note :

« Il est vrai que les principaux adversaires de l’accès public à l’information sur la réalité de l’Intelligence interdimensionnelle pourraient être ceux qui, en réalité, pratiquent avec succès la magie et la sorcellerie — mais d’une manière qui est supposé être « brevetée ». Si un certain système limité de travail sur l’énergie subtile est « vendu » comme étant le seul moyen d’accéder à l’Intelligence interdimensionnelle, et que l’idée qui soutient cette « vente » est qu’il n’y a qu’un seul manuel secret instruisant sur l’utilisation de l’énergie subtile pour la santé, le pouvoir et une meilleure vie, alors le « vendeur » de ce système a particulièrement intérêt à utiliser une telle sorcellerie pour délibérément bloquer les livres ou d’autres moyens de communication suggérant qu’il y a d’autres systèmes plus efficaces d’Intelligence interdimensionnelle que l’utilisation secrète et hiérarchique de cette connaissance utilisée simplement pour obtenir le « pouvoir » sur des processus naturels comme la guérison, la sexualité et le changement politique. » (p.59)

Eugenia mentionne que l’utilisation de techniques magiques pour le contrôle mental est récurrent, et sert à propager de la désinformation au sein des groupes ufologiques.

Par exemple, une personne peut être ordonnée à aller à un endroit récupérer un manuscrit et cette personne se sentira obligée de le partager. Eugenia relate qu’une fois, alors qu’elle réfléchissait aux « zones énergétiques de vortex » dans les Monts Catskill, et qu’elle allait dans un magasin photocopier une image d’amibe, elle tomba sur un manuscrit intitulé L’univers auto-organisé à propos de la nature topologique de l’énergie éthérique « structurante ».

Ce document expliquait l’influence de « lentilles gravitationnelles » dans l’univers. [Note : Eugenia Macer-Story n’a pas retrouvé ce document, mais il se peut que ce soit le livre d’Erich Jantsch (de 1975), auquel se réfère d’ailleurs Ken Wilber.]

Le roman Solaris de Stanislaw Lem, cité dans The self-organizing universe, décrit une planète recouverte d’un océan qui reflète l’esprit humain, ses désirs et ses craintes.

« L’auteur inconnu de The self-organizing universe suggère qu’il est hautement important pour l’évolution que le traitement de l’information devienne indépendant de l’impact métabolique et sensoriel puisque l’enregistrement de l’impact sensoriel par le cerveau est conditionné par des gestalts neuronaux précédents, et n’est pas toujours une représentation réelle de la « réalité » extérieure. » (p.62)

L’auteur de ce livre évoque l’évolution de la conscience, qui suppose l’acquisition du langage pour pouvoir exprimer différents points de vue sur la réalité, et ainsi, se rapprocher d’une vision d’ensemble plus objective.

Ainsi nous enrichissons l’esprit global par la connaissance de chaque individualité. Seulement, il y a aussi des régressions vers des modes de fonctionnements moins évolués…

« La science elle-même, champ d’activité par excellence de l’esprit neural, est tombée dans le piège du cerveau limbique et dans certains cas même dans le piège du cerveau reptilien en se limitant à quelques dogmes et et affirmant représenter la connaissance exclusivement et absolument. » (p.64)

Pour en revenir aux attaques psychiques, provoquant parfois des coïncidences comme découvrir un manuscrit qui semblait « être là exprès pour nous », Eugenia relate une technique de magie noire que lui a rapportée une victime :

« Une ruse pour pénétrer la demeure psychique d’une victime est de s’introduire dans un rêve pour dire à la victime qu’elle doit s’attendre à une lettre du magicien. Quand elle ouvre l’enveloppe, une suggestion post-hypnotique est déclenchée, qui renforce le premier contact du magicien par le rêve. L’individu est dupé et donne sans le savoir une partie de lui-même à une force extérieure qui ne se soucie pas de son bien-être. » (p.68)

Ce livre écrit par des anthropologues professionnels révèle les croyances précolombiennes au Mexique sur des individus capables de se transformer en animal et qui peuvent parfois prendre l’apparence d’autres humains. Ces individus sont parfois accompagnés de « boule de feu » aériennes et ont une « luminescence » phosphorescente.

»Les Intelligences interdimensionnelles mises à jour semblent désormais être actives, utilisant des voies anciennes, symboliques, entre les dimensions pour communiquer non seulement sur notre passé historique mais aussi pour intervenir dans les évènements actuels. » (p.71)

Les attaques semblent prendre la forme de « virus d’énergie subtile », comme lorsqu’un ordinateur télécharge par inadvertance un fichier infecté sur internet.

Quand un sorcier cherche à attaquer une personne et lui envoie un objet, l’énergie subtile dont l’objet est empreint va délivrer des informations corrompues qui font « infecter » le destinataire.

Les Intelligences interdimensionnelles peuvent ainsi diriger certaines personnes qui vont effectuer ces attaques, ou utiliser de télépathie projective et de « coïncidences » pour toucher la cible dans son propre environnement.

Quand la personne cible est atteinte, elle aura des symptômes similaires à ceux d’un ordinateur infecté. Parfois, les icônes sont légèrement modifiées, sans qu’il n’y ait de perturbation importante du système. Mais cette légère modification devrait être considérée comme un « signe » important que quelque chose ne va pas.

Partout sur le globe, la sorcellerie est dissociée du dogme religieux car les techniques utilisées sont universelles.

La pure vérité des observations de faits surnaturels impliquant des vampires et créatures de type « loup-garou » n’est pas aisément trouvable car elle est fondamentalement austère et alarmante, et signale la « frontière obscure » de la connaissance sur les étranges stupeurs et blessures qui peuvent résulter de la prédation d’une intelligence Interdimensionnelle sur des êtres humains vivants.

J’ai eu plusieurs expériences impliquant des témoignages de possessions négatives du type « vampire » sur lesquelles j’ai enquêtées en utilisant « l’exorcisme » et qui ont transféré les effets interdimensionnels négatifs sur mon environnement personnel et auraient pu me causer du tort continuellement si je n’avais pas pris littéralement les symptômes d’une interférence interdimensionnelle, et repoussé le prédateur surnaturel.

Afin d’être protégé des « morts-vivants », on doit vraiment reconnaître l’existence d’entités « mortes-vivantes » qui se nourrissent des émotions et de l’énergie d’êtres biologiquement vivants.

Mais pour nombre de personnes dans la société moderne, le reconnaître est un peu comme de voir une grenouille tomber du ciel. » (p.76)

La comparaison avec une « grenouille tombant du ciel » est due à une anecdote qui introduit le livre. Une grenouille tombant du ciel dans le présent, pourrait en effet venir d’un panier dans lequel se trouvaient des grenouilles, dans le passé. Le fait que la grenouille tombe du ciel « maintenant », alors qu’elle aurait dû tomber du panier à l’époque où le panier était accroché, est un exemple d’une causalité « interdimensionnelle ».]

Le plan des lignes de vie (« arbre des possibles ») de la personne ciblée dans le film l’Agence.

Il est intéressant de noter qu’Eugenia écrit que les Intelligences interdimensionnelles, qu’elles soient positives ou négatives, « semblent être capable de voir le cours des évènements chronologiques, linéaires, comme nous quand nous regardons une carte avec notre perception visuelle. »

Eugenia relate ensuite des témoignages récents de magie noire (où par exemple des policiers ont retrouvé des traces de cérémonie), et où sont utilisés des os, des sacrifices d’animaux, et des figures géométriques comme certains types de croix ou de pentagramme.

Elle évoque ensuite les évènements du « vampire de Highgate », où il y aurait eu autour de ce cimetière londonien une créature étrange accusée d’être la cause de multiples mutilations animaux, dans les années 70.

Les animaux retrouvés étaient vidés de leur sang. Et même une adolescente somnambule (Luisa, morte en 79) a eu des marques sur son cou. La Lycanthropy Research Society est partie enquêter, relevant divers phénomènes étranges comme des sons de grondement qui ont été associés au vampire.

L’auteure relie ces évènements ainsi que d’autres cas de vandalisme (profanation de tombes) à des individus satanistes mentalement sophistiqués et dotés d’une connaissance nécessaire pour appliquer ces rituels. Ces individus étant eux-mêmes « pilotés » par des forces interdimensionnelles.

Cet aspect « surnaturel » se retrouve dans une sur une affaire de « chupacabra » à Porto Rico. Dans cette affaire, elle détecta la présence d’un chamanisme secret invoquant des forces spirituelles anciennes. La présence d’animaux victimes du chupacabra aurait été comme un « signe » indiquant que des activités rituelles très sombres se déroulaient à ce moment-là dans cette région.

El Yunque

« Ce chupacabra a été réveillé par une version moderne de la sorcellerie arabe-égyptienne mélangée à des pratiques quasi-Aztèques. Il y a des gens qui vont dans des grottes sous l’ile de P.R. Ils font des sacrifices Aztèques. Le miroir d’obsidienne de John Dee était d’origine Aztèque, d’ailleurs. Un onguent caustique est utilisé par les sorciers de ce culte souterrain pour étourdir et blesser les adversaires. » (p.90)

Eugenia expliqua que le chupacabra s’apparente aux « incubes » européens, capables d’influencer les pensées et les sensations, provoquant des illusions. Elle affirme qu’un groupe clandestin – possiblement politique – a mis à jour ce temple souterrain Aztèque sans savoir à quoi ils avaient affaire. Il est possible que des néo-Aztèques ont réveillé la force chtonienne du serpent qui se nourrissait des sacrifices humains des anciens Aztèques.

« Une intelligence avancée réelle d’origine interdimensionnelle a infligé les blessures au bétail et les apparitions dans la zone de Puerto Rico en 1995 pour avertir de la présence d’êtres humains dangereux. Les sorciers qui sont néo-Aztèques ont commis des sacrifices humains à plusieurs endroits.

Cette opération bizarre a été financée en partie par les « scientifiques » d’extrême-droite d’Espagne, d’Amérique du Sud et des Etats-Unis [liés à Delgado] qui conduisaient des recherches sur l’occulte tout comme l’organisation Anenerbe d’Hitler faisait des recherches sur le lien entre l’ancien héritage Aryen (Germanique) et les anciennes civilisations hindou, aztèques et tibétaines. Les blessures surnaturelles publiques avertissent de ces atrocités privées. » (p.219)

Parmi les divinités Aztèques, il y a selon Wikipédia, le cruel Tezcatlipoca :

Tezcatlipoca (nom nahuatl signifiant littéralement « Miroir fumant ») est un dieu de la mythologie aztèque. C’est la plus crainte de toutes les divinités aztèques. C’est le second des quatre fils d’Ometecuhtli et Omecihuatl, les parents des quatre Tezcatlipoca : Xipe Totec (le Tezcatlipoca rouge), Tezcatlipoca (le Tezcatlipoca noir), Quetzalcoatl (le Tezcatlipoca blanc) et Huitzilopochtli (le Tezcatlipoca bleu).

Eugenia note que bien qu’il y ait quatre dieux créateurs dans le panthéon Aztèque, la lutte entre « Miroir Fumant » et le « Serpent à Plumes » est similaire à la lutte d’Ahriman et d’Ahura Mazda dans la philosophie Parsi.

Il possède également différents épithètes qui renvoient à plusieurs aspects de sa divinité : Titlacauan (« Nous sommes ses esclaves »), Ipalnemoani (« Celui par qui nous vivons »), Necocyaotl (« Ennemi des deux côtés »), Tloque Nahuaque (« Seigneur du proche et du lointain ») et Yohualli Ehecatl (« Nuit, Vent »), Ome acatl (« Deux roseaux »), Ilhuicahua Tlalticpaque (« Possesseur du ciel et de la terre »).

Dans son temple, sa statue était cachée et seuls quelques prêtres pouvaient la contempler. Une fois par année, on lui réservait toujours le plus beau des captifs pour sacrifice et quatre jeunes filles pour lui servir symboliquement d’épouses.

Le miroir de John Dee était aussi en obsidienne et venait des Aztèques.

Dans les temps anciens, le « chupacabra » utilisait le sang des sacrifices Aztèques pour se matérialiser. Le correspondant d’Eugenia enquêtant sur cette affaire confirma qu’il avait eu des informations du chercheur Jorge Martin sur une possible secte secrète utilisant les énergies des « chakras terrestres » de la montagne « El Yunque », qui conduisit à l’apparition de ce chupacabra.

Les chupacabra peuvent être comparés aux vampires.

Perkowski a effectué des recherches sur le mythe du vampire dans l’Europe de l’Est. Les slaves de l’Elbe faisaient des sacrifices au dieu à quatre tête Svantovit, et les Lutices entre l’Elbe et l’Oder des humains étaient sacrifiés au dieu Svarazic. Peut-être que ces dieux sanguinaires slaves (Svantovic/Svarazic) sont devenus Nesferitu dans le cinéma.

C’est d’ailleurs le mot slave Oupires qui est devenu Vampires. C’est en menant une étude anthropologique sur la communauté des Cachoubes au Canada que Perkowski est tombé sur un culte du vampire. Il est clair, par ses descriptions, que ces créatures prédatrices ressemblent au « succube » méditerranéen qui attaque de nuit et ravit l’énergie vitale des victimes. Ce sont les chamans Dhampire qui parfois aident les populations à se débarrasser de ces entités.

Selon Wikipédia:

Le mot « dhampir » est associé au folklore des Roms ou des Balkans. Dans le reste de la région, des termes serbes tels que vampirović, vampijerović, vampirić (lampijerović en Bosnie, etc.) qui signifie littéralement « fils de vampire », sont utilisées. Dans d’autres régions, l’enfant est nommé Dhampir, le féminin de Vampire étant Vampiresa, et une fille de vampire est appelée une Dhampiresa. Dans le folklore bulgare, de nombreux termes tels que Glog (lit. aubépine), vampirdzhiya (« vampire » + suffixe), vampirar (« vampire » + suffixe), dzhadadzhiya et svetocher sont utilisés pour désigner les enfants et les descendants de vampires, ainsi que d’autres chasseurs de vampire spécialisés.

Dans les Balkans, la culture populaire considère que les vampires mâles sont pourvus d’un grand désir pour les femmes, et qu’un vampire revient régulièrement pour avoir des relations sexuelles avec son épouse ou avec une autre femme.

Un cas de ce phénomène fut d’ailleurs enregistré en Serbie, une veuve a tenté de blâmer sa grossesse à son mari dont elle prétendait qu’il était devenu un vampire, il y eu par la suite de nombreux cas d’hommes serbes se faisant passer pour des vampires afin d’atteindre certaines femmes. Dans le folklore bulgare, les vampires sont réputés être parfois surpris à déflorer des vierges, ou s’installer dans un village en cachant sa nature de vampire, afin de se marier et d’avoir des enfants. L’activité sexuelle du vampire semble être une particularité des vampires slaves du Sud, même si un fondement similaire se produit aussi dans les légendes biélorusses.

Des humains « hybrides » ont-ils existé de tous temps dans notre culture, et si c’est le cas, quelle place tiendraient-ils dans la société?

Certaines traditions précisent les caractéristiques par lesquels les enfants de vampire peuvent être reconnus. Dans les légendes serbes, ils ont une grande tête avec des cheveux sombres ou noirs en bataille et ne possèdent pas d’ombre.

Dans le folklore bulgare, les indications caractéristiques possibles des dhampires sont : très sale, ayant un nez camus, un corps mou, sans ongles, ni os (cette dernière particularité physique est également attribuée à un vampire lui-même) et une profonde marque sur le dos, comme une queue.

En revanche, un nez prononcé est souvent un signe déterminant chez un dhampire comme le sont également les oreilles, les dents, les yeux plus grands que la normale.

Il existe des descriptions d’apparences plus « normales » des dhampires qui ne les dépeignent pas tout à fait comme des êtres humains, mais tout de même d’aspects attrayants.

Ils apparaissent souvent comme étant très pâles, grands et minces, avec une très solide et notable structure squelettique, ayant des yeux noirs.

Ces caractéristiques sont généralement des traits communs avec les morts ou mourants. Certains écrits affirment qu’on les identifie également par leur maladresse, leurs membres courbés, leur position de pigeon trocaz ou par des traits tels que la fascination pour le macabre ou le mystique, ainsi que par la lutte contre les prouesses paranormales ou par la rapidité de réaction, peut-être découlant de pouvoirs paranormaux ou de forces mystiques, caractéristiques associées à leur père, vampire.

Les dhampires sont souvent décrits comme des êtres torturés, déchirés entre le monde des vampires et celui des humains.

Solitaires, ils sont généralement exclus des deux mondes. Ils sont également souvent affligés de problèmes de santé, comme les troubles bi-polaires des dépressions majeures, folie, le syndrome de chaleur, la photodermatose ou l’anémie.

Durant leur adolescence, nombre de dhampires cherchent à se suicider, tendances qui peuvent continuer à l’âge adulte.

Les dhampires sont censés posséder de nombreuses caractéristiques qui manquent aux humains. Par exemple, la capacité de sentir les vampires, une force/vitesse/agilité surhumaine, et la résistance aux capacités vampiriques comme l’hypnotisme.

Les dhampires ne sont pas allergiques à l’ail et n’ont aucune des faiblesses associées aux vampires, à l’exception, pour certains d’entre eux, d’un besoin de sang. Pour ces derniers, le fluide les rend alors encore plus puissants.

Selon les croyances, ce n’est que dans des cas extrêmement rares qu’un dhampire naîtra et atteindra l’âge adulte. Généralement, le bébé n’arrive pas à terme ou bien est mort-né.

Dans certaines légendes, un dhampire n’est pas le descendant direct d’un homme mort-vivant et d’une femme vivante, mais le septième descendant masculin de n’importe quelle lignée de mortels dont un ancêtre homme était atteint de vampirisme (cette dernière légende implique que les vampires soient des buveurs de sang).

Selon d’autres légendes, un dhampire ne peut être créé que la première nuit où le vampire se relève comme mort-vivant. À nouveau, ceci est basé sur la vision d’auteurs modernes et non sur les légendes médiévales sur le vampire.

Eugenia indique que les chamans combattant des vampires se retrouvent dans toutes les cultures, comme à Jakarta où dans les années 70 un vampire était accusé d’avoir tué cinq personnes.

L’homme-médecine dépêché sur les lieux avait conclu à une possession par un « nagasjatingarong« , qui cause la mort par anémie. A ce sujet, il est curieux de constater que des personne « possédées » commettent des actes criminels dont l’objet est le sang.

Voici une brève récente concernant ce phénomène :

Le roman épistolaire de l’écrivain irlandais Bram Stoker publié en 1987, Dracula, dans lequel il raconte l’histoire d’un vampire vient de trouver son pendant réel puisqu’il s’agit d’un jeune turc de 23 ans, accro et/ou addict au sang humain.

Histoire abracadabrantesque que celle de ce jeune homme dont on dit qu’il est marié. C’est selon un rapport publié hier, vendredi, par un journal traitant de psychothérapie et de psychosomatique que l’affaire a été révélée.

D’après la presse turque, il a été hospitalisé plusieurs fois parce qu’il se mutilait et attendait que son sang se déverse dans un bocal avant de le boire. Mais, comme si ça ne suffisait pas, il se retournait vers ses proches, notamment son propre père, pour les mordre ou les poignarder afin de boire son jus goûteux préféré, du sang. Il aurait même poussé son père à aller voler des stocks de poches de sang dans une banque de sang…

Le parcours sordide et morbide du jeune homme, Dracula des temps modernes, mais qui est bel et bien un mortel étonne et détonne. Les médecins qui l’ont examiné ont déclaré qu’ils ont découvert dans la vie de ce jeune homme, des évènements traumatisants qui ont mené à sa métamorphose en désormais suceur de sang, depuis maintenant deux ans.

Selon l’étude donc, il aurait perdu sa fillette de 4 mois de façon tragique. Ensuite, quelques mois après, il aurait assisté à l’assassinat de son oncle. Puis, son ami aurait décapité un autre homme devant lui en lui coupant aussi le pénis. Ces trois drames dont la tristesse est évidente l’auraient complètement bouleversé. Il perdrait parfois la mémoire et, dans ses moments de « lucidité », il parlerait d’un « compagnon imaginaire » qui l’obligerait à agresser les autres ou à se mutiler pour boire du sang.

Pire, il ne se souviendrait nullement des actes qu’il pose… [C’est un signe de possession et de personnalité multiple.]

L’importance du sang est soulignée également dans le Livre Jaune N°2, dont voici un extrait :

»Ceux qui tuent des enfants dans des rituels ne sont pas des pédophiles, ce ne sont pas des gens qui « aiment » les enfants et qui veulent prendre du plaisir. Ce sont des gens qui pensent qu’il est nécessaire pour eux de sacrifier un enfant pour atteindre un objectif supérieur. Cela n’a rien à voir avec une satisfaction sexuelle.

Il s’agit plutôt de la qualité du sang qui est disponible. Et le sang des enfants a plus d’énergie et une qualité plus pure. C’est de la magie noire, du satanisme ! (…)

« Quand j’étais dans la police, je connaissais un enquêteur qui travaillait sur des dossiers similaires; il m’avait parlé de ces rituels. Il est difficile d’exprimer avec des mots ce à quoi on peut être confronté en tant que policier. » (p.229)

Cependant au cours des siècles, la “mémoire du sang” en s’affaiblissant et en se brouillant, ces lignages brisèrent leur cadre pour proposer leurs connaissances visant à “déifier lucifériquement l’homme” à d’autres initiables.

Il s’agissait alors de les intégrer, par des méthodes telles que le pacte de sang, certaines “palingénésies” réalisées à partir des os et des cendres, l’emploi de la semence humaine, le “mariage” avec les esprits élémentaires, etc.

Pour en revenir à la possession, les anciens serbes avaient déjà remarqué qu’un individu peut héberger, la nuit, un « zduhacz », un esprit qui entre le corps du « mora » (individu ayant « deux âmes »). Il y a plusieurs formes de vampirismes. Il peut y avoir des humains possédés par des entités, et des créatures qui se manifestent sous forme physique.

Il semble y avoir des personnes, « mortes physiquement » ou plongées dans le coma, qui peuvent être remplacée par un esprit ou artificiellement « ranimées » par une force extérieure, pour accomplir dans le monde certaines tâches (un phénomène décrit par Théodore Illion dans Darkness over Tibet).

Les Cachoubes d’ailleurs font bien la différence entre ces types types de vampirisme, appelant les créatures surnaturelles les « upji » ou « vjesci ».

Les « loup-garous » sont appelés « were-wolf » en anglais. Were est un mot ancien anglo-saxon signifiant « homme », « were-wolf » signifie donc un homme qui a pris la forme d’un animal comme dans le chamanisme. On peut ici également penser aux berserks.

Abordant ensuite le sujet des apparitions lumineuses d’énergies, notamment sur des photographies, Eugenia note :

« Tout comme une ombre est la projection bidimensionnelle d’une interruption tridimensionnelle dans le flux de lumière, par analogie, des lumières, apparitions tridimensionnelles et poltergeists pourraient techniquement être une « interruption » dans le nexus d’énergie planétaire fondamental par un « objet énergétique » interdimensionnel dont l’activité dépasse notre dimension. » (p.98)

Faisant le lien avec la possibilité qu’un « loup-garou » soit la projection d’un être à un autre endroit, elle note que dans les légendes, seules les balles d’argent peuvent blesser une telle créature. En effet, les blessures se répercuteront sur le corps physique automatiquement, mais uniquement si les balles sont en argent, et pas dans un autre métal. C’est curieux.

Il est possible que ce soit parce que l’argent n’est pas conducteur comme d’autres métaux : ce ne sont peut-être pas des énergies électromagnétiques qui sont affectées avec l’argent, mais des énergies plus subtiles.

Autre « trace » chimique dans notre réalité, les odeurs de soufre ou, comme Whitley Striber l’a évoqué dans Communion, une odeur de « veille chaussette » qui accompagne les entités. (p.147)

Eugenia remarque que les marques retrouvées sur les « abductés » sont étonnamment similaires aux blessures que les vampires sont censés laisser sur la peau. Ce sont souvent des traces qui ressemblent à des griffures, retrouvées sur le corps au matin.

[Note : Je me rappelle d’une personne qui était enlevée par des créatures ressemblant à des loup-garous, qui l’extrayaient à chaque fois de son corps de force, et l’emmenait dans ce qui ressemblait à un bois. Elle se réveillait après avec des marques sur le corps. Lorsqu’elle était en présence de son chat, elle semblait par contre protégée. Autre exemple de ce phénomène relativement courant :

« La première fois, j’ai fait un cauchemar où je me vis attaqué par un monstre (une sorte de loup-garou). Il m’a mordu dans le ventre et j’ai senti une forte douleur, comme si ça se passait réellement. Quand je me suis réveillée, j’avais 3 marques de griffures sur le ventre. »]

Eugenia note que les recherches du Dr. Persinger, un sceptique, devraient être prises en considération plutôt qu’immédiatement attaquées. Il a remarqué qu’une stimulation électrique du cerveau donne au sujet l’impression qu’il y a une « présence ».

C’est la même chose qui se passe quand il y a une entité : l’influx d’énergie « pranique » de leur propre champ énergétique stimule le cerveau.

Le Dr. Persinger a aussi travaillé sur le lien entre observations d’OVNIs et zones où se trouvent des anomalies magnétiques.

« [Ces anomalies magnétiques] peuvent également indiquer la présence de champs de transduction d’énergie subtile qui facilitent la perception de la dimension de temps topologique tant nécessaire à la structuration des évènements qui ont une causalité non-linéaire. » (p.102)

Eugenia compare les intelligences interdimensionnelles à la légende du dieu Loki, celle de Prométhéus ou celle de Coyote qui emporte le feu, des mythes qui se ressemblent.

Ces intelligences utilisent d’autres êtres (dans le cas de Coyote, d’autres animaux) pour faire le travail à leur place et ainsi, elles ne s’exposent pas directement. Dans le cas de Coyote, tous les animaux se font tuer sauf lui. C’est pourquoi dans le cas de personnes qui se lient volontairement ou involontairement aux intelligences interdimensionnelles, ce sont elles qui s’exposent le plus à la manipulation. Les personnes qui font des recherches sur l’invisible risquent d’être ciblées en fonction de leurs perceptions limitées.

« La vérité sur les « abductions par des ovnis » et/ou séances de spiritisme ou d’invocation est qu’elles sont réelles mais pas nécessairement automatiquement bénéfiques aux personnes qui en font l’expérience ou qui enquêtent sur ces évènements. » (p.108)

Eugenia évoque ensuite un bol apporté comme cadeau par quelqu’un qui revenait du Brésil. Par intuition, elle plaça ce bol sur un sein et vit la forme sombre d’un grand homme apparaître, avec un son fort rythmique (« rrrurrr rruurrr ») comme celui d’un aspirateur. Elle apprit par la suite que ce bol servait à une pratique magique de cette façon là. Elle apprit aussi que dans la communauté Ceu do Magia à Quarto Dormu, la cérémonie servait à communiquer avec les « dieux ».

Eugenia pense qu’avoir placé le bol contre son sein a permis à l’énergie subtile de l’objet d’animer la conscience d’un « dieu sombre ». Au Brésil, le rituel implique aussi de l’ayahuasca, ce qu’Eugenia considère comme négatif. Car sans préparation au niveau énergétique, ces substances ne provoquent qu’un changement chimique, ne faisant qu’altérer la perception.

« Par l’utilisation des drogues, les blocages à la réception d’informations anormales d’énergie subtile dans la conscience de veille peuvent être brisés et/ou temporairement retirés. Mais l’intégration de cette information dans une réelle perception multi-dimensionnelle ne se produit pas nécessairement. » (p.113

Eugenia compare ce danger à celui de s’associer à une entité qui va utiliser (ou siphonner) l’énergie de la personne hôte… Ce n’est donc pas un partenariat ! La personne s’épuise. Dans les cas où ce partenariat est intense, fusionnel, la personne pourra recevoir des visions et des impressions directement liées à l’entité qui est en général très sombre.

Les pouvoirs de certains sont dus à cette « cohabitation » et non pas à leur réel développement spirituel. Ces personnes sont donc des « réservoirs d’énergie » siphonnés par les entités, qui peut causer une maigreur physique, des problèmes de santé, de vitalité, etc.

La magie sexuelle utilise ce même type de « partenariat », et entraîne un déséquilibre des énergies. En effet, la création d’un monde illusoire qui n’est pas synchronisé avec le continuum physique est beaucoup plus drainant d’un point de vue énergétique pour les humains que pour les entités interdimensionnelles.

Ce procédé est d’ailleurs utilisé par les entités « vampiriques » pour soutirer l’énergie d’une personne, en créant par exemple un cauchemar, ou bien un rêve érotique, à partir d’éléments puisés dans la mémoire de l’individu. Le rêve semblera tellement réel que la victime ne se réveillera qu’à la fin, terrorisée, et verra souvent à ce moment-là de façon furtive une forme ou un être qui puisait l’énergie de son plexus solaire.

Ce siphonage d’énergie est typiquement symbolisé par la swastika nazie.

Le symbole du soleil noir fait aussi penser à un trou noir.

La présence de puissantes Intelligences spirituelles qui utilisent l’énergie subtile humaine, l’aspirant dans un sens anti-horaire dans un univers alternatif comme au travers d’une « trou noir » astronomique hyperdense, peut créer une atmosphère appauvrie en énergie subtile, qui ressemble beaucoup – à un niveau multidimensionnel – à une atmosphère appauvrie en oxygène dans les chambres mal ventilées avec un poêle ou une cheminée.

En effet, les adeptes nazis ont adopté la spirale anti-horaire d’énergie subtile que connaissaient de nombreuses traditions (chamanisme ancien, hindous, indiens d’Amérique, tibétains, chinois, celtes, tradition nordique, etc). Cependant, dans le système nazi la spirale interdimensionnelle ne va que dans un sens. » (p.116)

De ce fait, l’empire Nazi n’a pas duré longtemps, car il a épuisé toutes les ressources vitales disponibles qui furent consumées « de l’autre côté » de la frontière dimensionnelle.

Il semble donc il y a avoir des « cycles » de civilisations, qui sont comme les signes matériels d’une « récolte » récurrente du « jus émotionnel » des populations.

Les Nazi avaient redécouverts d’anciennes voies menant à l’utilisation de l’énergie subtile mais pas les voies contraires pour rétablir l’énergie vitale de « Malkuth », la terre des kabbalistes.

Eugenia explique que les traditions anciennes connaissaient aussi des danses circulaires complexes servant à canaliser l’énergie depuis un plan subtil et « revitaliser » ce monde.

Dans la Kabbale, ce sont les « Klipoth » qui représentent les Intelligences interdimensionnelles, et qui sont placés en miroir de l’Arbre de Vie dont les intelligences inspiratrices sont les « Sephiroth ».

Le lutte entre les forces de « klipoth » et « sephiroth » est la lutte archétypale de toutes les traditions chamaniques. L’arbre de vie peut aussi être tourné ou inversé, et c’est le portail de « D’aath » qui permet le contact avec les pouvoirs négatifs ou positifs que notre perception ne permet pas de voir.

Comme dans la pratique des arts martiaux du Zen, c’est dans le domaine des luttes de pouvoir relatives à l’intelligence que les utilisations les plus spectaculaires du pouvoir mental direct se retrouvent.

Eugenia évoque ensuite l’observation de Kenneth Arnold, qui inventa le terme « soucoupe volante » et les évènements qui suivirent. On lui demanda d’évaluer des rapports d’observations près de Maury Island.

Lorsqu’il arriva il découvrit qu’on lui avait réservé une chambre d’hôtel dans l’hôtel le plus cher et selon Sutherly, « toutes les conversations dans la chambre d’Arnold furent enregistrées et reprises au mot près par des reporters de la ville ». Seulement, on ne découvrit jamais qui était l’informateur, et on ne détecta pas de micro dans la chambre. Etait-ce donc un informateur humain ou interdimensionnel ?

« Il est en réalité scientifiquement et professionnellement immature d’omettre des contingences et inconnues importantes dans des évènements si les recherches portent sur la « grande étrangeté » ou sur des évènements situationnellement inexpliqués.
La possibilité de « contrôle » du comportement humain par une Intelligence Interdimensionnelle Avancée que les intellectuels ont du mal à confronter directement (…) » (p.123)

Eugenia cite ensuite le chamane mexicain Rudolfo Flores, qui différencie la sorcellerie positive de la magie noire par le fait que la sorcellerie positive utilise « l’amour venant du coeur ».  Cet « amour » permet prendre part aux intelligences interdimensionnelles positives, comme l’a exprimé Giordano Bruno.

Et la sorcellerie, c’est cette faculté de « former » les évènements comme si une puissante énergie sortie de nulle part transformait la réalité.

Mais il y a aussi, selon Flores, la « voie du coeur », qui dans la Renaissance était appelée la « magie naturelle », qui utilise les correspondances subtiles entre les mondes intérieurs et extérieurs pour accélérer le processus matériel des évènements plutôt que les forcer selon un désir arbitraire. Rudolfo Flores utilisait d’ailleurs l’eau, qui a la capacité de « porter » l’information. Eugenia revient ici aux particularités de la molécule d’eau.

« L’utilisation des bains dans un réceptacle en métal pour améliorer la santé d’un individu est intéressante car l’eau a un angle moléculaire particulier qui est similaire aux angles utilisés dans la construction des fameuses chambres des pyramides égyptiennes. Des pyramides en modèle réduit, avec les chambres intérieures, ayant le même ratio acoustique et vendues comme des nouveautés, conservent des fruits et les lames de rasoirs. » (p.125)

Ainsi, la molécule d’eau trouve une résonance dans les topologies subtiles des différents niveaux de causalité. C’est un exemple de « magie naturelle », car il n’y a pas de recours à un messager « angélique » ou « démoniaque », ni de diagrammes ou systèmes intellectuels et/ou symboliques spécifiques.

La magie ancienne, très différente de la « magie » actuelle qui n’est peut-être pas réellement de la sorcellerie, utilisait le principe d’analogie et était très puissante (tradition germanique, suisse…).

Par exemple, quelqu’un voulant attenter au cerveau d’une personne pouvait utiliser des noix coupées en deux, parce que les noix sont analogues au cerveau.

Eugenia mentionne aussi une de ses connaissances qui avait un grimoire en cyrillique qui contenait de vieux sorts russes fonctionnant sur le même principe, dont l’origine remontait aux envahisseurs mongols menés par Ghengis Khan.

Une magie réellement efficace n’a donc pas besoin de tout un cérémonial avec des bougies ou des objets rituels.

Dans le second livre, écrit par Aurand, il décrit un « zauba zietel » ou « archange », un petit talisman rectangulaire. Ce type de talisman est utilisé chez les gitans. Cette technique est utilisée depuis des siècles, de générations en générations. Il est également expliqué l’importance des carrés magiques, que nous avions déjà remarqués en liaison aux lieux à « vortex » de l’Aude :

« Un cube magique est un outil de magie cérémonielle de haute volée, le genre de choses qu’Ambelain transmettait à ses disciples personnels sans souci des appartenances obédientielles.

Or l’obsession d’Ambelain était de réveiller et de canaliser à son profit des égrégores anciens en sommeil par un retour magique aux sources, de préférences des égrégores capables d’influencer de larges, très larges pans de la population, décideurs en tête. »

Frances A. Yates, dans ses études sur l’alchimie à la Renaissance et l’oeuvre de Giordano Bruno, indique que la réelle sorcellerie implique de forger un lien entre l’intelligence du sorcier et l’Intelligence Interdimensionnelle (ange, démon, dieu, djinn, « créature », ou quoi que ce soit d’autre) contactée par le sorcier en échange d’information ou de pouvoir opératif.

Un tel lien pourrait passer par un talisman.

Bruno, qui passa quelques années à la cour d’Elizabeth I, a pu être le modèle du « Docteur Faustus » de Christopher Marlowe, car son nom initial était « Philotheus Jordanus Brunus Nolanus »… Philotheus a pu donner Faustus. Christopher Marlowe a été assassiné en 1593 et Bruno a été arrêté par l’Inquisition puis brûlé vivant en 1600.

« Puisant dans sa propre tradition européenne, Giordano Bruno a parlé de l’utilisation de la « fureur » ou de « l’amour cosmique » pour fusionner l’effet du lien énergétique réalisé par le sorcier aux « talismans » qui forment un pont entre les Intelligences (telles que les « Douze Dieux Egyptiens du Temps ») et l’entité individuelle du sorcier. » (p.183)

« La pratique de la « fureur » ou de l’amour cosmique surélevé de Giordano Bruno permet de produire des effets macrocosmiques, en méditant sur l’image microcosmique ou les talismans. C’est une pratique similaire au « huna » hawaïen, étudié par Max Freedom Long, qu’utilisent les chamans « kahuna ». » (p.184)

Mais il y a aussi une « pseudo-fureur » possible, dans la sorcellerie négative, qui consiste à « brouiller » l’esprit de quelqu’un pour altérer ses décisions, en lui projetant des illusions.

« Les personnes dont la sensibilité a été ouverte par les opiacés sont souvent les pions de cette force sombre car elles sont également ouvertes à une altération soudaine de la réalité perçue, à cause des opiacés. » (p.184)

Les différents types de causalité, et par exemple les synchronicités de Jung, sont la preuve qu’il existe une « structure » d’énergie subtile ou mentale, qui est celle qu’utilisent les « magiciens naturels ».

Dans la magie naturelle, la communication avec l’énergie subtile est importante, d’où l’importance des lieux et des périodes de temps aptes à révéler ce processus interdimensionnel.

Eugenia change ensuite de sujet et après avoir évoqué l’importance de la tradition occulte à Londres, elle passe aux Tuatha-de-Danaan, ce peuple réputé pour avoir manifesté des pouvoirs merveilleux en Irlande.

En regardant l’illustration des autre évangélistes dans le Livre de Kells, une enluminure celtique du Nouveau Testament créée en 800 ap. J.-C., et qui est de toute évidence influencée par les formes artistiques de l’ancienne religion druidique, votre humble correspondante trouve une ressemblance entre l’évangéliste représenté dans le Livre de Kells et la représentation stylisée du serpent à plumes Quetzalcoatl des Aztèques.

Peut-être que les Tuatha-de-Danaan des légendes celtiques étaient reliés via les Atlantes aux légendaires dieux à peau blanche qu’attendaient les Aztèques et qu’ils ont confondu avec les conquistadors espagnols. » (p.143)

« La présence de Celtes qui se sont dispersés à l’est ainsi qu’à l’ouest depuis les régions nordiques est spécifiquement mentionnée dans le livre de mythologie celtique que j’ai acheté à Dublin afin de trouver une référence au dieu Dispater. La localisation de la Galicie méditerranéenne est spécifiquement mentionnée dans ce contexte. » (p.144)

Le dieu Taranis avec la roue solaire et la foudre, qu’on rapproche de Jupiter, Zeus, Thor, et Svarog.

« Au-delà de la Frontière Sombre de la perception, la barrière qui nous sépare des « dieux » pour notre propre protection, il y a une continuité intemporelle qui n’est pas humaine.

Les anciens le savaient. L’un des symboles anciens de Jupiter est une roue. Peut-être que la roue de Dispater/Jupiter est prise maintenant pour une « soucoupe volante ». (p.144)

« Il est possible que la force du « dieu céleste » interdimensionnel qu’on voit lutter contre un serpent dans les illustrations anciennes est toujours active dans sa lutte contre la force chthonienne surnaturelle qui se nourrit comme un parasite des dynamiques de l’énergie subtile qui sont l’essence de la vie humaine en évolution. » (p.145)

Cette force s’exprime parfois de manière brutale, comme au Brésil. Le journaliste Bob Pratt, auteur de Night Seige : The Hudson Valley UFO Mystery et Terror from the Skies : UFOs in Brazil, a enquêté sur des faits étranges dans un village isolé du Brésil. Son témoignage fait état d’une tragédie humaine.

Un incident implique par exemple un fermier ayant vu une homme et une femme dans un OVNI, duquel de l’huile bouillante a été versé sur lui. Le vaisseau utilisait aussi une sorte de « rayon tracteur ».

Un autre incident implique un villageois, Hermalindo, qui a vu à 2h du matin un objet rond et brillant avec un trou au milieu. Quatre câbles d’acier sortirent en-dessous. Une créature descendit par un de ces câbles et plaça un crochet à la cheville d’Hermalindo, mais le villageois ne pouvait pas voir le visage de la créature, qui avait une combinaison en métal. Un autre incident implique un OVNI chassant un villageois terrifié qui se retrouva à se cacher derrière un arbre qui prit feu.

C’est de toute évidence la preuve d’un comportement sadique de la part de ces intelligences, envers ces habitants. Un tel village isolé serait le lieu idéal pour tester de nouvelles technologies avancées.

On sait que les scientifiques nazis expatriés, avant et après la seconde Guerre Mondiale, se sont installés à « La Sernanita » (l’endroit silencieux) en Argentine et ailleurs en Amérique du Sud.

Le fait que ces récentes « atrocités d’ovnis » aient été rapportées dans les zones hispaniques, portugaises (Philippines et Espagne compris) indique peut-être un lien entre la continuation des recherches des nazi et les technologies occultes et/ou interdimensionnelles.

Il est possible que les incidents rapportés par Bob Pratt aient été dus à une ingénierie privée d’aéronautique expérimentale.

Les attaques interdimensionnelles ne sont pas toujours aussi spectaculaires, mais lorsqu’elles ciblent des individus – comme des chercheurs ufologues – elles peuvent être dramatiques. Eugenia remarque qu’un nombre impressionnants d’enquêteurs sont morts dans des conditions étranges. Elle fait le lien avec la légende selon laquelle les fées font tourner le lait.

« De toute évidence, la même co-opération entre les bactéries et/ou organismes viraux et ces Intelligences « fées » qui peuvent faire tourner le lait et/ou provoquer une légère « grippe de synchronicité » peuvent – dans un contexte plus diabolique – provoquer des cancers, la tuberculose ou d’autres dysfonctions du système d’équilibre de l’énergie du corps.

Des troubles de l’humeur peuvent aussi résulter de l’action d’un système immunitaire perturbé, en association avec des micro-organismes qui ont pu être introduits dans le corps de l’hôte par téléportation spontanée. (…)

La mort bizarre de l’ufologue Jerold « Ron » Johnson alors qu’il assistait à une conférence de la Society For Scientific Exploration le 9 juin 1994 à Austin, au Texas, peut être liée à des activités clandestines par des praticiens occultes négatifs qui ont un intérêt dans les activités des « think tank » (…)

Johnson, juste avant sa mort d’un soudain saignement de nez « inexpliqué » durant une présentation de diapos dans une pièce obscurcie, était récemment employé par Earth Tech, Inc., un « think tank » financé par des fonds privés à Austin, et dirigé par Harold Puthoff, Ph. D. Johsnon était également lié au gouvernement et agissait comme consultant en affaires militaires.

La mort mystérieuse du contacté Brian Lynch il y a dix ans, en lien à des activités clandestines à Long Island, pourrait aussi être liée à des expériences secrètes avec les techniques de sorcellerie par des individus faisant partie du « gouvernement secret » ou bien étant employés par ce gouvernement.

On sait que Lynch, un an avant sa mort dans un entrepôt, a été approché par des individus « paramilitaires » qui sont venus chez lui et furent présentés à la famille comme faisant partie d’un « think tank » au Texas spécialisé dans l’utilisation de l’ESP et des techniques de mind control pour la guerre et l’espionnage. »

Ces deux individus ont donc été approchés par des « think tank » en lien à des recherches sur les OVNIs et les facultés psi. De plus, Brian Lynch s’intéressait à la démonologie avant son observation d’OVNI, et a dit qu’il avait trouvé un livre de « magie noire » lors de ses explorations à Long Island.

Une autre mort suspecte est celle d’Ivan T. Sanderson, qui a écrit Invisible Residents et qui a fait de nombreuses recherches sur les OVNIs. Il est mort d’un cancer du cerveau. Il y a aussi la famille des Lorenzen, qui dirigeait la Aerial Phenomena Research Association, qui est morte dans des circonstances étranges.

« Peut-être que l’incidence élevée de maladies graves parmi les chercheurs sur les ovnis est due à l’absence de précautions adéquates lorsqu’ils abordent le sujet de la « grande étrangeté ». » (p.190)

« Si, comme il a été affirmé, certains « extraterrestres » et/ou agences de renseignement pratiquent la télépathie négative, l’envoûtement et/ou la radionique destructive pour bloquer la connaissance publique de certains aspects controversés de la Science Avancée, alors ces activités mentales abominables peuvent être bloquées avec succès par une hygiène mentale positive qui prend en compte tous les niveaux possibles d’agression intelligente, y compris la télépathie et la sorcellerie destructrice. »

Eugenia mentionne également que le Dr. Greer de l’organisaton CSETI a été victime d’un cancer métastatique, et que cet épisode est associé à une forte « inflation égotique » de sa personnalité, comme s’il avait été manipulé par des adeptes de la sorcellerie pour modifier son comportement et altérer sa raison (ses actes révèlent une importante « hubris », une illusion de grandeur).

Eugenia continue à énumérer les chercheurs morts prématurément. Il y a Karla Turner, morte également d’un cancer foudroyant, en 1996. Elle était en lutte contre des entités qui avaient un comportement « vampirique ». Il existe d’ailleurs une photo d’elle qui montre trois points en forme triangulaire sur sa gorge.

Souvent, la compréhension du surnaturel est obstrué simplement parce que l’esprit « éduqué », entraîné à chercher un processus de type séquentiel qui résulte du fait qu’il lit et écrit dans un langage séquentiel, ne comprend pas l’altération de la « forme » d’un évènement qui peut être accompli par la sorcellerie.

De même, l’esprit « éduqué », entraîné à comprendre les processus intérieurs de pensée en retraçant le développement de la conscience individuelle sur une vie, peut ne pas comprendre l’influence télépathique d’une Intelligence Interdimensionnelle sur l’individu humain.

Dans le cas d’un « ombrage » par une Intelligence Interdimensionnelle, la personne humaine visible peut avoir accès à plus d’un seul système de mémoire, de personnalité, ou de volonté d’actions. » (p.194)

Et à propos du lien entre activité OVNI et poltergeist, Eugenia note que souvent, ces deux phénomènes se produisent autour d’une même personne, une personne « contactée » ou bien une personne enquêtant sur ces phénomènes. Cela peut être « contagieux », comme transmis par une forme parasitaire d’énergie interdimensionnelle intelligence.

« Il est possible qu’il y ait parfois un lien symbiotique entre micro-organismes comme les bactéries ou virus et l’énergie subtile négative de « l’esprit vampire ».

La symbiose entre l’Intelligence interdimensionnelle négative (le démon) et les micro-organismes comme des bactéries ou virus arrive quand l’énergie subtile négative (nommée DOR par Wilhelm Reich) affaiblit le système immunitaire et prépare l’hôte pour la micro-invasion. » (p.196)

Souvent, ces intelligences empêchent toute divulgation d’information. C’est le cas lorsque ces intelligences s’en prennent directement à une personne (provoquant une vive douleur lorsqu’elle parle d’un sujet), ou affectent le matériel électronique (coupure de téléphone, perturbation des moyens de communication…).

« Quand on considère la carrière d’occultistes, de « chercheurs psychiques », et de toutes sortes de personnes qui affirment être inspirés ou en « contact avec un esprit », il est important de se rappeler que ces individus peuvent ne pas être pleinement conscients de l’étendue de l’influence subliminale sur leur comportement des Intelligences Interdimensionnelles puissantes qu’ils « étudient » et/ou « conjurent ». (p.201)

Mais beaucoup de gens n’acceptent pas facilement l’idée de ne pas être au sommet de hiérarchie du « mind control »… Certains penseraient que c’est le gouvernement qui est la cause de l’influence télépathique qu’ils ressentent, alors qu’il s’agit plutôt d’une tentative de « modification comportementale » par des Intelligences interdimensionnelles qui pour ce faire, pénètrent dans les espaces les plus privés de l’esprit et du système d’énergie physique de l’individu.

De telles modifications du comportement se remarquent par exemple dans le parcours similaire de John Dee et de George Adamski, qui, obsédés par des intelligences interdimensionnelles négatives, pensèrent qu’ils avaient une « mission » d’une « importance cosmique ». Ils firent tous deux une tournée de conférences en Europe. Cette inflation de l’égo causa leur perte (incendie de la bibliothèque de John Dee…)

« On peut spéculer sans trop de doute que ces deux individus innovants, quelle que soit leur intelligence innée, n’ont pas clairement compris leur participation à un panorama multidimensionnel plus vaste (…) » (p.204)

« Il est aisé de voir que la « modification comportementale » de John Dee et de George Adamski (…) venait de « forces » interdimensionnelles qu’ils ont tenté « d’invoquer » pendant de nombreuses années sous les noms d’anges et de démons. » (p.205)

Puis Eugenia indique plus loin que : « L’erreur faite par les détectives et/ou sociologues étudiant les « comportements des cultes » des groupes connus pour leurs activités illégales comme le trafic de drogue et/ou les sacrifices humains est de supposer que tous les rituels et initiations de « magie noire » sont simplement des inventions cyniques, criminelles, destinées à garder les disciples dans les rangs.

Ces situations de « magie de pouvoir » des groupes doivent être perçues comme des « séances de spiritisme » ou activités « d’invocation » qui peuvent résulter en l’évocation d’une réelle Intelligence Interdimensionnelle Diabolique.

De même que la plupart des religions pensent que les prières et/ou d’autres rituels peuvent résulter en la présence « d’anges », de « saints » ou d’autres Intelligences Interdimensionnelles Avancées qui répondent à leur appel à l’aide, ceux qui commettent des actes malveillants peuvent parfois réellement tomber sur les Diables qu’ils tentent d’invoquer. » (p.206)

Eugenia relate ensuite la malheureuse attaque contre Mme Gladys Lyls-Goodman, qui était professeur de yoga et étudiante du chercheur australien Raynor Johnson. Elle adoptait de nombreux enfants abandonnés, et avait essayé d’ouvrir une école. Elle a ensuite été attaquée, accusée de sorcellerie « satanique » et fut soumise à des procédures humiliantes.

Eugenia pense que des associés de Raynor Johnson, qui étudiaient le chamanisme au Mexique et en Inde ont été « happés » par le côté obscur de la sorcellerie et l’ont attaqué. Eugenia avait alors l’impression que Gladys elle-même était devenue une entité puissante et mauvaise ayant des facultés de changement de forme. Ce sentiment venait peut-être du sort jeté par un sorcier ayant le pouvoir d’évoquer une entité démoniaque et/ou des formes-pensées et de les attacher à cette pauvre femme. (p.213)

Conclusion

« La réalité des effets des « sorts » est ardue à comprendre et difficile à reconnaître. Mais (…) ces effets sont à la frontière constructive de notre connaissance des potentiels de la conscience humaine. »

« La réalité des liens interdimensionnels, d’énergie subtile, ne devrait pas être laissée dans les mains des sorcières et sorciers renégats de la « magie noire » qui sont tombés dessus indépendamment mais qui seraient tentés d’utiliser de tels liens clandestinement dans le cadre d’activités personnelles et/ou corporatives de piraterie-de-l’esprit. » (p.228)


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